Kazuma Gyatso
une image 200*300 | Pseudonyme : Aucun pour le moment Age: 43 années Sexe : Homme Race : Homme Rang : Caporal Métier : Navigateur Groupe : Marine Déjà un équipage : Nan! But : Découvrir le monde pendant qu’il est encore fringant! Fruit du démon ou Aptitude pour la suite : Pas pour le moment… Équipements : Codes du règlement (2) : Parrain : Nope |
[center]Physique
Un bel habit ceint à la perfection, ce marine mesurant six pieds pour un poids d’environ 75 kilogrammes parait tout en puissance lorsqu’on le voit pour la première fois. Son sourire quasiment animal aux lèvres et sa carrure peuvent le faire paraître effrayant. Sa peau bronzée par le soleil fait encore plus ressortir sa musculature développée qu’il n’a aucune honte de montrer et cela tombe plutôt bien, étant donné qu’il a tendance à enlever sa chemise lors de combats ou défis. Des yeux verts espiègles, comme ceux d’un enfant, bougent en tout temps sur ce vieux visage. Une barbe mal taillée, des sourcils touffus et des cheveux broussailleux complètent le visage de ce vieil homme, dont le visage possède une beauté sauvage avec sa barbe mal taillée et sa crinière poivre et sel.
Toujours nus pied, ses pieds sont recouverts de corne, pouvant marcher quasiment n’importe où et n’importe quand sans avoir froid ou mal. Pied qu’il contrôle à la perfection, s’amusant à faire des tâches seulement avec ceux-ci, comme coudre, manger, lacer des fléchettes… Il possède une démarche altière, se promenant le torse bombé et les bras montant haut et descendant bas à chaque pas, comme un enfant fier d’une réussite. Mais sa démarche dépens beaucoup de ses émotions, lorsqu’il est triste, il se promène la tête baissée, lorsqu’il est en colère… lorsqu’il est en colère il n’a pas réellement de démarche, parce qu’il court dans la direction de ce qu’il l’a mis en colère… Il bouge d’une façon tout à fait caricaturale, selon ses sentiments, lâchant des sifflements lorsqu’il est impressionné, se frappant son visage avec ses deux grosses mains en criant comme une gamine de cinq ans lorsqu’il est apeuré… M’enfin, rien pour dire qu’il est très discret!
Possédant un trop-plein d’énergie depuis sa tendre jeunesse, il est difficilement épuisable, se réveillant à l’aube et se couchant tard, il a besoin de bouger énormément pour être satisfait de l’énergie brûlée, s’endormant d’un coup lorsqu’il n’en possède plus. Lorsqu’il est assis, ses jambes commencent sautiller dangereusement, pouvant détruire table et autre objet sans qu’il en prête attention, il est possiblement atteint du syndrome des jambes sans repos à un niveau très élevé. Ajouté à cela un rire ronchonnant, tout à fait ridicule, vous trouverez ici un marine tout a fait atypique.
Psychologie
D’un naturel généreux, il aime aider et donner des cadeaux ou du temps. Détestant voir les gens souffrir, il est toujours prêt à consacrer du temps avec de purs inconnus pour les aider. Pouvant s’arrêter devant un môme qui crève de faim et aller lui cherche de la nourriture et un endroit convenable pour vivre, ou allé se payer une tournée des bars avec un inconnu déprimé qui est prêts à se lancer en bas de la falaise. Il n’a aucune difficulté à s’approcher des gens, c’est plutôt les gens qui ont de la difficulté à s’éloigner de lui… au début du moins! Les gens peuvent le considéré exubérant aux premiers abords, du à sa personnalité sauvage et un poil trop familier, mais les gens vont, normalement, vite l’apprécié, et surtout les enfants, qu’il adore lui-même!
