Chaque voyage se ressemblait … Du moins c’était ce que je pensais jusqu’à ce que l’on navigue vraiment sur Grand Line, et ce pendant plusieurs semaines. Je ne savais guère à quoi on devait s’attendre, certes, j’avais entendu dire que le climat était plutôt très particulier sur cette mer, mais je ne m’attendais pas à cela. Sur une heure de temps on était passé d’une trentaine de degrés à une chute de grêlons d’une taille environnant mon poing ayant sonné plusieurs marins. Et ce, alors que le ciel ne comportait pas le moindre nuage. Cela n’avait aucun sens. De loin, j’avais pu voir une île qui semblait drapée dans un voile de pluie constante, en effet, tout autour de l’île, il y avait ce voile étrange, il nous avait fallu longtemps pour la perdre de vue et j’avais eu tout le temps d’observer que malgré le vent qui était assez fort, le nuage au-dessus de cette île ne bougeait pas d’un poil.
Était-ce vraiment possible ? Comment il pouvait y avoir autant d’anormalités sur une mer ? Sans doute devrais-je m’adresser à la Brigade Scientifique pour avoir réponse à mes questions, mais pour l’instant, je ne devais pas me concentrer sur ce problème. Nous avions été briefés très précisément sur la situation à la Gueule de Requin. On nous expliqua en long et en large la trahison de l’Amiral Maurice, les forces présumées en présence et surtout le pouvoir assez gênant de cet homme qui semblait être renfermé dans un cocon qu’il ne quittait visiblement que très peu voir même jamais. On nous expliqua que les précédentes attaques portées contre l’île n’avaient pas été très performante pour cause de la quantité de protections qui existaient autour et surtout de l’impossibilité pour les navires de traverser les boucliers créés par Maurice. Je ne pensais pas avoir tout saisi de l’explication, mais je ne me tracassais enfaite pas des masses plus que cela, je considérais toutes ces attaques plutôt comme étant ridicules, au bout de la douzième fois, il fallait bien comprendre qu’un changement de tactique s’imposait et qu’une attaque frontale ne servait à rien.
Pourtant ici, je n’y allais pas avec pour objectif de faire dans la diplomatie, en effet, j’étais en désaccord total avec les méthodes de la Révolution, leurs idéaux je les respectais et peut-être même je pouvais avouer que j’y adhérais, mais ils ne s’y prenaient pas bien. Ils condamnaient la violence du Gouvernement Mondial tout en étant tout aussi violent voir plus via des attaques éclairs ou des attentats, ou des projets à plus grande échelle comme ici la prise d’une île dont ils ont fait un réel abris pour tous les rebus de la société. Renverser un système violent par de la violence était inutile, c’était le principe du cercle vicieux, comment pouvait-on être naïf au point de croire qu’ils renonceraient à leurs actes violents après avoir constaté qu’ils pouvaient obtenir ce qu’ils voulaient grâce à ce procédé ? Il arrive que des bourreaux soient touchés par la lumière divine et deviennent des gens bien dans leur botte, mais cela ne pouvait être comparable, ici on parlait de milliers de personnes qui combattaient, peut-être que certaines abandonneraient les armes après la victoire. Mais comment peut-on renoncer à plus de pouvoir ? C’était dans la nature humaine, la volonté d’en vouloir toujours plus et d’être prêt à tout pour cette fin. Sans doute était-ce pour cela que j’avais tout de même préféré la Marine, et aussi parce que j’étais né entre guillemets dans le Gouvernement Mondial. Je ne pouvais trahir mes géniteurs ni ceux qui avaient placés, même très peu, d’espoirs en moi.
