[Oune post avec beaucoup de personnages et avec beaucoup de mousique.]
AVANT TOUT ;
Il y aura deux sortes de musiques, celles juste mentionnées (sous la forme suivante :"Écris sur et inspiré par") et les musiques que je jugerais plus importantes (qui seront sous la forme du lecteur Youtube). Si je ne force personne à bien entendu les écouter, je demanderai aux éventuels correcteurs d'essayer de le faire pour les musiques jugées importantes, car j'essaie de les choisir minutieusement et cela peut permettre parfois de faire comprendre des choses seulement effleurés dans le texte ou au contraire, les démultiplier. Bref, je vous enjoins à le faire, mais vous êtes seuls maîtres à bord.Sheryl Crow~~Tomorrow Never DiesLe claquement de ses talons dans la nuit noire était un doux son à ses oreilles. Elle s'approcha alors de lui, étreignit son dos avec ses mains gantées de blanc, pressant son corps contre le sien. Puis les amants se firent face, deux silhouettes anonymes se découpant sur l'horizon d'encre. Le toit était ce soir-là l'écrin d'une nuit splendide. Il toucha sa peau sombre ; elle était pleine de promesses. Elle avança ses lèvres... ô ces lèvres ! Dans la pénombre, leurs silhouettes s'unirent, se contorsionnèrent. Elle tremblait. Frémissante de désir, tout comme lui. La Lune était pleine en ce beau soir d'été si doux. Les ombres des amants se noyaient dans son éclat opalin, se serrant et se mêlant. Sa bouche se tendit vers le ciel, tandis qu'il lui embrassait le cou. Elle soupira d'aise lorsqu'il la marqua d'un autre baiser sur sa gorge. Elle prit son visage à pleines mains. Ces fameuses mains gantées. Un détail qui le charmait sans cesse, qui l'excitait aussi. Même pendant qu'ils faisaient l'amour, elle ne les enlevait jamais. Elle l'embrassa comme jamais elle ne l'avait embrassée, lèvres contre lèvres, prouvant qu'un Dieu existait quelque part dans ces cieux obscurs pour les avoir fait tant compatibles. Oh, il l'aimait tellement. Il la saisit par les hanches et la hissa sur le rebord, déboutonnant sa veste. Ses gants blancs cherchèrent à faire tomber son pantalon et réussirent au bout de quelques efforts...***Il caressa sa peau, tandis qu'elle le surplombait, son corps auréolée de la lumière lunaire et une dernière fois, une dernière fois avant de la quitter, il voulut l'embrasser. Avant d'approcher sa bouche de ses gants, elle frémit encore.
« Tu es vraiment insatiable ce soir tu sais ?
- Oui... mais c'est parce que tu vas me quitter.
- Tu sais bien que je dois retourner auprès de ma femme. Elle ne croira pas toujours au vieux truc des voyages d'affaires.
- Quand la quitteras-tu pour moi ?
- Je ne sais pas Betty... je... j'espère bientôt. Tu sais que je t'aime.
- Tu mens très mal. C'est ce que j'ai toujours aimé chez toi. Tu adores mon corps, c'est tout. Tu ne quitteras jamais ta femme, parce que tu as trop peur d'elle, parce que tu aimes le monstre marin frit qu'elle te fait tous les Lundis. Moi, je t'aime. Je t'ai aimé. Je t'ai tant aimé, mais comme toujours, ce fut trop court. »
Adieu pensa-t-elle avant de lui enfoncer un couteau dans le cou. La vie quitta les yeux de son amant brutalement, les laissant à jamais rempli d'une image sublime : celle d'un corps d'ébène aux courbes ombreuses qui s'offraient à la Nuit. Lentement, le sang vint miroiter sous le rayonnement argenté de l'astre, tandis qu'elle se relevait, nue et couverte d'hémoglobine sous la Lune froide. Laissant sa cible dans son grand sommeil noir, Nikita Betty Butaie essuya l'écarlate qui baignait sa peau aux teintes abyssal et se couvrit de son noir manteau. Enfin habillée, elle utilisa son mini-escargophone.