Il possède une certaine difficulté à se concentré, sur tous et n’importe quoi. Il a réussi à mettre en colère les professeurs les plus patients, se sont vu être décernées les corvées les plus écœurantes pour avoir failli à une tâche de gardien de porte et plein d’autres problèmes sont tombés sur lui à cause de son problème… Attendre et patienté ne son pas dans ses aptitudes, par contre, c’est un homme courageux et féroce au combat. Cet homme aime se battre et fonce pour participer dans des batailles, n’importe lesquels, tant qu’il y a des coups à donner, il est prêt à être premier au combat! Il souhaite participer aux batailles les plus épiques. Son amour du danger est aussi grand que son amour des combats.
Même s’il aime se battre, il n’a jamais pris la vie d’un individu, malgré ses nombreuses années passées dans la marine et son tempérament bagarreur. Pas qu’il n’a pas eu l’opportunité de tuer, mais il ne la jamais prise, même dans les moments les plus risqués pour sa vie. La raison? Il aime la vie, et il croit que chaque personne doit l’aimer ou apprendre à l’aimer, c’est pour cette raison que l’on doit repousser le moment de la mort, pour comprendre comment la vie est importante.
C’est aussi un optimiste des plus décourageants. Face à des situations catastrophiques, il va avoir tendance à dire quelque chose du genre :« Bah! Ça pourrait être pire » ou « C’est drôle, je les imaginais plus grands moi, les rois de mers. » Ce qui peut engendrer quelque complication d’ordre professionnel.
Il aime les femmes. Lorsqu’il rentre dans une salle, il a tendance à toujours marcher dans la direction ou se trouve la femme la plus jolie, et dire les phrases de charme les plus mauvaises de l’humanité. Ses phrases s’accompagnent souvent d’une gifle monumentale qu’il ne considère jamais douloureuse.
Biographie
Kazuma Gyatso est née dans une famille respectable d’universitaire. Son père, Yamamoto, était un médecin biologiste respecté et reconnu à travers le monde et sa mère, Mariko, était une mathématicienne tout aussi reconnue et acclamée par ses percées dans cette matière. L’amour entre ses deux individus n’était pas un amour passionné et brulant ou amour calme et puissant. Non, ces deux personnes s’aimaient d’un point de vue intellectuel, et ce pendant de nombreuse année. Ils aimaient parler, philosopher, découvrir et se vanter de leurs découvertes. Ils vécurent ainsi pendant les 10 premières années de leurs vies, jusqu’au jour où ils comprirent qu’ils pouvaient, par l’union de leurs deux corps, créer des individus pouvant être, possiblement, tout aussi intelligent qu’eux ou même plus!
C’est ainsi qu’à l’âge de 39 ans, ils eurent leur premier fils. Ils l’appelèrent Végapunk Gyasto, décidant qu’avec le mélange de leurs gènes, toutes les chances étaient de leurs côtés pour créer un nouveau cerveau aussi performant que le Végapunk du passé! Mais une chose arriva, une chose aussi banale et commune que ces génies, cartésiens à l’extrême, n’avaient pas prit en comptes. Ils tombèrent littéralement fous en amour avec leur enfant. Tellement qu’ils décidèrent en avoir un autre, puis un autre, puis un autre. Finalement, après 15 enfants, Kazuma est née!
L’amour que ses parents donnèrent à leurs enfants était extrême. Ils leur promirent qu’ils pourraient tout faire! Leurs donnant toutes les permissions, ne pouvant refuser rien à leurs progénitures, progénitures qui donnèrent plusieurs exemples varier d’enfant. Certains devinrent des artistes, s’amusant à peindre et à jouer de la musique, d'autres devinrent des scientifiques aussi respectés que leurs parents, avant qu’ils arrêtent de pratiquer pour s’occuper pleinement de leurs enfants, un décida de partir en affaire, une préféra devenir la femme d’un homme riche et pour se laisser vivre dans le luxe par son mari. Mais l’un, perturbant à l’extrême, aimé de tout cœur par ses parents, souhaitait vivre une vie d’aventures et de plaisirs. Une vie où il ne regretterait rien, qu’il pourrait dormir sans s’en vouloir d’erreur passée comme il l’entendait souvent, ses parents ont toujours regretté de ne pas avoir eu une famille plutôt et plus grande, malgré leurs 18 enfants…
Le gamin grandit avec l’étiquette de cancre, du au fait qu’il était incapable, ou qu’il ne voulait pas, se consacrer plus de 10 secondes sur un problème. Il était par contre d’une générosité incroyable, accourant pour aider les gens en difficulté. Un jour, il se fit tabasser par un groupe plus âgé et plus fort que lui pour avoir voulu protéger un jeune garçon qui se faisait dépouiller de son argent de poche. Revenant en sang chez lui, il décida qu’il était temps qu’il apprenne à se battre, mais après s’être fait cajoler par sa mère et son père. Il ne dit pas à ses grands frères et sœur qui l’avaient tabassé, disant toujours qu’il avait glissé sur une peau banane… mais personne ne crut jamais à son mensonge.
