Bien l'bonjour, brave homme qui va analyser un gros gros projet qui a eu pas mal de temps pour mijoter dans nos têtes de fous de révos. J'te souhaite beaucoup d'courage. Et n'hésite pas à t'imprégner de l'esprit populaire pour rejoindre toi aussi les rangs des révolutionnaires... \o/ (hum...)
Comme le sujet de la demande est un navire, c'est un peu fait sur le modèle des fiches de navires. J'espère que ça vous va. J'pense que finalement, tout ce qu'il vous faut est décrit (et sans doute plus encore).
Nom du vaisseau : Le Bahamut.
Taille du navire : Le Bahamut est un navire assez monstrueux. Construit sur les plans du Leviathan, les égos surdimensionnés de certains chefs de l'Union Révolutionnaire ont poussé les ingénieurs et concepteurs à revoir les dimensions à la hausse. C'est donc un véritable mastodonte pouvant accueillir à la louche 1500 personnes. Les révolutionnaires ayant un facteur de compressibilité assez important, on peut en caser 2000 en poussant un peu.
La contrepartie de la taille gigantesque, c'est qu'il faut bien entendu entretenir et faire fonctionner toute cette machinerie. Une petite centaine d'ingénieurs et scientifiques se relaie pour veiller au grain sur toutes les inventions et technologies de pointe qui s'y trouvent. En plus de cela, pas loin de 400 mécaniciens, ouvriers, charpentiers, et autres navigateurs s'occupent de la maintenance et du fonctionnement du navire.
La taille titanesque de l'engin lui permet d'avoir d'immenses soutes, des quartiers d'habitation sur plusieurs étages de la structure, plusieurs réfectoires, une quinzaine de salle des machines... Mais il ne reste toujours qu'une seule salle de commandement. La communication avec les salles des machines se fait par Den Den Mushis pour éviter que les transimissions ne durent plus d'un quart d'heure. On trouve enfin un sale de réunion où se trouve simplement une table ronde et six sièges massifs.
Il reste à signaler que, l'Union comptant dans ses rangs quelques personnes de grande taille, voire de très grande taille, certaines parties du navire sont aménagées spécialement pour ceux-ci.
Système de navigation : La machinerie est divisée en deux parties.
- Navigation aérienne : Plusieurs systèmes sont mis-en-place pour permettre à cette mini-ville de voler.
- La soute magique : la plus grandes des soutes est étanche. Elle contient un gaz extrêmement léger qui permet non pas de flotter en l'air, ce qui empêcherait de redescendre autrement qu'en relâchant le gaz. Ce gaz permet simplement de diminuer la masse volumique du navire et de la rendre proche de celle de l'air au niveau de la mer. Ainsi, une légère poussée vers le haut suffit alors à faire décoler le mastodonte.
- Les hélices : technologie empruntée au Leviathan et décrite en détail dans les plans obtenus par l'Union Révolutionnaire, ces hélices permettent d'exercer la poussée suffisante pour faire voler le Bahamut. Le set comprend deux hélices principales gigantesque, et trois fois deux hélices secondaires qui assurent une meilleur stabilité à l'ensemble et facilitent les manœuvres. Elles sont toutes orientables. Les hélices sont actionnées par des machines à vapeurs qui crachent une fumée noire visible de loin si le Bahamut vole trop bas ou s'il fait un temps impécable. En addition de ces systèmes typiquement empruntés au Leviathan, les hélices, en tournant, peuvent charger des batteries électriques qui alimentent les endroits qui en ont le plus besoin.
- Les ailes du Dragon : ce sont les seules voiles que possède le bateau. Elles sont positionées bas sur les côtés. Elles sont renforcées d'un armarture solide. Le but de ces ailes ne sont pas à proprement parler de permettre le vol. En effet, elles sont orientables pour augmenter ou diminuer la portance, mais elles ont une surface trop peu importante pour lever le navire à elles seules. Elles permettent seulement de planer sur des distances raisonnables sans devoir maintenir la machinerie en route. Le Bahamut perd alors progressivement de l'altitude. C'est dans ce mode qu'il amerrit.
