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[RP] La musique, ça tue!

Rappel du premier message :

Jeu: Aucun.

Milieu d'année, 1624

17h30
Tôt dans la journée, j'avais cachée mon navire dans une crique, au loin de toutes civilisations. J'avais donnée une permission à mes quelques hommes pour les dégourdirent un peu et pouvoir circuler sur la terre ferme. J'en avais aussi profité pour me retirer un peu et aussi, peut-être acheter un cadeau pour mes enfants...

Mes pas m'emmenèrent au bout d'un certain temps dans le petit village de Fushia, que je connaissais déjà, mais sans plus. Consciente que ma tête était mise à prix, je décidais de passer du temps dans ce bled tranquillement et sans faire d'histoire. Ce n'était pas l'heure de jouer au pirate. Même si je n'avais pas peur de marcher à la vu des éventuelles personnes qui pourraient me reconnaitre, je voulais vraiment passer dans le coin pour me changer les idées.

D'une humeur joyeuse, j'avais soudainement envie de musique. Étrangement, j'entendis un son nouveau qui venait de quelques rues plus loin. C'était la fête au village? Un anniversaire originale? Curieuse, je m'avançais avec frénésie pour écouter plus attentivement ce nouveau style que je ne connaissais pas.

Je suivis donc la mélodie l'esprit bercé par elle. Elle venait d'un restaurant assez simple, mais qui semblait être débordé de monde. Le patron devait certainement se remplir les poches avec une telle clientèle... Ou le musicien aussi peut-être...

J'entrai alors sous le regard de quelques hommes un peu ivre. Hmm, avaient-ils peur ou étaient-ils méfiants? Il semblerait que non. Soit leur cerveau trop ramollie par l'alcool leur empêchait de savoir qui j'étais, soit ce village ne devait pas recevoir les nouvelles... Après tout, ça m'arrangeait plutôt bien. Moi qui pour une fois, ne voulais pas avoir recours à la violence.

Je trouvai enfin une place malgré tout le monde qui était dans la joie. Je m'y installais alors. Sans le voir, je venais d'avoir la meilleur place pour voir celui qui animait la salle. Sa tête, ne me disais absolument rien. Le barman arriva rapidement et me demanda ce que je buvais.

- Bonjour, mademoiselle. Qu'est-ce que je vous sert?

- Juste de l'eau. Hmm, dites-moi. Qui est ce jeune-homme à la guitare? Disons, que grâce à lui je suis venu ici...

- Oh-oh. Il vrai que grâce à ses tallant mon bar se remplie bien... Je peux juste pour dire qu'il se nomme Saul Nemausus.

Je trouvais qu'il me manquait des instruments de musique dans mon amphithéâtre. Un équipage devait garder la bonne humeur dans toutes les situations. Il ne restait plus qu'à écouter et voir si je peux le prendre avec moi. Quelque instant plus tard, le propriétaire me remmena mon eau dans un grand verre.

- Et voilà pour vous.

- Merci.

Au bout de quelque chanson, je l'observais toujours. Je me demandais quel genre de personne il était. Gentil ou méchant, j'avais décidée qu'il viendrait avec moi de grès ou de force. Quand je jouais mes pièces de théâtre, j'avais toujours soif à la fin du spectacle. C'était normal, vu le débit de parole que je devais sortir en une soirée. J'imaginais qu'avec le dénommé Saul se serait pareil. J'appelai le patron.

- Vous avez besoin d'autre chose?

- Juste une question. Vous savez ce que ce jeune prend? Il devrait avoir soif...

- Je suis navré, mademoiselle. Je n'en sais absolument pas.

Tant pis. Dès que je verrais qu'il ait fini, je ferais venir Saul vers ma table. Je pourrais le charmer, le féliciter et peut-être dialoguer. J'avais quelques cartes à jouer si jamais je ne parvenais pas un moyen de l'intégrer parmi mes semblables.


