La journée commence bien, il fait beau, peu de vent, Bref, une journée agréable. J’ai enfin mis le pied sur les terres de Nagaya. La traversé à été vraiment pénible avec tous ces idiots de commerçants…Le port est remplit de marin qui travail. Ils font peu attention à moi, du moins je le crois. Ils portent un regard suspicieux et au final l’un d’eux vient vers moi.
Marin : Dis-moi l’artiste ! Tu es venue faire quoi ici ? Je ne te vois pas avec les autres marchands !
La question sonne comme un interrogatoire… et je n’aime pas trop ça… malgré tout je dois éviter les problèmes. Il y a de bon gaillard parait-il dans le coin, trop gros en tous cas.
Ulcky : Bonjour, je n’ai pas de réelle raison d’être ici, je souhaite simplement visiter.
On m’avait dis que c’était dure d’être accueilli, j’allais le savoir. L’homme en face de moi fronce les yeux. Les plis sur son front se creusent et je sens l’agression venir…
Marin : Ne fait pas de vieux os ici, dégage du coté de Honnoji, ici on n’a pas besoin de gêneur qui ne serve a rien… Là-bas, tu pourras trainer quelques jours…
Ulcky : J’y vais de ce pas, merci pour vos conseils.
Je baisse un peu le torse et la tête pour affirmer ma bonne écoute. Au moins de ce coté là, j’ai évité un soucie. Le loup de mer tend à présent le bras et son doigt indique la direction à suivre. Je prends un pas assuré légèrement rapide. Je ne veux pas rester ici trop longtemps et la route pour aller vers la petite cité commerçante est longue.
La chemin est comme ma première impression en arrivant ici. J’ai le temps et personne n’est en vue. Après quelques heures dans les terres volcaniques, j’arrive enfin aux portes de la commune. Là il y a de tous, je suis pourtant à peine arrivé, mais déjà la foule est présente. Et à la différence de tout à l’heure, ici il y a des personnes de tous horizons. En déambulant dans les allées, je remarque que malgré un florilège d’objets et de nourriture sur les étales, Il n’y avait pas la moindre trace d’article de valeur ou d’une quelconque rareté. Le pays des sabres et surtout de leurs apprentissages est bien fermé aux étrangers…
Même si je ne suis pas un expert dans le domaine, je sais reconnaitre une lame de bonne facture. Et le roublard devant moi avait des choses sympathiques chez lui.
Yuan : Salut ! Dis-moi, n’aurait-tu pas une arme pour moi et pas du n’importe quoi je le verrais ! Ah ah !
C’est ce que j’ai dis en riant, j’aime plaisanter sur mon bandeau. Mais, L’homme ne fait même pas attention à ma façon de lui parler. Il a l’aire plus occupé à vouloir me vendre des choses.
Marchand : Oui… Mmm, j’ai ce magnifique sabre, il est bien équilibré. Il coupe bien et … Bon c’est un bon sabre quoi. Pas non plus un des grands coupes gorges de ce monde, mais il te serait utile.
Je penche la tête vers la droite, le visage mécontent.
Yuan : Je trouve ça trop encombrant… tu n’aurais pas autre chose de compact. J’aime garder les mains libres… Mais qui me permette de taper plus dure ?
Après quelques instant de réflexion, il fait mine de trouver mon bonheur et cela allait être vrai.
Marchand : Tiens, j’ai cette chose qui me vient d’assez loin. Enfin l’idée … ahah ! Un de nos maîtres à eu un adversaire qui se battait avec ça.
Marchand : Tu porte l’arme comme une bague à chacun de tes doigts et avec ça, tu va faire plus de mal !
L’arme me semble parfaite, rien d’extraordinaire, mais assez efficace pour me rendre plus fort avec peu de contrainte.
Yuan : Et tu le vends combien ?
Entre temps du monde entre également dans l’échoppe pour trouver son bonheur.
Marchand : 50 000 berrys et ce n’est pas chère ! Une affaire avec l’entretient que je lui donne.
Je commence à le regarder comme si il me prenait pour un con… Ma tête tombe d’un cran devant le prix il. Il vend son service derrière son importation… Laisse-moi rire. Et dans ma poche ? 20 000 berrys à peine… Je dois trouver une solution et vite.
Marin : Dis-moi l’artiste ! Tu es venue faire quoi ici ? Je ne te vois pas avec les autres marchands !
