L'astre jaunâtre, à son zénith, frappe de plein fouet le chapeau noir qui couvre les cheveux bruns d'un pauvre émissaire du chef contrebandier de North Blue, ainsi que la mallette présente sur ses genoux, contenant pour sur l'objet le plus important aux yeux de son boss, objet qui lui fut confié jadis par son père, père qui dut connaître l'époque révolue des dinosaures, au vu de l'âge du patron. Nous sommes en l'an 1621, un an avant que son job ne lui soit ôté par la marine, dirigée alors par un dénommé Arashibourei. Comment en est il arrivé là ? Que peut il bien faire ici ? Pour cela, revenons quelques jours auparavant.
« Bien. Est-ce que le Boss ressemble à un tapette ? »
« Quoi ? »
Seules ces deux phrases ressortiront, car ce qui précédait n'a absolument aucune importance, ce qui compte c'est ce qui suit, car ce qui suit, malgré le fait qu'on l'appelle mouton, n'est pas une route ondulée du tout. Aussi droite qu'un couloir, aussi clair que du jus de boudin, ce qui va suivre, vous le comprendrez, mais vous comprendrez aussi le pourquoi de ce qui est, et donc ce qui précédait. Vous suivez ? Alors. Celui qui vient de parler est debout. Celui qui vient de répondre est assis sur une chaise en paille dont un des pied a été fait par un gosse de douze ans qui n'a jamais réussi à trouvé le clou qui manquait, comme indiqué dans le papyrus indiquant comment monter cette chaise. Ce que je viens de vous dire expliquera surement ce qui suit.
Un bruit assourdissant résonne dans la salle, tel un p'tit lu éclatant à quelques millimètres de votre oreille, tous ceux présents dans la pièce clignent des yeux, crient ou pleurent, sauf celui qui est à l'origine de ce bruit. Bruit causé par la chute d'un homme. La chute d'un homme qui l'aura entraînée bien bas, au point de répondre un simple "Quoi" à une question dont l'importance dépasse même toutes les interrogations que le monde actuel peut se faire à propos de l'apparition des fruits de satan, ces affreux aliments dont la réputation du gout n'est plus à faire. Paix aux âmes de ceux qui ont goûté à cela, car à jamais leurs papilles seront souillé par l’impureté du jus de ces fruits, jus qui, à la différence d'un bon jus, est la plupart du temps éjecté délibérément par son goûteur. Mais il semblerait que je m'écarte. Pour ceux qui n'auraient pas compris, il y eut un coup de feu, l'homme sur la chaise cria, les autres crièrent, il compressa la plaie dans son épaule, des larmes coulèrent, leurs yeux, dans lesquels on pouvait lire leur peur, permettaient de déduire qu'ils n'avaient jamais vu du sang de leur vie, à part lorsque ceux ci s'étaient brusquement réveillé après avoir mouillé leur drap, avant de tomber dans une chute plus longue que la liste de chaque actions qu'un homme droit, d'honneur, aurait pu faire dans toute sa piètre vie si il n'était pas mort de vieillesse, pour enfin s'écraser contre le sol magnifiquement bien ratissé par leurs quarante et une nounou.
Le Gentleman, peu après avoir tiré, baisse son bras vers le sol, puis repose la question une deuxième fois, en espérant bien sur que l'olibrius ayant manqué de respect à son père, à son patron, au patron des patrons des contrebandiers de cette mer, sache cette fois ci faire preuve de rapidité et de qualité dans sa réponse, car sa lenteur et son manque de rigueur faisant penser à un tailleur de haie de fortune payé à l'heure se ramenant chez toi avec un sécateur pendant que tu es au boulot fut affligeant. Repointant l'arme sur celui qui tient sur ses genoux la mallette précédemment citée. Ou suivant citée ? Mh. C'est compliqué ces hitoires de courbes spatio-temporelle perturbée par un récit entremêlant flashbacks, absurdités et conneries de métaphores n'ayant autant ni queue ni tête qu'un escargot rentré dans sa pauvre coquille lui servant de maison pour l'éternité et dont il ne pourra jamais se dégagé à moins de mourir de froid tel un ours brun rasé envoyé dans des zones polaires.