« Nikita, tu as fini ?
- Oui.
- Le virement sera effectué sur ton compte comme d'habitude.
- Mais est-ce que j'aurais vraiment dû le tuer avec un couteau ? Peut être aurais-je dû lui briser la nuque plutôt ? Et s'il est toujours vivant ? Hein, s'il est toujours vivant ? Il pourrait se relever pendant que j'ai le dos tourné et essayer de m'attaquer par derrière !
- ça n'arrivera pas Nikita, calme-toi...
- ça se voit que ce n'est pas toi qui devra expliquer ça à la Stanhope ! Et si jamais elle me torture pour me punir ? Si jamais elle me coupe les doigts et elle me les fait manger ? Est-ce que tu crois qu'elle me laissera les manger avec de la confiture de prune ?
- Trop de détails, ma belle Nikita. Je suis vraiment désolé, j'ai failli à mon rôle ! J'aurais dû venir avec toi ! J'aurais dû te regarder l'assassiner et bien vérifié qu'il était mort ! C'est ma faute ! Je te prie de m'excuser ma chérie ! Je suis vraiment une mauvais co-superviseur pour ta section !
- Mais non mon amour, Si je lui avais vérifié le pouls, si j'avais utilisé un poison mortel ou bien si je l'avais poignarder 3657 fois, tu n'aurais pas eu à y penser !
- Oh merci ma chérie, tu m'remontes le moral.
- De rien mon trésor.
- Allez, je raccroche.
- A tout à l'heure.
- A tout à l'heure ! KATCHA. »
Palourde Smith quitta l'escargophone, pensant à la femme qu'il aimait. Elle devait durant ses missions souvent offrir son corps à la cible pour acquérir sa confiance. Mais il n'y avait qu'avec lui qu'elle enlevait ses gants. Il était le seul à voir ses mains. Nikita n'aimait pas tuer, c'était simplement son métier. Elle pensait que chaque personne qui devrait mourir de ses mains ne méritait pas de le faire sans amour. Alors, juste avant qu'ils trépassent, elle leur offrait une dernière nuit mémorable sur cette terre. La tueuse à gages était une femme trop aimante et trop encline à croire que ce qu'elle faisait était mal. Aussi souillée que pure. Mais c'était avec une autre femme qu'il devait traiter aujourd'hui.
Avec la Stanhope.***
La fumée qu'elle soufflait rendit le jeune homme hésitant. D'un calme glaciale et méprisant, la vieille qui le regardait sans ciller avec un petit sourire en coin était décidément perturbante. C'était pourtant lui qui avait la pétoire, c'était pourtant elle la vieille bique sans défense. Sa voix dure et sec le fit sursauter.
« Bon, jeune homme, c'est pour aujourd'hui ou pour demain ? C'est que j'ai du travail moi, contrairement à certains racontars.
- T-tais-toi vieille peau ! File-moi la combinaison d'ton coffre et fissa !
- Vieille peau ? C'est à cause des rides c'est cela ? J'ai bien dit à Mr. Manchete que je devrais aller me faire tirer, mais il a jugé que c'était une dépense inutile.
- Mais ferme ta gueule bordel ! Ton blé ! Tes bijoux ! File-moi ça !
- Je refuse, freluquet. Vous ne savez pas qui je suis n'est-ce pas ?
- N-non et j'en ai rien à foutre ! Je-
- Quel âge avez-vous dites-moi ?
- J'ai... j'ai 23 ans. Mais on s'en fout de ça !
- Sachez qu'à 23 ans, jeune homme, j'avais déjà fait fructifié l'argent de mon père tant et si bien qu'il dût se retirer du bizness et me laisser les rênes. Vous avez 23 ans et vous êtes un voleur. Un voleur pathétique et sans envergure devrais-je ajouter. Il faut vous rendre justice sur ce point : vous êtes lamentablement en retard.
- T-tu, TA GUEUUUUULE ! hurla-t-il en brandissant son arme vers elle.