Il commença à faire l’école buissonnière et se promena dans les rues les plus malfamées qu’il pouvait trouver. Ramassant raclée par-dessus raclée, il commença à apprendre à se battre. À force de donner des coups hasardeux, il découvrit des points précis qui, lorsque touchés, paralysaient momentanément le membre ou le corps de l’adversaire. Grâce à son agilité et sa vitesse commença à se faire un nom de bon bagarreur. À l’âge de seize il n’habitait plus chez ses parents, vivants sur les docks et se bâtant avec les marins et apprenant ce métier en se faisant embarquer sur des navires marchands où il se portait volontaire. Il apprit avec les marins comment travailler et comment se battre, mais aussi comment parler aux dames et comment boire, deux activités qui se terminaient souvent par le combat.
Il apprit rapidement à naviguer, cela ne lui demanda quasiment aucune concentration, il lavait ça dans le sang! Ça, et le fait que lorsqu’il avait la barre en, mais, il avait, il l’a toujours d’ailleurs, la fâcheuse manie de foncer directement dans les tempêtes, pour donner un peu de challenge à la navigation.
C’est après une douzaine de coups comme celui-là que plus aucun marchand ne le réengagea. Ce qui fut terrible pour lui, parce qu’il adorait naviguer et il ne voyait pas ce qu’il pourrait faire d’autre! Ses parents le poussèrent à s’engager dans la marine, ne pouvant pas avec leurs revenus, qui étaient devenus ridicules depuis l’arrêt quasi complet de travail de ses deux génies, lui acheter un bateau. Et c’est vrai, l’armée a toujours eu besoin de navigateur. Il s’engagea dans la marine pour cette raison.
Du à son tempérament explosif et incontrôlable, ainsi du fait qu’il ne tuera jamais un pirate, même sous les ordres directes d’un supérieur (un contre-amiral l’intima de tuer un simple pirate qu’avait causé une bataille dans un bar, blessant le fils du contre-amiral, ordre que Gyatso refusa en disant que son gamin n’était, de toute façon, pas plus avec ou sans sa cicatrice qui lui barrait le visage…) il fut envoyer sous l’ordre du pire lieutenant de la marine, sur le navire composé des plus grands rebu de celle-ci. N’ayant pas depuis monté en grade depuis près de vingt ans, il est le navigateur d’un navire qui tombe en morceaux sur East Blue, n’allant n’importe où et nulle part en même temps. Rien ne se passe, et il commence à s’ennuyer, à force les tempêtes et les ouragans ne sont plus aussi excitants qu’avant, et il souhaite faire quelque chose. Il est fatigué d’attendre, il souhaite combattre!
>> Test RP
Il se tenait droit, devant ses hommes sur le pont du rafiot craquant, sa crinière blonde au vent et ses bleus perçants scrutant le vaste océan devant lui. Des bottes rutilantes, un complet de bon goût et de bonne qualité, une mâchoire carrée et une carrure d’athlète, le nouveau sergent de cet équipage détonnait avec le reste du groupe, qui ne paraissait pas aussi fort ou respectable que lui. Kuza, c’était son nom, commença son discours avec une belle voix calme et posée.
