Là où tout commence et... Et... Débute ? [FB]

Tout du moins, là où commence notre narration, ce qui, vous l'admettrez, est vachement bien foutu. Pirouette narrative sans intérêt. Passons, passons, passons ! Logue Town, ville arrêt pour certains, terminus pour beaucoup, et pur hasard pour d'autres. Pur hasard car, me direz vous, qu'est ce qui pousserez le fllemmard sur papattes à se retrouver ici ? En gros en résumé, rien. Détaillons.

Tout avait bien commencé lorsqu'il avait accepté ce contrat, quelque part sur East Blue. Il avait eu la chance, après un "débarquement" forcé, d'être trouvé par un autre équipage après deux semaines en mer. Oui, si long. L'avantage de ne pas consommer trop de carburant, c'est la marge de survie en milieu hostile avec peu de provisions. Les négociations avaient été âpres -quinze à vingt secondes, effort conséquent s'il en est-, et le pirate, épuisé, avait bien vite trouvé une couchette quelque part dans la cale, que du normal. Là où les choses avaient dérapé, c'était lorsque le-dit avait eu l'idée, au bout de quelques semaines de mer, de le balancer par dessus bord, évitant ainsi de continuer à payer un inutile, en omettant, politesse élémentaire, de lui prêter quelqu'embarcation de fortune. Ce qui, on en conviendra, est assez ballot pour qui veut éviter une noyade. Le flemmard eut la meilleure des réactions. Sur une mer l'huile, il se laissa... Flotter. Connement flotter. Se débattre ne servait à rien.

Et, coup de bol monumental, l'île la plus proche, qui n'était autre que Log Town, n'était qu'à quelques miles marins de là. Quelle "joie" pour le marine que de s'échouer sur la rade. Un habitant du crû, vérifiant la bonne marche de ses fonctions vitales, s'assura même de le piquer du bout d'un bâton, comme un vulgaire morceau de fourrure qu'on trouve ressembler à un écureuil, quel manque de politesse ! Pas de mouvement. Plus fort. Rien, pas un bruit du... De la loque dégoulinante. L'autochtone regarde à droite à gauche. Pas de marine en vue, chose suffisamment rare pour être signalée. Avant de se pencher sur le corps, prêt à le dépouiller corps et bien.

Quelle ne fut pas sa surprise lorsqu'il retrouva le canon d'une arme planté sur le bout de son nez. Instant de latence. Et quelques secondes plus tard, nous avons un homme courant en hurlant quelque insanité à propos de... Fantôme, revenu à la vie, malédiction... Naïf habitant local... Le flemmard ouvre un oeil, sentant, enfin, le sol dur dans son dos, se relevant, à peine. Assis comme ça, face à la mer, si tranquille. Il avise d'un oeil l'arme dans sa main. La penche, canon au sol. Un filet d'eau en sort, suivi d'un pauvre et minuscule poisson qui n'en demandait pas tant. Même constat pour son autre arme. Ca et le sel, s'il ne les récupère pas fissa, c'est mal barré. Et c'est décidé, et mû par sa volonté sans faille que le hombre se met sur pieds. Bien flageolant, et trempé, mais bon, c'est déjàà un début. Un leeeeeent tour sur soi-même, et, d'un pied léger, il fonce vers le centre de la ville. ..................................................................... Je plaisante. D'un pas lourd et gauche, Lucio commence un lent voyage vers le coeur de Logue Town, sous le regard médusé de passant voyant ce semi-cadavre trempé -quelques algues pendent sur ses épaules- déambuler dans les rues. Trouver un moyen de se payer une chambre, en premier lieu. Et pour ça, rien de mieux que... Que... Il se stoppe. Constat douloureux, que faire ? Pas question de marcher au hasard. Au détour d'une rue, une petite impasse. Tant mieux, se poser en tra... Pause. En nettoyant ses armes. Il se laisse tomber là, à l'ombre et à l'abri du bon peuple, et commence à démonter son arme, avec lenteur et précision. Personne n'arrête la marmotte en marche, c'est clair et net désormais.
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    Je percute une petite vieille qui se croit tout permis à cause de son âge. Ignoble reflet de notre société corrompue, elle se retourne pour m'insulter. Ainsi va le monde, ainsi va cette ville où tout n'est que luxure, pourriture et hypocrisie. On se targue de faire respecter la loi par des milliers de marine, et on idolâtre un échafaud. Sombre réalité qui se cache derrière, l'objet de sanction est devenu un objet de vénération. Et moi ? J'erre dans les recoins puant de cette citée, dans une quête impossible d'une justice que je suis le seul à pouvoir faire respecter.

    Je nourris machinalement l'escargophone de liaison que j'habrite dans mon crâne. Il est le seul lien que j'ai avec les miens. Je m'avance. Dieu seul sait ce que je rencontrerais dans les décombre puant des ruelles de cette ville soi-disant civilisée. Catins, trafiquant, petit tueur ? Marine corrompu ? Tant de fléaux de l'humanité, qui sombrant dans la décadence, ferait mieux de...


