Le village de Sirup, un trou paumé aux confins d’East Blue où le rythme de la vie quotidienne morne et monocorde vous promet une vie paisible et sans remous, où votre seul préoccupation se résume à faire une bonne récolte ou attirer des clients pour que votre commerce soit prospère. Il existe encore de ces endroits là à travers les Blues, de ces trous de verdure à la végétation luxuriante et au climat des plus hospitaliers du moins ca c’était avant les tragiques évènements suite à l’organisation du traditionnel tournoi des arts martiaux de Sirup. Une triste histoire qui s’était soldé par une hécatombe et un vol massif d’argent et bien qu’une enquête avait été ouverte, aucunes pistes ou éléments de réponse n’avaient pu être avancés pour condamner ceux qui s’étaient portés les instigateurs de ce massacre en bonne et due forme. L’agent Kaitô avait du tant bien que mal faire étape au village de Sirup dans son voyage vers Loguetown où il avait été convié à une entrevue avec un responsable du Cipher Pol. La perspective de passer une journée à Sirup ne l’incommodait pas le moins du monde, il est toujours enrichissant d’expérimenter et de connaître les modes de vie comportementaux des insulaires. La topologie de l’île était majoritairement composée de zones boisées et de collines, Sirup au centre de l’île s’incorporait idéalement dans ce paysage rural et champêtre. L’agent Kaitô n’était ici bàs qu’un vulgaire inconnu, un étranger de passage comme on en croise assez peu dans le coin tant il est assez peu fréquenté.
Dans ces petites bourgades, le bouche à oreille et la suspicion prime sur tout le reste, aussi Kaitô était t’il certain que sa présence se ferait irrémédiablement remarquer par les autochtones. En raison du caractère désastreux du tournoi de l’année dernière, les organisateurs ne l’avaient pas reconduit cette année. Aucune promotion, aucune communication quant à cet évènement n’avait été encore produite cette année mais nul doute que d’irréductibles pirates allaient sans douter pointer le bout de leur trogne, mû par l’appât du gain ou la volonté de se frotter à des types puissants. Sirup compte quelques adeptes des arts martiaux mais leur niveau est loin d’égaler ceux des pirates primés qui pourraient débarquer sur la côte et tout décimer encore une fois. L’histoire paisible de Sirup avait été d’ores et déjà été ébranlé une fois, ce n’était pas pour que le même incident se reproduise consécutivement. Il n’était pas dans les mœurs locales d’être inhospitalier envers les étrangers, ce n’était pas de vulgaire pièces rapportés mais bien des valeurs ajoutés pour les habitants de Sirup cependant Kaitô tenait à garder l’anonymat, sa présence ici ne devait être connu de personne, rester un quidam parmi les quidams, tel était la règle à ne jamais transgresser. Ebruiter l’idée qu’il puisse faire partie du gouvernement serait comme se tirer une balle dans le pied. Les résidents de Sirup devaient l’avoir mauvaise que le gouvernement n’ait pas été capable d’arrêter les coupables du massacre perpétré il y a un an de ca.
Après un bref tour d’horizon de l’île, il revint au village et se dirigea vers la seule réelle attraction de l’île, le château de la famille Kaya qui surplombait ce décor bucolique où l’on se plaît à vivre. Il n’était pas dans les intentions de Kaitô que se faire inviter par la riche et opulente famille bourgeoise qui y séjournait, ce n’était à vrai dire que par curiosité qu’il avait arpenté le talus où le manoir siégeait. Le gouvernement considérait l’île comme un élément négligeable, aucun contingent de la marine, ni même une quelconque base pour cette île isolé. Une prison de fortune avait été érigé en périphérie de la ville pour prévenir des petits larcins et autres actes de délinquances, il en fallait bien une ne serait-ce que pour prouver aux » malfaiteurs « ce qu’ils risquaient en se rendant responsable de ces crimes. La propagande, on en fait jamais assez, aussi faut t’il des instances qui font office de symbole pour bien faire comprendre aux contrevenants ce qu’ils leur en coûtent, l’ordre prévaut sur tout le reste. Kaitô continua sa ronde anodine dans le village, il était habitué à lire les faciès des types qu’il venait à croiser, à palper l’ambiance générale d’un lieu, c’en était devenu un réflexe presque involontaire, un sens aigu qui se déclenchait de manière automatique. Sirup n’avait rien d’un repaire de forbans comme son ile natale du cimetière d’épaves, aussi ces concitoyens avaient chacun le droit de continuer à vivre en toute harmonie.
Déambulant dans le village sans réel but, il jeta un œil aux avis de recherches placardés sur un panneau d’affichage non loin du château. Il s’en rapprocha et scruta les traits de chacun d’entre eux. Qu’importe les primes sur leur têtes, ces types étaient grosso modo tous les mêmes, fiers comme Artaban, dégoulinant de cruauté et de haine tels des bêtes féroces en mal d’identité, condamnés à enchaîner délit sur délit pour que leurs misérables existences aient le moindre sens. Triste histoire que de prendre la mer pour laisser dans son sillage d’innombrables cadavres et ce pour le renom, la gloire, la reconnaissance. Bien qu’il avait été enrôlé dans le CP9 et qu’en conséquence il avait reçu de nombreuses idées préconçues sur ces grands concepts que l’on aime à désigner comme « justice « ou encore « impartialité « , il n’en gardait pas moins son libre arbitre. Dans ce monde, rien n’est noir ou blanc, les nuances de gris prédominent bien qu’on ne veut pas l’admettre, il savait que même dans cette usine de guerre regroupant l’union de 170 pays que l’on dénomme « gouvernement mondial », des actes répréhensibles sont quotidiennement fomentés et des traîtres se camouflent dans la masse. L’agent Kaitô avait rejoint le gouvernement dans l’espoir d’apporter une justice légitime et intègre. Subitement, son œil s’arrêta sur la chevelure hirsute d’un type figurant sur un wanted fraichement posé. Une prime de 2 millions de Berrys répondant au nom acerbe de Dragger Jack. Un foutu poil de carotte, une graine de criminel en devenir qui s’apprêtait à bourgeonner et répandre toute son infamie sur ce monde. Hmmmh.