Dernière édition par Aoi D. Nakajima le Sam 29 Sep 2012 - 18:28, édité 4 fois
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Ainsi donc je fonçais vers le clown enragé avec ma lame brandit vers le ciel dans le but de lui fendre le crane si jamais l'occasion se presente .Mon adversaire du jour , resta sur sa position , il ne bougea pas d'un centimetre en m'attendant ce qui pour moi etait un petit avantage parce que vu qu'il ne bougait pas je vais pouvoir etre très precis avec mon attaque et je vais devoir aussi me donner a fond si je veut vraiment l'atteindre .Donc je me dirigeais vers mon adversaire à grande vitesse avant de faire un bond pour atterir avec ma lame partant du haut vers le bas sur le point de l'atteindre au niveau de la tete mais il contra mon attaque et devia mon arme avant de se decaler vers la gauche .Alors que je m'appretais à effectuer la seconde attaque , le clown fut capable de m'arreter à temps en utilisant un jet de liquide qu'il m'envoya dans les yeux .Ce truc en plus d'etre collant s'est averé etre tres piquant , une sensation que d'ailleurs je n'oublierais pas de sitot vu que j'ai presque fallis en perdre la vue tellement c'etait douloureux .j'arrive à peine à ouvrir completement les yeux pour me rendre compte ce fourbe de clown etait sur le point de porter son attaque .Apres m'avoir brutalement ecrasé le pied d'un coup de talon , il m'attaqua au niveau des reins avec sa baguette avant de m'envoyer tomber et rouler par terre un peut plus loin .
Putain , cet enfoiré a finit par m'avoir en fin de compte , je n'en revenais pas d'etre humilié de la sorte par un vulgaire animal de cirque .Il faut aussi avouer que mon adversaire ne s'etait pas du tout battu dans les regles de l'art parce que ses petits tours...humm...de magie ne faisait que rendre le combat deloyale et cela me deplaisait carrement .Comme si là situation n'etait pas assez humiliante ainsi , voila que pendant que je me relevais , un pruneau se frappa contre mon visage ce qui m'enerva au plus profond de mon ame car mon amour propre venait d'etre touché et il faudra coute que coute que je lave cet affront .

Je me releve donc face à mon adversaire qui me consaillait de rester par terre si je ne veut pas terminer au fond d'un cercueil .Ses menaces me faisait ni chaud ni froid parce que desormais tout ce que me dictait mon cerveau est de tuer ce clown et d'en faire un exemple pour les autres personnes qui pourraient par hasards se foutre de ma gueule.Au lieu de tenir mon katana d'une seule main , je la tenais maintenant de mes deux mains afin d'aiguiser ma technique de combat et d'accroitre ma puissance .Cette fois le clown aura du mal à me surpasser meme si il utilise ses tours deloyale .
Je pose un pas en avant avant de m'appreter à l'attaquer quand soudain sortit de nulle part , je vus de loin Aio & Saul qui se dirigeait vers moi en chevauchant un cheval pendant que le rossignol visait le dos du clown avec son fusil .Ils venaient pour ma poire , apparemment sur les ordres du capitaine il est temps de deguerpir de cet ile parce que la marine va faire son entrée .Ca ne m'enchantait pas du tout de devoir laisser ce clown s'en sortir aussi facilement apres ce qu'il venait de me faire subir mais bon je n'ai pas le choix si je ne veut pas finir comme animal de compagnie dans une des prisons des blues .Donc je me suis laisser faire et je les ai suivis .

Quelques instants plus tard , apres m'etre invité à leur petite escapade en direction de l'endroit ou se trouvait Lust , On vu de loin que ce dernier etait dans de sale drap .En effet en plus de se retrouvait par terre , il etait cerné par une dizaine de soldat de la marine et je pense qu'il va falloir tous les battres si on veut le sortir de là .Avant que l'on ne puisse arriver à destination , je saute du cheval je contourne le batiment à coté de Lust & des soldats de la marine avant de me retrouver face a eux alors qu'ils etaient de dos face à moi donc ils ne me voyaient pas .
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Alors que je me dirigeait vers eux en courant avec mon katana dans la main droite, deux des marins qui se trouvaient derriere la bande apres m'avoir entendu se retournerent . Dans mon elan , je pose les genoux par terre en glissant sur le sol lisse pour ramasser un sabre qui se trouvait par terre avec ma main gauche puis je passe entre les deux marins avant de leur taillader tout les deux le ventre et de les envoyer par la meme occasion au tapis .En me relevant , j'arrive tout juste derriere le l'adjugant Brak puis je lui met mon katana sous la gorge et la pointe du sabre dans ma main gauche sur son dos , pret à l'executer a n'importe quel moment .

-Dis leur de lacher leur arme si tu ne veut pas avoir un ticket aller sans retour pour l'au delà ........Chez tes ancetres bien sur .