- Mr. Smith, débarrassez-moi de ce cancrelat s'il vous plait, il me fait perdre mon précieux temps. »
Comme toujours, la Dame de Pierre avait des passe-temps bizarres. Visiblement, fort ennuyée par la main mise qu'elle avait sur tout South Blue, elle accordait parfois à quelques malfrats l'inestimable chance d'arriver dans son bureau, puis elle jouait avec eux jusqu'à que, comme la gamine capricieuse qu'elle avait dû être se disait Palourde, elle choisisse de briser son jouet par ennui. La besogne faite, un claquement de doigts suffit pour que ses hommes, les hommes de la Sécurité, interviennent et fassent disparaître le cadavre. Simple et efficace. Une femme de ménage vint bientôt changer le tapis par un flambant neuf, encore plus beau que le précédent. Button Di Manchete consentit alors seulement à faire son apparition, sortant des ténèbres d'un coin de la pièce comme à son habitude et s'installa sur une chaise, aux côtés de Smith. Le chef de la sécurité et des forces spéciales, derrière ses lunettes, mira du côté le responsable du budget, des renseignements et de l'espionnage de Stanhope. Ajustant son monocle et sortant sa sempiternelle pipe pour fumer de concert avec sa maîtresse, le bougre, même après trente ans passés à travailler ensemble, l'étonnait toujours de cette mine verte et renfrognée qu'il arborait. Ceux qui le connaissait, vous tiendrait le même discours : elle renfermait l'un des esprits les plus affutés et pragmatiques qui existait, saupoudré d'une bonne grosse volonté bourrine de faire taire ceux et celles qui en savaient trop. Ainsi qu'un sens de l'humour aussi puérile qu'incongru. L'homme au monocle leva son regard vers la porte qui s'ouvrit sur Nikita.
Tout le monde était là, la réunion pouvait commencer.« Bien, il est temps de commencer, je vous ai fais venir pour le gala de charité. Il f-
- Sauf votre respect, madame, moi j'étais déjà présent dans la pièce depuis le départ. Par ailleurs, je maintiens fermement ma position quant au lifting de votre épiderme, cela serait un pur gâchis d'argent. Et puis ne dit-on pas que "ride ou deux, palsambleu !" ?
- Oui, oui, arrêtez de me corriger et écoutez plutôt.
- Sauf votre respect, madame, je ne vous corrigeais pas, mais apportait une nuance à votre précédent énoncé. Ne dit-on pas après tout que "énoncé mal érigé, patratra-s'est-cassé-la-binette" ?
- Non... et arrêtez de créer des proverbes à la con !
- Sauf votre respect, comme il vous plaira -poil au front. répondit-il avec sa mine la plus sérieuse.
- C'est ma faute madame ! Je suis vraiment super désolé ! J'aurais dû lui faire fermer sa boîte à pipes ! JE SUIS UN INCONTINENT ! Je veux dire un incompétent.
- Sauf votre respect, poil aux dents.
- Ne dis pas ça Pal' ! Si le Destin t'entendait, il pourrait réellement te rendre incontinent ! Et si jamais ensuite tu avais des problèmes ? Et que tu faisais pipi rouge ? Ou pire : pipi bleu. Et que tu en mettais partout, tu-
- Trop de détails, Nikita, trop de détails. AH BORDEL ! J'aurais dû t'arrêter. Je suis vraiment désolé.
- Sauf votre respect, poil au nez.
- MAIS VOUS ALLEZ FERMER VOS CLAQUE-CONNERIES UN PEU L'ADEPTE DU POIL, LE COMPLEXE DE CULPABILITÉ SUR PATTES ET L’HYSTÉRIQUE ? »
Le silence régna pendant plusieurs minutes, temps que choisit Anne Stanhope pour inhaler et expirer une bouffée de fumée de sa longue pipe, avant de s'enfiler une bonne rasade d'un scotch de 1500 pour se calmer.
