SANTAMAN
Pseudonyme : Santaman, le héros des conduits de cheminées Age: 75 binettes Sexe : H Race : H Rang : / Métier : Robin des Bois à sens unique/ Maître charpentier Groupe : Civil à revirement rapide Déjà un équipage : / But : Dérober aux riches pour offrir à soi Fruit du démon ou Aptitude pour la suite : Le fruit du coffre Équipements : Un legging rouge de folie, un bonnet, un sac en toile de jute et du papier cadeau. Codes du règlement (2) : Ce fusil est mon fusil… etc Parrain : / |
>> Physique Nous y voilà ! Soixante-quinze piges que notre homme attend ça ! Qu’enfin un pauvre gusse au regard paumé et aux doigts variqueux se mette à écrire quelques lignes sur des rides qui s’affrontent sur un visage vieillissant. Profitons ensemble de cet instant pour jouir d’un tilleul ou toutes autres boissons « pisse-mémère », avant d’être pris dans l’enchaînement des descriptions, narrations, fabulations et conclusions de la vie d’un homme que nul ici n’a réellement choisi de lire. Du haut du crâne aux bouts des orteils, voilà comme il est coutume de décrire une personne. Soit. C’est donc par son système capillaire que nous entamerons les commodités (les toilettes sont au fond à gauche d’ailleurs), une implantation de cheveux que l’on nomme « boursière », ça monte, puis redescend et remonte… Tel un M blanchâtre plafonnant un visage rosâtre. Ses tifs tenus en arrière et parfaitement brossés, regroupés à la sortie en un chignon nippon ni mauvais. Le visage, sur lequel on va s’attarder un chouia dans un instant, est entouré de longues pattes couleur neige, ainsi que d’un bouc qui lui tombe sur le buste. La pilosité faciale de notre homme ne cache rien de sa superbe. Des yeux verts, perçant et froids, gagnent en beauté une nouvelle fois grâce aux poils ébouriffés et batailleurs de ses sourcils grisâtre. Son nez, loin d’être un pic, un cap ou une péninsule, est plutôt une fine lame olfactive. Son cou de taureau descend sur un tronc gaillard et boisé, nombre de retraités écarteraient encore les cuisses des filles de bonnes compagnies s’ils pouvaient se vanter d’une pareille silhouette. Les quelques trentaines de cicatrices découpant son dos transpercent l’invulnérabilité que tous pourraient se figurer, mais le dos n’est que l’envers d’un homme. Ses cuisses, ses mollets et ses pieds complètent ce don que Gaïa offre à peu d’anciens. Finalement, c’est un double mètre herculéen et les quatre-vingt-dix kilos qui composent le héros que tous (personne) (n’) attendaient. En parlant de héros, c’est dans une superbe miquette rouge, au bonnet à pompon blanc, aux bottes de cuirs noirs et aux lunettes vertes, qu’évoluera la seconde facette du bonhomme. C’est tout, vous ferez avec. >> Psychologie Alors oui, on peut entendre déjà les clameurs d’un oratoire peu enjoué devant l’arrivé d’un énième vieillard dans le monde zébulonesque de l’aventure. Surtout lorsque celui-ci présente bien des attraits physiques présageant d’un caractère trop parfait pour sentir vrai. Allons, comme tous les héros Marvel, du nom d’un dessinateur de West Blue spécialisé dans les fabulations, deux facettes bien distinctes forment la personnalité de notre gusse. Face A, disons la partie visible de l’iceberg qui devrez-vous immerger tout de même, il demeure un grand calme et une bienveillance infini et cela même envers celui qui tient le fouet. Derrière ses lunettes, il se concentre sur la trop grande rapidité avec laquelle le monde tourne, que les enfants grandissent et que les hommes tombent. L’effort est une qualité que sa vie lui a sans cesse permis de travailler, mais que vaut l’effort de toute une vie, si elle n’est pas rentabilisée un jour ? A quoi bon être le plus laborieux du cimetière ? Ce qui va nous lancer sur la face B, l’insondable esprit d’un vieux qui a trop travaillé pour les fumistes et qui désire rigoler dans l’enfumage. Santaman est ce genre de personne qui décide un jour de prendre sa vie en mains et de prendre ce qui est à la portée de celles-ci. Une folie de jeunesse dans un costume de bienfaiteur, le rêve du père noël n’est pas mort, celui qui apporte des cadeaux aux enfants existe bel et bien ! Seulement, les cadeaux il se les met dans les poches en allant les chercher là où il ne faut pas. Santaman est un casse-cou, comique, à la poursuite des premières utopies qu’un crieur de rue pourrait inventer, un gaffeur éternel et un curieux incurable. D’être le plus laborieux du cimetière, Santaman sera l’être au cercueil le plus spacieux. Et bon dieu, on verra bien ce