Bounty était haut perché à la plus haute fenêtre du Q.G de la marine de West Blue. Il attendait un navire qui l'emmènerait sur sa prochaine mission mais il avait un peu de temps à tuer devant lui avant de prendre le large pour de nouvelles aventures. il se souvenait de son entrée ici même, au Q.G de ce vaste océan de l'Ouest. Il était alors une nouvelle recrue, un mousse. Il portait plus souvent un balai et un sceau qu'un fusil et un sabre, d'ailleurs, on le prenait régulièrement pour un niais et un sot, avant de l'estimer comme futé et capable. Il était clairement à cette époque le larbin de tout le monde. Il nettoyait tout ce qu'on lui disait de faire briller, prenait de méchants coups et n'avait pas le luxe de la plainte. Même les rebuts de 3ème classe, martyrisés de tous, pouvaient se permettre de le rabaisser après avoir étés eux même les cibles des 1eres et 2nd classes. Il détestait par dessus tout cette situation quand son labeur prenait sur son temps d'entrainement. Il devait evenir bien plus fort pour pouvoir porter une arme et partir sur sa première mission.
Les places dans la marine étaient déjà à l'époque difficiles à prendre, pour devenir le dernier des soldats, il fallait une force 2 fois supérieur à la normale. Des punch testeurs du gouvernement fleurissaient sur les terrains d'entrainement pour que chaque marine puisse évaluer lui même sa propre force. Un homme en bonne santé, dans la force de l'âge mais sans entrainement physique particulier possède 10 Dorikis. Il en fallait 20 pour prétendre au titre bidon de 3ème classe, le crème des loosers des soldats. Malgré le retard prit à cause des innombrables et interminables corvées, Crimmson finit par atteindre le résultat qui lui permit de jeter son balais pour récupérer une carabine rouillée. Il enfila avec fierté son costume avant de se ramasser un grand coup de pied au cul qui signalait qu'il devait se mettre en rang. les formateurs s'occupaient de rabaisser les nouvelles recrues avec un talent inouïs. Ils leurs expliquaient clairement qu'ils étaient un grand tas de merde mais que l'espoir était là au fond de chaque homme et que sur 100 déchets, il pouvaient toujours en tirer un déchet moins sale que les autres. Bounty s'en fichait, il était tellement ravie d'être enfin un soldat bien qu'il dut encore faire parfois un peu le larbin, mais le simple fait de pouvoir participer touts les jours aux entrainements exténuants le rendait heureux. Il ne perdait plus son temps et pouvait progresser bon train.
Le thème des exercices n'était pas passionnants mais cela suffisait à entrainer des hommes sans aucune expérience du combat. ils rempaient avec tout leur équipement, apprenaient des techniques de combat rapproché de base, escaladaient des parois pentuée, devaient passer des routes d'obstacles, le matin, ils couraient tous de très bonne heure puis s'étiraient pour démarrer les hostilités, puis les enchainements plus physique venaient avec des abdos en équipes de deux, des pompes, des flexion, des tractions. Crimmson contrairement à ses collègues, ne séchait aucun entrainement pour des motifs bidons d'infirmerie, d'indigestion etc... Il devint donc rapidement un Soldat 2ème classe. Les 1ere classe les lynchent un peu moins, de peur qu'ils ne s'emportent. Car en effet, les deuxièmes classes devaient posséder encore, 2 fois plus de Dorikis que les bouseux de 3eme classe. Ce qui leur donnait un niveau légèrement plus prit au sérieux par leurs camarades d'élite. Bounty ne pouvait pas encore se permettre d'esquinter les adhérents au seul grade en dessous de lui, c'était mal venue dans la marine. il fallait avoir 2 grades de plus pour se faire concrètement suffisamment respecter pour enfin pouvoir terroriser et martyriser les moins gradés. D'ailleurs, il n'y avait que les mauviettes de 3eme classe qui ne respectaient pas cette règle en ennuyant les mousses qui n'ont pourtant qu'un seul grade de moins qu'eux. Les 1ere classe disent d'eux qu'ils sentent encore la lessive tellement cela ce voit qu'ils ont lâchés le balais il y a peu de temps. ils se basent naturellement à la taille de leurs petits bras bien fins.
