>> Lucio Silva
Pseudonyme : la Flemme Age: 32 ans Sexe : Homme Race : humain Rang : Rang ? On n’y réfléchit pas trop, entre deux siestes… Métier : Voyageur ? Un peu de tout… Tant que ce n’est pas fatigant. Groupe : Pirates Déjà un équipage : But : Continuer ses magouilles de manière à dormir toujours plus. Fruit du démon ou Aptitude pour la suite : Tireur d’élite Équipements : Un pistolet « spécial Lucio », au long canon. Le cadre de fer a été nettement affaibli, diminuant le poids, mais aussi la résistance de l’arme. Le résultat, une arme précise et effilé, rapide à dégainer, mais qui ne résisterai pas sans un entretien journalier et soigneux. Un fusil court, même conception « spécial Lucio », utilisé à plus courte portée. Ses vêtements. Codes du règlement (2) : Parrain : |
>> Physique Aaaah, commençons donc par là. Le physique de la l… De l’homme. Concentrez vous d’abord, si vous le voulez bien, sur son visage. Plutôt banal, ni beau ni laid dans ses traits, une face ovale, un cheveu brun sur le crâne tout à fait classique. La coupe en revanche… Mode saut du lit perpétuel. A croire que Lucio n’a jamais croisé le chemin d’un peigne. Mais pas de faux négligé non, un négligé de réveil –situation qu’il vit à chaque brève période de conscience-, qui sent bon le « mi-coiffé mi-pétard », du côté de l’oreiller ! La résultante ? Un homme n’arborant jamais la même coupe, et qui s’en fiche cordialement. Tout au plus, dans un souci de praticité, garde-t-il la coupe relativement courte. Une fine barbiche, un peu plus entretenu, se tient « fièrement » -pour peu qu’une barbiche puisse être fière, rien n’est moins sûr- sur son menton. Sous ses yeux, des cernes perpétuelles ont établi domicile, et collent au personnage tel deux pensionnaires squatteurs et familiers. Le corps de Lucio n’a rien d’étonnant. Du moins, quand on connait le bonhomme. Une taille moyenne, légèrement plus peut-être, puisqu’il tient bien son mètre 80. En revanche, il est d’une maigreur… Maigre. En effet, l’organisme de Lucio consomme peu. Et pour consommer peu, il faut porter peu. De plus, manger, c’est fatigant, il se contente conséquemment d’un minimum vital salutaire, sans rechigner, mais sans plaisir. Une chose pourrait vous étonner, c’est, dans le regard du flemmard, une étrange lueur de vivacité. Car la vue reste bien le seul atout physique du tireur. Ca, et sa curieuse économie d’énergie perpétuelle. Pour seuls vêtements, une chemise noire, un pantalon de toile brune, et une paire de bottes à la couleur douteuse. Des fringues peu salissantes et pratiques. Les laver ? Quand il tombe sur une bonne femme voulant gagner un peu d’argent de poche. Un long manteau coupe-vent l’aide à tenir au froid, le couvrant intégralement, col compris. Oh, et il a gardé sa vieille casquette de marine, à cela près que le « marine » a disparu du devant, ne restant que la couleur blanche. >> Psychologie Lucio est un flemmard. Certes, ce détail ne casse pas trois pattes à un canard. Voir à une truite d’eau douce. Mais ce qui est évident de prime abord se doit d’être signalé, n’est-ce pas ? Cependant, là où la flemmardise du tireur est spéciale, c’est son degré de gravité. Narcoleptique. Si c’était pathologique, il aurait pu être classifié ainsi. Mais Lucio n’est rien de plus –et rien de moins- qu’un glandeur « j’m’en foutiste » fainéant perpétuellement à plat, dont l’énergie moyenne s’apparente à celle de la limande de pleine saison. Il dort, la plupart du temps, se laissant porter –souvent au sens propre- par les évènements. En fait, ce qui n'était qu'un besoin psychologique est devenu un besoin physique, mais il est quasiment impossible de distinguer la part du mental là dedans. Pour cela, il faudrait tenir une conversation soutenu avec lui, ce qui tient presque de l'exploit