Mission: Pour une fin de mois...
Des tas de rires éclataient autour de moi. Une bonne humeur et une très forte odeur d'alcool nimbaient l'air ici. J'étais dans un petit bar, l'oie des sables je crois bien. Enfin peu importe ils fonts un excellent rhum ici. C'est vraiment très inhabituel de trouver un alcool de cette trempe aussi sucré je dois dire, cela donne un goût que l'on aurait jamais imaginer avoir en buvant cette boisson là. L'oie des sable se trouvait sur une grande île, perdu elle même dans l’immensité de l'océan. Pour une fois j'avais fait une pause à terre de mon plein gré, bien sûr j'en ais profité pour racheter de la nourriture, mais c'est dedans que mes derniers Berry's sont partis. Enfin pas tout à fait il me restait de quoi séjourner une nuit dans une auberge et de quoi descendre quelques pintes aussi. En ce moment je peine vraiment à joindre les deux bouts et personne ne m'a proposer de contrat depuis un moment. Et je n'ais jamais la chance de tomber sur des pirates dont la tête est mise à prix. Le premier endroit où je partis fut bien évidemment le bar du coin, enfin le bar qui me plaisais le plus de dehors. Bon je vais pas vous raconter comment j'ai descendu deux pintes et un grand verre de rhum.
Nous arrivons donc au moment précis où je viens de terminer mon verre. Le barman me demande de payer ma note et en voyant qu'il me reste tout juste de quoi passer la nuit au chaud je décide qu'il est grand temps de partir d'ici. Mes jambes tremblent légèrement mais ce n'est rien je ne suis qu'un peu pompette, rien qui ne puisse m'empêcher de de me lever. Je me dirigeais vers la porte quand elle s'ouvrit à la volée et qu'une quinzaine d'hommes entrèrent. A en croire leur démarche, leur attitude et leurs vêtements ils devaient être des pirates, oui c'est certains. Je me stoppa alors dans l'idée d'observer leurs agissements. A vrai dire ça m'a presque fait un choc de les voir se comporter correctement. Ils ne hurlaient pas, ne frappaient personnes, ne foutaient pas la merde quoi. J'allais partir et les laisser en paix mais il y avait un gros problème, ce calme ne dura pas. Bien qu'ils n'étaient pas violents ils dérangeaient vraiment. Mais même avec cela j'allais les laissé quand je comprit qui était leurs chef. Le fameux capitaine Véolia, rechercher par la marine et dont la tête était mise à prix pour 50 000 Berry's. Si je l’arrêtais je recevrais la prime promise par le gouvernement et mes problèmes d'argent disparaîtraient d'un clin d'oeil. Je n'avais vraiment rien contre eux je le promet mais dans de telle condition j'étai dans l'obligation pour ma propre survie de combatte ces malfrats.
Ils étaient tous éparpillés dans le bar et je décida de me battre même contre les subalternes de Véolia. Un petit blondinet proche de moi ne comprit pas pourquoi mais juste après avoir sentit une main se posé sur son dos il vola d'une telle force qu'il s'en retrouva expulsé du bar. Tous les pirates se retournèrent alors à cause du bruit de l'explosion:
- Ecoute Véolia tu n'a aucune chance contre moi. Si tu renonces de suite tes hommes ne subiront rien je te le promet.
La réponse du capitaine fusa comme l'éclair au moment même où ma phrase se termina. Il me regardait avec de grands yeux pleins de rage:
- Jamais petit, ne rêves pas éveillé. Tuer le....
Instantanément deux pirates sortirent leurs épées et commencèrent à foncer vers moi, mais je n'allais en aucun cas me laissé faire. Chacun de mes index prit une crottes de nez et poussées par mes majeurs, elles volèrent vers leurs tête ahuris. Deux explosions se firent entendre et les hommes à terre ne bougeaient plus d'un poil. Tout mes ennemies étaient surpris, ils ne comprenaient rien à la situation, il est donc facile de comprendre pourquoi il on tous ensemble foncés vers moi. Lorsqu'on est appeuré il arrive de faire des choses stupide et ce fut exactement leur cas.