« Je disais donc que je vous ai fais venir pour le gala de charité donnée par Marla De Maaso-Chist. Elle y vend des bijoux de grande valeur et j'ai contribué à son gala en leur offrant les diamants de mon grand-père : les diamants Stanhope. Mr. Smith et Mlle Butaie, vous amènerez vos hommes avec vous et vous veillerez à ce qu'il ne lui arrive rien. Mr. Manchete, vous placerez également quelques espions de votre crû. J'y serais dans le salon des V.I.P bien entendu, mais je ne pourrais pas m'occuper de cela moi-même. Mr. Smith, vous serez comme toujours mon garde du corps personnel. Nikita, vous surveillerez les couloirs.
- Quelle est la menace ?
- L'agent 7-0-0. »J'aurais pu tué pour elle. J'aurais tué pour ses yeux, pour sa bouche, pour son corps tout entier. Les hommes parlent souvent de femmes sans comprendre, mais lorsqu'on en croise une, quand on en croise une vraie, nous tremblons. Quelque chose que nous ne comprenons pas surgit dans notre cœur, fait exploser notre épiderme en millions d'étincelles et nos couilles en miettes. A sa vue, on se dit "c'est elle." C'est ELLE. La femme qui nous fait tous rêver. Belle à couper le souffle et charmante et sensuelle... une espèce de Lolita tout droit sorti d'un songe. Ma guerrière. Mon Amazone. Elle te domine, elle te sourit la garce et tu souris toi aussi, car tu sais qu'elle t'a jeté un sort. La sorcière te câline et tu ne peux rien y faire. Dès que j'ai vu ses yeux, j'ai su que j'étais foutu. Mais à quoi bon vivre, si on est pas prêts à mourir ? Et elle me fit mourir tant de fois cette nuit. Mon corps dépérit, mon âme s'élève, la connasse m'a envoyé ad patres. On peut causer pitié, elle rétorquera encore. Je suis un soiffard, elle m'assèche, me prive de tout.
***
Nina Simone~~I Put A Spell On You
La nuit roule sur ses longs cheveux roux et moi je suis fou. Je suis fou d'elle. Incapable de m'échapper. La silhouette qu'on siffle dans la rue nous fait dresser les poils sur l'échine et sa chute de reins vient nous marteler l'esprit. Le Puffing Tom me passe dessus, je meurs en souriant. Femme fatale, ta beauté est mortelle. Elle me dit que je suis à elle. Que répondre ? Je hurle "oui" ; j'ai perdu le compte. Je ne suis plus. Je suis tout à elle...
J'aurais pu tuer pour cette femme... Elle ouvre les jambes, mais pas son cœur. Je sens qu'elle est aussi vide que moi. On est tous les deux fiévreux et misérables. Elle, elle garde sa superbe. Dans un élan, elle me glisse son nom dans le creux de l'oreille, je suffoque. Elle a le chic pour me faire décoller pour un rien. Et des riens, elle te construit des palais. Ces soupirs sont mes Mille et Une Nuits. Je vois l'ombre de ses mains glissaient sur ma peau et j'me dis qu'il y a un Dieu quelque part.
Oui, j'aurais pu tuer pour elle. Mais la femme est capricieuse, elle se joue de moi, s'échappe, file entre mes doigts. Eau. Elle me noie. Je n'entends que son rire qui fuit.
Je suis en nage et je suis mort.***
Le bar prenait place dans un édifice ancien, comme partout dans la vieille ville de Saint-Urea. La jeune femme était sublime, si sublime que l'action d'mimer une silhouette aux formes plantureuses semblait avoir été inventé pour elle. Son charme vous prenait à la gorge. Assise autour de la table de poker, un gros cigare dans l'bec, madame se faisait prier pour jouer. Faisant l'agneau, alors qu'elle était visiblement louve, elle offrait sa gorge pour tromper et saisir le moment où elle pourrait planter ses crocs sulfureux. Autour de la table, tous les regards convergeaient vers elle et la fumée de son barreau de chaise lui-même flatter ses courbes insolentes en la faisant tantôt flou, tantôt irréelle. Révélant son jeu en se penchant, beaucoup soupirèrent. Elle avait gagné.
« Mademoiselle, je dois dire que vous nous avez inspiré ce soir. Peut être pourriez-vous nous dire votre nom en fin de compte ?
Elle sourit, puis enleva ses lunettes noires.
