Cela faisait longtemps...
Longtemps que Maik n'avait pas croisé des gens potable. Longtemps qu'une occasion de bonne cuite ne s'était pas présentée. Longtemps quoi...
Et le retour de manivelle se faisait sentir à la sortie du bistro squatté pour la soirée. Maik tituba tant bien que mal jusqu'au coin du bâtiment. Appuyé contre le mur, l'inévitable lui sauta à la figure. Dormir avec l'estomac dans cet état allait être pénible. L'ivrogne d'un soir disparu dans l'ombre de la ruelle longeant le côté de l’établissement.
Et ressorti, en marche arrière et droit comme un i, faisant face à une paire de paires de bras musclés qui n'avaient rien d'avenant. En reculant, Maik heurta le buste siégeant entre deux autres membres plein de testostérone. Belle soirée n'est-ce pas ? Pour une fois que des gens potable croisaient sa route, il fallu que la balance fasse son boulot pour remettre la situation en place. Vive le karma.
L'apparition des trois hommes avait eu l'effet d'une douche bien froide sur la raie. Son esprit était assez clair pour analyser la situation alors qu'on l'attrapait depuis derrière. Les roublards n'avaient pas dit le moindre mot, juste des actes. Et pendant qu'un des trois homme ceinturait l'homme poisson, les deux autres faisaient déjà craquer leurs phalanges avec des sourires malsains.
Ils n'étaient donc pas là pour un racket, mais pour un passage à tabac en bonne et due forme. Voir pire ? Finir la soirée en bouchant un fosse ? Belles perspective pour Maik, qui n'eut pas le temps de faire quoi que ce soit alors qu'une droite s'écrasait sur son visage. Un coup dans le ventre suivit de près le premier. Erreur qui fit surgir un instinct redoutable digne de tout soulard en fin de soirée: la purge. Un jet de gerbe s'écrasa sur l'homme qui venait de frapper. Ses amis avaient commencé de se foutre de sa gueule. Belle occasion pour s'échapper. Sans faire attention aux vannes que se lançaient ses tortionnaires, la raie envoya le jus.
Le type de derrière se mit à secouer. Dès que les décharges s’arrêtèrent il lâcha prise et recula de quelque pas. Laissant l'opportunité à sa proie de s'en prendre au connard de raciste propre. Avec une rapidité et une précision insoupçonnée pour quelqu'un qui avait bu tout son saoul, Maik colla son biceps droit sous le menton de son assaillant. La main gauche vint appuyer l'épaule du roublard afin de la faire passer sous l'aisselle de l'Homo Pisces, qui baissa tout le haut de son corps en avant pour mettre son adversaire à terre.
Plus qu'un, Maik se tourna vers le Gerbophile et évita le coup de poing porté à son visage en se baissant. Encore une fois, ses mains se placèrent exactement où il fallait pour faire perdre ses appuis au connard de raciste: une tirant derrière le genou, l'autre poussant la cheville vers l'intérieur. L'humain s'effondra sur le côté sans même comprendre où était passé sa cible.
En se relevant, Maik ne remarqua pas que le premier enculé, celui qui l'avait attrapé depuis derrière, était déjà en train de se relevé. L'ordure avait trouvé un morceau de bois trainant par là et porta un coup vers l'arrière de la tête du déchet qui n'avait pas voulu se laisser tabasser. L'arme s'approchait dangereusement, le coup ferait mal. Très mal.
Longtemps que Maik n'avait pas croisé des gens potable. Longtemps qu'une occasion de bonne cuite ne s'était pas présentée. Longtemps quoi...
Et le retour de manivelle se faisait sentir à la sortie du bistro squatté pour la soirée. Maik tituba tant bien que mal jusqu'au coin du bâtiment. Appuyé contre le mur, l'inévitable lui sauta à la figure. Dormir avec l'estomac dans cet état allait être pénible. L'ivrogne d'un soir disparu dans l'ombre de la ruelle longeant le côté de l’établissement.
Et ressorti, en marche arrière et droit comme un i, faisant face à une paire de paires de bras musclés qui n'avaient rien d'avenant. En reculant, Maik heurta le buste siégeant entre deux autres membres plein de testostérone. Belle soirée n'est-ce pas ? Pour une fois que des gens potable croisaient sa route, il fallu que la balance fasse son boulot pour remettre la situation en place. Vive le karma.
L'apparition des trois hommes avait eu l'effet d'une douche bien froide sur la raie. Son esprit était assez clair pour analyser la situation alors qu'on l'attrapait depuis derrière. Les roublards n'avaient pas dit le moindre mot, juste des actes. Et pendant qu'un des trois homme ceinturait l'homme poisson, les deux autres faisaient déjà craquer leurs phalanges avec des sourires malsains.
Ils n'étaient donc pas là pour un racket, mais pour un passage à tabac en bonne et due forme. Voir pire ? Finir la soirée en bouchant un fosse ? Belles perspective pour Maik, qui n'eut pas le temps de faire quoi que ce soit alors qu'une droite s'écrasait sur son visage. Un coup dans le ventre suivit de près le premier. Erreur qui fit surgir un instinct redoutable digne de tout soulard en fin de soirée: la purge. Un jet de gerbe s'écrasa sur l'homme qui venait de frapper. Ses amis avaient commencé de se foutre de sa gueule. Belle occasion pour s'échapper. Sans faire attention aux vannes que se lançaient ses tortionnaires, la raie envoya le jus.
- Stun -
Le type de derrière se mit à secouer. Dès que les décharges s’arrêtèrent il lâcha prise et recula de quelque pas. Laissant l'opportunité à sa proie de s'en prendre au connard de raciste propre. Avec une rapidité et une précision insoupçonnée pour quelqu'un qui avait bu tout son saoul, Maik colla son biceps droit sous le menton de son assaillant. La main gauche vint appuyer l'épaule du roublard afin de la faire passer sous l'aisselle de l'Homo Pisces, qui baissa tout le haut de son corps en avant pour mettre son adversaire à terre.
Plus qu'un, Maik se tourna vers le Gerbophile et évita le coup de poing porté à son visage en se baissant. Encore une fois, ses mains se placèrent exactement où il fallait pour faire perdre ses appuis au connard de raciste: une tirant derrière le genou, l'autre poussant la cheville vers l'intérieur. L'humain s'effondra sur le côté sans même comprendre où était passé sa cible.
En se relevant, Maik ne remarqua pas que le premier enculé, celui qui l'avait attrapé depuis derrière, était déjà en train de se relevé. L'ordure avait trouvé un morceau de bois trainant par là et porta un coup vers l'arrière de la tête du déchet qui n'avait pas voulu se laisser tabasser. L'arme s'approchait dangereusement, le coup ferait mal. Très mal.
À moins que..
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