Lui dis je sur un ton menacant lui faisant bien comprendre que si il ne m'obeissait pas je ne vais en aucun cas hesiter à l'abattre . Heureusement il compris l'empleur de la situation et il demanda aux soldats de la marine de baisser leur armes , ce qu'ils feront sans poser d'objections .
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    Dans la rue principale, Tommy Sauveur, Lieutenant Colonel en charge de la sécurité de la bonne ville de Fushia était un tantinet agacé pendant que ses différents sous officiers lui faisaient leur rapport... Et en plus il avait paumé son sabre...

    -Et la on les a croisé en train de s'échapper à cheval et ...
    -Et vous les avez arrêté ? Je vous avais dit de boucler le quartier non ?
    -Ouais mais ils étaient rapide chef, puisqu'ils étaient à cheval, et pis on n'était qu'une centaine. C'est peu pour bloquer les rues...
    -Et ensuite ?
    -Ensuite ils sont arrivés au cirque, vous savez, la ou allait le caporal Biggs...
    -Et il les a arrêtés ?
    -Oh non, je crois même pas que les pirates l'ait vu lui et ses hommes, mais c'est surement a cause du cheval, c'est rapide un cheval...La bas ils ont récupéré un autre pirate et ensuite ils...
    -A trois sur le cheval ?
    -Plus la guitare...Mais bon, c'est costaud un cheval... Ensuite ils sont allés à la mairie. La ou sont allés les hommes du lieutenant Mattia.
    -Et elle les a arrêtés ?
    -Oh ben j'crois pas... J'crois pas que les pirates l'aient vu non plus en fait, bizarre...
    -Bon, donc si j'ai bien compris, ils ont traversé nos rangs sans même nous voir, ont traversés la ville jusqu'au champ de foire puis jusqu’à la mairie sans même qu'on arrive à les ralentir ou à les croiser sur la route ?
    -Ouais chef, queque chose comme ça on dirait...
    -alors il n'y a qu'une explication.
    -Oui chef ?
    -La ville est vraiment toute petite. Et si la ville est tout petite ça veut dire... Suivez moi !

    Suivi par ses hommes Tommy Sauveur fait demi tour, tourne à droite au coin de la rue la plus proche ou il retrouve un Angelo tout juste bandé accompagnés d'une dizaine d'artistes et un Roger assez furieux d'avoir été complétement oublié par les pirates et laissé en plan... D'un signe Tommy leur fait signe de suivre le mouvement et tourne une nouvelle fois à droite pour tomber sur le caporal Biggs et ses hommes en train de discuter avec le lieutenant Mattia.

    -Allez en avant on n'a pas de temps à perdre !
    -Vous êtes sur de ce que vous faites Colonel ?
    -Évidemment soldat, d’après la géographie de la ville, la mairie devrait être, juste la !

    Et tournant une nouvelle fois à droite, le lieutenant colonel Tommy Sauveur, le lieutenant Mattia, le caporal Biggs, le clown Angelo, le Barman Roger, suivi d'une centaine de soldats, d'une dizaine d'artistes et d'une dizaine de videur de la guilde des cafetiers débouchent sur la place pour s'expliquer avec les pirates et la poignée de soldats qu'ils croient pouvoir menacer tranquillement.

    -Cette fois on vous tient bande de criminels, vous êtes cernés !
    -Force reste à la loi ! Lâchez vos armes !
    -Personne n'échappe à Angelo, qui est l'enfoiré qui m'a tiré dans le dos ?
    -Cette fois tu es coincé sale punk, je vais te faire bouffer ta guitare !

    -Euh chef, faudrait faire quelque chose pour les couleurs parce que la les hommes comprennent pas tout...

    Les hommes de Mattia et de Biggs et des deux civils s'empressent de se répartir de concert autour de vous pour vous encercler pendant que les soldats encore présents dans la mairie en verrouillent portes et fenêtres. Vous laissant coincés sur le parvis. Face à une foule tout ce qu'il y a d'armé et de belliqueuse...
    Tout d'un coup, alors qu'on venait de secourir Lust in extremis, les Marines et quelques civils nous encerclèrent. On était juste devant la mairie. Et dire qu'on ne pouvait même pas rentrer dans le bâtiment... Pfff! Mauvaise passe? Possible, mais mon heure n'avait pas sonnée et Saul, son frère et Kusanagi comptaient sur moi. Je préparais donc un plan pour quitter définitivement sans encombre ce bled. Cela pouvait surprendre mes nouveaux nakamas s'ils n'avaient jamais vécu l’expérience, mais en ce qui me concernait, j'avais toujours un moyen de prendre la fuite ou de retourner la situation à mon avantage. Je devais alors prouver ma valeur et montrer qui j'étais. J'étais Aoi D. Nakajima, la Reine des Masques, que diable!! Je me sentais prête pour débiter un long monologue, j'avais vraiment envie de faire du théâtre alors que le moment ne s'y prêtait pas. Mais tout d'abord, je fis signe à mes camarades que c'était moi qui maîtrisais la situation.