    Euh... Désolé de t'interrompre, mais tu te rappelles qu'en temps que personnalité neutre et primaire de notre système, c'est à moi de raconter la scène ?

    A quoi bon, tu es comme tout les autres un de ces chiens inutiles cherchant juste à sortir la tête de l'eau marécageuses assez longtemps pour faire sembler de pouvoir continuer librement sa misérable existence !

    Ah proprement parler, non, vois-tu, cette foule dense autour de nous est principalement constituée d'Homo Sapiens Sapiens, des humains, alors que moi même je ne suis qu'un programme de compréhension comportemental inachevé qui...

    Evite les discussions scientifique sans queue ni tête, et viens-en aux fait, j'ai le crime à chasser ! Et je te conseille de pas te la jouer à l'entourloupe avec moi.

    Je suis parfaitement indissociable de toi, vu que c'est ma propre "conscience" qui active les systèmes de mise en route de notre corps. Qui plus est, tu n’es qu'une fausse personnalité simulée, un rajout dut à l'implantation de la carte de programme #000000 dans mon système de lecture. Enfin, si je ne raconte pas, je ne serais qu'un simili inutile de personnalité dont tu ne pourras te séparé, ce qui s'apparenterait à ce que l'homme appelle un emploi fictif, or, l'être humain de ce que j'en sais voue une telle haine aux emplois fictifs que nous risquons la mort si jamais on découvrait cette situation. Et puis en plus, ton opinion me semble quelque peu biaisée par rapport à la réalité des fais.

    J'ai rien compris, mais tu m'as l'air honnête petit... Suis-moi, mais dérange pas ma marche contre le crime !

    Nous reprenons donc notre route au travers des rues de Logue Town. Il y a de cela une semaine, en arrivant sur cette île, j'ai opté pour adapter mon corps à l'identité de la carte #000000 très adaptée à l'enquête et la recherche d'une carte de programme à l'intérieur d'une si grande ville.

    Autour de nous des habitations collées les unes aux autres...

    Repaire des pires catins de la citée !

    Forment des barrières à nos sens dirigés tout entier à la recherche d'une nouvelle de nos personnalités. De même, comme nous sommes jour de marché...

    Période où les raclures de toutes les couches se livrent à leur trafic sous l'œil bienveillant des autorités !

    Une foule dense et compacte obstrue les rues, nous empêchant de détacher des stimuli sensoriels intéressants et exploitables.

    Et nous mettant à l'affut du moindre poignard à planter entre nos omoplates !

    Bien sûr, je tiens à souligner que notre opinion sur ce point ne saurait être considérée comme sûre, étant donné que jusqu'à présent, nous n'avons que très peu fréquenté de grandes villes. Peut-être une densité de 20 habitants croisés en 5 minutes est un rapport relativement commun pour des humains vivant en milieu urbain.

    Et pas avec ces pecnos de la cambrousse se nourrissant de leurs propres enfants !

    C'est une manière intéressante de parler des ruraux. Même si les fait de cannibalisme ne sont absolument pas représentatif des observations et données enregistrées dans la base de donnée.

    Après avoir croisé une nouvelle patrouille de marine, #000000 choisit d'abandonner sa traque sur la rue principale et de passer à l'exploration des ruelles secondaires. Il semble avoir accès à des données certifiant que les humains en marge de la société ont tendance à aimé les lieux peu fréquenté des grandes villes. Probablement quelque chose d'intégré dans sa propre carte de donnée, il faudra que je télécharge ses données afin de les complétés un peu plus tard.

    Et voilà un résidus d'excrément divin !

    En effet, nous tombons fasse à un individu humain assit au sol. Par les données fragmentaires visuelles que m'envoie #000000, je me rends compte que cet homme déborde d'une énergie peu commune pour un représentant de l'humanité. Ses mouvements sont d'une lenteur intense, preuve d'une très grande concentration pour freiner ses muscles, il est situé entre la position allongée, et la position assise dans l'ombre, position nécessitant surement une dépense extraordinaire d'énergie pour un organisme sensé être créé pour la station debout. Qui plus est, l'absence de soleil révèle que l'humain à peur de surcharger ses batteries solaires.

    Il a dans les mains ce que ma base de donnée de dase identifie comme les résidus d'une arme à feu, de type pistolet. Ce n'est pas un schéma conventionnel. A moins que les modèles se soient modifiés depuis ma dernière mise à jour de la base de donnée, datant de maintenant 23 ans. Incapable de demeurer sans rien faire, l'humain s'occupe consciencieusement de son arme, sans doute un moyen de canaliser son excès clair d'énergie, et d'éviter une surchauffe de son organisme.

