Rappel du premier message :
... 22h21
Y a pas à dire, une p'tit scéance de torture et un homicide, ça vous requinque son homme ! Bordel de bitte à cornes, j'me sens renaitre mwouahahahah ! Et même si j'suis loin d'avoir une gueule d'amour qui respire la fraicheur, ça n'entache pas un brin ma bonne humeur. J'ai la trogne en sang, la voix éraillée par le vinaigre, des plaies et des bosses qui s'tirent la bourre pour savoir qui prendra le plus d'espace ; mais nom d'une baleine rhumatismale, j'tiens une patate du tonnerre moi ! Alors du coup, j'extériorise histoire que tout l'monde le sache. J'suis comme ça moi, j'aime que mon entourage soit conscient d'mon bonheur ou d'mes colères. Ma p'tite façon à moi d'exister. D'ailleurs, j'me fais un devoir de bien l'dire à tous les révo qui ont la malchance de m'croiser, et auxquels je fais étalage de toute ma vigueur qui se renouvelle de secondes en secondes. Bim bam boum, venez mes p'tits amis ! Huhuhu. Car faut bien dire que si demain y a des chances que j'reste au plumard pendant 48 heures pour penser mes plaies, là j'puise dans les forces les plus profondément enfouies dans mon incroyable volonté et dans celle de la bête. J'ai une mission à finir, une île à raser, et un putain de Mandrake à qui faut qu'j'explique l'erreur de scénar' à laquelle j'ai bien voulu m'préter. S'agirait pas qu'il se tire d'ici en pensant qu'il peut m'avoiner si facil'ment.
Derrière moi, c'est l'petit Poucet version cataclysme naturel. Que de gravats, de tuyauteries arrachées, et de corps inanimés... Et comme autant de p'tits cailloux, d'épaisses gouttes de mon sang coulent encore lentement de mes côtes rafistolées. J'les sens plus, mais j'devine au fond d'moi que c'est pas non plus la fête à ce niveau. Heureus'ment qu'mon système nerveux n'a pas voix au chapitre dans c'genre de situation. Ligotés et bâillonnés par ma colère et mon sadisme qu'ils sont les p'tits nerfs, huhuhu.
... 22h25
Aaaaaaaah ! Voilà sur'ment la pièce du cocon. J'dis ça parc'que : de un y avait des gars suicidaires qui ont tenté de m'en bloqué l'accès ; de deux j'ai rarement vue une porte blindée aussi massive. La pièce derrière doit tout bonnement être la plus grande et la plus haute de la base, et sans aucun doute la mieux protégée. Un vrai cocon pour le pseudo-amiral Chuck quoi. Et si ni lui ni Mandrake ne s'trouve là, alors là j'veux bien en bouffer mon cigare... Balayage des forces en présences devant la porte, juste histoire de dire, et hop j'me r'trouve seul face au bidule. Un instant je m'immobilise, comme avec une sorte de respect devant un si massif et imposant édifice.
La porte vole dans l'espace, traversant en un éclair la pièce avant d'éclater en morceaux de plusieurs tonnes chacun contre le mur du fond. Grand silence rituel d'arrivée de gros bill, histoire de laisser l'temps à mec de faire son entrée avec classe. Et comme j'suis joueur et que j'aime savoir les regards posés sur moi, je sors le grand jeux.
Me voilà donc émerger calmement de la fumée de l'explosion, marchant d'un pas lent mais décidé en roulant juste ce qu'il faut d'mon impressionnante masse. Les muscles dansent sous mes écailles avec une grâce presque féline, exhibant au monde l'étalage d'une puissance redoutable et parfaitement maitrisée. Par dessus, les lambeaux déchiquetés de mon uniforme taillé par la marque de vêtement SW, modèle "survivant". Chaque lambeau flotte comme autant d'étendards sur mon sillage, et ce malgré l'absence total de vent dans la pièce. Chaque déchirure met parfaitement en avant mes anciennes cicatrices, les encadrant avec un soin du détail tout ce qu'il y a de plus artistique. Même après une cuisante défaite, il est important d'imposer sa classe. Et pour ça, Al'Aklass et encore ce que j'ai fait de mieux. Et toi Mandrake, sauras tu garder ta prestance après notre petite altercation ? Huhuhu. Autant, ça m'étonnerait ; t'as pas c'qu'il faut en magasin. Je pénètre ainsi dans cet immense hall par les battant déchiquetés de ses imposantes portes, laissant se répandre mon haki et mon égo à chaque pas, telles d'oppressantes tentacules.