- Saut. Jeanne Saut. Et tout le plaisir, j'en suis sûre, fut pour moi. »Écris sur et inspiré par ça.
Elle se leva et disparut. Son parfum était encore là, enivrant. Il nous criait : "tu es à moi".***
Tout est prêt ?
- Tu as trouvé tes partenaires ?
- Oui. Ils sont comme je les aime : talentueux dans leurs domaines avec juste un soupçon de mystère pour m'étonner encore.
- Bien, tu me les ramènes demain à midi tapantes. Je ferai en sorte de leur trouver quelque chose de présentable.
- Ce sera fait.
- Tu les as prévenus au moins ?
- Non. Absolument pas. Mais je compte leur présenter des arguments de poids.dit-elle toute sourire.
- Ils ne tomberont pas forcément dans le panneau d'ton jeu de séduction Agent Sotte.
- H., tu me connais maintenant. Est-ce que tu crois que je me satisferais seulement de ça ?
Il tressaillit. Elle avait raison sur ce point. Jeanne Saut, ancienne danseuse d'Alabasta, ancienne Chasseuse de Primes de Whiskey Peak et plus ou moins ex-voleuse, Espionne à temps partiel et Mercenaire libertaire n'était pas du genre à se satisfaire de si peu. Elle se rapprocha alors de lui et approcha son visage, lui décochant un sourire carnassier. Une louve en chasse.
Je veux les Diamants Stanhope. Je veux le faire à son nez et à sa barbe et je veux le faire ni avant, ni après, mais pendant le gala de charité. Les Diamants eux ne mentent pas Horacio. Les Diamants sont éternels. Et puis, je dois dire que je suis intéressée, après tout, diamants et femmes sont semblables en tout point : aussi durs que resplendissants.
Se redressant, elle se dirigea vers l'entrée, se stoppant, la poignée de la porte ouverte dans sa main.
- Ton avarice n'aura donc jamais de limite, Saut ?
Elle se retourna, mit ses lunettes noires et sourit. Avant de disparaitre, elle lâcha :
- Jamais. La vie est un rêve, Horacio. Et dans mon rêve éveillé, le monde lui-même ne suffirai pas. »
La porte se referma doucement sur le beau monstre. Comment ne pas l'appeler ainsi : une femme si belle, intelligente et si capable ? Tant de trésors en une seule personne, n'était-ce pas monstrueux ? Pire, elle était dangereuse, peut être plus que Stanhope elle-même qui était limitée par son arrogance. Jeanne Saut, elle, n'était limitée que par son imagination.
Rien de plus dangereux qu'une femme sans scrupules, ni amour-propre.***
Elle les avait surveillés pendant des jours avant de les approcher, avait remarqué leur particularité et les avaient amenés voir Horacio pour être équipé. Les persuader de l'aider ne fut pas le plus dur -chacun y trouvait son compte au final ; le plus dur fut de réussir à convaincre Robb Lochon de se laver et de s'habiller en costard, ainsi que de lui expliquer qu'il n'y aurait pas de plat à base de lardons et de fromage fondue là où ils se rendaient.
« Bon, je suis H. Ou Horacio Tchoufleur si vous n'aimez les initiales super secrètes. Je suis votre coordinateur. Je vais vous équiper. Chacun aura un de ses Mini Escargophones. Je vous donnerai aussi de supers gadgets. Tenez, prenez ça. Oui, ce sont des bananes, je m'en rends compte. Mais vous savez ce que l'ont dit, mes p'tits amis : "toujours amener un fruit à une party". Ah et prenez ces ciseaux. C'est toujours utile. Euh sinon... un mini-den den, des bananes, des ciseaux, qu'est-ce qu'il vous manque... hmm... Ah oui, évidemment ! Les bagues ! Alors, vous voyez, vous prenez votre bague là, hein, vous appuiyez sur ce bouton, vous le jetez et... et ça fait des bulles ! OUI, DES BULLES ! C'PAS PUTAIN DE GÉNIAL ? »
SOS 700 : beaucoup de conneries... et beaucoup de bourrins.