    A moins qu'il ne soit un employé chargé de la vente pour l'armurerie de Logue Town, auquel cas, il semble qu'il son activité de vente ne soit qu'appellation officielle, et inexistante dans la pratique.

    Tu disais quoi sur les emplois fictifs tout à l'heure déjà ?

    ...

    Pendant que je fouille dans ma base mémoire pour répondre à la question de #000000, je le laisse prendre contact avec l'individu hominidé en surcharge d'énergie. Après tout, l'étude d'un individu sortant de la moyenne pourra apprendre énormément sur les potentiels comportementaux et énergétiques d'un être humain.

    Et essaie d'y aller avec diplomatie si possible.

    Hey le rebus de la société. Disposes-tu d'une autorisation d'utilisation des armes à feu de catégorie 1 réduites en morceaux, ou bien es-tu un de ces méprisables criminels décadents pour lesquels la pendaison serait preuve d'une trop grande de clémence ?

    En même temps, je perçois notre corps qui bouge. Jambes écartés, bras posés sur les hanches, nous sommes en position pour barrer l'issue de l'impasse. Bien sûr l'éventualité d'une réaction hostile fasse à une question formulée avec tant de soin est, d'après mes données peu envisageable, mais mes données étant très incomplètes, la possibilité doit être traitée et considérée.

    D'ailleurs concernant les emplois fictifs, je disais...

    La ferme ! Tu vois bien que j'interroge le suspect afin de déterminé s'il mérite que je laisse à son existence quelques jours de sursit !

    Et si en répondant, tu pouvais me donner quelque chose me permettant de t'identifié parmi la masse informe et vomitive de tes congénère... Un nom par exemple ?
      La barbe. C'est toujours lorsqu'on désire être tranquille que le Destin se dit qu'aujourd'hui, il a un trou dans son emploi du temps, et qu'il a bien envie de se marrer un coup. Généralement, à ce moment là, une météorite était dans le coin, un agent du fisc, ou pire, une chanteuse de variété, prêts à satisfaire leur maitre démoniaque et hasardeux. C'était ce que détestait le plus l'ami Lucio, cette saloperie de Destin qui toque à la porte de ta chambre malgré la pancarte "DO NOT DISTURB" mise bien en évidence.

      Point de bonne en goguette, en revanche, mais un être étrange, et potentiellement plus impressionnant. Le tireur, en train de somnoler tout en nettoyant ses armes -tu parles d'un surplus d'énergie...-, entrouvre à la voix de la chose un oeil. Lentement, oui, très lentement. Ca, c'est le coté physique de la chose. Il ne tourne même pas la tête, ne dévie pas de son activité, rien, que dalle, que tchi ! Non, notre ami dévisse littéralement un de ses yeux en direction du mécanique.

      Dans sa tête, en revanche, une série de "procédures" s'est mise en place. Analyse du physique de la chose : manifestement bien gaulée, coté sans doute accentué par l'aspect mécanique de la chose, probablement basée sur la force physique. A la voix et aux questions posées, elle semble répondre à un certain nombre d'automatisme. C'est pas un humain qui lui demanderait de décliner son identité comme ça, c'est clair et net. Vu la pose, il s'attend à des embrouilles, et c'est consciencieusement que Silva remet doucement la vis de son chien en place. Il aurait préféré avoir son canon scié contre un mastard de cette taille, mais on ferait avec ce qu'on a.

      Dire son nom ? Analyse rapide de la situation et des possibilités. Ne rien dire, c'est s'épargner une nouvelle rencontre, c'est éviter le danger de devenir connu, et c'est une dépense énergétique qu'on peut faire passer à la trappe. Mais le mauvais coté, c'est que certains individus sont prêts à vous caresser gentiment les molaires pour avoir une réponse. Dans ce cas, le mieux à faire est de se défendre, surtout face à un adversaire potentiellement létal. Ce qui, on l'admet encore, est particulièreent fatigant. Finalement...

      "Lucio."

      Lâche l'ancien marine dans un soupir à peine audible. Espérons que le camarade robotisé a une bonne ouïe, parce que dans le cas contraire, entendre quelqu'un chuchoter comme l'a fait le tireur est quelque chose d'assez... difficile.

      Analyse rapide des lieux, ses yeux tournant à nouveau dans ses orbites pour détailler l'environnement direct. Cul de sac, pas d'échappatoire, peu de place donc endroit idéal pour le corps à corps et la force brute. Un point pour la boîte de conserve.

      Il pose son arme à ses cotés, suffisamment proche pour s'en saisir en quatrième vitesse en cas de problème, avant de prendre son fusil. Aucun geste en direction du robot, pour ne pas attiser son agressivité. Il commence à démonter son arme.

      Oui, deux bonnes minutes et un seul mot, "Lucio". Non, vous ne rêvez pas.

      "Pas de permis... Perdu en mer..."