- Navigation classique : le navire n'a pas de voile qui lui permette d'avancer lorsqu'il navigue sur la mer. Il ne possède pas non plus de rames. Le seul moyen de propulsion qu'il lui reste, c'est donc les hélices. Les ingénieurs et scientifiques qui ont conçu analysé le système du Léviathan sont arrivés à la conclusion que ce fonctionne dans un fluide, l'air, peut fonctionner dans un autre fluide, l'eau. Les machines à vapeur sont alors en sur-régime et pour qu'elles puissent continuer à fonctionner il faut un ingénieux système de refroidissement qui utilise la vitesse du Bahamut pour faire circuler de l'eau dans des canalisations qui traversent le navire de bout en bout. La vitesse dans ce mode est nettement plus lente. La stabilité en combat est cependant bien meilleur sur l'eau, et ce mode de navigation reste pratique pour faire monter ou descendre des passagers.
- Navigation mixte :
- Le pet du Dragon : associé aux machines à vapeur se trouvent des compresseurs. Ceux-ci lorsqu'ils sont activés compressent le gaz dans une soute étanche à l'arrière du navire. Le gaz peut ensuite être relâché brutalement en propulsant le navire droit en avant à toute vitesse. Le système met cinq minutes à se charger et les machines à vapeur doivent ensuite être éteintes pendant une heure pour récupérer de l'effort. Il est aussi nécessaire de découpler ces mêmes machines des hélices avant de relâcher le gaz, sans quoi les hélices qui tournent alors à toute vitesse risquent d'exploser les courroies qui les lient aux machines, et d'exploser dans le même temps les machines.
Le pet du Dragon fonctionne également comme un démarreur: il permet de donner une vitesse initiale suffisante et nécessaire pour le décollage. Sans ce mécanisme, pas de décollage et le navire reste sur l'eau.
Système d'armement :
- Le pet-gaz : basé sur le système de pet du Dragon. En tapant dans la soute où on compresse l'air des matières gazeuses ou liquides (qui se feraient vaporiser par l'expulsion), on peut éjecter diverses choses sur d'éventuels poursuivants. Par exemple, du gaz inflammable (qu'on enflammerait après l'avoir expulsé, avec le risque d'un peu cramer ses arrière dans l'histoire... Les risques du métier...), des oeufs pourris pour leurs gaz, de la vapeur d'eau qu'on aurait fait bouillir pour ébouillanter, etc. Le principe est simple, ne requiert pas d'amélioration particulière, juste d'avoir des trucs expulsables de cette manière.
- Le soufle du Dragon : de la gueule du dragon sort un embout de tuyau relié à une cuve de gaz. Des gars peuvent pomper dans les soutes pour faire sortir le gaz, et en l'emflammant, ça fait une projection de flammes. Bon, fatalement, c'est pas un coup à crâmer une ville en moins de deux; avec un bon pompage, la longueur du jet fait à tout casser la longueur du Bahamut lui-même. La tête est orientable à 90° à gauche et à droite. Il faut faire attention aux retours de flammes bien entendu, en particulier par vent de face ou si le navire se déplace. Et parce qu'éjecter des belles flammes, ça consomme beaucoup de gaz, on tombe assez vite à court.
- Des engins de siège construits par la légion sont disposés sur le pont principal. Leur portée est assez réduite, plus que des canons, mais encore une fois, on peut balancer ce qu'on veut.
- Les déjections du Dragon : un système de bombardier un peu particulier. Les latrines de tout le navire sont collectées dans plusieurs cuves au plus profond du navire. Des trappes aménagées permettent l'évacuation massive des déjections de tout l'équipage. Bien sûr, les gens ne défèquent pas sur commande, et les réserves sont donc là encore assez limitées. Quand Braff est à bord, ça se remplit beaucoup plus vite bien entendu.
- Les serres du Dragon : des harpons sont répartis tout autour du bateau. Leur portée est de 300 mètres. Ils servent principalement à rapprocher des navires qui voudraient rester à distance. Éventuellement à trouer quelqu'un qui se ferait transpercer, mais c'est pas le but premier...
Santé à bord : Néant... Tout au plus, il peut y avoir quelques médecins de passage à bord. Mais il n'y a pas d'infirmerie ou truc du genre. À l'Union Révolutionnaire, on est pas des lopettes.