    - Posez vos armes à vos pieds, messieurs. Faites, ce qu'il demande. Je sais ce que je fais, alors quand vous pensez que c'est bon, vous reprendrez vos armes.

    "Qu'on ouvre les rideaux! L'heure du spectacle a commencé. Nous avons l'honneur d'avoir sur scène la prestigieuse mère, l'unique véritable comédienne ce soir parmi nous. Oui, vous avez bien entendu, nous avons avec nous Aoi D. Nakajima!! Applaudissez-là bien fort!"

    Rentrant dans ce genre de délire, je pouvais en oublier le danger autour de moi. J'étais comme dans un rêve où je me mettais en avant sans se souiller de ce qui pouvait arriver par la suite. J'avais le cran nécessaire pour oser faire cela. Je m'avançais un tout petit peu pour sortir du rang qu'on avait formé. Je respirai un bon coup et j'entamai mon long discours. Curieusement, les civils enragés écoutèrent également. Cela pourrait peut-être déstabiliser quelques soldats ou citoyens...

    - Alors, c'est comme cela que l'aventure s'arrête? Tous les mérites reviendraient-elles à cette banale cargaison de Marines si méprisé par sa hiérarchie, oubliée qu'elle existe par ses propres citoyens? Il faudrait que le destin d'Aoi D. Nakajima soit scellé entre vos mains vous féliciter pour votre bravoure? Que la gloire et l'honneur repose sur ce pauvre lieutenant de pacotille, lui qui a perfectionné un plan pour capturer la célèbre comédienne qui depuis toujours, menais le Gouvernement en bateau?? Ahahahah, depuis quand les rôles s'inversent? Je ne suis pas une pirate de bas échelle, tant dit que toi, tu ne fais pas mouche en moisissant dans ce patelin pathétique.

    Je pris une petite pose, je ne laissais pas répliquer. Les mots venaient tout seul. Je me sentais vraiment bien. Je continuai toujours en y mettant le ton et l'intonation. Je pouvais me faire attendre de très loin sur la place. Personne ne m'interrompait. J'y mettais toute ma splendeur!

    - Toutefois, il faut le reconnaître, nous sommes bel et bien encerclés. Nous n'avons pas d'autre choix que de ne pas broncher et d'appliquer vos ordres. J'ai jouée et j'ai perdue. Les jeux sont faits. J'avoue que c'est honteux de se livrer ainsi à la Marine, mais il faut se rendre à l'évidence. J'aurais préférée une autre façon de me faire pincer. Un autre scénario. J'avais imaginée que je serais sur Grande Line avec une armada venus spécialement pour moi et qui m'encerclait comme en ce moment-même. Le genre de choses où on grossi volontairement les effectifs pour seulement une poignée d’individus... Ahh, seulement, il en fut autrement. Je dois tirer ma révérence, lieutenant colonel Tommy Sauveur.

    Je fis une petite courbette en ôtant mon tricorne de la tête. Pendant que je m’inclinais, je réalisais des mouvent avec la main que tenait mon couvre-chef. Je relevais ensuite, toujours en fixant mon public. Jamais j'aurais cru donner une petite pièce de théâtre improviser à mes pires ennemies... Je fis un autre pas en joignant les deux bras en avant.

    Tout autour de moi, c'était le silence. L'officier ne savait plus trop croire. Il se demandait si c'était du lard ou du cochon. Cela lui semblait trop facile et même curieux subitement. Après maintes réflexions brefs, il ordonna à un soldat de me mettre les fers. Il voulait saisir cette chance, c'était pour lui l'occasion de gagner la confiance de ses supérieurs s'il parvenait à me mettre au trou.