      Mensonge aisé, vu son état. Et en toute honnêteté, le bon Lucio ment bien. Parce qu'il dise la vérité ou non, sur son visage, rien d'autre que cet air blasé et abattu. D'un doigt, il gratte la fine pellicule de sel à l'embouchure d'un des deux canons. Saloperie, il va abîmer le métal s'il insiste sans matériel. Il va falloir faire sans. Il repose son arme de l'autre coté, avant de... Fermer les yeux. Bref combat mental pour ne pas s'endormir. Pas le moment. Tout au plus lâche-t-il sobrement, et toujours sur le même ton :

      "Un permis pour demander ça aux gens ?"

      Bonne question... Si non, il n'a pas cette licence de chasseur de prime, il pourra toujours plaider la légitime défense devant un tribunal. Et puis ce n'est qu'une boite de conserve. Ca effraie le commun des mortels, mais Lucio n'en a... Rien à faire. A l'exception des données physiques implicites, peu le chaux que la bébête préfère un coup d'huile de vidange à une tasse de café le matin.

      Nouvel effort surhumain, et cette fois, la tête se tourne vers la chose. Yeux clos. Trop crevé pour les ouvrir. Et là, ce que Lucio déteste faire...

      "S'il vous plait... Claqué, pouvez me laisser... Me reposer."

      Demander. Pouvoir dormir. C'est comme demander respirer : inutile, paradoxal et fatigant. Lucio hait déjà son interlocuteur. Enfin, correction, il le hairait si ça n'impliquait pas une série de réflexes physiologiques crevants. Et en reste donc à une franche -et encore- neutralité.
        L'humain fait preuve d'une dynamique incroyable. Il met deux minutes et 14 secondes pour donner un simple nom et ne dépense même plus son surplus d'énergie en nettoyant son arme. Il en vient même au stade où il nous demande de prendre encore du repos. La personnalité gérant mon corps ne s'en rend surement pas compte, mais nous faisons face à quelque chose de très rare parmi les humains. C'est homme est-il même un humain ?

        Fort à parier que oui, c'est un de ces décadents provocateurs nourris à la fiente. Le genre persuader de penser pouvoir s'adresser comme à un égal à moi, qui peut lui faire dessus depuis assez haut qu'il croira que les dieux eux-mêmes se sont lâchés.


        Il est vrai que #000000 est conditionné pour être quelque peu misanthrope. Il est d'ailleurs à souligner que l'homme dénommé Lucio est quelqu'un de particulièrement pacifique et tolérant. De mes observations, il est en effet très rare qu'un homme ne réagisse pas violement aux attitudes de celui qui occupe actuellement mon système de gestion du corps. Ainsi, il est aisé d'en déduire que cet être nous aime bien. Ne semble-t-il pas même nous suggérer d'être plus précautionneux dans notre approche en sous-entendant l'existence d'un permis d'enquête ?

        D'ailleurs si en lui répondant tu pouvais prendre cela en com...

        Ecoute-moi misérable petite chiure humide d’égouts gastroentériques, tu t'adresses à un officier supérieur de la marine, entrainé pour affronter les salissures écœurantes laissées par les rejets de toilette dans ton genre ! Si l'envie me prenait d'abrégé l'incroyable putrescence dégénérative que tu appelles ta vie, je pourrais, j'ai donc tous les permis qu'il faut !


        Je pense qu'il doit y avoir un problème de communication. Surtout que d'un point de vue strictement théorique, je vois difficilement comment nous pourrions disposer de tels droits étant donnés notre conception de base, sensée être anti-marine...

        Lucio est donc surement la malheureuse victime d'un vice de fonctionnement du comportement primaire de la carte de programme que j'ai inséré actuellement. D'ailleurs il faudrait peut être que tu penses à me laisser le contrôle #000000 Il est fort possible qu'une utilisation trop longue ne nuise à la lisibilité des têtes de lecture. Du coup, nous risquons de rencontrer quelques défectuosités si tu reste trop longtemps.

        Tu commence à m'agacer petit. Je suis tout aussi humain que n'importe qui d'autre, à ceci prêt que moi, je ne suis pas un pâle reflet de la déchéance du monde. Je me serais rendu compte de mon statut de programme si j'en étais un. Et ne pense pas que c'est une vulgaire voix métallisée communiquant avec moi sans corps alentour qui me persuadera de cela. Je suis sain d'esprit moi !

        Il toise maintenant l'homme trempé au sol, qui à demander à décharger sur énergie excédentaire via le sommeil, comme tout bon humain qui se respecte. Normalement, il me semble que les protocoles en usage dans les communautés humaines fait que c'est le moment où nous lui proposons d'aller boire un vers d'alcool fort avec une bande d'amis, et ceux en essayant de faire le plus de bruit possible.

        Enfin, d'après les données que j'ai, c'est ce que font les humains à l'heure où leur corps demande du sommeil.