— Nous nous dirigeons en ce moment même vers une des compétitions les plus prestigieuses que la marine propose à ses hommes chaque année! Une course où l’on doit arriver le plus vite possible l’autre côté de l’île aux estropiés. Les navires le plus rapides seront présents, ceux avec les meilleurs hommes et les meneurs d’hommes les plus exceptionnels de Blues! Et toute personne qui se démarque dans cette compétition ont toujours, par la suite, reçu de grands honneurs! C’est votre chance!
Il monta son poing avec force, ayant toujours le dos tourné à ses hommes. Mais quand il dit sa dernière phrase, il se parlait plus à lui-même. Il avait été affecté sur ce navire pour remplacer l’obèse imbécile qui avait été réaffecté dans une base tranquille où il finirait surement ses jours. Mais lui avait été complètement choqué, lui qui se voyait diriger une superbe de guerre, avec des hommes fidèles et prêts à tous! Lui qui se voyait déjà amiral ou, du moins vice amiral, dans quatre ou cinq ans, se voyait diriger la division d’East Blue qui possédait les plus mauvais états de service de la marine. Et le sloop sur lequel naviguait se jeune sergent, Léonard de son petit nom, n’était qu’une vieille loque, trouée ou rafistolée… Donc, imaginé qu’en seulement deux mois, il réussit à se démarquer dans cette compétition, comment ses supérieurs en seront impressionnés de ses talents de meneurs d’hommes!
— Cela ne fait que deux mois que je vous dirige, mais déjà j’ai confiance en vous! En vous et votre force dont personne ne n’imagine! Oui, vous êtes sans doute l’équipage le plus apte à gagner cette compétition. Parce que vous avez tous des talents que nulle ne pourra un jour posséder!
Cela était complètement faux, par contre. Cet équipage était composé de lâches, d’idiots et de fainéants. Sur les trente membres de l’équipage qu’hérita ce jeune officier, seulement trois valaient quelque chose, mais il faut l’admettre, leurs défauts sautaient plus aux yeux que leurs talents. Le premier, Erneste, cuisinier, était un cupide de haut vol. Malgré tout, c’était un cordon bleu génial, qui pouvait, avec 50 Berry, être capable d’acheter pour deux mois de nourriture, où tout le monde, après chaque repas, se délectait. Son talent à dénicher énormément de nourriture avec peu d’argent, allier à son amour de l’argent, le poussa à garder le surplus d’argent pour sa poire… C’est lorsque l’on découvrit qu’il volait la marine qu’il fut envoyé dans cette section. Le second, Isaac, un génie en ingénierie, charpenterie et soudure, étaient un fainéant incroyable. Mais c’était grâce à lui que ce vieux rafiot pouvait encore flotter, ce qui pouvait impressionner n’importe quel charpentier! Finalement, Kazuma, un idiot insubordonné selon son dossier (ce qui était sensiblement vrai) était un excellent navigateur. Il réussit, à la deuxième journée où le lieutenant était arrivé, à traverser un ouragan avec cette embarcation, alors que le lieutenant vomissait ses entrailles par-dessus bord. Cet exploit fit remonter ce navigateur dans l’estime du lieutenant, même s’il le considérait comme un réel idiot, mais un idiot avec du potentiel!
Pendant qu’il pensait à tout cela, il se tourna vers ses hommes en souriant. Sur les trente, il n’en restait que trois. Arnold l’endormi, il dormait debout, Léo l’obèse, il suait à grosse goute tellement il avait de la difficulté à rester debout, et Trinidad le géant, qui mesurait à peine un mètre cinquante pour 100 livres, personne ne comprenait pourquoi il avait été accepté dans la marine, du fait de son inutilité aux combats dus à sa force ridicule.
Les dents serrées face à une telle insubordination, il dit à ses hommes de retourner au travail. Les deux hommes réveillés s’y précipitèrent. Levant les yeux au ciel, il passa à côté du second le laissant dormir. Montant l’escalier qui menait à l’arrière de son navire. Deux hommes s’y trouvaient, Isaac et Kazuma. Ce dernier tenait une tortue de mer, l’autre une torche pour souder et un canon. Ils essayaient d’implanter un canon sur la tortue qui battait faiblement ses pattes avec un air apeuré.
