Étonnant. Comment avions nous fait pour passer à côté d’une telle entité? Comment avions-nous réussi à faire fit d’une telle construction? C’était désormais clair, les pirates de Morvak devaient être resté presqu’un an sur cet île de fous pour s’être développés. Un an n’était-il pas le temps d’attente pour que le Log Pose se recharge sur cette île?
Un fort intégralement bâtit dans le solide bois des arbres géants de la forêt humide. Bâtit sur la pointe nord d’une immense clairière voisine à une anse, la forteresse de deux étages de Morvak trônait au milieu du boisé pour faire assumer à toute la population de la jungle sa prédominance sur ce territoire millénaire. Quatre tours, des crénelons et des meurtrières, tout pour tenir longtemps en période de siège, mais notre monde n’a-t-il pas depuis longtemps fait outrage aux bonnes traditions des sièges féodaux? Je m’égare pour l’instant, nous viendrons plus tard à cette partie de la mission. Concentrons nous d’abord sur le territoire des pirates de ce seigneur pirate. Le navire titanesque des morviens baignait calmement dans l’anse, bien ancré au fond sablonneux de l’endroit où les courants ne venaient point porter de vagues ni de mauvaises surprises aquatiques. Le Roaring-Lion, vaisseau de Morvak, atteignait sans peine des tailles peux comparables chez les navires pirates. En effet, merveille de charpenterie conçue pour pouvoir accueillir un nombre impossible de pirates en son bord, le monstre fait de bois et de volonté semblait presque pouvoir se tenir humblement face au Léviathan. Assumons tout de même que le vaisseau de l’amiral en chef ne tenait toujours que par chance après les assauts des flammes sur toute sa fondation.
La clairière devait bien mesurer plus de deux cents mètres par cent, un vrai champ de bataille désigné pour le prochain chapitre des Rhinos sur l’île préhistorique. Des herbes hautes, des fougères et des champignons entremêlés à des racines poussaient ça et là sur cette plaine où moi et tout les membres pouvant combattre du Léviathan nous trouvions. Un silence non-négligeable régnait sur le futur champ de bataille où s’étaient agglomérés un nombre allant dans les centaines de soldats portant les insignes de la marine, organisation suprême mondiale qui proclamait à nouveau sa puissance face à la piraterie.
À ma gauche, ainsi qu’à ma droite; les officiers de partout dans le Léviathan. Des noirs sous-sols de charpenterie jusqu’aux grandes salles de réunions, chaque officier de chaque assignement se trouvait aligné à mes côtés. Moi qui, simple sergent chef s’était vu octroyer le commandement de tout l’équipage du navire monstre de la marine pour clore cet acte qui n’avait que trop duré.
J’avais revêtu mon plus fier uniforme comme tout les membres de mon groupe, de simple marin à révéré commandant. Sabre à la ceinture, pistolet et mousquet en main, les casquettes des soldats renvoyaient l’éclat indéfectible de ma volonté de gagner en ce faste jour. Le soleil se levait paresseusement pour effacer les souvenirs d’une nuit des plus éprouvantes. Mais peu était l’importance désormais, tout allait se régler sur cette plaine qui verrait le sang couler comme jamais. J’avais demandé l’extraction de la carcasse de mon bijou de charpenterie de tous les canons pouvant encore être utilisés, histoire de mettre toute les chances de mon côté.
Artillerie en place, moi et tout le bataillon nous étions donc disposés en formation rectangulaire pour maximiser l’efficacité du combat que nous mènerions très bientôt.