qui rentrera dedans ! >> Biographie Evidemment, on ne créait pas un super-héros comme ça ! Il faut du fond au personnage ! Vous vous souvenez de Marvel, ce mec de West Blue ? Eh bien, volons-lui ses idées pour « faire-du-héros-facile ». Tequila Wolf, 1553. Un bon héros, il faut qu’il soit ORPHELIN Le vent froid de l’île aux esclaves du gouvernement sifflait dans les oreilles de la vieille femme qui poussait misérablement le bois foncé d’une pauvre chaumière. Le grincement sinistre figea les occupants de la maison de fortune qui se réchauffaient en masse devant un feu de cheminée salvateur. Ses yeux étaient cachés d’un ruban noir et c’est un enfant qu’elle tenait par la main pour tout baguage. Le gosse était recouvert de neige et transi par le froid, elle posa ses doigts sur sa tignasse pour en dégager le givre et en découvrir des cheveux blancs. La porte claqua et replongea l’assemblé dans un silence faiblement perforé par le sifflement sauvage du vent, les lueurs des bougies et du feu faisaient danser les ombres sur les lattes défoncées du squatte. « Je l’ai trouvé le long de la baie… » « Non ! Il n’y a déjà pas assez pour tous ici ! » « Et alors quoi ?! On le jette en pâture aux gouvernementaux ? » « De toutes manières, le résultat sera le même, il construira ce foutu pont comme nous tous ! » « … » « Soit… Mais cachez-le, ils ne doivent pas le trouver avant qu’il soit sur pied… Il en mourrait. » L’un des hommes autour du foyer se leva et prit une couverture dont il enroba le mioche, d’autres firent s’assoir la vieille sur une chaise branlante. La nuit entière servit à remettre l’enfant de son hypothermie, mais il fallut une semaine entière pour le curer de son mal. Plusieurs jours où il fallut le cacher entre le gros tonneau de sel et le tas de linges mités, le jeune albinos souffrait dans ses cauchemars comme si les piques du diable entamaient sa peau et son esprit. Un matin, le cortège de travailleurs se fit envoyer au boulot par une troupe de soldats et une tournée d’inspection surprise délogea le jeune malade qui ronflait derrière son tonneau. « Préviens le capitaine, il y a un travailleur de plus sur le Sept… » C’est ainsi que le jeune inconnu aux tifs neigeux se fit enrôler sans plus de questionnements dans les constructions quasi doublement centenaire des ponts de Tequila Wolf, un enfant parmi les 24 000 travailleurs renégats dominés par le gouvernement mondial. Un bon héros, il faut qu’il ait [size=18]UNE ENFANCE TRISTE Il est bon de savoir que l’île était placée sous la gérance du gouvernement et non pas de la Marine, là est la cruciale différence car les hommes officiant sur l’île sont bien souvent de belles salopes. Une détonation fila depuis un poste d’observation haut-perché, un frêle homme aux balafres hautes placées s’écroula le long de la berge dans un sinistre râle. Sur ses habits usés était brodé le chiffre sept en grosse laine noire, le corps tomba quant à lui au milieu du dock huit. Sur l’île gouvernementale d’East Blue, ils en mourraient pour moins que ça. C’était la veille de Noël et le grincement mortifère de l’acier frotté contre un mégaphone sonna la fin de la journée. Un bon héros, il lui faut UN TRAUMATISME Les mains usées par le travail et les habits figés par le froid, la grand-mère qui avait recueillie notre héros rentra dans la demeure en secouant son poncho en laine, les braises du feu crépitaient avec difficulté dans l’âtre de la cheminée. Elle approcha sa main pour juger des braises et souffla profondément afin d’en faire revivre une flamme. Notre tête blanche ouvrit à son tour la porte, il s’empressa d’aller aider la vieille femme à nourrir le feu, mais celle-ci l’en empêcha en lâchant un large sourire. « Non, pas de cheminée ce soir… Aide-moi plutôt à déplacer ses bûches flambantes dans l’ancien poêle » « Et pourquoi grand-mère ? » « Mais comment veux-tu que le père noël puisse passer si l’on allume un feu ? Il aura chaud aux fesses ! Hihi ! » … La miséreuse maison était frappée du vent impérieux de l’île comme jamais, notre jeune ami réparait le vieux rocking chair grinçant du coin de la cheminée, la grosse pendule du coin de la pièce affichait le minuit moins le quart avant le passage au 25 du mois de décembre. Les adultes s’afféraient à dresser un repas digne de ce nom avec des guignons de pains, de la neige dégelée fermentée en guise de boisson et un merveilleux poisson péché illégalement pour plat de résistance. Un massif gaillard au rire sonore racontait une de ses histoires au coin du