en soit. Même si, en apparence, celui-ci parait complètement hors du monde, l’homme pense avant d’agir. Enfin, de se laisser porter. En effet, choisir le courant épargne bien des mauvaises surprises, et les mauvaises surprises sont terriblement fatigantes. Ennuyeuses. Mais dans le mauvais sens du terme, Lucio aime d’ordinaire l’ennui, synonyme de rien. Oh, il ne vénère pas le rien. L’adoration sous-entend « aimer », et aimer est fatigant. Les rares amis de Lucio sont ceux susceptibles de le soulager de ses maigres charges, ou de l’aider un jour ou l’autre. Tout, dans sa vie, n’est que calcul et sommeil. Le premier ne servant qu’à soutenir le second. Un effort doit nécessairement amener une plus grande part de sommeil, et on se doit de respecter un certain "qualité-prix", en quelque sorte. La trahison ne le tente pas néanmoins car demande une dépense d'énergie bien plus grande que rester dans le train-train habituel de l'accord passé. Niveau ambition, on frôle le zéro absolu, le néant. Comme nous l'avons déjà dit, s'il est capable, pour s'épargner un certain effort, de faire preuve d'imagination et d'une certaine intelligence, il n'a aucun objectif à long terme si ce n'est dormir, encore et toujours. Aussi, on aurait pu croire que la marine lui aurait convenu, avec sa docilité feinte et arrangeante, mais ce ne fut pas le cas. >> Biographie Diable. Si nous ne devions que décrire les périodes conscientes de la vie du jeune homme, nous aurions un mal fou à tenir la distance. Mais heureusement, votre narrateur, omniscient et omnip… -on me chuchote dans l’oreillette que je peux toujours rêver…- va s’efforcer de narrer les « aventures de Lucio, le Flemmard des Quatre Mers ». Tout commence dans les eaux calmes d’East Blue sur une petite île, que, par convenance tant que par raison de… Flemme –tel maitre tel pantin-, nous nommerons « Patelin ». Sur Patelin, une centaine d’habitants, guère plus, une école et l’épicerie du coin. C’est là que naitra et grandira le jeune Lucio jusqu’à ses 18 ans. Où il passera pour un illustre incompétent et, surprise, un flemmard notoire. Son père, un artisan travailleur, ne peut bientôt plus le voir en peinture, il ne fréquente guère les autres enfants, et, si ce n’est sa mère hyperprotective, personne ne fait attention à cet enfant, puis adolescent, si insignifiant. A ses 18 ans, et en ayant assez de nourrir une bouche inutile, le père intime gentiment, par le biais du coup de pied au derche, au jeune homme de s’engager dans la marine, histoire « qu’ces abrutis servent enfin à quequ’chose, pis c’p’tit con f’ra pas trop tâche ». A noter que Lucio s’endormit sur le cahier du recruteur, le nez entre la page du S et du T. Pile au milieu, oui, il visait déjà bien à l’époque. Une période dont il se souvient encore avec un frisson –en tout cas, si frissonner n’était pas fatigant, ce serait le cas- dans le dos, ses classes… Entre pluches de patates, balayages, et autres tortures inhumaines, le jeune homme développe malgré lui un talent qui compense son peu de potentiel. Une vue hors du commun. Qui sait, à force de s’économiser la cornée, peut-être le tireur a-t-il développé d’excellents yeux ? Sans compter que Lucio ne respire presque pas, si silencieusement et doucement que la visée n’en est pas affectée le moins du monde. Et la position du tireur, patiente, immobile, à l’écoute, lui convient parfaitement. Ainsi, il parvient à développer un talent assez étrange. Tirer de manière quasi-inconsciente, à peine au fait de ce qui se passe autour de lui, et ne reprenant ses esprits qu’en cas de besoin, mu par son maigre instinct de survie. Quelques années plus tard, à 24 ans, Lucio est devenu le sergent-chef Lucio, détesté par ses supérieurs, risée de ses hommes, et profondément loin de ces considérations. La