Les deux hommes se tournèrent face à leur supérieur, les yeux ronds et la bouche fermée, comme si ne rien dire et ne pas bouger leur permettait de se sortir de cette situation embarrassante. Leur lieutenant était figé face à cette situation peu orthodoxe. Il agit comme n’importe qui aurait agi dans cette situation peu banale, il donna un coup de pied puissant à la tortue, qui fut projetée dans l’océan, et botta le derrière à ses deux idiots qui se précipitèrent hors de sa vue.
— Mais qu'est-ce que je vais faire avec cet équipage de merde?!?!?
Vingt-cinq navires étaient positionnés sur la ligne de départ. Des navires réputés pour leurs vitesses, leurs navigateurs et la coordination la plus efficace possible. Devant eux, une île, donc les montagnes crochues ressemblaient à des doits de vieilles sorcières. Chaque équipage attendant le coup de canon qui ferait débuter la course. Trois vice-amiraux, avec plusieurs spectateurs et journalistes, étaient positionnés à la ligne d’arrivée, l’autre côté de l’île.
Pas d’attaque entre équipages, seulement leur contrôle de la navigation pour gagner. Trois chemins possibles pour arriver l’autre côté de l’île, à gauche, à droite et tout droit. Le chemin était pareil sur les cotés, sensiblement dangereux, dû aux hauts fonds et des tempêtes soudaines du au microclimat difficile à prédire, mais rien d’exceptionnel comparé au chemin d’eau qui séparait cette fameuse île entre deux falaises. Des rochers tranchants et nombreux, un courant puissant, comparable à des rapides, des effondrements quotidiens et des navires déchiquetés un peu partout. Même si c’était le chemin le plus rapide, très peu d’embarcations se décidaient de prendre ce chemin, étant donné que plus de 90% des navires y faisaient naufrages.
BOOOOOOM!
La course pouvait commencer.
Il était excité de commencer la course. La détonation se fit entendre, raisonnant dans tout son être. Les ancres furent retirées de l’eau, l’air bomba les toiles. Il relâcha le cri sauvage et aigu qui trainait au fond de sa gorge depuis le matin, un cri tel un loup que tous les marins entendirent en riant, disant que le navigateur du navire des cinglées devait être aussi tarée que l’on racontait. Sur le pont, le sergent de cet équipage était debout, en train de hurler des ordres pour que tous soient à leurs postes, ce qu’il réussit avec un brio surprenant pour un jeune homme aussi inexpérimenté que lui. Et il le savait et en était fier.
Il avait ordonné à son insubordonné navigateur d’aller dans la voie la moins dangereuse, donc selon le vent, aujourd’hui, le côté ouest de l’île. Parce que la victoire n’était pas son but ultime, seulement réussir à finir cette course le ferait valoir pour ses qualités de meneur d’hommes, ce qui lui donnerait certainement un nouveau poste plus avantageux.
Il continuait à s’occuper que ses hommes ne désertent pas pendant que son navigateur riait en disant aux marines comment positionner les voiles pour permettre de mieux prendre le vent. Une ombre passa sur le navire. Un des soldats commença à pleurer. Ils venaient d’entrer dans le chemin le plus tortueux de cette course. Le lieutenant, titubant, allèrent voir son navigateur qu’il trouva les joues gonflées par un rire retenu et une main pressée contre sa bouche, comme le font les enfants qui font des mauvais coups et retiennent leur joie devant des adultes en colères.
Il était très fier de son coup. Cette voix était considérée comme la plus dangereuse, donc la plus amusante selon les étranges standards de Gyatso. Il évita l’explosion de rage que le lieutenant allait lui donner en arrivant, enfin, dans les rapides. Une grande secousse permit au bateau d’accélérer grandement. Deux autres navires les suivaient.
Alors que le navigateur s’amusait comme un fou, chantant et riant, l’officier était dans un état de consternation grave. Surtout lorsqu’il entendit les premiers ordres que son navigateur offrait aux hommes.