poêle devant des auditeurs bouche-bée, une jeune s’essayait à la musique grâce à un violon improvisé dans la carcasse d’une chaise cassée. La grand-mère s’était isolée dans un coin avec le plus sérieux des occupants de la chaumière, Philibert, il faisait office de patriarche respecté. Ils chuchotaient tout en lorgnant sur le blanc-tif. « Allons, tu ne vas pas faire ta tête de mule ! C’est pour le gamin ! » « Non grand-mère, je n’irais pas mourir dans cette tempête pour ce gosse ! » « Tu en rajoutes Philibert, c’est Noël je te le rappel ! » « Au diable Noël, il est bientôt minuit, mangeons le poisson comme tous les ans et demain sera une nouvelle journée de travaux forcées ! » Mettant fin au dialogue le puissant homme alla s’assoir autour de la table qui était maintenant dressée. Tout le monde fut ainsi convié à prendre place autour de la grande planche nappée. Soudain, la grosse aiguille pointa le douze de l’horloge et un premier gong tapa dans la vieille baraque. Tout le monde se prit la main, les travailleurs de Tequila étaient peut être de la pire espèce pour certain, il n’en demeurait pas moins que le soir du 24 était l’occasion de faire son acte de foi annuel. Un second gong frappa quand les mains se lâchèrent, disons que c’était de la croyance express et annuel. Le troisième gong fit tomber un nuage de suies dans l’âtre de la cheminée et le quatrième en inonda la pièce, tous les regards étaient dirigés vers le foyer qui perdait peu à peu de sa semence charbonnée. Une guibolle variqueuse s’agita depuis le conduit, un personnage en habit rouge semblait s’être coincé dans celui-ci. Puis, après un combat qui dura l’espace d’un gong, une silhouette toute emplie de suies tomba dans l’âtre. Après une rafale d’éternuement, le grossier personnage en miquette rouge, barbe de travers aux filins d’atatches apparents, au bonnet à pompon noir de charbon et au sac de jute s’avança vers la tablée sous le regard ébahi de l’assemblée. Le neuvième gong raisonna. « Ho Ho HO…Keuf… Joyeux Noël à vous tous ! Keuf… Oh ! Mais en voilà un jeune garçon qui mérite un cadeau ! Ho Ho Ho ! » Notre petit héros avait le regard qui pétillait des plus beaux phares que les mers pouvaient compter. Le bras du ramoneur de Noël plongea dans son sac pour en ressortir un stylo à la plume brillante, le dixième gong tonna. Il retira son bonnet à pompon et en découvrit l’envers, la plume gratta le tissu rouge sous le silence perplexe de tous les adultes et le silence d’or de l’enfant au regard pétillant. La porte de la maison vola en éclat, le vent balaya la table et des soldats en fusil déboulèrent en hurlant. « Il est là capitaine ! J’étais certain d’avoir vu quelqu’un se balader sur les toits ! » « Abattez-le ! » Une salve de détonation perfora le sifflement du vent et la silhouette en tunique rouge s’affala au sol dans une gerbe de sang. Le petit se jeta au sol en hurlant de terreur, la barbe venait se décrocha dans la chute et les fringues en laine rougeâtre se débraillèrent. La grand-mère respirait avec difficulté, dans un sourire aimant, elle tendit le bonnet vers le garçon. Des lettres griffonnées au stylo sublimaient le tissu et formaient un mot, un prénom. KRISTNASKO. « Hihi… Kof kof… Je n’ai pas beaucoup de moyens, mais je t’offre un précieux cadeau… Kof… Cela signifie Noël dans ma langue maternelle… Joyeux Noël Kristnasko !... » La main emplie de tâches de vieillesses tomba au sol et le douzième gong retentit, célébrant le passage au 25 du mois de décembre. Un bon héros, il lui faut UN PASSAGE A VIDE Suite à cet événement, Kris fut renvoyé du chantier sept après avoir molesté mortellement les gardes qui avaient abattu la vieille femme. Il passa du Sept au Cinq, puis après cinq années, il fut transféré au troisième après avoir réalisé l’exploit de finir l’un des ponts en constructions durant la nuit du Noël 1558, trois kilomètres de constructions sous le nez et la barbe des gardes en charge du secteur. Puis les années coulèrent, à une vitesse impressionnante, le jeune devint bien vite adulte, son aptitude à construire des structures avec une agilité rare et une précision somptueuse lui valurent le titre de responsable de chantiers, si bien que le silencieux compère devint en 1600, l’unique esclave gouvernemental en charge du chantier numéro 1. Ce chantier avait pour principal objectif la liaison de Tequila Wolf avec Loguetown. Les brides de ponts s’alignèrent avec rapidité et le froid assassin qui faisait tomber des centaines d’hommes chaque année n’entachèrent