Putain de coq… Comme si j’avais besoin de me prendre un « cocorico » super fort dans les oreilles de bon matin. Bon, faut dire aussi qu’il était à quelques centimètres de mes tympans. Qu’est ce qu’il foutait dans ma chambre d’ailleurs celui-là ? Je lui mis une beigne en me retournant sur le ventre et tentai de me rendormir. Impossible, j’avais l’oreille gauche qui sifflait maintenant et la volaille caquetait dans toute la pièce en battant des ailes. Il avait pas aimé la baffe, on dirait… Chienne de vie, j’avais payé cette chambre super chère pour le peu de confort et en plus je devais subir ça au réveil… Disons que j’étais réveillé au moins, c’était le point positif. Et puis je savais ce que j’allais bouffer ce midi au moins !
Je descendis à la réception avec les yeux enfarinés et des cernes qui touchaient presque mes genoux et demandai au mec si les autres étaient levés. Il me répondit que oui, l’homme à la guitare et le… monsieur au front plat étaient déjà sortis. En revanche, l’homme pâle et la personne âgée n’étaient pas encore descendus. Je mis un petit temps à me souvenir du vieux papy qui avait voulu venir avec nous la veille. Je remontai pour voir Sam. Bizarre qu’il ne se soit pas levé. C’était pas vraiment son genre de pioncer alors qu’il devait venger un affront qui lui avait été fait. Je toquai à sa porte avec tant de délicatesse qu’elle s’écrasa par terre, arrachée à ses gonds.
-Allez feignasse ! Debout !
-Hummmmmm !! Je suis pas en état là…
Ha oui, c’est vrai qu’il avait été drogué le petit gars ! J’avais aucune idée de combien de temps ça faisait effet ce machin-là. Pourtant il avait semblé aller mieux en fin de journée. C’était surement le traitement du vieux schnock qui avait finit de l’achever. Bon, je décidai de le laisser se reposer, on finirait surement par le trouver, avec ou sans son aide. Je ramassai la porte et tentai tant bien que mal de la refermer en la refoutant sur ses gonds, mais ils étaient tordus donc c’était pas évident. Au bout d’un moment, je parvins à la faire tenir en équilibre et filai rapidement. Le prochain qui y touchera prendra la responsabilité de l’avoir faite tomber, héhé !
Je toquai ensuite, plus délicatement, à la porte de IDK, notre nouveau vieux papy. Pas de réponse. J’ouvris la porte et vit un mec penché au dessus du lit du vieillard, un flingue pointé vers sa tête. C’était la première fois que je voyais un vrai flingue de près. C’était une invention géniale quand même ce truc ! Ca tirait des machins en fer super fort et où tu le voulais ! Comme s’il y avait un tout petit batteur qui shootait les balles à l’intérieur du canon ! Mais là, il était pointé dans une direction qui ne me plaisait pas trop.
-T’es qui toi ?
-Tiens, v’là l’emplumé ! Il paraît que tu cherches Sho. On ne cherche pas Sho. C’est Sho qui te trouve.
Hummm… Logique difficile à suivre mais j’avais compris l’essentiel. Ce mec travaillait pour Sho Kakaho et savait où je pouvais le trouver. Mais d’abord, il fallait qu’il enlève son arme de la tête de papy IDK. J’avais toujours mon poulet à la main, mais il n’allait pas m’être très utile dans l’immédiat. Je le lâchai sur le sol et prit une balle dans la main gauche, ainsi que ma batte dans la droite. Il dut prendre cela pour une provocation puisqu’il se mit à me viser moi. Enfin, c’était surtout parce qu’à la base, c’était moi qu’il cherchait.
Je pris ma batte de manière horizontale et en plaçait le bout devant le canon de l’arme. S’il tirait, ça se planterait dans ma batte. Difficile de penser que ça allait traverser le mètre de bois que représentait ma batte et ressortir par ma main. Du coup, il était baisé. Il pouvait toujours essayer de tirer à coté de ma batte, mais du coup ça me toucherait pas. Je sentais que ce que je faisais perturbait le mercenaire au plus haut point et je ne pus m’empêcher de rigoler. Ce mec ne savait pas se battre, il harcelait juste les gens innocents. Il devait pas avoir l’habitude qu’on réagisse autrement qu’en le suppliant. Je profitais de sa confusion pour lui envoyer mon pied dans les valseuses. Voilà… Fin du combat… Un peu déçu, ça se prend pour un caïd et ça finit au tapis en quelques secondes.