Il ne fut pas long avant que des masses de pirates commencent à sortir par les grandes portes du fort. Eux aussi tous silencieux, ils vinrent se placer efficacement en un groupe désordonnés qui, de loin, ne me faisait penser qu’à une armée de fourmis qui s’agglutinaient à l’entrée de leur fourmilière. Dépassant les plus basses centaines en nombre, cette horde de pirates fut bientôt rejoint par des meutes entières de fauves, des couvées complètes de reptiles gigantesques ainsi qu’une farandole d’autres créatures peux sympathiques qui peuplaient les bois mortels de la jungle. Les dires du commodore Swan étaient justifiés, les pirates de Morvak avaient bel et bien réussi à apprivoiser et dresser les plus terribles créatures de Little Garden, et ce pour le pire de l’équipage du Colonel Fenyang. J’eu une courte pensée pour ce dernier qui était peut-être mort au fin fond de la forêt, laissé derrière par ses assaillants trop nombreux. Ou peut-être attendait-il avec espoir que ce combat connaisse une fin et que l’on puisse ainsi le libérer des chaines du terrible Morvak.
Mais au fond, qui était ce Morvak qui se cachait si bien derrière son armée de truands? Méritait-il vraiment tout les problèmes qu’il nous apportait? Avait-il vraiment la trempe des grands pirates qui doivent être arrêtés? Ça, seul Salem pouvait le savoir désormais.
Toujours silencieuse malgré les troupes infinies qui s’aggloméraient devant elle, je sentais que mon armée, elle aussi, commençait à éprouver du stress et la panique se fit sentir dans les rangs.
Et cette panique était justifiée, des catapultes pleines de je-ne-savais-quoi se profilaient à leur tour derrière les troupes toujours émergeantes du colossal fort. Alors c’était comme ça qu’ils avaient trouvé le moyen d’abraser l’icône de navigation qu’était le Léviathan? En utilisant de primitifs engins de siège? Pathétique, mais efficace malgré tout. C’était à force de cette arrivée incessante d’obstacles plus dangereux les uns que les autres que la panique gagnait graduellement les membres de l’équipage des Rhinos Storms. Peu à peu, des chuchotements se faisaient entendre un peu partout dans la masse de soldats de la marine, chacun sachant que son destin approchait peut-être de sa fin.
« Fais quelque chose! »
-Hein quoi?
« Bah ils vont s’pisser dessus, dis leur un truc pour leur remonter le moral! »
Dark marquait à nouveau un point, à quoi servait-il de se lancer dans une bataille perdue d’avance avec des troupes au moral à zéro. Méritais-je de me battre avec des hommes qui avaient déjà abandonné? Non, certainement pas, et je ferais en sorte que cela ne soit pas ainsi lorsque l’heure finale aurait sonné.
Loin devant moi, les hordes de Morvak lâchèrent un cri de guerre des plus provocateur. Tous unis dans le désir de faire couler le sang des marines :
- ALLEZ-VOUS FAIRE FOUTREEEE BANDE DE CONNAAAAAAARDS!!!!!!! RAAAAAAAAAAAAHHHHHHHH!!!!!!!
Voilà le genre de discours qu’on se plaisait à employer devant ma personne. C’en était assez, j’avais beau être sergent chef seulement, j’allais faire de mes troupes une vrai force au caractère ne pouvant être stoppé.
-Écoutez moi bandes de couillons! Je répèterai pas deux fois c’discours car j’en aurai p’t’être plus la chance dans moins d’une heure! Devant nous y sont des centaines! Devant nous y ont des bêtes sauvages! Devant nous y ont des catapultes! Oui certains d’entre vous vont mourir! Oui certains d’entre vous vont regretter leurs actes! Mais jamais on va reculer devant une bande de pirates fumeux! EST-CE BIEN CLAIR!?
Un silence…puis une voix perça cette peu dynamique absence de son venant des soldats.
-Qu’est-ce qu’il a dit?
-…
-Bon, je sais que pour vous tous, je suis qu’un rebut. Et oui, une simple merde différente des autres qui mériterait sans doute de ne pas exister. Mais tant qu’à exister, tant qu’à assumer pleinement le fait que je respire et que chaque jour je vis les mêmes évènements que vous bandes de cons. Tant qu’à assumer que Double Face Jenkins, aujourd’hui mène vos vies vers un front dangereux. Pourquoi diable ne pas faire confiance à cet idiot de Double Face qui tente malgré tout de faire de vous de braves compagnons?! HEIN POURQUOI!? Je sais que j’ai pu en faire baver parmi vous, je sais que je peux en effrayer un paquet ici, mais bon sang bande d’idiot pourquoi cela affecterait-il le fait que tout comme vous, j’suis un putain de marine et que malgré tout c’que vous pouvez penser, je me bats aussi pour une putain de justice en ce bas monde! Alors suivez-moi les gars! SUIVEZ-MOI VERS LA RUINE! VERS NOTRE PERTE! ET À LA FIN DU MOOOOONDE!