        Il pourrons ainsi s'entiché de femelle vérolée et peu farouche pour se transmettre parasites et microbes via leur bestiale et déviante sexualité inassouvie !

        Possiblement, l'étude du mode de vie copulatoire de l'humain n'est pas insérée dans mes données de base. L'une de nos cartes de données pourrait surement provoquer un affut d'informations sensorielles et méta sensorielle qui pourrait nous ouvrir à cet acte dans toute sa profondeur, hélas, il faudrait réussir à la trouver puis à nous l'introduire.

        Nous pourrions repartir à notre prospection, et laisser ainsi l'hominidé se livrer à son repos quotidien dont dépend tant l'ordre homo (pas d'offenses) pour survivre.

        Tu viens de me donner une idée petit...

        Enfin tu daigne m'écouter. Tu reconnaitras peut être que j'ai raison, et que pour la survie de notre système, nous devons évacuer ta carte de programme !

        Cela dit, et ce malgré le fait que tu es à peine de la nourriture à bousier, je t'offre une chance de te racheter. Que dirais-tu de faire quelque chose de constructif de ta vie ? Pour quelques minutes je t'offre de travailler avec moi pour traquer les immondices criminelles arpentant la cité, et dont tu es un si digne représentant ?

        Je tiens à précisé pour le lecteur curieux que la notion de criminel aux yeux de #000000 est ce que beaucoup d'humain appelle du fanatisme borné. Concernant notre programmation et le mot que j'ai à dire sur nos activité, il est bien sur impensable que nous prenions partie pour qui que ce soit.

        En signe de paix, notre corps écarte même les bras. Apparemment, cette personnalité à accès à certaines données sur le langage corporel des hommes. Il faudra que j'analyse ces données en temps et en heure. Après tout, si le programmateur de #000000 à jugé utile de lui donner de tel droit, c'était surement que cela avait un rôle dans sa fonction première d'enquêteur.

        Au lieu de délirer, si tu pouvais lancer le programme ZC00124-6. Ce rebus n'a pas l'air hostile, mais je n'apprécie pas être à découvert.

        Lancement du protocole engagé. Système d'armement engagé. Pistolet Laser à température plasmatique miniaturisé armé et prêt à faire feu.

        Donc ainsi, même s'il essaie de faire passer un message de paix et de coopération à l'individu. #000000 lance cette commande là...

        Voilà donc qu'un tube de quelques millimètres de diamètres et de longueur sort de notre index droit. De ce que j'en sais, il est fort probable que l'individu face à nous prenne cela pour une marque d'agressivité s'il le remarque. Je ne comprends pas bien. J'analyse toutes les données je ne trouve rien. Pourquoi proposer de la coopération s'il n'y a pas entente mutuelle et confiance entre les troupes concernées?

        Petit, ferme là ! Va reprendre ton Aï-paude et essaie de traduire en binaire les œuvres complètes du célèbre PèrKastor, ça nous fera des vacances !

        Procédure lancée...
          Etrange, étrange. Se faire copieusement insulter n'a rien de bien étrange, certes. Mais la manière utilisée, systématique et rigoureuse, laisse un drôle d'arrière gout dans la bouche. L'impression que la chose imite d'une manière un peu pataude les manières des hommes, en étant configuré sur "connard champion toute catégorie".

          Les mots ne déplaisaient pas au tireur, car, somme toute, la gêne d'une insulte n'a rien de fatigant tant qu'on ne tente pas de répliquer. Et, dans la bouche de Lucio, la plupart des insultes semble d'une fadeur inégalée. Il aurait pu sortir quelque chose comme... "Résidu d'huile de moteur, reste vidangé de raclure de perceuse, ta mère lustre des vérins en Enfer, et ton père t'a vendu à la casse quand tu es né !". Ce qui, somme toute, n'était guère poli, mais surtout extrêmement fatigant si l'on veut garder l'efficacité de la chose.

          Non, le seul élément gênant, instamment, c'était la voix même du cyborg, et cette façon terrible de crier. Déjà, le fait d'imaginer quelqu'un crier était crevant, mais l'entendre était en plus exaspérant. Comment ? Comment supporter un abruti gueulard à coté de soi sans avoir envie de lui tirer une bastos dans le claque-merde qui lui sert de bouche ?

          Sentant un début de haine pointer le bout de son nez, sentiment haïssable -paradoxal ? Je ne crois pas- lui-même, car potentiellement caloriphage, le pirate fit ce qu'il savait faire de mieux. Le vide. En résumé, un micro-sommeil de quelques secondes....

          Le vide. Le silence. Rien ni personne. Un abîme de noir, plus une pensée, le bouddhisme avant l'heure, retrouver son karma -ou mieux, le laisser venir-, ne pas s'en faire, tout va bien. Plus de cri, plus d'injures, plus de...

          "Pour quelques minutes je t'offre de travailler avec moi pour traquer les immondices criminelles arpentant la cité, et dont tu es un si digne représentant ?"