Je voyais venir vers moi une multitude d'épées dont la seule envie était de prendre ma vie. J'esquivais très bien toutes les attaques et dès que je pouvais, ma main se collait au visage d'un pirate pour lui exploser la tête et le laisser au sol sans vie. Rapidement tous mes ennemies furent à terre.
- C'est finis pour ce qui est du menu fretin, maintenant viens te battre si tu en es seulement capable !!!
Véolia se leva nerveusement de sa chaise, il tapa ses poings l'un contre l'autre pour se donner du courage probablement. De nul part il sortit une grande hache qu'il prit de la main droite. N'avait-il pas comprit que contre moi le corps à corps ne marcherait pas. A mon tour, je sortis mon sabre, en position de garde nous fonçâmes tout les deux en même temps. Je fus vraiment surpris de constater sur une de mes épaules une entaille moyennement profonde et assez douloureuse. Pas si mauvais que ça dis donc, même si lui saignait bien plus que moi. Ma lame venait de transpercer son ventre mais sans heurter quoique ce soit, aucun point vital, très étonnant. Contre lui je risquais de me faire blesser au corps à corps, je prit donc l'initiative de ranger mon katana et de sortir mon 44 magnum. Ma main gauche fit s'ouvrir le barillet de l'arme et ma bouche s’entrouvrit pour laisser de mon souffle se loger dans les compartiments pour balles. D'un sec mouvement du poignet droit je fis ce refermer le chargeur et ensuite mon bras se tendit en direction de l'ennemi. Mon index exerça une faible pression sur la gâchette trois fois de suite, rien ne se passa, du moins c'est que les gens autours croyaient. Véolia commença à rire de ma stupidité et me traita d'abruti quand tout à coup trois explosion retentirent. De la fumée entourait le fugitif et quand elle se dissipa tout ce qui restait était le capitaine rampant avec ténacité au sol.
Histoire de le mettre définitivement dans les pommes je me prépara à une dernière attaque contre lui, mon index se mit donc dans mon nez et en ressortit une crotte verte.
- Ce combat va se terminer maintenant, lorsque tu te réveilleras tu seras attaché et probablement dans un repaire de la marine. Nose Fancy Canon !!!
La crotte de nez fusa l'air et se colla sur le front de Véolia qui pleurait, quelle minable.... La crotte explosa alors et mon ennemi n'était plus en état de se battre.
Le bar avait subit quelques dégâts mineurs, une table cassé ici et là mais rien d'important en comparaison à ce que ça aurait pus être si je les avais laissé tout saccager. Sortant de mon sac une corde je m'empressa d'attacha fermement Véolia, mon gagne pain ne s'enfuirait sûrement pas ça non.
Bien maintenant pour toucher ma prime il ne me manquait plus que trouver un post de la marine. Mais Me laisserais-t-on y aller tranquillement ? Voilà ce que je me demandais en ce moment.....
Nous arrivons donc au moment précis où je viens de terminer mon verre. Le barman me demande de payer ma note et en voyant qu'il me reste tout juste de quoi passer la nuit au chaud je décide qu'il est grand temps de partir d'ici. Mes jambes tremblent légèrement mais ce n'est rien je ne suis qu'un peu pompette, rien qui ne puisse m'empêcher de de me lever. Je me dirigeais vers la porte quand elle s'ouvrit à la volée et qu'une quinzaine d'hommes entrèrent. A en croire leur démarche, leur attitude et leurs vêtements ils devaient être des pirates, oui c'est certains. Je me stoppa alors dans l'idée d'observer leurs agissements. A vrai dire ça m'a presque fait un choc de les voir se comporter correctement. Ils ne hurlaient pas, ne frappaient personnes, ne foutaient pas la merde quoi. J'allais partir et les laisser en paix mais il y avait un gros problème, ce calme ne dura pas. Bien qu'ils n'étaient pas violents ils dérangeaient vraiment. Mais même avec cela j'allais les laissé quand je comprit qui était leurs chef. Le fameux capitaine Véolia, rechercher par la marine et dont la tête était mise à prix pour 50 000 Berry's. Si je l’arrêtais je recevrais la prime promise par le gouvernement et mes problèmes d'argent disparaîtraient d'un clin d'oeil. Je n'avais vraiment rien contre eux je le promet mais dans de telle condition j'étai dans l'obligation pour ma propre survie de combatte ces malfrats.
