Ils arrivent à Syrup, ville plutôt sympa aux abords. Et sûrement dans le fond aussi. Il fait bon, pas trop chaud, pas trop beau. Faut dire, il doit être 18 heures, on doit s'approcher du crépuscule. Fais toujours bon à cette heure-là. Mais bon, ce qui est bien, c'est que arrivés au port, une trainée de sang montre très, presque trop, facilement le chemin. Le chemin qui amènera à Octavia, à coup sûr. Ryuuku et Argos se déplacent assez rapidement, se mettant à courir en suivant la trainée de sang. Qui sait ce qu'elle est capable de faire cette Fumeuse. Il faut faire vite. Elle sait qu'elle est en situation critique, elle va sûrement faire quelque chose de mauvais, ça se sent...
Les deux marines arrivent très vite aux abords d'une maison. La porte est ouverte. Quand ils rentrent dans la maison, tout est sens dessus dessous. Des tables renversées, des chaises écrasées, du sang encore une fois. Putain, j'espère qu'elle a pas encore buté quelqu'un... Un cri pas loin. Avançant dans les décombres, les marines voient une femme, la trentaine, pas spécialement belle, recroquvillée là, dans le coin de sa maison. Elle a peur, elle tremble. Elle dit d'une petit voix fébrile :
- Elle... Elle a pris ma fille, sauvez-là.
Argos s'occupe de la rassurer avec les mots. Il a l'air d'être doué avec les femmes, ou en tout cas il sait y faire quoi. Quoi qu'il en soit, la femme nous dit aussi qu'elle est parti avec des bandages, vers la forêt. Et que cette dame a un crochet. Ça ne peut être qu'elle. Un otage, c'est malin ça. Il va falloir qu'Argos fasse son boulot de sniper dans ces conditions.Ils se déplacent alors vers la forêt, encore une fois au pas de course, même si plus lentement. Ils sentent qu'ils s'en rapproche, elle n'est pas loin, qu'ils doivent être sur leurs gardes maintenant si ils ne veulent pas de mauvaise surprise.
Ils avancent dans la végétation, et peu à peu ils observent une clairière. Dedans, la petite fille (une douzaine d'années) ligotée sur le sol. Et à côté, Octavia en train de se mettre un bandage sur le bras. Il semble qu'elle a beaucoup saigné, trop ces derniers temps. Elle a le visage un peu pâle. Ryuuku s'adresse alors à Argos.
- On va avoir besoin de ton talent, ici et maintenant. Je te propose de t'occuper dans un premier temps d'elle pendant que je mets la petite en sécurité. Ensuite, je viendrai t'aider pour de bon, s'il le faut. Tu me donnes le lance-filet ou tu le veux ?...
Leurs cœurs battent rapidement. Le combat, le vrai, va bientôt commencer.
Les deux marines arrivent très vite aux abords d'une maison. La porte est ouverte. Quand ils rentrent dans la maison, tout est sens dessus dessous. Des tables renversées, des chaises écrasées, du sang encore une fois. Putain, j'espère qu'elle a pas encore buté quelqu'un... Un cri pas loin. Avançant dans les décombres, les marines voient une femme, la trentaine, pas spécialement belle, recroquvillée là, dans le coin de sa maison. Elle a peur, elle tremble. Elle dit d'une petit voix fébrile :
- Elle... Elle a pris ma fille, sauvez-là.
Argos s'occupe de la rassurer avec les mots. Il a l'air d'être doué avec les femmes, ou en tout cas il sait y faire quoi. Quoi qu'il en soit, la femme nous dit aussi qu'elle est parti avec des bandages, vers la forêt. Et que cette dame a un crochet. Ça ne peut être qu'elle. Un otage, c'est malin ça. Il va falloir qu'Argos fasse son boulot de sniper dans ces conditions.Ils se déplacent alors vers la forêt, encore une fois au pas de course, même si plus lentement. Ils sentent qu'ils s'en rapproche, elle n'est pas loin, qu'ils doivent être sur leurs gardes maintenant si ils ne veulent pas de mauvaise surprise.
Ils avancent dans la végétation, et peu à peu ils observent une clairière. Dedans, la petite fille (une douzaine d'années) ligotée sur le sol. Et à côté, Octavia en train de se mettre un bandage sur le bras. Il semble qu'elle a beaucoup saigné, trop ces derniers temps. Elle a le visage un peu pâle. Ryuuku s'adresse alors à Argos.
- On va avoir besoin de ton talent, ici et maintenant. Je te propose de t'occuper dans un premier temps d'elle pendant que je mets la petite en sécurité. Ensuite, je viendrai t'aider pour de bon, s'il le faut. Tu me donnes le lance-filet ou tu le veux ?...
Leurs cœurs battent rapidement. Le combat, le vrai, va bientôt commencer.