Je suis au cœur du système, prêts à livrer l'ultime combat pour la possession de cette base. Où sont mes hommes ? J'ai pas d'idées précises, mais j'ai confiance dans leur sens du timing. Ils seront là, je l'sais. Motivés et fiers d'avoir déjà accomplis le plus gros des combats. 22H30 approchant, Chuck doit baisser sa garde, ou mourir à bien choisir. En attendant, je décide de prendre de l'avance sur eux... Ch'uis trop chaud pour patienter ne serait-ce qu'une minute de plus. Mon sourire carnassier et mon regards peuvent en témoigner.
" Un p'tit Marine chantait cet air plein d'entrain,
En arrivant au camp.
Tout ces p'tits camarades apprirent le refrain,
Et bientôt le régiment
Entonnait gaiement:
On ira pendre des révo' sur la grande vergue
Pour laver le linge, voici le moment.
Haut et court qu'ils se balanc'ront !
A eux les beaux linceuls blancs.
On ira pendre des révo' sur la grande vergue
En famille, on zigouill'ra tout ça.
Haut et court qu'ils se balanc'ront !
Car ils se jettent dans nos bras.
Tout le monde à son boulot en met un bon coup
Avec un cœur joyeux.
On dit que l'amiral est très content de nous
Et tant pis pour les envieux,
Tout va pour le mieuuuuuuuuuuux. "
En arrivant au camp.
Tout ces p'tits camarades apprirent le refrain,
Et bientôt le régiment
Entonnait gaiement:
On ira pendre des révo' sur la grande vergue
Pour laver le linge, voici le moment.
Haut et court qu'ils se balanc'ront !
A eux les beaux linceuls blancs.
On ira pendre des révo' sur la grande vergue
En famille, on zigouill'ra tout ça.
Haut et court qu'ils se balanc'ront !
Car ils se jettent dans nos bras.
Tout le monde à son boulot en met un bon coup
Avec un cœur joyeux.
On dit que l'amiral est très content de nous
Et tant pis pour les envieux,
Tout va pour le mieuuuuuuuuuuux. "
Y a pas à dire, une p'tit scéance de torture et un homicide, ça vous requinque son homme ! Bordel de bitte à cornes, j'me sens renaitre mwouahahahah ! Et même si j'suis loin d'avoir une gueule d'amour qui respire la fraicheur, ça n'entache pas un brin ma bonne humeur. J'ai la trogne en sang, la voix éraillée par le vinaigre, des plaies et des bosses qui s'tirent la bourre pour savoir qui prendra le plus d'espace ; mais nom d'une baleine rhumatismale, j'tiens une patate du tonnerre moi ! Alors du coup, j'extériorise histoire que tout l'monde le sache. J'suis comme ça moi, j'aime que mon entourage soit conscient d'mon bonheur ou d'mes colères. Ma p'tite façon à moi d'exister. D'ailleurs, j'me fais un devoir de bien l'dire à tous les révo qui ont la malchance de m'croiser, et auxquels je fais étalage de toute ma vigueur qui se renouvelle de secondes en secondes. Bim bam boum, venez mes p'tits amis ! Huhuhu. Car faut bien dire que si demain y a des chances que j'reste au plumard pendant 48 heures pour penser mes plaies, là j'puise dans les forces les plus profondément enfouies dans mon incroyable volonté et dans celle de la bête. J'ai une mission à finir, une île à raser, et un putain de Mandrake à qui faut qu'j'explique l'erreur de scénar' à laquelle j'ai bien voulu m'préter. S'agirait pas qu'il se tire d'ici en pensant qu'il peut m'avoiner si facil'ment.
On ira pendre des révo' sur la grande vergue
Pour laver le linge, voici le moment.
Haut et court qu'ils se balanc'ront !
A eux les beaux linceuls blancs.
On ira pendre des révo' sur la grande vergue
En famille, on zigouill'ra tout ça.
Haut et court qu'ils se balanc'ront !
Car ils se jettent dans nos bras.
Surtout qu'y a un chouette effet d'raisonnance dans c'complexe. Ça m'donne une belle voix de de Baryton ! Puissante, limite gutturale... avec quelques sonorités de baryton-basse. Bref, ça envoie du lourd de sa maman dans les corridors où j'évolue. C'est là aussi ma façon à moi d'faire comprendre aux révo que j'suis d'retour dans la partie, et pas comme outsider. Nan là j'suis r'monté à bloc et j'préfère perdre en discrétion c'que j'gagne en provoc' et en guerre psychologique. D'ailleurs j'croise presque plus personne, vu qu'ils fuient tous sur mon passage comme des foutues rats. Pièges, sas blindés et même impasses bétonnées n'y feront rien : j'avance inéluctablement vers mon objectif, avec la froide régularité d'un rouleau compresseur. Rouleau compresseur chantant nous sommes bien d'accord. Et quand j'me sens paumé, j'avoine de toute ma puissance pour créer des chemins là où il n'y en avait pas, quitte à devoir jouer du Geppou ensuite pour passer les étages dévastés. Ça m'permet d'avancer avec une vitesse et des dégâts records, tout en évitant de m'prendre la tête et d'ainsi perde mon Mojo. "Père Tempête" est dans la base, et c'est un typhon de lames d'airs dévastatrices qui ravage couloir après couloir, pièce après pièce. Pour laver le linge, voici le moment.