Je secouais la tête, accoudés au bastingage du navire, j’observais la mer qui semblait pour le moment calme, bien que je savais à présent que ce n’était une valeur sûre sur Grand Line, cette mer était aléatoire, indomptable et je comprenais mieux pourquoi les Pirates voulaient absolument venir ici. Cela devait être grisant de pouvoir se dire qu’en plus de parvenir à échapper au Gouvernement Mondial, aux chasseurs de primes, on parvenait aussi à survivre à cette mer qui réservait toujours bien des surprises. Une vie de liberté, à se faire courir après dans un avenir toujours plus incertain au fur et à mesure que l’on s’enfonce sur cette mer, oui, je pouvais comprendre l’idéal des jeunes lorsqu’ils voyaient un drapeau pirate, partir à l’aventure, oui, on peut considérer qu’ils vivent une belle vie, s’ils n’étaient pas des meurtriers, voleurs, tout simplement des criminels. Certains équipages sont certes composés de types biens, qui doivent tout de même voler pour vivre, mais qui ne tuent pas ou ne détruisent pas inutilement, mais c’est en réalité rarement le cas. Pour cela que nous faisons la chasse autant aux pirates qu’aux révolutionnaires, pour cela que l’on ne peut accepter qu’une île qui appartenait au Gouvernement Mondial soit devenu le repère d’une bande de scélérats.
J’avais remarqué plusieurs hommes, d’une puissance sans doute supérieure à la mienne, mais il n’y en avait tout de même que très peu, peut-être une poignée, voir un peu plus. C’était étrange, comme si la Contre-Amiral ne voulait en réalité que de chair à canon, mais d’après le briefing, il semblait qu’elle ait encore pas mal d’hommes à elle sur sa base, nous n’étions après tout que trois navires de guerre venant compléter son équipe qui était beaucoup plus étendue. Nous allions donc être mélangés avec des hommes qui avaient déjà vécus un combat, voire plusieurs pour beaucoup. Sa garnison était plutôt composée de vétérans. Et nous ? Que venions-nous faire ici ? Je me le demandais bien, pour beaucoup, on était des bleus, on n’avait presque aucune expérience. Pourquoi ne lui a-t-on pas donné un détachement de Navarone ou d’une autre base de la Marine sur Grand Line ? Je ne comprenais pas, bien qu’en moi, je supposais que nous n’allions juste servir de chair à canon, ou alors que les hautes autorités avaient supposés qu’il valait mieux ne plus risquer trop d’hommes de valeurs dans cette entreprise. Pourtant, si c’était le cas, elle aurait été relevée de ses fonctions depuis longtemps.
« ALLEZ TOUT LE MONDE DESCENDS »
Le cri donné trouva écho sur les deux autres bateaux nous accompagnant tandis que je sentais le petit choc du navire touchant délicatement le port, nous remballions vite fait toutes nos affaires dans nos paquetages avant de monter sur le pont et d’observer la base temporaire de la Gueule de Requin. C’était quelque chose d’assez organisé, bien que l’on pouvait constater qu’elle avait tout de même pas mal vécu et subis peut-être même quelques escarmouches, pourtant, nous étions là, et on pouvait voir, depuis le pont, la Contre-Amiral nous attendre de pied ferme, armée de son gigantesque lance-pierre. Elle était tout de même assez imposante et semblait excédée, nous hurlant dessus des ordres pour que l’on descende immédiatement et sans faire de bordel. Une fois que l’on fut tous mis en ligne et au garde-à-vous devant elle, elle ne prit même pas la peine de nous mettre au repos et pris la parole, ou plutôt, gueula sur nous.
« Bon ! Vous ne tombez plutôt pas au bon moment ! Surtout une bande de misérables marines venant des Blues ! Je ne vous ai jamais voulu, on m’a imposé votre présence ! Je demandais un corps d’élite, pas des gamins sans expérience ! Ceux qui sont de la Division Ban, un pas en avant, que je vois les moins pitoyables. Je fis un pas en avant comme d’autres, mais nous n’étions pas nombreux. Ouais, tous les autres, vous n’êtes que de la raclure sous mes chaussures, et ne vous étouffez pas les élites là, parce que vous éclaboussez juste le haut de mes bottes vous. Mais peut-être que vous parviendrez à survivre ici, bien que j’en doute. C’est pas les Blues, les vacances c’est finis, j’sais pas pourquoi on me demande de vous prendre, mais pour beaucoup, n’espérez pas revoir votre petit coin pénard, car si vous y retournez, ce seront les deux pieds en avant. Bon, vous avez du vous aussi entendre que j’étais toujours à l’écoute d’une bonne idée. Y en a un qui est prêt à ne pas me faire perdre mon temps ? Ne soyez pas timide ! Je savais bien que je faisais une connerie, mais je dressais ma main, attendant qu’elle me donne la parole. En un mot alors ! Et vite ! »
En un mot ?! C’était assez court pour donner mon point de vue sur la situation, je savais bien que mon avis n’était très certainement pas omniscient et qu’il n’était pas forcément bon, mais vu qu’elle proposait, autant oser !