Restauration : Quelques cuisines, avec des cuistots qui tiennent souvent plus du boucher que du chef-coq... Rien de dramatiquement compliqué, mais de quoi nourrir le paquet de bouches qui peuvent se caser sur le navire. Avec les soutes qui vont avec...
Divertissement : Il y a toujours bien un scientifique pas très loin pour se foutre de sa gueule. Sinon, quand tout va bien (autant dire assez souvent, c'est pas tous les jours qu'on croise des navires hostiles dans les airs), il y a encore bien des fêtes improvisées dans les cantines. Enfin, c'est un navire quoi.
Que seriez vous prêt à payer // faire pour l'acquérir ? Mmmmmh... Vu le projet, j'vais dire que c'est un peu un but de toute la section scientifique de construire l'histoire. Donc un paquet de quêtes/RP, respectivement pour trouver des charpentiers/ingénieurs à sympathie révo et un coin où le construire, pour trouver des mécanos de base pour la maintenance et le fonctionnement, pour construire le système d'hélices et les machines à vapeur qui vont avec, pour les compresseurs et le système de pet, pour la conception globale, pour le souffle du dragon, pour la recherche du gaz ultra-léger. J'pense que c'est l'principal des trucs qui demanderaient d'être explicités iRP. Après, j'imagine que dans une certaines mesures les quêtes remplacent une partie du fric à débourser, dans le sens où on achète rien de préfabriqué, on fera tout nous-même... Mais j'suppose qu'il faudra quand même un peu de fric, ne fut-ce que pour les matières premières. Pas la moindre idée de combien par contre.
Après, tout ça est négociable... On est pas à 3 RPs ou 5M près, j'pense.
Points faibles de l'arme : J'pense qu'ils sont explicités au fur et à mesure, mais globalement, le temps pour recharger le pet nécessaire au décollage du monstre, les retours de flammes, l'étanchéité de certains soutes (celle au gaz ultra-léger et celle pour le souffle principalement), la relative lenteur, Braff peut-être considéré comme un point faible je pense, en même temps qu'un atout...
Comme le sujet de la demande est un navire, c'est un peu fait sur le modèle des fiches de navires. J'espère que ça vous va. J'pense que finalement, tout ce qu'il vous faut est décrit (et sans doute plus encore).
- Spoiler:
- Whoa-ho-ho
Are you as big as me?
Whoa-ho-ho-ho
Way too big to see
Whoa-ho-ho-ho-ho
Bahamut he goes so slow
Whoa-ho-ho-ho
Too big a place to go
Nom du vaisseau : Le Bahamut.
Taille du navire : Le Bahamut est un navire assez monstrueux. Construit sur les plans du Leviathan, les égos surdimensionnés de certains chefs de l'Union Révolutionnaire ont poussé les ingénieurs et concepteurs à revoir les dimensions à la hausse. C'est donc un véritable mastodonte pouvant accueillir à la louche 1500 personnes. Les révolutionnaires ayant un facteur de compressibilité assez important, on peut en caser 2000 en poussant un peu.
La contrepartie de la taille gigantesque, c'est qu'il faut bien entendu entretenir et faire fonctionner toute cette machinerie. Une petite centaine d'ingénieurs et scientifiques se relaie pour veiller au grain sur toutes les inventions et technologies de pointe qui s'y trouvent. En plus de cela, pas loin de 400 mécaniciens, ouvriers, charpentiers, et autres navigateurs s'occupent de la maintenance et du fonctionnement du navire.
La taille titanesque de l'engin lui permet d'avoir d'immenses soutes, des quartiers d'habitation sur plusieurs étages de la structure, plusieurs réfectoires, une quinzaine de salle des machines... Mais il ne reste toujours qu'une seule salle de commandement. La communication avec les salles des machines se fait par Den Den Mushis pour éviter que les transimissions ne durent plus d'un quart d'heure. On trouve enfin un sale de réunion où se trouve simplement une table ronde et six sièges massifs.
Il reste à signaler que, l'Union comptant dans ses rangs quelques personnes de grande taille, voire de très grande taille, certaines parties du navire sont aménagées spécialement pour ceux-ci.