goutte de trop fut la venue, dans son bataillon, d'un nouveau et jeune lieutenant, tout amidonné de fierté, qui, non content de vouloir révolutionner la vie dans la caserne provinciale, fit de la vie de Lucio un cauchemar -plus que les autres supérieurs s'entend-, ne se contentant pas de dédaigner son "talent", mais le forçant à faire des choses... Tel que ce funeste mardi, il y avait un grand soleil, une journée parfaite pour lézarder, mais Lucio dut... Courir dans une cour. Il termina sur les rotules, en se trainant comme un misérable, pour achever le parcours. Conscient que les responsabilités commenceront forcément à lui tomber sur le coin de la gueule, et que ce lieutenant ne quitterait pas la marine de sitôt, Lucio déserte. Non, je plaisante, trop fatigant. Il attendit simplement la fin de son année de service, et ne la renouvela pas. Sa plus grande « action » héroïque fut de garder sur lui les deux armes qu’il avait fait construire sur les deniers de la marine, son pistolet et son fusil. Il passa tellement inaperçu que personne ne vint jamais les lui reprendre. Arrivé dans la vie civile, un constat. La vie de mendiant est fatigante, trop soumise à l’incontinence des circonstances, on ne trouve jamais de lit… L’argent, il ne le porte pas dans son cœur, mais il en a besoin. Et c’est dans ces circonstances, usant de son meilleur don, que Lucio devient un branleur des mers. Pendant plusieurs années, il écume l’océan, sans équipage fixe, se contentant de mettre son don à disposition de capitaines pirates plus ou moins scrupuleux contre un peu de monnaie, mais les quittant toujours. Ceux-ci ne pouvaient s’empêcher de le réveiller pour lui donner du travail. J’en frissonne moi-même. Sisi, j’en frissonne moi-même, parole de narrateur. Conséquemment, nous retrouvons le Lucio, écumant encore et toujours les mers, sans équipage fixe et refusant de se fixer sur un projet au long cours sans être assuré que celui-ci lui assurera une tranquillité perpétuelle. >> Test RP Le Test rp est obligatoire, il vous sera donné par le modérateur responsable de la section présentation. Faire un test rp avant l'intervention sera totalement inutile : il ne comptera pas. Quand vous estimez avoir terminé votre présentation, signalez le et demandez votre test RP. Pour plus de lisibilité vous pouvez aussi l'indiquer dans le sous titre de votre présentation [En attente de Test RP] Plus ce sera visible, moins vous avez de chance que les modérateurs vous loupent. |
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Informations IRL
- Prénom : Thomas
Age : 21 ans
Aime : Oh, je suis plutôt eccléc… Ecleque… Clécléclé… J’aime beaucoup de choses, de la soirée binouze à la soirée poker, de Vian à Stendhal en passant par Marc Lév… Non, sans passer par là, réflexion faite. Non, je tente de m’intéresser à tout ce qui me passe sous la pogne.
N'aime pas : Comme mon personnage, je n’ai jamais été un fan de l’effort physique, sooo… ça me définit bien.
Personnage préféré de One Piece : Nami, elle a toujours représenté pour moi le coté « badass torturé » de l’anti-héros, qui change sa cuti morale comme de chemise. Une Han Solo du manga. Avis perso.
Caractère : (définissez vous en quelques mots) Je pourrai tenter de me décrire, mais bon, quel intérêt, quelque chose que vous verrez au fur et à mesure. Si vous voulez savoir si vous pouvez cogner, allez-y, j’encaisse avec le sourire.
Fais du RP depuis : 4 ans
Disponibilité : (en jours par semaine, c'est bien sur, approximatif) Toujours.
Comment avez vous connu le forum ?
Ancien d’One Piece Reign, et celui qui fut Edword et dont je n’arrive pas à retenir le nom ici m’a vilement corrompu. Il a mis le temps, mais il a réussi. Enflure.
Dernière édition par Lucio Silva le Sam 25 Aoû 2012 - 7:37, édité 2 fois