    Le soldat s'avançait vers moi l'air confient. Au moment où il s'apprêtait à me mettre les menottes, je fis sortir la lame que je gardais en réserve de mon bras gauche vers l'avant et je chopai par le cou avec l'autre le pauvre homme. Je le fis retourner en une seconde et aussitôt, je me retrouvais avec un otage, prête à donner des ordres pour faire évacuer mes nakamas. Je reculais ainsi vers Saul, Lust et Kusanagi. Ils avaient compris qu'ils pouvaient reprendre leur arme. La foule de soldats étaient eux aussi prêts à réagir sous la moindre violence de ma part, mais ils étaient légèrement en dessus dessous sous l'effet de surprise.

    - Attention à ce que vous faites, lieutenant colonel. Jusque là, vous n'avez pas encore perdu d'hommes. Il serait dommage que nous soyons amenés à répandre le sang dans vos rangs.

    Sans me retourner, je demandais à Saul de charger sa guitare et de la pointer en direction de la mairie. Quant à Lust et Kusanagi je voulais qu'ils surveillent à droite et à gauche. On avait notre ticket de sortie! On pouvait maintenant joindre le reste de l’équipage, mais en passant par l'intérieur des terres. Je ne voulais pas qu'ils nous suivent... Notre groupe commença à prendre la tangente sous les yeux dégoûtés des personnes qui nous en voulaient plus tôt.
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      Dans la foule de soldats les réactions à ton discours sont assez mitigés, on se regarde on se pousse du coude, on se murmure des trucs à voix basse dans le creux de l'oreille et on continue pas moins a serrer ses armes avec ferveur.

      -Lieutenant de pacotille ? Tu crois qu'elle parle du chef ?
      -Non je pense pas, elle à l'air de parler de quelqu'un qui veut la capturer depuis longtemps...
      -Et la célèbre comédienne c'est elle ? Mais je croyais que sa prime était récente ?
      -En attendant elle se rend...
      -Ouais, le colonel l'a bien eu ça c'est sur.
      -Oh mon dieu, elle a pris Jerry en otage !

      De stupeur et pour ne pas connaitre le même sort, tout les troufions font un pas en arrière et vous braquent à nouveau franchement. Conséquence directe de cette dérobade, le cercle d'hommes menaçants s'élargit et les têtes de files qui n'ont pas reculés se retrouvent immédiatement mis en valeur un pas en avant de leurs hommes...

      Angelo : Tu bluffes Aoi! (Aux autres) Elle bluffe !
      Tommy: Pas sûr.
      Roger: Si si elle bluffe, ça se voit tout de suite.
      Tommy: Elle a pas l’air de bluffer là quand même.
      Angelo : Mais siiii, elle bluffe là !
      Roger: Moi je suis de l’avis d'Angelo là, elle bluffe. On vote ? On vote. Moi je vote et je dis qu'elle bluffe...
      Tommy: Non on ne vote pas! C'est moi le chef ici, alors c'est moi qui commande ! J’espère que c'est bien clair pour tout le monde, vous ferez ce que je dis !


      Laissant la les trois autres qui bougonnent un peu pour le principe, Le lieutenant Colonel se tourne vers toi. Il a le regard lucide et décidé de ceux qui ont pris une décision et s'y tiendront, aussi difficile soit'elle.

      -Tu n'est qu'une pirate sanguinaire de la pire espèce Aoi Nakajima et je n'ai aucune confiance en ta parole. Si je te laisse partir avec un otage je suis sur que tu le tueras dés que tu seras libre.

      Dans tes bras le soldat Jerry a un sursaut de bravoure devant l’œil inflexible de son commandant. Acceptant son destin d'otage malheureux et de futur macchabée probable.

      -Colonel, j'accepte de mourir. Mais tuez la aussi !

      L'affaire se corse, si le soldat que tu tiens se sacrifie, tu te feras immédiatement truffer de plomb... Mais Tommy reprend la parole.

      -Moi je n'ai qu'une parole Aoi Nakajima, celle d'un officier de la marine ! Alors voila ma proposition. Libère le soldat Jerry maintenant et je te laisserai rejoindre ton bateau avec tes hommes. Essaye de l'emmener ou de le tuer et tu mourras avec lui !
      Quel spectacle! L'humour était au rendez-vous. Voilà les civils qui s'y mettaient, ahahaha. Malgré ce petit moment de détente, la situation devenez de plus en plus tendue. J'avais affaire avec un coriace! Je devais à nouveau reprendre la main pour montrer que je ne laisserais pas tomber.

      - Tu n'es qu'une pirate sanguinaire de la pire espèce Aoi Nakajima et je n'ai aucune confiance en ta parole. Si je te laisse partir avec un otage je suis sûr que tu le tueras dès que tu seras libre.