          Que... Que... Quoi ? Travailler ? Les senseurs actifs de Lucio s'éveillent. Enfin, les senseurs passifs. Bordel, pourquoi les ennuis lui tombent toujours dessus, hein ? C'est vraiment pas juste ! Honteux ! On n'est pas des machi... Enfin, pas tous, quoi !

          Cependant, quelques sections de son cerveau se mettent en branle, avec flegme et nonchalance. Tout travail mérite salaire. Et actuellement, c'est grave la dèche. Dormir dehors inclue pas mal de mauvais cas de figure. Trouver une auberge pas chère est une assurance de sécurité, au moins de réduction des zones d'attaque -entre "une porte" et "un boulevard", le goulet a une certaine différence-.

          Une de ses lourdes, trop lourdes, paupières s'entrouvre. Et d'une voix pâteuse, légèrement plus forte qu'à l'ordinaire, il lâche :

          "J'y gagne quoi ?"

          Un descriptif clair et concis de ses objectifs. Sérieusement, vous attendiez plus ? Non, vraiment sérieusement. Oui ? Vous êtes durs à la comprenette... En passant, la chose se permet, tout en l'insultant, un geste amical, chose assez surprenante au vu de son vocabulaire, renforçant l'impression... Un peu pataude renvoyé par l'autopastoutafaitmate.
            IL incline notre tête sur le côté. singeant encore une fois les comportements que l'on peut observer chez les humains. D'après mes données, il semble que cela corresponde à une réaction d'incompréhension. Pourtant, tout me semble parfaitement limpide : suivant la base des préocupations de l'être humain, notre boule d'énergie, surement très compétente et douée dans l'art de la traque des criminels demande une rémunération. C'est quelque chose de parfaitement courant chez l'homme.

            Depuis quand doit-on payer un salaire pour que les vers quitte leur cadavre pourrissant pour se nourrir d'un autre encore plus décomposé ? Depuis quand demande-t-on de l'argent pour laisser le temps à un bousier de broyer un cafard avant de l'écraser à son tour ?

            Euh nous ne somme pas en face d'un bousier ou d'un vers, et encore moins d'un cadavre ou d'un cafard !

            T'as pas du binaire à nous envoyer toi ? Je m'occupe de raconter !

            Ah oui. Alors voyons voir...

            Les chroniques du soleil bleu à rayures vertes.

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            Je me suis occupé de l'importun. Je peux maintenant me tourner vers le lisier puant avec qui j'ai entamé la discussion. Dans un premier temps, il m'avait semblé motivé, de la trempe de ceux qui peuvent se racheter et nettoyer un peu les tonnes de crasses qui dégueulassent les rues embrumés de cette citée tombée dans la déchéance. Je me rends compte qu'il n'est rien de plus qu'un de ces mercenaires, un déchets, un de ces hommes qui decidère de profiter de la pourriture du monde pour gagner trois sous vayant sur le dos des miséreux incapables de faire le ménage par eux-même. Il ne se doute pas que...

            En fait vu le cout des mercenaires qui sont enregistrés dans ma base de donnée, il est fort probable que seuls les plus riches représentants des autorités puissent les rémunérés, et pas les miséreux comme tu le suggère.

            Bon reprenons...

            111000001001010010101010200001010101...

            Le canon du pistolet toujours débouché au niveau de mon doigt, je repose mes mains sur les hanches. Il veut jouer le bluff. C'est évident. Il a le visage sombre et crasseux d'un joueur de poker. Un mauvais joueur de poker, il transpire abondemment, preuve qu'il me ment.

            0010101101011101011010100000000101000000000000000....

            Ou qu'il a été mouillé il y a peu de temps.

            0101010110101110100010101110101111110111111111111....

            Trop facile ! J'y ai déjà pensé. Mais cela impliquerait que ce ramassis de crasse puisse songer à l'éventualité de se laver. Trop aberrant. Les mâles de son espèce ne se lave qu'annuellement. Bi-annuellement s'il s'avèrre qu'il on trouvé une prostituée pas trop chère, et assez tolérante pour leur offrir ses services régulièrement sans vomir. Mais il a trop d'énergie sous-jacente pour être dans ce cas.

            Je redresse la tête et toise l'importun. Je lui ai déjà fais une faveur de lui laisser le droit de vivire, il est temps de lui rappeler.


            Tu y gagne le droit de gâcher ta vie une journée de plus. Et éventuellement l'argent volé que nous aurons récupéré sur le corps massacré des ordures que nous aurons put trouvé.

            Il a de la chance que je sois dans un grand jour. En d'autre circonstances, sa tête aurait déjà été vaporisée. Il a intérêt à se dépêcher, la patience est l'excuse des lâches pour ne rien faire. Et je ne suis pas un lâche. Une réponse qui durera trop sera synonyme de...

            ...0110110.

            Finit !