« Diplomatie »
Tout à coup, les activités dans la base cessèrent, les vétérans me regardant les yeux ronds, KandyZiva avait la mâchoire inférieure qui pendait légèrement, avant que ses yeux ne se remplissent de rage, qu’elle fasse un pas et qu’elle abatte un coup de son lance-pierre géant sur ma tête, je sentis jusqu’à mes os vibrer tandis que mes genoux fléchissaient et que je tombais à genoux devant elle dans la poussière qui m’horrifiait déjà, tentant de me relever, elle maintint la pression sur ma tête afin que je m’abaisse encore plus. Que je me retrouve face contre terre.
« Diplomatie ? DIPLOMATIE ?! Tu as osé prononcer ce mot ! On ne fait pas preuve de diplomatie avec ce Maurice, je n’ai pas subis tous ces échecs pour trouver un accord maintenant ! Je ne laisserais jamais cette île à la révolution tête d’enclume ! Jamais ! Mais vu que tu es plein d’idéaux, tu vas me suivre, je pense que tu n’es pas stupide, tu me suivras et tu comprendras, pour prouver que je ne me contente pas de châtier sans raison ! Tu comprendras pourquoi je ne peux pas supporter l’idée de discuter avec eux ! »
Et c’est ce qu’elle fit, elle me prit avec elle partout, me laissant me faire une idée, me demandant parfois mon avis, et au fur et à mesure, je me prenais de moins en moins de coups de lance-pierre et elle semblait de plus en plus agacée par mon attitude non-violente.
« Tu me suivras aussi pour l’entrevue avec le contre-amiral Arashibourei, parce que oui, les Sea Wolf passent ici, et ils voudront sans doute faire encore les malins à essayer de régler tous les problèmes des autres ! »
Était-ce vraiment possible ? Comment il pouvait y avoir autant d’anormalités sur une mer ? Sans doute devrais-je m’adresser à la Brigade Scientifique pour avoir réponse à mes questions, mais pour l’instant, je ne devais pas me concentrer sur ce problème. Nous avions été briefés très précisément sur la situation à la Gueule de Requin. On nous expliqua en long et en large la trahison de l’Amiral Maurice, les forces présumées en présence et surtout le pouvoir assez gênant de cet homme qui semblait être renfermé dans un cocon qu’il ne quittait visiblement que très peu voir même jamais. On nous expliqua que les précédentes attaques portées contre l’île n’avaient pas été très performante pour cause de la quantité de protections qui existaient autour et surtout de l’impossibilité pour les navires de traverser les boucliers créés par Maurice. Je ne pensais pas avoir tout saisi de l’explication, mais je ne me tracassais enfaite pas des masses plus que cela, je considérais toutes ces attaques plutôt comme étant ridicules, au bout de la douzième fois, il fallait bien comprendre qu’un changement de tactique s’imposait et qu’une attaque frontale ne servait à rien.