Dans ces petites bourgades, le bouche à oreille et la suspicion prime sur tout le reste, aussi Kaitô était t’il certain que sa présence se ferait irrémédiablement remarquer par les autochtones. En raison du caractère désastreux du tournoi de l’année dernière, les organisateurs ne l’avaient pas reconduit cette année. Aucune promotion, aucune communication quant à cet évènement n’avait été encore produite cette année mais nul doute que d’irréductibles pirates allaient sans douter pointer le bout de leur trogne, mû par l’appât du gain ou la volonté de se frotter à des types puissants. Sirup compte quelques adeptes des arts martiaux mais leur niveau est loin d’égaler ceux des pirates primés qui pourraient débarquer sur la côte et tout décimer encore une fois. L’histoire paisible de Sirup avait été d’ores et déjà été ébranlé une fois, ce n’était pas pour que le même incident se reproduise consécutivement. Il n’était pas dans les mœurs locales d’être inhospitalier envers les étrangers, ce n’était pas de vulgaire pièces rapportés mais bien des valeurs ajoutés pour les habitants de Sirup cependant Kaitô tenait à garder l’anonymat, sa présence ici ne devait être connu de personne, rester un quidam parmi les quidams, tel était la règle à ne jamais transgresser. Ebruiter l’idée qu’il puisse faire partie du gouvernement serait comme se tirer une balle dans le pied. Les résidents de Sirup devaient l’avoir mauvaise que le gouvernement n’ait pas été capable d’arrêter les coupables du massacre perpétré il y a un an de ca.
Après un bref tour d’horizon de l’île, il revint au village et se dirigea vers la seule réelle attraction de l’île, le château de la famille Kaya qui surplombait ce décor bucolique où l’on se plaît à vivre. Il n’était pas dans les intentions de Kaitô que se faire inviter par la riche et opulente famille bourgeoise qui y séjournait, ce n’était à vrai dire que par curiosité qu’il avait arpenté le talus où le manoir siégeait. Le gouvernement considérait l’île comme un élément négligeable, aucun contingent de la marine, ni même une quelconque base pour cette île isolé. Une prison de fortune avait été érigé en périphérie de la ville pour prévenir des petits larcins et autres actes de délinquances, il en fallait bien une ne serait-ce que pour prouver aux » malfaiteurs « ce qu’ils risquaient en se rendant responsable de ces crimes. La propagande, on en fait jamais assez, aussi faut t’il des instances qui font office de symbole pour bien faire comprendre aux contrevenants ce qu’ils leur en coûtent, l’ordre prévaut sur tout le reste. Kaitô continua sa ronde anodine dans le village, il était habitué à lire les faciès des types qu’il venait à croiser, à palper l’ambiance générale d’un lieu, c’en était devenu un réflexe presque involontaire, un sens aigu qui se déclenchait de manière automatique. Sirup n’avait rien d’un repaire de forbans comme son ile natale du cimetière d’épaves, aussi ces concitoyens avaient chacun le droit de continuer à vivre en toute harmonie.
Déambulant dans le village sans réel but, il jeta un œil aux avis de recherches placardés sur un panneau d’affichage non loin du château. Il s’en rapprocha et scruta les traits de chacun d’entre eux. Qu’importe les primes sur leur têtes, ces types étaient grosso modo tous les mêmes, fiers comme Artaban, dégoulinant de cruauté et de haine tels des bêtes féroces en mal d’identité, condamnés à enchaîner délit sur délit pour que leurs misérables existences aient le moindre sens. Triste histoire que de prendre la mer pour laisser dans son sillage d’innombrables cadavres et ce pour le renom, la gloire, la reconnaissance. Bien qu’il avait été enrôlé dans le CP9 et qu’en conséquence il avait reçu de nombreuses idées préconçues sur ces grands concepts que l’on aime à désigner comme « justice « ou encore « impartialité « , il n’en gardait pas moins son libre arbitre. Dans ce monde, rien n’est noir ou blanc, les nuances de gris prédominent bien qu’on ne veut pas l’admettre, il savait que même dans cette usine de guerre regroupant l’union de 170 pays que l’on dénomme « gouvernement mondial », des actes répréhensibles sont quotidiennement fomentés et des traîtres se camouflent dans la masse. L’agent Kaitô avait rejoint le gouvernement dans l’espoir d’apporter une justice légitime et intègre. Subitement, son œil s’arrêta sur la chevelure hirsute d’un type figurant sur un wanted fraichement posé. Une prime de 2 millions de Berrys répondant au nom acerbe de Dragger Jack. Un foutu poil de carotte, une graine de criminel en devenir qui s’apprêtait à bourgeonner et répandre toute son infamie sur ce monde. Hmmmh.