      - Alors, nous sommes deux. Ta parole ne vaut pas plus que la mienne. Tu veux prendre sa place peut-être?

      Je détestais négocier de la sorte. C'était un dialogue de sourd. Aucun de nous deux sera déterminés à lâcher prise. On était ferme sur notre volonté. Je devais une fois de plus prouver ma valeur à mes nouveaux nakamas... Quant à eux, ils avaient l'air de me laisser faire. Je ne pouvais trop voir sur ce qu'ils faisaient, car j'étais bien trop concentrée sur Tommy Sauveur.

      Soudain, mon otage fit preuve de courage en prétendant acceptait la mort à condition qu'on me tue juste après. Pff, c'était pas ça qui allait le sauver! Son intervention n'interrompait pas mon ambition. J'étais très déterminée et j'avais surtout d'autre carte en réserve!! Le lieutenant reprit.

      - Moi je n'ai qu'une parole Aoi Nakajima, celle d'un officier de la marine! Alors, voilà ma proposition. Libère le soldat Jerry maintenant et je te laisserai rejoindre ton bateau avec tes hommes. Essaye de l'emmener ou de le tuer et tu mourras avec lui!

      *C'est ce que je dis, ta parole ne vaut pas plus que la mienne...*

      Toujours cette histoire de promesses qui n'étaient que du vent pour certains... Je soufflai un coup et je répliquai sèchement, faisait preuve de mon autorité.

      - Tu n'es pas en mesure de me défier ou de me donner des ordres. Tu ne comptes pas voir un bain de sang pour un petit malentendu. Cela ferait tâche dans ton dossier, si toutefois tu survivrais au massacre éventuelle... Voilà ce qu'on va faire. Pour faire preuve d'égale à égale, tu as le droit de choisir quatre de tes meilleurs hommes, gradés compris. On va tous les huit marcher tranquillement à distance, nos armes respectifs pointés vers nos adversaires. On quittera de cette manière le village sans faire le moindre dégâts supplémentaires avec vous pour témoins. Une fois dans le champs, mon groupe lâchera l'otage. Si jamais, vous ouvrez le feu, on rappliquera derrière.

      Ce dernier donna les dernières conditions pour ma requête que je ne pouvais évidemment pas refuser. Il fallait faire avec.

      - Quatre contre quatre. Ce serait égal si j'avais moi aussi un otage, hors ce n'est pas le cas. Soit vous me laissez un de vos hommes désarmé comme vous avez un des miens. Soit mes soldats vous accompagneront jusqu'au bout.

      - J’accepte de donner un de mes hommes. Seulement, ça va être moi l'otage. Comme ça, on ne se tapera pas le reste. Et là, se sera vraiment équitable.

      - D'accord, vous en otage au milieu de moi et quatre de mes hommes. On vous escorte jusqu'à votre bateau. On échange les otages et vous quittez cette ile...

      Il s'adressa ensuite à ses soldats.

      - Fouillez la, qu'elle ne nous fasse pas une nouvelle fois le coup de l'arme dissimulée.

      Puis, il revient à nouveau pour moi.

      - Vous comprendrez que je prenne des précautions... Les hommes qui m'accompagneront seront.

      Il eut une intense réflexion pendant qu'il jette un oeil sur les troupes.

      ...la lieutenant Mattia, évidemment et...

      - Moi!, s'exclamait le dit Roger.

      - Et moi! enchaîna Angelo. Pas question de vous laisser les raccompagner hors de la ville tout seul.

      - Et bien c'est d'accord. Mattia, Roger et Angelo seront mes compagnons.

      De cette manière, on était désormais d'accord en tous points. Je demandai alors à Kusanagi de garder l'otage avec son katéna. Quant à moi je me laissai fouiller par la lieutenante Mattia. En tous cas, mes envies sexuelles remontèrent à la surface d'un coup. Elle était bien mignonne... Elle me fit donc détacher ma lame de mon bras gauche et elle sortit mon pistolet de mon ventre.