Pourtant ici, je n’y allais pas avec pour objectif de faire dans la diplomatie, en effet, j’étais en désaccord total avec les méthodes de la Révolution, leurs idéaux je les respectais et peut-être même je pouvais avouer que j’y adhérais, mais ils ne s’y prenaient pas bien. Ils condamnaient la violence du Gouvernement Mondial tout en étant tout aussi violent voir plus via des attaques éclairs ou des attentats, ou des projets à plus grande échelle comme ici la prise d’une île dont ils ont fait un réel abris pour tous les rebus de la société. Renverser un système violent par de la violence était inutile, c’était le principe du cercle vicieux, comment pouvait-on être naïf au point de croire qu’ils renonceraient à leurs actes violents après avoir constaté qu’ils pouvaient obtenir ce qu’ils voulaient grâce à ce procédé ? Il arrive que des bourreaux soient touchés par la lumière divine et deviennent des gens bien dans leur botte, mais cela ne pouvait être comparable, ici on parlait de milliers de personnes qui combattaient, peut-être que certaines abandonneraient les armes après la victoire. Mais comment peut-on renoncer à plus de pouvoir ? C’était dans la nature humaine, la volonté d’en vouloir toujours plus et d’être prêt à tout pour cette fin. Sans doute était-ce pour cela que j’avais tout de même préféré la Marine, et aussi parce que j’étais né entre guillemets dans le Gouvernement Mondial. Je ne pouvais trahir mes géniteurs ni ceux qui avaient placés, même très peu, d’espoirs en moi.
Je secouais la tête, accoudés au bastingage du navire, j’observais la mer qui semblait pour le moment calme, bien que je savais à présent que ce n’était une valeur sûre sur Grand Line, cette mer était aléatoire, indomptable et je comprenais mieux pourquoi les Pirates voulaient absolument venir ici. Cela devait être grisant de pouvoir se dire qu’en plus de parvenir à échapper au Gouvernement Mondial, aux chasseurs de primes, on parvenait aussi à survivre à cette mer qui réservait toujours bien des surprises. Une vie de liberté, à se faire courir après dans un avenir toujours plus incertain au fur et à mesure que l’on s’enfonce sur cette mer, oui, je pouvais comprendre l’idéal des jeunes lorsqu’ils voyaient un drapeau pirate, partir à l’aventure, oui, on peut considérer qu’ils vivent une belle vie, s’ils n’étaient pas des meurtriers, voleurs, tout simplement des criminels. Certains équipages sont certes composés de types biens, qui doivent tout de même voler pour vivre, mais qui ne tuent pas ou ne détruisent pas inutilement, mais c’est en réalité rarement le cas. Pour cela que nous faisons la chasse autant aux pirates qu’aux révolutionnaires, pour cela que l’on ne peut accepter qu’une île qui appartenait au Gouvernement Mondial soit devenu le repère d’une bande de scélérats.
J’avais remarqué plusieurs hommes, d’une puissance sans doute supérieure à la mienne, mais il n’y en avait tout de même que très peu, peut-être une poignée, voir un peu plus. C’était étrange, comme si la Contre-Amiral ne voulait en réalité que de chair à canon, mais d’après le briefing, il semblait qu’elle ait encore pas mal d’hommes à elle sur sa base, nous n’étions après tout que trois navires de guerre venant compléter son équipe qui était beaucoup plus étendue. Nous allions donc être mélangés avec des hommes qui avaient déjà vécus un combat, voire plusieurs pour beaucoup. Sa garnison était plutôt composée de vétérans. Et nous ? Que venions-nous faire ici ? Je me le demandais bien, pour beaucoup, on était des bleus, on n’avait presque aucune expérience. Pourquoi ne lui a-t-on pas donné un détachement de Navarone ou d’une autre base de la Marine sur Grand Line ? Je ne comprenais pas, bien qu’en moi, je supposais que nous n’allions juste servir de chair à canon, ou alors que les hautes autorités avaient supposés qu’il valait mieux ne plus risquer trop d’hommes de valeurs dans cette entreprise. Pourtant, si c’était le cas, elle aurait été relevée de ses fonctions depuis longtemps.