Ils étaient tous éparpillés dans le bar et je décida de me battre même contre les subalternes de Véolia. Un petit blondinet proche de moi ne comprit pas pourquoi mais juste après avoir sentit une main se posé sur son dos il vola d'une telle force qu'il s'en retrouva expulsé du bar. Tous les pirates se retournèrent alors à cause du bruit de l'explosion:
- Ecoute Véolia tu n'a aucune chance contre moi. Si tu renonces de suite tes hommes ne subiront rien je te le promet.
La réponse du capitaine fusa comme l'éclair au moment même où ma phrase se termina. Il me regardait avec de grands yeux pleins de rage:
- Jamais petit, ne rêves pas éveillé. Tuer le....
Instantanément deux pirates sortirent leurs épées et commencèrent à foncer vers moi, mais je n'allais en aucun cas me laissé faire. Chacun de mes index prit une crottes de nez et poussées par mes majeurs, elles volèrent vers leurs tête ahuris. Deux explosions se firent entendre et les hommes à terre ne bougeaient plus d'un poil. Tout mes ennemies étaient surpris, ils ne comprenaient rien à la situation, il est donc facile de comprendre pourquoi il on tous ensemble foncés vers moi. Lorsqu'on est appeuré il arrive de faire des choses stupide et ce fut exactement leur cas.
Je voyais venir vers moi une multitude d'épées dont la seule envie était de prendre ma vie. J'esquivais très bien toutes les attaques et dès que je pouvais, ma main se collait au visage d'un pirate pour lui exploser la tête et le laisser au sol sans vie. Rapidement tous mes ennemies furent à terre.
- C'est finis pour ce qui est du menu fretin, maintenant viens te battre si tu en es seulement capable !!!
Véolia se leva nerveusement de sa chaise, il tapa ses poings l'un contre l'autre pour se donner du courage probablement. De nul part il sortit une grande hache qu'il prit de la main droite. N'avait-il pas comprit que contre moi le corps à corps ne marcherait pas. A mon tour, je sortis mon sabre, en position de garde nous fonçâmes tout les deux en même temps. Je fus vraiment surpris de constater sur une de mes épaules une entaille moyennement profonde et assez douloureuse. Pas si mauvais que ça dis donc, même si lui saignait bien plus que moi. Ma lame venait de transpercer son ventre mais sans heurter quoique ce soit, aucun point vital, très étonnant. Contre lui je risquais de me faire blesser au corps à corps, je prit donc l'initiative de ranger mon katana et de sortir mon 44 magnum. Ma main gauche fit s'ouvrir le barillet de l'arme et ma bouche s’entrouvrit pour laisser de mon souffle se loger dans les compartiments pour balles. D'un sec mouvement du poignet droit je fis ce refermer le chargeur et ensuite mon bras se tendit en direction de l'ennemi. Mon index exerça une faible pression sur la gâchette trois fois de suite, rien ne se passa, du moins c'est que les gens autours croyaient. Véolia commença à rire de ma stupidité et me traita d'abruti quand tout à coup trois explosion retentirent. De la fumée entourait le fugitif et quand elle se dissipa tout ce qui restait était le capitaine rampant avec ténacité au sol.
Histoire de le mettre définitivement dans les pommes je me prépara à une dernière attaque contre lui, mon index se mit donc dans mon nez et en ressortit une crotte verte.
- Ce combat va se terminer maintenant, lorsque tu te réveilleras tu seras attaché et probablement dans un repaire de la marine. Nose Fancy Canon !!!
La crotte de nez fusa l'air et se colla sur le front de Véolia qui pleurait, quelle minable.... La crotte explosa alors et mon ennemi n'était plus en état de se battre.
Le bar avait subit quelques dégâts mineurs, une table cassé ici et là mais rien d'important en comparaison à ce que ça aurait pus être si je les avais laissé tout saccager. Sortant de mon sac une corde je m'empressa d'attacha fermement Véolia, mon gagne pain ne s'enfuirait sûrement pas ça non.
Bien maintenant pour toucher ma prime il ne me manquait plus que trouver un post de la marine. Mais Me laisserais-t-on y aller tranquillement ? Voilà ce que je me demandais en ce moment.....