      Cependant, j'exigeai de passer mes effets personnels à Lust. Et je demandais à son frère de se préparer à toutes éventualités. Chacun fit ce qu'il fallait. On se dirigeait alors tous vers l'extérieur du village. On était maintenant à mi-chemin. Il n'y eut aucun problème. Le bled et les soldats étaient loin, maintenant. Plus on se rapprochait de l'Inferno, plus on avait l'avantage.
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      Alors que je pensais qu'en prenant l'adjugant Brak comme hotage il se pourrait à coups sur qu'on ais une chance de s'echapper de ce bled merdique , il ne fallut que quelques secondes pour que la situation puisse tourner à notre desavantage .En effet desormais on avait la majorité de la ville très en colère pret a nous botter le cul qui nous encerclait en veillant à ne pas nous laisser un issue de secours ou de l'espoir à propos de notre avenir hors des contours de cette ile .Le lieutenant colonel tommy sauveur qui était à la tete de la foule , accompagné par quelques uns de nos recents adversaires nottamment le clown de tout à l'heure qui voulait se venger de moi à cause du feu que j'ai foutu dans son cirque , nous ordonna de baisser nos armes afin de nous rendre et cerise sur le gateau..... Aoi se soumis à la volonté du Marin en nous disant de l'obeir avant de continuer en chuchotant un truc que malheureusement je ne pus entendre tellement j'etais occupé à reflechir à une situation pour nous sortir de ce merdier .Je finis par decider de faire confiance à la capitaine et d'ainsi baisser mon arme et de relacher l'adjugant Brak qui alla se refugier derriere le lieutenant colonel .

      Cepedant je ne vous cache pas que lorsque Aoi se mis à faire son speech dramatique sur la fin de notre parcour , dans ma tete s'etait " Mais qu'est ce qu'elle fout " , je ne pouvais pas me resigner à l'idée qu'une pirate comme elle avec sa reputation de femme battante puisse abandonner si facilement .Etait ce vraiment une bonne idée de la suivre et de naviguer sous ses ordres ?Pff.......Face à la scène dont j'assistais mon esprit etait tres confus et en aucun cas je n'accepterais de me rendre aussi facilement , je prefererais encore mourir plustot que de me laisser prendre par ses enfoirés de la marine .

      Quand soudain pendant que j'etais en plein meditation sur la situation du moment , Aoi sans crier gare pris en otage l'un des soldats de la marine qui s'appretait a lui mettre les menottes avant de mettre ainsi Tommy sauveur au pied du mur .A ce moment je compris ce qu'elle voulait faire depuis le debut et je compris aussi qu'il etait temps de reprendre mes armes , ce que je fis avec un geste rapide puis je pointe mes deux lames vers mes ennemis histoire de leur faire comprendre que je n'hesiterais pas à tuer n'importe quelle personne qui osera faire un pas en avant .

      Apres quelques minutes à negocier avec le lieutenant colonel Tommy sauveur pour nous laisser nous echapper , Aoi est parvenu à ce que l'on puisse regagner sain et sauf le navire à trois condition , qu'il nous escorte avec l'aide de ses quatres meilleurs hommes que l'on ne tue pas l'hotage et qu'enfin d'equilibrer les choses eux aussi doivent avoir un otage.Pour prouver sa bonne foi , Aoi se proposa pour etre leur otage avant de me donner l'ordre de veiller sur notre otage durant tout le promenade .

      Ainsi , quelques minutes plus tard , on se retrouva sur le rivage puis un homme qui provenait de notre navire de pirate , se dirigea vers notre direction à bord d'une barque dans le but de nous prendre et de nous ramener sain et sauf sur le navire , loin de nos ennemis qui mourraient d'envie de se venger de nous .Héhé !! On dirait bien qu'apres tout on va pouvoir s'en sortir .

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      La soirée avait été bien remplit et il fallait dire que je commençais à en avoir marre de cette campagne peuplée de gros lourds grognons. La piraterie était cruelle, autant pour les victimes que les criminels. Lust et moi venions d'entrer dans cette grande famille du crime, j'avais hâte de voir ce qui nous attendait. Quelles aventures extraordinaires allions-nous vivre? Je bouillonnais d'impatience. Bien entendu nous allions devenir plus fort également, avec le temps et les expériences. Peut-être même qu'un jour nous reviendrons ici et détruirons ceux qui avaient osé s'interposer sur notre chemin.

      Je songeais à tout cela pendant qu'Aoi, notre désormais capitaine, se donnait en spectacle. C'était d'ailleurs le cas de le dire ; il s'agissait d'une comédienne très habile. J'étais rassuré de voir qu'elle était à la hauteur de mes espérances. Lust et moi devions être encadrés par de bons éléments, pour progresser d'une part et pour nous assurer une certaine sécurité et protection. Je commençais à saisir le lien presque familial qui unissait les pirates d'un même équipage.