Maintenant des sourires déterminés s’affichaient sur les visages des uns. Des cris de victoire fusaient des bouches des autres. J’avais réussi à conquérir l’équipage, à les inspirer. Avais-je gagné leur confiance? La question ne se posait pas pour l’instant, car c’est un tout autre évènement qui prenait maintenant place. Sans plus attendre, je m’élançai vers l’ennemi, seul ou non, plus rien ne m’importait. Je courais désormais tel un fou furieux vers ceux qui avaient osé défier l’équipage du Léviathan, le plus gros bateau du monde. Et cet équipage qui vient dans ce bateau, ben c’est dommage pour eux car il est bourré d’une bande de cinglés. Une bande de cinglés que personnes n’aurait dût défier. Maintenant un cinglé parmi ces cinglé courait à s’en exploser les poumons vers une armée deux fois plus nombreuse que la sienne. Et ce, sans jamais ce retourner.
Ce cinglé, c’était moi, moi qui, baptisé de naissance Oswald, n’hésita pas à se désister un simple instant de son nom de naissance pour hurler pleinement ce que mon cœur me criait d’accomplir.
LEEEEEEEEEEERRRRROOOOOOOOOOOOOOOOYY JEEEEEEEEEEEEEEEEENKIIIIIIIIIIIIIIINNNNS!!!!
Les corps se frappèrent, les projectiles fusèrent, les sabres s’entrechoquèrent et s’enfoncèrent…et la grande bataille de Little Garden s’enclencha; bataille qui resterait gravée à jamais dans le cœur de ceux qui y participèrent, mais aussi dans le paysage de l’île qui resterait à jamais changé par un tel affrontement.
Un fort intégralement bâtit dans le solide bois des arbres géants de la forêt humide. Bâtit sur la pointe nord d’une immense clairière voisine à une anse, la forteresse de deux étages de Morvak trônait au milieu du boisé pour faire assumer à toute la population de la jungle sa prédominance sur ce territoire millénaire. Quatre tours, des crénelons et des meurtrières, tout pour tenir longtemps en période de siège, mais notre monde n’a-t-il pas depuis longtemps fait outrage aux bonnes traditions des sièges féodaux? Je m’égare pour l’instant, nous viendrons plus tard à cette partie de la mission. Concentrons nous d’abord sur le territoire des pirates de ce seigneur pirate. Le navire titanesque des morviens baignait calmement dans l’anse, bien ancré au fond sablonneux de l’endroit où les courants ne venaient point porter de vagues ni de mauvaises surprises aquatiques. Le Roaring-Lion, vaisseau de Morvak, atteignait sans peine des tailles peux comparables chez les navires pirates. En effet, merveille de charpenterie conçue pour pouvoir accueillir un nombre impossible de pirates en son bord, le monstre fait de bois et de volonté semblait presque pouvoir se tenir humblement face au Léviathan. Assumons tout de même que le vaisseau de l’amiral en chef ne tenait toujours que par chance après les assauts des flammes sur toute sa fondation.
La clairière devait bien mesurer plus de deux cents mètres par cent, un vrai champ de bataille désigné pour le prochain chapitre des Rhinos sur l’île préhistorique. Des herbes hautes, des fougères et des champignons entremêlés à des racines poussaient ça et là sur cette plaine où moi et tout les membres pouvant combattre du Léviathan nous trouvions. Un silence non-négligeable régnait sur le futur champ de bataille où s’étaient agglomérés un nombre allant dans les centaines de soldats portant les insignes de la marine, organisation suprême mondiale qui proclamait à nouveau sa puissance face à la piraterie.