jamais la qualité de travail de l’agile Kristnasko, chef du chantier Un. Laborieuse tête blanche au talent gratuit. Un bon héros, il lui faut UN DECLIC 1622, Décembre 24 Kris séchait les vêtements détrempés par la neige qu’il portait depuis le début du mois, caressant sa longue barbe blanche il perdait son regard dans la flambée qui crépitait dans l’âtre. Soudain la porte s’ouvrit, deux hommes portaient un enfant transit par le froid et l’allongèrent sur le tapis face à la cheminée. « Où l’avez-vous trouvé ? » « Près du Dock 7 Kris-SAN ! » Le vieil homme frotta avec énergie le dos du gamin, si bien qu’en une petite minute le gosse avait retrouvé ses couleurs. « Alors petit, que faisais-tu dehors en pleine nuit ? » « Agla…Je…Je cherchais le Père…Agla… Noël… » « LE… Oui… Bien sûr… Ho Ho… » Tout en refaisant son chignon, Kristnasko rigolait bruyamment si bien que chacun se mêla à son fou rire. Le vieillard, loin d’être sénile se leva et, après une tapote sur l’épaule du gamin, il ouvrit la porte. « Bien, je vais chercher du bois. » …. Dix minutes plus tard. Les douze coups de minuit commençaient à troubler la quiétude du chaste cérémonial de Noël. Les baraquements du contour de la cité du centre se mouvementèrent de rumeurs vocales et bientôt des clameurs s’élevèrent chez tous les gouvernementaux de Tequila Wolf. Une fraction de secondes plus tard, c’est des cris de joies et de bonheurs qui s’échappèrent des pauvres maisonnettes de la côte. Puis, la maison où le gamin se réchauffait doucement devant l’âtre grinça de sa toiture et une nuée de cendres tomba dans les flammes dans la stupeur générale. Une énorme carcasse rouge au bonnet à pompon blanc tomba, cul devant, droit dans les flammes. Après s’être frotté l’arrière-train avec vigueur sur le tapis, le drôle prit la parole, un sac de jute à la main. « HO HO HO ! Je comprends mieux pourquoi il vaut mieux ne pas faire de feu… BREF ! Voilà pour vous ! » Sortant de son sac, une ribambelle de victuailles s’aligna sur la grande tablée, saumon, poulet, rhum… Un gueuleton mémorable qui remporta la clameur générale. Puis, s’approchant du gamin, il sortit de son sac un cadeau, emballé dans un vieux journal d’East Blue, le gamin le déballa, les yeux en larme et découvrit un cheval de bois sculpté main que l’on pouvait deviner taillé dans la crosse d’un fusil. Les verres se levèrent bien haut et un hourra général s’éleva. « VIVE… SANTAMAN ! » « HO HO HO !! SANTAMAN ? Voilà un nom qui me sied ! HO HO HO » Soudain la porte s’ouvrit dans un violent fracas, un tourbillon de neiges s’engouffra dans l’interstice et lorsque les soldats rentrèrent tous avaient déjà caché les mets sous la table et l’étranger rougeâtre avait disparu. « Qui est le fieffé imbécile qui s’est amusé à voler le gouvernement ? » Arrivant depuis le froid hivernale à l’entrée de la chaumière, Kris rentra un chargement de bois à la main. « Allons messieurs, nous ne voulons pas de désagréments durant Noël, allez voir du côté des autres Docks. » «… Groumpf !! Si jamais nous trouvons le voleur, c’est tout votre Dock qui prendra monsieur Kris ! » « C’est ça, Joyeux Noël messieurs. » La porte se ferma et les mets retrouvèrent le dessus de la table. Kris fut inviter à table et ils s’empressèrent tous de narrer ce qu’il avait loupé. Le gamin s’approcha de notre vieux et lui tendit son cheval en bois. « Tenez monsieur, c’est Santaman qui me l’a offert et moi je vous l’offre aussi. » Prenant le cheval de bois, Kris lâcha un large sourire et retourna le petit canasson pour en découvrir une gravure où figurait un mot. « Merci, mais je crois qu’il est écrit LUFFY dessus, c’est ton nom n’est-ce pas ? » « Je n’ai pas de nom monsieur… » « Et bien maintenant, tu en as un. Joyeux Noël Luffy ! Ho ho… » Un bon héros, il s’appelle Santaman. Le Test rp est obligatoire, il vous sera donné par le modérateur responsable de la section présentation. Faire un test rp avant l'intervention sera totalement inutile : il ne comptera pas. Quand vous estimez avoir terminé votre présentation, signalez le et demandez votre test RP. Pour plus de lisibilité vous pouvez aussi l'indiquer dans le sous-titre de votre présentation [En attente de Test RP] Plus ce sera visible, moins vous avez de chance que les modérateurs vous loupent. |
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**DC mystère**
Santaman est le héros de Gilmec. Merci à lui.
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Dernière édition par Santaman le Mar 10 Juil 2012 - 16:20, édité 2 fois