-Ronronronron! (C’est le son de son rire) Remonter moi ce truc-là! Et toi, pousse le drôle de machin à ta droite. Tirer sur la corde! Non, pas celle-là!
L’imprécision et le fait que seulement la moitié de l’équipage s’occupait à essayer d’accomplir les ordres du cinglé en arrière du bateau n’arrangeaient pas le problème de stress de Kuza. D’un coup, l’un des navires qui suivaient l’embarcation percuta un rocher, fendant la coque, pourtant faite solidement avec de bons matériaux. Une étincelle du se produire, parce que le navire commença à prendre en feu. C’est à ce moment-là qu’une partie de l’équipage commença à réciter le « Notre père» tandis que Kazuma riait, trouvant cette course des plus réjouissantes.
Il fit entrer son navire dans un courant, courant qui lui permit de se glisser aisément entre un grand nombre de rochers acérés, et ceci sans aucune difficulté.
Une frégate les suivait de près. On pouvait entendre les marins lancer des jurons à cause qu’ils étaient derrière un équipage composé de déchets. Ils décidèrent d’utiliser des canons.
BANG!
-Les sales tricheurs! Ronronronron!
Le boulet frappa une paroi rocheuse, provoquant des éboulements. Maintenant, seulement trois membres de l’équipage continuaient à contrôler le navire sous les ordres du barbu à la barre. Il continuait à rire, trouvant de plus en plus divertissante cette course. Il faisait glisser le navire rafistolé à travers les rochers avec une telle virtuosité que les artilleurs de l’autre navire étaient incapables de faire mouche.
BANG!
Le canon frôla la tête du navigateur et alla pulvériser la figure de proue, qui était déjà mal en point. Gauche, droite, gauche, tour complet. Tout se passait à une très grande vitesse. Passant à deux doigts de la mort à chaque manœuvre. Les boulets volant tout autour du bateau, recevant parfois des morceaux de gravats de la falaise.
L’homme qui venait de passer à deux doigts de la mort se sentit libre à ce moment précis. Jusqu’au moment où le courant cessa de les pousser. Ils venaient de traverser l’île. Cet homme, qui était si heureux un moment plus tôt, devint des plus déçu. Il souhaitait y retourner.
Le reste de l’équipage l’encercla d’un coup et commença à l’engueuler. Lui au milieu, sourire aux lèvres, un regard déçu, une main derrière la tête, prenait sans broncher les remontrances de l’équipage.
BANG!
Un boulet frappa le gouvernail, empêchant toute possibilité de navigation. La frégate passa à côté d’eux, certains marins faisant coucou de la main, d’autres ayant les pantalons baissés, montrant leurs postérieurs aux opposants les plus sous-estimés de la course. L’équipage du retenir le vieux Kazuma, qui souhaitait sauté attaquer à lui seul le navire qui gagna la course treize minutes plus tard.
Cela prit trois heures à réparer le navire, dues au grand nombre de pauses que s’octroya Isaac. Ils arrivèrent derniers, mais entiers. La moitié des navires ayant coulé durant la course, cela reste quand même impressionnant.
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Informations IRL
[list]Prénom : NANANAAAAAAAAAAA
Age : 19 patates
Aime : Les patates, femmes, viande, nager, escalader, rigoler, dormir, lire, les nains et plein d’autre chose plus ou moins conventionnel.
N'aime pas : Violence ridicule, le gens moralisateur, EUX JE LES AIMES PAS!!! Ensuite, pas grand-chose!
Personnage préféré de One Piece : Franky & Killer (Pour son surnom, Human massacre machine)
Caractère : (définissez vous en quelques mots) Bof, plus tard…
Fais du RP depuis : pas trop longtemps
Disponibilité : (en jours par semaine, c'est bien sur, approximatif) Cela va dépendre, travail, école, famille…
Comment avez vous connu le forum ? Google
Dernière édition par Kazuma Gyatso le Lun 6 Aoû 2012 - 4:02, édité 9 fois