À ma gauche, ainsi qu’à ma droite; les officiers de partout dans le Léviathan. Des noirs sous-sols de charpenterie jusqu’aux grandes salles de réunions, chaque officier de chaque assignement se trouvait aligné à mes côtés. Moi qui, simple sergent chef s’était vu octroyer le commandement de tout l’équipage du navire monstre de la marine pour clore cet acte qui n’avait que trop duré.
J’avais revêtu mon plus fier uniforme comme tout les membres de mon groupe, de simple marin à révéré commandant. Sabre à la ceinture, pistolet et mousquet en main, les casquettes des soldats renvoyaient l’éclat indéfectible de ma volonté de gagner en ce faste jour. Le soleil se levait paresseusement pour effacer les souvenirs d’une nuit des plus éprouvantes. Mais peu était l’importance désormais, tout allait se régler sur cette plaine qui verrait le sang couler comme jamais. J’avais demandé l’extraction de la carcasse de mon bijou de charpenterie de tous les canons pouvant encore être utilisés, histoire de mettre toute les chances de mon côté.
Artillerie en place, moi et tout le bataillon nous étions donc disposés en formation rectangulaire pour maximiser l’efficacité du combat que nous mènerions très bientôt.
Il ne fut pas long avant que des masses de pirates commencent à sortir par les grandes portes du fort. Eux aussi tous silencieux, ils vinrent se placer efficacement en un groupe désordonnés qui, de loin, ne me faisait penser qu’à une armée de fourmis qui s’agglutinaient à l’entrée de leur fourmilière. Dépassant les plus basses centaines en nombre, cette horde de pirates fut bientôt rejoint par des meutes entières de fauves, des couvées complètes de reptiles gigantesques ainsi qu’une farandole d’autres créatures peux sympathiques qui peuplaient les bois mortels de la jungle. Les dires du commodore Swan étaient justifiés, les pirates de Morvak avaient bel et bien réussi à apprivoiser et dresser les plus terribles créatures de Little Garden, et ce pour le pire de l’équipage du Colonel Fenyang. J’eu une courte pensée pour ce dernier qui était peut-être mort au fin fond de la forêt, laissé derrière par ses assaillants trop nombreux. Ou peut-être attendait-il avec espoir que ce combat connaisse une fin et que l’on puisse ainsi le libérer des chaines du terrible Morvak.
Mais au fond, qui était ce Morvak qui se cachait si bien derrière son armée de truands? Méritait-il vraiment tout les problèmes qu’il nous apportait? Avait-il vraiment la trempe des grands pirates qui doivent être arrêtés? Ça, seul Salem pouvait le savoir désormais.
Toujours silencieuse malgré les troupes infinies qui s’aggloméraient devant elle, je sentais que mon armée, elle aussi, commençait à éprouver du stress et la panique se fit sentir dans les rangs.
Et cette panique était justifiée, des catapultes pleines de je-ne-savais-quoi se profilaient à leur tour derrière les troupes toujours émergeantes du colossal fort. Alors c’était comme ça qu’ils avaient trouvé le moyen d’abraser l’icône de navigation qu’était le Léviathan? En utilisant de primitifs engins de siège? Pathétique, mais efficace malgré tout. C’était à force de cette arrivée incessante d’obstacles plus dangereux les uns que les autres que la panique gagnait graduellement les membres de l’équipage des Rhinos Storms. Peu à peu, des chuchotements se faisaient entendre un peu partout dans la masse de soldats de la marine, chacun sachant que son destin approchait peut-être de sa fin.
« Fais quelque chose! »
-Hein quoi?
« Bah ils vont s’pisser dessus, dis leur un truc pour leur remonter le moral! »
Dark marquait à nouveau un point, à quoi servait-il de se lancer dans une bataille perdue d’avance avec des troupes au moral à zéro. Méritais-je de me battre avec des hommes qui avaient déjà abandonné? Non, certainement pas, et je ferais en sorte que cela ne soit pas ainsi lorsque l’heure finale aurait sonné.