La question sonne comme un interrogatoire… et je n’aime pas trop ça… malgré tout je dois éviter les problèmes. Il y a de bon gaillard parait-il dans le coin, trop gros en tous cas.
Yuan : Ulcky vas-y, moi je risque de foutre le boxon.
Ulcky : Bonjour, je n’ai pas de réelle raison d’être ici, je souhaite simplement visiter.
On m’avait dis que c’était dure d’être accueilli, j’allais le savoir. L’homme en face de moi fronce les yeux. Les plis sur son front se creusent et je sens l’agression venir…
Marin : Ne fait pas de vieux os ici, dégage du coté de Honnoji, ici on n’a pas besoin de gêneur qui ne serve a rien… Là-bas, tu pourras trainer quelques jours…
Yuan : Un gêneur hein ? Je vais me le faire…
Ulcky : Non laisse, on évite les problèmes, tu m’as demandé de gérer, je gère.
Ulcky : Non laisse, on évite les problèmes, tu m’as demandé de gérer, je gère.
Ulcky : J’y vais de ce pas, merci pour vos conseils.
Je baisse un peu le torse et la tête pour affirmer ma bonne écoute. Au moins de ce coté là, j’ai évité un soucie. Le loup de mer tend à présent le bras et son doigt indique la direction à suivre. Je prends un pas assuré légèrement rapide. Je ne veux pas rester ici trop longtemps et la route pour aller vers la petite cité commerçante est longue.
La chemin est comme ma première impression en arrivant ici. J’ai le temps et personne n’est en vue. Après quelques heures dans les terres volcaniques, j’arrive enfin aux portes de la commune. Là il y a de tous, je suis pourtant à peine arrivé, mais déjà la foule est présente. Et à la différence de tout à l’heure, ici il y a des personnes de tous horizons. En déambulant dans les allées, je remarque que malgré un florilège d’objets et de nourriture sur les étales, Il n’y avait pas la moindre trace d’article de valeur ou d’une quelconque rareté. Le pays des sabres et surtout de leurs apprentissages est bien fermé aux étrangers…
Même si je ne suis pas un expert dans le domaine, je sais reconnaitre une lame de bonne facture. Et le roublard devant moi avait des choses sympathiques chez lui.
Yuan : Je négocie là !
Ulcky : très bien
Ulcky : très bien
Yuan : Salut ! Dis-moi, n’aurait-tu pas une arme pour moi et pas du n’importe quoi je le verrais ! Ah ah !
C’est ce que j’ai dis en riant, j’aime plaisanter sur mon bandeau. Mais, L’homme ne fait même pas attention à ma façon de lui parler. Il a l’aire plus occupé à vouloir me vendre des choses.
Marchand : Oui… Mmm, j’ai ce magnifique sabre, il est bien équilibré. Il coupe bien et … Bon c’est un bon sabre quoi. Pas non plus un des grands coupes gorges de ce monde, mais il te serait utile.
Je penche la tête vers la droite, le visage mécontent.
Yuan : Je trouve ça trop encombrant… tu n’aurais pas autre chose de compact. J’aime garder les mains libres… Mais qui me permette de taper plus dure ?
Après quelques instant de réflexion, il fait mine de trouver mon bonheur et cela allait être vrai.
Marchand : Tiens, j’ai cette chose qui me vient d’assez loin. Enfin l’idée … ahah ! Un de nos maîtres à eu un adversaire qui se battait avec ça.
Marchand : Tu porte l’arme comme une bague à chacun de tes doigts et avec ça, tu va faire plus de mal !
L’arme me semble parfaite, rien d’extraordinaire, mais assez efficace pour me rendre plus fort avec peu de contrainte.
Yuan : Et tu le vends combien ?
Entre temps du monde entre également dans l’échoppe pour trouver son bonheur.
Marchand : 50 000 berrys et ce n’est pas chère ! Une affaire avec l’entretient que je lui donne.
Je commence à le regarder comme si il me prenait pour un con… Ma tête tombe d’un cran devant le prix il. Il vend son service derrière son importation… Laisse-moi rire. Et dans ma poche ? 20 000 berrys à peine… Je dois trouver une solution et vite.
Dernière édition par Ulcky Yuan le Jeu 4 Oct 2012 - 20:38, édité 2 fois