Système de navigation : La machinerie est divisée en deux parties.
- Navigation aérienne : Plusieurs systèmes sont mis-en-place pour permettre à cette mini-ville de voler.
- La soute magique : la plus grandes des soutes est étanche. Elle contient un gaz extrêmement léger qui permet non pas de flotter en l'air, ce qui empêcherait de redescendre autrement qu'en relâchant le gaz. Ce gaz permet simplement de diminuer la masse volumique du navire et de la rendre proche de celle de l'air au niveau de la mer. Ainsi, une légère poussée vers le haut suffit alors à faire décoler le mastodonte.
- Les hélices : technologie empruntée au Leviathan et décrite en détail dans les plans obtenus par l'Union Révolutionnaire, ces hélices permettent d'exercer la poussée suffisante pour faire voler le Bahamut. Le set comprend deux hélices principales gigantesque, et trois fois deux hélices secondaires qui assurent une meilleur stabilité à l'ensemble et facilitent les manœuvres. Elles sont toutes orientables. Les hélices sont actionnées par des machines à vapeurs qui crachent une fumée noire visible de loin si le Bahamut vole trop bas ou s'il fait un temps impécable. En addition de ces systèmes typiquement empruntés au Leviathan, les hélices, en tournant, peuvent charger des batteries électriques qui alimentent les endroits qui en ont le plus besoin.
- Les ailes du Dragon : ce sont les seules voiles que possède le bateau. Elles sont positionées bas sur les côtés. Elles sont renforcées d'un armarture solide. Le but de ces ailes ne sont pas à proprement parler de permettre le vol. En effet, elles sont orientables pour augmenter ou diminuer la portance, mais elles ont une surface trop peu importante pour lever le navire à elles seules. Elles permettent seulement de planer sur des distances raisonnables sans devoir maintenir la machinerie en route. Le Bahamut perd alors progressivement de l'altitude. C'est dans ce mode qu'il amerrit.
- Navigation classique : le navire n'a pas de voile qui lui permette d'avancer lorsqu'il navigue sur la mer. Il ne possède pas non plus de rames. Le seul moyen de propulsion qu'il lui reste, c'est donc les hélices. Les ingénieurs et scientifiques qui ont conçu analysé le système du Léviathan sont arrivés à la conclusion que ce fonctionne dans un fluide, l'air, peut fonctionner dans un autre fluide, l'eau. Les machines à vapeur sont alors en sur-régime et pour qu'elles puissent continuer à fonctionner il faut un ingénieux système de refroidissement qui utilise la vitesse du Bahamut pour faire circuler de l'eau dans des canalisations qui traversent le navire de bout en bout. La vitesse dans ce mode est nettement plus lente. La stabilité en combat est cependant bien meilleur sur l'eau, et ce mode de navigation reste pratique pour faire monter ou descendre des passagers.
- Navigation mixte :
- Le pet du Dragon : associé aux machines à vapeur se trouvent des compresseurs. Ceux-ci lorsqu'ils sont activés compressent le gaz dans une soute étanche à l'arrière du navire. Le gaz peut ensuite être relâché brutalement en propulsant le navire droit en avant à toute vitesse. Le système met cinq minutes à se charger et les machines à vapeur doivent ensuite être éteintes pendant une heure pour récupérer de l'effort. Il est aussi nécessaire de découpler ces mêmes machines des hélices avant de relâcher le gaz, sans quoi les hélices qui tournent alors à toute vitesse risquent d'exploser les courroies qui les lient aux machines, et d'exploser dans le même temps les machines.
Le pet du Dragon fonctionne également comme un démarreur: il permet de donner une vitesse initiale suffisante et nécessaire pour le décollage. Sans ce mécanisme, pas de décollage et le navire reste sur l'eau.
Système d'armement :
- Le pet-gaz : basé sur le système de pet du Dragon. En tapant dans la soute où on compresse l'air des matières gazeuses ou liquides (qui se feraient vaporiser par l'expulsion), on peut éjecter diverses choses sur d'éventuels poursuivants. Par exemple, du gaz inflammable (qu'on enflammerait après l'avoir expulsé, avec le risque d'un peu cramer ses arrière dans l'histoire... Les risques du métier...), des oeufs pourris pour leurs gaz, de la vapeur d'eau qu'on aurait fait bouillir pour ébouillanter, etc. Le principe est simple, ne requiert pas d'amélioration particulière, juste d'avoir des trucs expulsables de cette manière.