Les entrainements étaient toujours plus rude mais Crimmson suivait physiquement. Il s'exerçait quand il le pouvait et principalement le matin pendant la course aux aurores quotidienne, à effectuer de brèves mais puissantes accélérations. Il avait entendu dire que certains membres des services secrets se déplaçaient si vite pour les besoins de leur mission qu'ils étaient capable de disparaitre pour réapparaitre un peu plus loin. Ceci avait impressionné le jeune soldat qui s'esquintait à tenter l'impossible. Mais à force d'essayer il fallait l'avouer, sa poussée était devenue intéressante, suffisamment rapide pour prendre de cours quelqu'un de son niveau en plein combat. C'était donc une technique vouée à être améliorée au fil de la progression du marine qui finirait par atteindre un jour le niveau de ces fameux CP9 qui sait ...
Les places dans la marine étaient déjà à l'époque difficiles à prendre, pour devenir le dernier des soldats, il fallait une force 2 fois supérieur à la normale. Des punch testeurs du gouvernement fleurissaient sur les terrains d'entrainement pour que chaque marine puisse évaluer lui même sa propre force. Un homme en bonne santé, dans la force de l'âge mais sans entrainement physique particulier possède 10 Dorikis. Il en fallait 20 pour prétendre au titre bidon de 3ème classe, le crème des loosers des soldats. Malgré le retard prit à cause des innombrables et interminables corvées, Crimmson finit par atteindre le résultat qui lui permit de jeter son balais pour récupérer une carabine rouillée. Il enfila avec fierté son costume avant de se ramasser un grand coup de pied au cul qui signalait qu'il devait se mettre en rang. les formateurs s'occupaient de rabaisser les nouvelles recrues avec un talent inouïs. Ils leurs expliquaient clairement qu'ils étaient un grand tas de merde mais que l'espoir était là au fond de chaque homme et que sur 100 déchets, il pouvaient toujours en tirer un déchet moins sale que les autres. Bounty s'en fichait, il était tellement ravie d'être enfin un soldat bien qu'il dut encore faire parfois un peu le larbin, mais le simple fait de pouvoir participer touts les jours aux entrainements exténuants le rendait heureux. Il ne perdait plus son temps et pouvait progresser bon train.
Le thème des exercices n'était pas passionnants mais cela suffisait à entrainer des hommes sans aucune expérience du combat. ils rempaient avec tout leur équipement, apprenaient des techniques de combat rapproché de base, escaladaient des parois pentuée, devaient passer des routes d'obstacles, le matin, ils couraient tous de très bonne heure puis s'étiraient pour démarrer les hostilités, puis les enchainements plus physique venaient avec des abdos en équipes de deux, des pompes, des flexion, des tractions. Crimmson contrairement à ses collègues, ne séchait aucun entrainement pour des motifs bidons d'infirmerie, d'indigestion etc... Il devint donc rapidement un Soldat 2ème classe. Les 1ere classe les lynchent un peu moins, de peur qu'ils ne s'emportent. Car en effet, les deuxièmes classes devaient posséder encore, 2 fois plus de Dorikis que les bouseux de 3eme classe. Ce qui leur donnait un niveau légèrement plus prit au sérieux par leurs camarades d'élite. Bounty ne pouvait pas encore se permettre d'esquinter les adhérents au seul grade en dessous de lui, c'était mal venue dans la marine. il fallait avoir 2 grades de plus pour se faire concrètement suffisamment respecter pour enfin pouvoir terroriser et martyriser les moins gradés. D'ailleurs, il n'y avait que les mauviettes de 3eme classe qui ne respectaient pas cette règle en ennuyant les mousses qui n'ont pourtant qu'un seul grade de moins qu'eux. Les 1ere classe disent d'eux qu'ils sentent encore la lessive tellement cela ce voit qu'ils ont lâchés le balais il y a peu de temps. ils se basent naturellement à la taille de leurs petits bras bien fins.
Les entrainements étaient toujours plus rude mais Crimmson suivait physiquement. Il s'exerçait quand il le pouvait et principalement le matin pendant la course aux aurores quotidienne, à effectuer de brèves mais puissantes accélérations. Il avait entendu dire que certains membres des services secrets se déplaçaient si vite pour les besoins de leur mission qu'ils étaient capable de disparaitre pour réapparaitre un peu plus loin. Ceci avait impressionné le jeune soldat qui s'esquintait à tenter l'impossible. Mais à force d'essayer il fallait l'avouer, sa poussée était devenue intéressante, suffisamment rapide pour prendre de cours quelqu'un de son niveau en plein combat. C'était donc une technique vouée à être améliorée au fil de la progression du marine qui finirait par atteindre un jour le niveau de ces fameux CP9 qui sait ...