      Vint le moment où je pus ressaisir mon arme et la pointer sur les dizaines de marines qui nous menaçaient. Ils auraient put nous tuer rapidement, mais nous n'étions sûrement pas assez intéressants pour cela. Ils voulaient nous enfermer en prison, banalement, quoi de plus ennuyeux? Je n'étais pas venu jusqu'ici pour croupir dans une cage. La situation se débloquait peu à peu, le leader des autorités locales commençait à plier. Tout ce qu'il voulait en réalité c'était que cet endroit retrouve son calme d'antan. À vrai dire de notre côté nous avions fait ce que nous avions à faire.

      "Reste tranquille boule de gras!"

      Lançais-je à Roger qui commençait à s'exciter dans son coin. Ce type n'avait donc apparemment pas souffert de mes assauts pourtant bien calculés. Je voyais aussi le clown qui avait flanqué une bonne correction au jeune et sournois Kusanagi. Lui non plus n'avait rien subit de mon attaque en traître... Puis mon regard se posa sur Lust, mon frère. Il avait prit cher lui par contre, il lui fallait même un médecin plutôt rapidement vu le sang qu'il avait perdu.

      "Allez on se bouge, Lust a besoin de soins."

      Soufflais-je à mes camarades, tandis qu'Aoi se faisait encercler par les hommes du Lieutenant-Colonel. À défaut d'avoir été un élément clef dans cette affaire, je pouvais au moins faire en sorte que mon frère survive. Ma guitare était prête s'il fallait calmer les ardeurs de certains héros un peu trop sûr d'eux. Au bout de quelques minutes de marche nous arrivâmes au bord de l'eau, où une barque venait d'être amarrée par un autre nakama d'Aoi que je ne connaissais pas. Je me plaçai devant l'embarcation puis attendait que les autres montent d'abord.

      "Passez devant, je veille à ce que les Marines tiennent parole."

      Trivium chargée, je n'avais qu'à frotter une corde pour donner la mort à l'un d'eux.
        Le transfère s'était déroulé sans histoire. Tout se passait pour le mieux. J'avais à nouveau mes armes sur moi et le pauvre soldat Jerry était maintenant sein et sauf en compagnie de ses supérieurs. Il pourra se vanter de son courage, désormais... Chacun avait tenu parole. Ainsi, je ne m'étais pas ma réputation en danger. J'étais enfin contente de terminer cette affaire qui ne manquait pas de piquants. J'étais aussi sûre que mes nouvelles recrues garderaient une bonne image de moi. Bref, tout était parfait. Il y avait juste un détail qui me rongeait depuis le début, mais je devais y renoncer pour ne pas mettre en péril l'équipage. Toutefois, on avait à nouveau l'avantage. Mes nakamas sur mon navire tenaient en joue le groupe de Marines et de civils.

        - Et voilà, lieutenant colonel. Tout s'est déroulé dans l'ordre. Vous pouvez être sûr que la parole et la piraterie ne sont pas forcément deux choses indissociables.

        Je prouvai que j'avais une parole. C'était très important pour moi. Je me demandais ce qui allait se dérouler ici par la suite. En ce qui concernait mes matelots, j'avais déjà des objectifs à accomplir. L'heure de notre départ avait sonné. Voilà Nakano qui venait en barque. Toujours prêts à me servir celui-là... Tous mes hommes étaient rentrés de leur permission. On était au grand complet. Je remerciai Saul pour sa bravoure, mais je lui demandai de rejoindre la chaloupe. Son frère était assez mal au point et il fallait le soigner rapidement. Pour Kusagani, il devait s'occuper du peu de nos gains. Il les chargeait sur le petit bateau. Quant à moi, je rentrai également avec eux dedans. J'osai une petite touche d'humour pendant qu'on rejoignait l'Inferno.

        - En tout cas, ravie de faire des affaires avec vous, ahahaha. Vous pouvez regagner le village sans crainte.

        Je me retournai vers mes paires et je leur ordonnai d'aider à évacuer le blessé et de charger notre pitoyable trésor. Le musicien qui tenait encore sa guitare semblait être encore perplexe et ne perdait pas des yeux les officiers adverses.

        Une fois sur le navire, on quitta la crique. J'attendais qu'on s'éloigne de l'île pour présenter les nouveaux arrivants et surtout donner un cape.

        - En route pour Las Camp. On a encore quelque chose à faire là-bas.

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        Aoi D. Nakajima



        ~FIN~
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