- Le soufle du Dragon : de la gueule du dragon sort un embout de tuyau relié à une cuve de gaz. Des gars peuvent pomper dans les soutes pour faire sortir le gaz, et en l'emflammant, ça fait une projection de flammes. Bon, fatalement, c'est pas un coup à crâmer une ville en moins de deux; avec un bon pompage, la longueur du jet fait à tout casser la longueur du Bahamut lui-même. La tête est orientable à 90° à gauche et à droite. Il faut faire attention aux retours de flammes bien entendu, en particulier par vent de face ou si le navire se déplace. Et parce qu'éjecter des belles flammes, ça consomme beaucoup de gaz, on tombe assez vite à court.
- Des engins de siège construits par la légion sont disposés sur le pont principal. Leur portée est assez réduite, plus que des canons, mais encore une fois, on peut balancer ce qu'on veut.
- Les déjections du Dragon : un système de bombardier un peu particulier. Les latrines de tout le navire sont collectées dans plusieurs cuves au plus profond du navire. Des trappes aménagées permettent l'évacuation massive des déjections de tout l'équipage. Bien sûr, les gens ne défèquent pas sur commande, et les réserves sont donc là encore assez limitées. Quand Braff est à bord, ça se remplit beaucoup plus vite bien entendu.
- Les serres du Dragon : des harpons sont répartis tout autour du bateau. Leur portée est de 300 mètres. Ils servent principalement à rapprocher des navires qui voudraient rester à distance. Éventuellement à trouer quelqu'un qui se ferait transpercer, mais c'est pas le but premier...
Santé à bord : Néant... Tout au plus, il peut y avoir quelques médecins de passage à bord. Mais il n'y a pas d'infirmerie ou truc du genre. À l'Union Révolutionnaire, on est pas des lopettes.
Restauration : Quelques cuisines, avec des cuistots qui tiennent souvent plus du boucher que du chef-coq... Rien de dramatiquement compliqué, mais de quoi nourrir le paquet de bouches qui peuvent se caser sur le navire. Avec les soutes qui vont avec...
Divertissement : Il y a toujours bien un scientifique pas très loin pour se foutre de sa gueule. Sinon, quand tout va bien (autant dire assez souvent, c'est pas tous les jours qu'on croise des navires hostiles dans les airs), il y a encore bien des fêtes improvisées dans les cantines. Enfin, c'est un navire quoi.
Que seriez vous prêt à payer // faire pour l'acquérir ? Mmmmmh... Vu le projet, j'vais dire que c'est un peu un but de toute la section scientifique de construire l'histoire. Donc un paquet de quêtes/RP, respectivement pour trouver des charpentiers/ingénieurs à sympathie révo et un coin où le construire, pour trouver des mécanos de base pour la maintenance et le fonctionnement, pour construire le système d'hélices et les machines à vapeur qui vont avec, pour les compresseurs et le système de pet, pour la conception globale, pour le souffle du dragon, pour la recherche du gaz ultra-léger. J'pense que c'est l'principal des trucs qui demanderaient d'être explicités iRP. Après, j'imagine que dans une certaines mesures les quêtes remplacent une partie du fric à débourser, dans le sens où on achète rien de préfabriqué, on fera tout nous-même... Mais j'suppose qu'il faudra quand même un peu de fric, ne fut-ce que pour les matières premières. Pas la moindre idée de combien par contre.
Après, tout ça est négociable... On est pas à 3 RPs ou 5M près, j'pense.
Points faibles de l'arme : J'pense qu'ils sont explicités au fur et à mesure, mais globalement, le temps pour recharger le pet nécessaire au décollage du monstre, les retours de flammes, l'étanchéité de certains soutes (celle au gaz ultra-léger et celle pour le souffle principalement), la relative lenteur, Braff peut-être considéré comme un point faible je pense, en même temps qu'un atout...