Loin devant moi, les hordes de Morvak lâchèrent un cri de guerre des plus provocateur. Tous unis dans le désir de faire couler le sang des marines :
- ALLEZ-VOUS FAIRE FOUTREEEE BANDE DE CONNAAAAAAARDS!!!!!!! RAAAAAAAAAAAAHHHHHHHH!!!!!!!
Voilà le genre de discours qu’on se plaisait à employer devant ma personne. C’en était assez, j’avais beau être sergent chef seulement, j’allais faire de mes troupes une vrai force au caractère ne pouvant être stoppé.
-Écoutez moi bandes de couillons! Je répèterai pas deux fois c’discours car j’en aurai p’t’être plus la chance dans moins d’une heure! Devant nous y sont des centaines! Devant nous y ont des bêtes sauvages! Devant nous y ont des catapultes! Oui certains d’entre vous vont mourir! Oui certains d’entre vous vont regretter leurs actes! Mais jamais on va reculer devant une bande de pirates fumeux! EST-CE BIEN CLAIR!?
Un silence…puis une voix perça cette peu dynamique absence de son venant des soldats.
-Qu’est-ce qu’il a dit?
-…
-Bon, je sais que pour vous tous, je suis qu’un rebut. Et oui, une simple merde différente des autres qui mériterait sans doute de ne pas exister. Mais tant qu’à exister, tant qu’à assumer pleinement le fait que je respire et que chaque jour je vis les mêmes évènements que vous bandes de cons. Tant qu’à assumer que Double Face Jenkins, aujourd’hui mène vos vies vers un front dangereux. Pourquoi diable ne pas faire confiance à cet idiot de Double Face qui tente malgré tout de faire de vous de braves compagnons?! HEIN POURQUOI!? Je sais que j’ai pu en faire baver parmi vous, je sais que je peux en effrayer un paquet ici, mais bon sang bande d’idiot pourquoi cela affecterait-il le fait que tout comme vous, j’suis un putain de marine et que malgré tout c’que vous pouvez penser, je me bats aussi pour une putain de justice en ce bas monde! Alors suivez-moi les gars! SUIVEZ-MOI VERS LA RUINE! VERS NOTRE PERTE! ET À LA FIN DU MOOOOONDE!
Maintenant des sourires déterminés s’affichaient sur les visages des uns. Des cris de victoire fusaient des bouches des autres. J’avais réussi à conquérir l’équipage, à les inspirer. Avais-je gagné leur confiance? La question ne se posait pas pour l’instant, car c’est un tout autre évènement qui prenait maintenant place. Sans plus attendre, je m’élançai vers l’ennemi, seul ou non, plus rien ne m’importait. Je courais désormais tel un fou furieux vers ceux qui avaient osé défier l’équipage du Léviathan, le plus gros bateau du monde. Et cet équipage qui vient dans ce bateau, ben c’est dommage pour eux car il est bourré d’une bande de cinglés. Une bande de cinglés que personnes n’aurait dût défier. Maintenant un cinglé parmi ces cinglé courait à s’en exploser les poumons vers une armée deux fois plus nombreuse que la sienne. Et ce, sans jamais ce retourner.
Ce cinglé, c’était moi, moi qui, baptisé de naissance Oswald, n’hésita pas à se désister un simple instant de son nom de naissance pour hurler pleinement ce que mon cœur me criait d’accomplir.
LEEEEEEEEEEERRRRROOOOOOOOOOOOOOOOYY JEEEEEEEEEEEEEEEEENKIIIIIIIIIIIIIIINNNNS!!!!
Les corps se frappèrent, les projectiles fusèrent, les sabres s’entrechoquèrent et s’enfoncèrent…et la grande bataille de Little Garden s’enclencha; bataille qui resterait gravée à jamais dans le cœur de ceux qui y participèrent, mais aussi dans le paysage de l’île qui resterait à jamais changé par un tel affrontement.