« ALLEZ TOUT LE MONDE DESCENDS »
Le cri donné trouva écho sur les deux autres bateaux nous accompagnant tandis que je sentais le petit choc du navire touchant délicatement le port, nous remballions vite fait toutes nos affaires dans nos paquetages avant de monter sur le pont et d’observer la base temporaire de la Gueule de Requin. C’était quelque chose d’assez organisé, bien que l’on pouvait constater qu’elle avait tout de même pas mal vécu et subis peut-être même quelques escarmouches, pourtant, nous étions là, et on pouvait voir, depuis le pont, la Contre-Amiral nous attendre de pied ferme, armée de son gigantesque lance-pierre. Elle était tout de même assez imposante et semblait excédée, nous hurlant dessus des ordres pour que l’on descende immédiatement et sans faire de bordel. Une fois que l’on fut tous mis en ligne et au garde-à-vous devant elle, elle ne prit même pas la peine de nous mettre au repos et pris la parole, ou plutôt, gueula sur nous.
« Bon ! Vous ne tombez plutôt pas au bon moment ! Surtout une bande de misérables marines venant des Blues ! Je ne vous ai jamais voulu, on m’a imposé votre présence ! Je demandais un corps d’élite, pas des gamins sans expérience ! Ceux qui sont de la Division Ban, un pas en avant, que je vois les moins pitoyables. Je fis un pas en avant comme d’autres, mais nous n’étions pas nombreux. Ouais, tous les autres, vous n’êtes que de la raclure sous mes chaussures, et ne vous étouffez pas les élites là, parce que vous éclaboussez juste le haut de mes bottes vous. Mais peut-être que vous parviendrez à survivre ici, bien que j’en doute. C’est pas les Blues, les vacances c’est finis, j’sais pas pourquoi on me demande de vous prendre, mais pour beaucoup, n’espérez pas revoir votre petit coin pénard, car si vous y retournez, ce seront les deux pieds en avant. Bon, vous avez du vous aussi entendre que j’étais toujours à l’écoute d’une bonne idée. Y en a un qui est prêt à ne pas me faire perdre mon temps ? Ne soyez pas timide ! Je savais bien que je faisais une connerie, mais je dressais ma main, attendant qu’elle me donne la parole. En un mot alors ! Et vite ! »
En un mot ?! C’était assez court pour donner mon point de vue sur la situation, je savais bien que mon avis n’était très certainement pas omniscient et qu’il n’était pas forcément bon, mais vu qu’elle proposait, autant oser !
« Diplomatie »
Tout à coup, les activités dans la base cessèrent, les vétérans me regardant les yeux ronds, KandyZiva avait la mâchoire inférieure qui pendait légèrement, avant que ses yeux ne se remplissent de rage, qu’elle fasse un pas et qu’elle abatte un coup de son lance-pierre géant sur ma tête, je sentis jusqu’à mes os vibrer tandis que mes genoux fléchissaient et que je tombais à genoux devant elle dans la poussière qui m’horrifiait déjà, tentant de me relever, elle maintint la pression sur ma tête afin que je m’abaisse encore plus. Que je me retrouve face contre terre.
« Diplomatie ? DIPLOMATIE ?! Tu as osé prononcer ce mot ! On ne fait pas preuve de diplomatie avec ce Maurice, je n’ai pas subis tous ces échecs pour trouver un accord maintenant ! Je ne laisserais jamais cette île à la révolution tête d’enclume ! Jamais ! Mais vu que tu es plein d’idéaux, tu vas me suivre, je pense que tu n’es pas stupide, tu me suivras et tu comprendras, pour prouver que je ne me contente pas de châtier sans raison ! Tu comprendras pourquoi je ne peux pas supporter l’idée de discuter avec eux ! »
Et c’est ce qu’elle fit, elle me prit avec elle partout, me laissant me faire une idée, me demandant parfois mon avis, et au fur et à mesure, je me prenais de moins en moins de coups de lance-pierre et elle semblait de plus en plus agacée par mon attitude non-violente.
« Tu me suivras aussi pour l’entrevue avec le contre-amiral Arashibourei, parce que oui, les Sea Wolf passent ici, et ils voudront sans doute faire encore les malins à essayer de régler tous les problèmes des autres ! »