            Tu disais quelque chose de déterminant pour la suite du récit ?
              Temps de réflexion nécessaire. L'argent pillé. En soit, éthiquement parlant, ça ne posait aucun problème au flemmard. C'aurait pu être sur le corps encore chaud d'une jeune veuve, ça ne l'aurait pas choqué si ça n'avait pas demandé tant d'effort, ou si un possible sentiment de culpabilité future n'aurait pu troubler son sommeil. Paradoxal, oui, je sais, nous y reviendrons. Non, ce qui gênat Lucio c'est... Des criminels ? Ici ? A Logue Town ? C'était comme chercher des rats dans la cuisine du Baratie. Ou un représentant de commerce sur Grand Line. Encore que, ça, en cherchant, ça se trouve. Conséquemment, se posait un bilan.

              Journée de marche, et obligation d'écouter la chose déblatérer inutilement sur ses qualités physiques. Ou l'inverse. Gain brut probablement égaux à zéro. Gain d'intérêt négatif, car il n'aura trouvé aucun moyen de chercher une chambre pendant ce temps. Bénéfice probable ? Aucun. Perte probable ? Enorme et fatigante. Accepter ?

              Lucio : "Non."

              Nécessité de se mettre debout. Il rengaine ses armes. La position debout est nécessaire pour négocier.

              Lucio : "Prix clair. Deux semaines en pension complète. Bonne auberge. Tranquille. Calme. Mon prix. Pas négociable."

              Simplement parce que Lucio n'avait pas envie de négocier. Et parce que le robot tenterait de réduire la qualité de l'auberge plus que la durée. Enfin, c'est ce que le tireur espérait. Tant que celle-ci était calme... Il se retient de lever la main pour se désigner. Saloperie de réflexe.

              Lucio : "Assurance que ça vaut le coup. Bon tireur. Rapide."

              Et toujours cette voix atone, dans un souffle. Un mort-vivant aurait l'air en meilleur état que le dormeur. Et c'est rien de le dire.

              Lucio : "Oh, j'oublais. Chut. Quel que soit ton choix, ferme là. Marre que... Tu parles. Trop de bruit, trop d'agitation pour ne rien dire. Juste en cas. De besoin. D'accord ?"

              Aucune méchanceté, notez le bien. Mais la chose parle trop, beaucoup trop, et ça agace terriblement, en plus de fatiguer, le tireur. Si ce truc n'a pas besoin de parler, qu'il se taise. Juste se taire, ce doit être dans sa programmation non ? Dire les choses à minima. Exemple : Bonjour, moi engager toi, tuer vilains un jour, payer chambre. Facile non ?
                L'individu ose ainsi faire preuve d'exigences. Si ça ne tenait qu'à moi, je lui ferais comprendre que l'humanité n'a que faire des parasites vivant au crochets des homme d'honneur. Heureusement pour l'intégrité de son cou, je vais avoir besoin d'un tireur, et ce même si le tireur n'est qu'une odorante expulsion de fosse sceptique. Je sais où frapper. Je sais où le lisier omniprésent de ce monde en putréfaction est le plus dense. Je sais où la chasse n'a jamais été tirée.

                Un signe de tête à la loque qui se prétend humaine, et je me retourne pour sortir de l'avant-post des seigneurs de la putrescence. Je le paierais. Il aura le droit de vivre et de profiter encore un peu de la piètre caricature de ce que certain appellent sa vie. Encore une fois, il pourra profiter de la laideron pustleuse et shyphilisée qui occupe les deux tiers de son lit, et qui lui fait la cuisine en échange du droit de simuler le bien être pendant 3 minutes un soir par mois.


                #000000 nous explique qu'il trouve l'humain très sympathique d'avoir daigner accorder une partie de son incroyable énergie pour l'aider. Il lui a fait un signe pour lui dire de le suivre avant de quitter la ruelle. Je crois qu'il nous explique aussi qu'il prévoit un plus pour nourir la famille de l'homme qui s'est présenté comme un sniper.

                Nouveau pas dans les ruines odorantes de ce qui n'est que l'ombre d'une grande citée. Il est temps de montrer à tout ces pitoyables insectes ce qu'il advient à ceux qui vénèrent le zombie décomposé de celui qui n'a jamais respecter la seul chose qui aurait put sortir la poubelle qui nous sert de monde de sa benne à ordure : la loi.

                Il est temps de montrer au cafart qu'il existe encore des chasseurs de vermines.

                Aider par un de ces méprisable cloportes, trop déchéant pour concevoir la moindre notion de loyauté vis-à-vis sa propre espèce, je m'apprète à éliminer la reine des termites, bien qu'il soit trop tard pour les débris creusés et maladifs de l'arbres qu'ils ont rongés sans visions sur le long terme.