Haut et court qu'ils se balanc'ront !
A eux les beaux linceuls blancs.
On ira pendre des révo' sur la grande vergue
En famille, on zigouill'ra tout ça.
Haut et court qu'ils se balanc'ront !
Car ils se jettent dans nos bras.
Derrière moi, c'est l'petit Poucet version cataclysme naturel. Que de gravats, de tuyauteries arrachées, et de corps inanimés... Et comme autant de p'tits cailloux, d'épaisses gouttes de mon sang coulent encore lentement de mes côtes rafistolées. J'les sens plus, mais j'devine au fond d'moi que c'est pas non plus la fête à ce niveau. Heureus'ment qu'mon système nerveux n'a pas voix au chapitre dans c'genre de situation. Ligotés et bâillonnés par ma colère et mon sadisme qu'ils sont les p'tits nerfs, huhuhu.
Maaaaaandraaaaaaake. Je suiiiiiis de retouuuuuuuur...
Où te caches tuuuuuuuuu ?...
Où te caches tuuuuuuuuu ?...
... 22h25
Aaaaaaaah ! Voilà sur'ment la pièce du cocon. J'dis ça parc'que : de un y avait des gars suicidaires qui ont tenté de m'en bloqué l'accès ; de deux j'ai rarement vue une porte blindée aussi massive. La pièce derrière doit tout bonnement être la plus grande et la plus haute de la base, et sans aucun doute la mieux protégée. Un vrai cocon pour le pseudo-amiral Chuck quoi. Et si ni lui ni Mandrake ne s'trouve là, alors là j'veux bien en bouffer mon cigare... Balayage des forces en présences devant la porte, juste histoire de dire, et hop j'me r'trouve seul face au bidule. Un instant je m'immobilise, comme avec une sorte de respect devant un si massif et imposant édifice.
BLANG !
La porte vole dans l'espace, traversant en un éclair la pièce avant d'éclater en morceaux de plusieurs tonnes chacun contre le mur du fond. Grand silence rituel d'arrivée de gros bill, histoire de laisser l'temps à mec de faire son entrée avec classe. Et comme j'suis joueur et que j'aime savoir les regards posés sur moi, je sors le grand jeux.
Me voilà donc émerger calmement de la fumée de l'explosion, marchant d'un pas lent mais décidé en roulant juste ce qu'il faut d'mon impressionnante masse. Les muscles dansent sous mes écailles avec une grâce presque féline, exhibant au monde l'étalage d'une puissance redoutable et parfaitement maitrisée. Par dessus, les lambeaux déchiquetés de mon uniforme taillé par la marque de vêtement SW, modèle "survivant". Chaque lambeau flotte comme autant d'étendards sur mon sillage, et ce malgré l'absence total de vent dans la pièce. Chaque déchirure met parfaitement en avant mes anciennes cicatrices, les encadrant avec un soin du détail tout ce qu'il y a de plus artistique. Même après une cuisante défaite, il est important d'imposer sa classe. Et pour ça, Al'Aklass et encore ce que j'ai fait de mieux. Et toi Mandrake, sauras tu garder ta prestance après notre petite altercation ? Huhuhu. Autant, ça m'étonnerait ; t'as pas c'qu'il faut en magasin. Je pénètre ainsi dans cet immense hall par les battant déchiquetés de ses imposantes portes, laissant se répandre mon haki et mon égo à chaque pas, telles d'oppressantes tentacules.
Je suis au cœur du système, prêts à livrer l'ultime combat pour la possession de cette base. Où sont mes hommes ? J'ai pas d'idées précises, mais j'ai confiance dans leur sens du timing. Ils seront là, je l'sais. Motivés et fiers d'avoir déjà accomplis le plus gros des combats. 22H30 approchant, Chuck doit baisser sa garde, ou mourir à bien choisir. En attendant, je décide de prendre de l'avance sur eux... Ch'uis trop chaud pour patienter ne serait-ce qu'une minute de plus. Mon sourire carnassier et mon regards peuvent en témoigner.
CHUUUUUUUUCK ! MAAAAAANDRAAAAAAKE !
Je suis là pour vouuuuuuuus !
Je suis là pour vouuuuuuuus !