Les trajets en bateau, voilà la chose que je détestais le plus, bien que celui-ci fut assez rapide jusque l’île de Cocoyashi, cela me rendait dingue. J’ai passé mon temps à nettoyer au moins dix fois chacune de mes armes, révélant ainsi mon obsession maladive pour la propreté. L’île était en vue, et c’était sans doute la plus proche dans le tas sur East Blue, elle ne pouvait pas être partie bien loin et de tout de façon, on avait donné son signalement se dirigeant vers cette dernière. Cette île était plutôt réputée, pour avoir vu naître et grandir l’un des membres de l’équipage Mugiwara, et pas l’un des moindres : Nami. J’appréciais plutôt leur mandarine qui était vendue un peu partout, c’était la principale source de revenu pour l’île. Les habitants étaient plutôt du genre solidaire, cela n’allait sans doute pas être des plus facile pour mener une enquête où il faudrait qu’ils révèlent que l’un des leurs avait hébergé et soigné une criminelle. Mais une traque n’est jamais simple et la réunion d’informations encore moins dans bien des cas.
Je ne savais guère si on était bien tombé avec cette île pour notre traque, car la présence plutôt assez écrasante de la 16ème division sur cette dernière allait sans doute nous poser quelques petits problèmes. Il ne fallait pas que l’autre duo vienne à informer les deux seuls officiers en faction sur cette île de nos agissements. Mais j’en doutais fortement, après tout, eux aussi semblaient courir plus après une médaille qu’après la cible elle-même.
Tenant toujours le lance-filet entre mes mains, je ne savais guère quoi penser, j’ai même hésité à un court instant à le jeter à l’eau, mais sans doute Ryuuku apprécierait moyennement cette attention. Avait-il raison quand il pensait que je considérai plus Octavia en tant que bombe sexuelle capable de fièrement dresser Gary en moins de dix secondes plutôt qu’en tant que criminelle ? Oui, sans doute, mais j’avais toujours du mal à me faire à l’idée de lui jeter dessus un filet comme à une bête dangereuse, ce qu’elle était en réalité. Mais bon, après tout, je ne pouvais pas non plus être parfait et sans doute que les femmes étaient mon vice premier. Je n’avais plus qu’à me faire à l’idée, me dire que cela pouvait être assez excitant de la voir se débattre dans un filet, soumise à notre volonté. C’était enfaite assez horrible et dégoûtant, mais bon, on fait ce que l’on peut pour se convaincre après tout.
Nous finîmes tout de même par débarquer de ce navire, j’étais toujours armé de mon pistolet à ma ceinture, mon fusil plus gros calibre dans les mains et le lance-filet dans le dos, j’avais l’air harnaché comme pour partir en guerre. Alors que nous n’étions là que pour une femme, sans doute bien plus puissante que moi, bien que blessé à une jambe, sa principale arme. Je regardais le port, cherchant à première vue si le bateau volait était présent, cela aurait sans doute été beaucoup trop simple et ma simple œillade ne me donna guère qu’une seule information : il y avait du monde au balcon et ils étaient plutôt curieux. En effet, la population m’observait, sans doute pour cause de ma taille assez conséquente pour un humain, mais aussi à cause de mon armement, mais cela confirmait ce que je voulais dire plus tôt, rien ne pouvait échapper aux regards dans un port.
« La meilleure source de renseignements dans un port, ça reste tout de même les tavernes, je pense … »
Lançais-je à Ryuuku, je ne voulais pas vraiment donner d’ordre, raison pour laquelle je lui demandais toujours son avis ou que je concluais mes phrases par des « peut-être », « je pense », « sans doute que ». Alors que j’étais sûr de mon coup. Mais il fallait savoir rester humble lorsque l’on est le plus faible d’un binôme.
Je ne savais guère si on était bien tombé avec cette île pour notre traque, car la présence plutôt assez écrasante de la 16ème division sur cette dernière allait sans doute nous poser quelques petits problèmes. Il ne fallait pas que l’autre duo vienne à informer les deux seuls officiers en faction sur cette île de nos agissements. Mais j’en doutais fortement, après tout, eux aussi semblaient courir plus après une médaille qu’après la cible elle-même.
Tenant toujours le lance-filet entre mes mains, je ne savais guère quoi penser, j’ai même hésité à un court instant à le jeter à l’eau, mais sans doute Ryuuku apprécierait moyennement cette attention. Avait-il raison quand il pensait que je considérai plus Octavia en tant que bombe sexuelle capable de fièrement dresser Gary en moins de dix secondes plutôt qu’en tant que criminelle ? Oui, sans doute, mais j’avais toujours du mal à me faire à l’idée de lui jeter dessus un filet comme à une bête dangereuse, ce qu’elle était en réalité. Mais bon, après tout, je ne pouvais pas non plus être parfait et sans doute que les femmes étaient mon vice premier. Je n’avais plus qu’à me faire à l’idée, me dire que cela pouvait être assez excitant de la voir se débattre dans un filet, soumise à notre volonté. C’était enfaite assez horrible et dégoûtant, mais bon, on fait ce que l’on peut pour se convaincre après tout.
Nous finîmes tout de même par débarquer de ce navire, j’étais toujours armé de mon pistolet à ma ceinture, mon fusil plus gros calibre dans les mains et le lance-filet dans le dos, j’avais l’air harnaché comme pour partir en guerre. Alors que nous n’étions là que pour une femme, sans doute bien plus puissante que moi, bien que blessé à une jambe, sa principale arme. Je regardais le port, cherchant à première vue si le bateau volait était présent, cela aurait sans doute été beaucoup trop simple et ma simple œillade ne me donna guère qu’une seule information : il y avait du monde au balcon et ils étaient plutôt curieux. En effet, la population m’observait, sans doute pour cause de ma taille assez conséquente pour un humain, mais aussi à cause de mon armement, mais cela confirmait ce que je voulais dire plus tôt, rien ne pouvait échapper aux regards dans un port.
« La meilleure source de renseignements dans un port, ça reste tout de même les tavernes, je pense … »
Lançais-je à Ryuuku, je ne voulais pas vraiment donner d’ordre, raison pour laquelle je lui demandais toujours son avis ou que je concluais mes phrases par des « peut-être », « je pense », « sans doute que ». Alors que j’étais sûr de mon coup. Mais il fallait savoir rester humble lorsque l’on est le plus faible d’un binôme.