                Regardez-les, arpentant les rues par centaine, comme des lemmings cherchant désespéremment un moyen de mettre fin à leur propre existence, si possible en annéantissant la plus grande portion possible de leur environnement. Ceux à l'arrière, comme le putois trempé qui va me servir de soutient, n'ont d'autre choix que trainé dans les excrément de ceux de l'avant. Ils ne méritent pas mieux, mais je suis d'un naturel généreux. Je me dois de les aider à se rendre contre de leur propre misère.


                En gros, #000000 se plaind parce qu'il y a trop de monde dans la rue.

                Au bout de cinq minutes, je trouve enfin ma cible. Cette petite maison qui nous fait face n'est rien d'autre qu'une façade enjolivée pour dissimuler un être qui à lui seul est une allégorie de la décomposition et de la putrescence maladive. Lui qui honnore la populace de cadeaux soit-disant fait pour égayer leur vie. Balivernes ouais !

                Rien de plus qu'un instrument lobotomisant générant une dépendance maladive à son existence, et poussant tout ces déchets de la communauté à se complaire dans leur déchéance abyssale. Pourquoi offrirait-il ce qu'il y a de mieux aux plus misérables sinon ? Ce vieil homme richissime n'a-t-il donc rien à faire des valeurs qui pourrait empêcher de faire sombre le monde dans une pitoyable et sombre décrépitude ? Il est un cancer se répendant sur la citée et ceux qui sont en dehors du cadre de la loi. Contre les tumeurs, il n'existe qu'un remèdre : l'ablation !


                Alors si j'ai bien compris, #000000 a ammené l'homme jusqu'à un grand orphelinat appartenant à un riche propriétaire pour tuer le père Noël, vieux monsieur réputé dans Logue town pour sa générosité sans limite.

                C'est là. Tu y trouveras le responsable de ton état, celui qui part sa simple existence à causer ta chute au stade de rejet puant d'un arrière train d'insecte malade. Tue-le, et tu sera bien plus heureux, toi, ainsi que toutes les abherrations luttant pour survivre que sont tes compatriotes.

                Méfie-toi, il corrompt les enfants pour en faire des serviteurs dévoués et lobotomisés.


                Alors #000000 se tourne vers notre compagnon temporaire, et lui annonce qu'en plus de tuer le père noël, il devra faire attention aux enfants qui on tendance à être un peu collant.

                Des questions avant l'assaut ?

                Cette fois il dit que...

                Tu traduit encore une fois, je lance Norton anti-virus !

                Cette fois, il dit qu'on va connaitre un gros ralentissement, suivit de bugs en chaine.
                  Et le tireur d'embrayer le pas de la machine, sans un mot. Attardons nous une seconde sur cette image, et posons nous la question suivante : lequel des deux ici est un robot ? Une question à la vérité très sage, car entre un être mécanique d'une part, et un être aussi... Amorphe de l'autre, on a tendance à se demander s'il ne s'agit pas de deux prototypes de générations différentes. Et pas en faveur de l'humain, qui dispose d'une logorrhée moins élaborée. Bien, soit, continuons.

                  La foule ne plait guère plus au tireur qu'à la machine. Tant d'un point de vue pragmatique que flegmatique. D'une part, trop de monde, trop de bruits, trop de gens à éviter, impossible de se laisser tomber à un coin de rue, et de fermer les yeux. De l'autre, aucun angle de tir, trop de surface vulnérable, le danger pourrait venir de partout. En plus, avec sa mine trempée -au sens propre-, il ne pourrait même pas se servir d'elle pour disparaitre. Le problème est entier.

                  Et enfin, le lieu de déchéance. Enfin... Lucio comprend soudain. La machine voulait chasser la vermine dans la ville la plus sur des blues, ou presque. Et voila qu'il l'amenait ici. Cette chose... Etait un grand malade.

                  Calcul des possibilités. Accomplir la forfaiture. Se mettre à dos les gosses, les parents, la ville... Ne pas l'accomplir : tourner les talons et renoncer à une chambre dont il ne profitera pas s'il fait ça. Calcul rapide et aisé.

                  Dissuader le robot : problème de perte calorifique. Chier. Mais d'un autre coté, lui faire envisager une vraie cible pour garder la paie. Mmmmh, possibilité. Choix de cette alternative.

                  Lucio : "Complètement con..."

                  Accroche idiote, reprise immédiate, vite mon Lulu, vite !

                  Lucio : "Vindicte populaire. Protéger les gens. Pas tuer ceux qui. Leur font des cadeaux. Sans rien attendre. Pas un. Politicien véreux."

                  Courage, continue, tu peux le faire.

                  Lucio : "Orphelinat. Sort les gosses de la rue. C'est une façon... De limiter la criminalité."

                  Il semble attaché à ça.

                  Lucio : "Dans la rue, les gamins... Deviennent des criminels. Ici non. C'est bien."

                  Il tourne vaguement la tête vers le robot.

                  Lucio : "Carnage ici. C'est être criminel. Revoir la programmation."