Enfin bref, le Contrebandier repointe son arme sur le voleur de mallette, et lui repose une deuxième fois la question.
« Est-ce que le Boss ressemble à un tapette ? »
***
« Bien. Est-ce que le Boss ressemble à un tapette ? »
« Quoi ? »
Seules ces deux phrases ressortiront, car ce qui précédait n'a absolument aucune importance, ce qui compte c'est ce qui suit, car ce qui suit, malgré le fait qu'on l'appelle mouton, n'est pas une route ondulée du tout. Aussi droite qu'un couloir, aussi clair que du jus de boudin, ce qui va suivre, vous le comprendrez, mais vous comprendrez aussi le pourquoi de ce qui est, et donc ce qui précédait. Vous suivez ? Alors. Celui qui vient de parler est debout. Celui qui vient de répondre est assis sur une chaise en paille dont un des pied a été fait par un gosse de douze ans qui n'a jamais réussi à trouvé le clou qui manquait, comme indiqué dans le papyrus indiquant comment monter cette chaise. Ce que je viens de vous dire expliquera surement ce qui suit.
Un bruit assourdissant résonne dans la salle, tel un p'tit lu éclatant à quelques millimètres de votre oreille, tous ceux présents dans la pièce clignent des yeux, crient ou pleurent, sauf celui qui est à l'origine de ce bruit. Bruit causé par la chute d'un homme. La chute d'un homme qui l'aura entraînée bien bas, au point de répondre un simple "Quoi" à une question dont l'importance dépasse même toutes les interrogations que le monde actuel peut se faire à propos de l'apparition des fruits de satan, ces affreux aliments dont la réputation du gout n'est plus à faire. Paix aux âmes de ceux qui ont goûté à cela, car à jamais leurs papilles seront souillé par l’impureté du jus de ces fruits, jus qui, à la différence d'un bon jus, est la plupart du temps éjecté délibérément par son goûteur. Mais il semblerait que je m'écarte. Pour ceux qui n'auraient pas compris, il y eut un coup de feu, l'homme sur la chaise cria, les autres crièrent, il compressa la plaie dans son épaule, des larmes coulèrent, leurs yeux, dans lesquels on pouvait lire leur peur, permettaient de déduire qu'ils n'avaient jamais vu du sang de leur vie, à part lorsque ceux ci s'étaient brusquement réveillé après avoir mouillé leur drap, avant de tomber dans une chute plus longue que la liste de chaque actions qu'un homme droit, d'honneur, aurait pu faire dans toute sa piètre vie si il n'était pas mort de vieillesse, pour enfin s'écraser contre le sol magnifiquement bien ratissé par leurs quarante et une nounou.
Le Gentleman, peu après avoir tiré, baisse son bras vers le sol, puis repose la question une deuxième fois, en espérant bien sur que l'olibrius ayant manqué de respect à son père, à son patron, au patron des patrons des contrebandiers de cette mer, sache cette fois ci faire preuve de rapidité et de qualité dans sa réponse, car sa lenteur et son manque de rigueur faisant penser à un tailleur de haie de fortune payé à l'heure se ramenant chez toi avec un sécateur pendant que tu es au boulot fut affligeant. Repointant l'arme sur celui qui tient sur ses genoux la mallette précédemment citée. Ou suivant citée ? Mh. C'est compliqué ces hitoires de courbes spatio-temporelle perturbée par un récit entremêlant flashbacks, absurdités et conneries de métaphores n'ayant autant ni queue ni tête qu'un escargot rentré dans sa pauvre coquille lui servant de maison pour l'éternité et dont il ne pourra jamais se dégagé à moins de mourir de froid tel un ours brun rasé envoyé dans des zones polaires.
Enfin bref, le Contrebandier repointe son arme sur le voleur de mallette, et lui repose une deuxième fois la question.
« Est-ce que le Boss ressemble à un tapette ? »
Dernière édition par Satoshi Noriyaki le Ven 17 Aoû 2012 - 15:17, édité 1 fois