-Bon, IDK, t’as pas un ptit filtre dans tes potions genre sérum de vérité ? Je suis sûr que ce type à plein de choses à nous dire. Sinon, j’ai mon propre sérum spécial « huile de coude », mais on va essayer de faire ça bien, héhé !
Je descendis à la réception avec les yeux enfarinés et des cernes qui touchaient presque mes genoux et demandai au mec si les autres étaient levés. Il me répondit que oui, l’homme à la guitare et le… monsieur au front plat étaient déjà sortis. En revanche, l’homme pâle et la personne âgée n’étaient pas encore descendus. Je mis un petit temps à me souvenir du vieux papy qui avait voulu venir avec nous la veille. Je remontai pour voir Sam. Bizarre qu’il ne se soit pas levé. C’était pas vraiment son genre de pioncer alors qu’il devait venger un affront qui lui avait été fait. Je toquai à sa porte avec tant de délicatesse qu’elle s’écrasa par terre, arrachée à ses gonds.
-Allez feignasse ! Debout !
-Hummmmmm !! Je suis pas en état là…
Ha oui, c’est vrai qu’il avait été drogué le petit gars ! J’avais aucune idée de combien de temps ça faisait effet ce machin-là. Pourtant il avait semblé aller mieux en fin de journée. C’était surement le traitement du vieux schnock qui avait finit de l’achever. Bon, je décidai de le laisser se reposer, on finirait surement par le trouver, avec ou sans son aide. Je ramassai la porte et tentai tant bien que mal de la refermer en la refoutant sur ses gonds, mais ils étaient tordus donc c’était pas évident. Au bout d’un moment, je parvins à la faire tenir en équilibre et filai rapidement. Le prochain qui y touchera prendra la responsabilité de l’avoir faite tomber, héhé !
Je toquai ensuite, plus délicatement, à la porte de IDK, notre nouveau vieux papy. Pas de réponse. J’ouvris la porte et vit un mec penché au dessus du lit du vieillard, un flingue pointé vers sa tête. C’était la première fois que je voyais un vrai flingue de près. C’était une invention géniale quand même ce truc ! Ca tirait des machins en fer super fort et où tu le voulais ! Comme s’il y avait un tout petit batteur qui shootait les balles à l’intérieur du canon ! Mais là, il était pointé dans une direction qui ne me plaisait pas trop.
-T’es qui toi ?
-Tiens, v’là l’emplumé ! Il paraît que tu cherches Sho. On ne cherche pas Sho. C’est Sho qui te trouve.
Hummm… Logique difficile à suivre mais j’avais compris l’essentiel. Ce mec travaillait pour Sho Kakaho et savait où je pouvais le trouver. Mais d’abord, il fallait qu’il enlève son arme de la tête de papy IDK. J’avais toujours mon poulet à la main, mais il n’allait pas m’être très utile dans l’immédiat. Je le lâchai sur le sol et prit une balle dans la main gauche, ainsi que ma batte dans la droite. Il dut prendre cela pour une provocation puisqu’il se mit à me viser moi. Enfin, c’était surtout parce qu’à la base, c’était moi qu’il cherchait.
Je pris ma batte de manière horizontale et en plaçait le bout devant le canon de l’arme. S’il tirait, ça se planterait dans ma batte. Difficile de penser que ça allait traverser le mètre de bois que représentait ma batte et ressortir par ma main. Du coup, il était baisé. Il pouvait toujours essayer de tirer à coté de ma batte, mais du coup ça me toucherait pas. Je sentais que ce que je faisais perturbait le mercenaire au plus haut point et je ne pus m’empêcher de rigoler. Ce mec ne savait pas se battre, il harcelait juste les gens innocents. Il devait pas avoir l’habitude qu’on réagisse autrement qu’en le suppliant. Je profitais de sa confusion pour lui envoyer mon pied dans les valseuses. Voilà… Fin du combat… Un peu déçu, ça se prend pour un caïd et ça finit au tapis en quelques secondes.
-Bon, IDK, t’as pas un ptit filtre dans tes potions genre sérum de vérité ? Je suis sûr que ce type à plein de choses à nous dire. Sinon, j’ai mon propre sérum spécial « huile de coude », mais on va essayer de faire ça bien, héhé !
Dernière édition par James Fermal le Mar 14 Aoû 2012 - 19:52, édité 2 fois