-25%
Le deal à ne pas rater :
PC Portable Gamer 16,1” HP Victus 16 – 16 Go /512 Go
749.99 € 999.99 €
Voir le deal

Yuri "Yorei" Eisdeniev

>> Yuri « Yorei » Eisdeniev



Yuri "Yorei" Eisdeniev 2092137026

Pseudonyme : Yorei le plus souvent...
Age: 23 années.
Sexe : Homme
Race : Humain
Rang : ????

Métier : Cuisinier quand il n'a pas de chasse en cours, chercheur-historien-archeologue quand il a en l'occasion, chasseur de trésors.
Groupe : chasseur de primes doté d'une morale à géométrie variable.
Déjà un équipage : Non, pas encore.
But : Voyager un maximum, découvrir des choses intéressantes, trouver quoi faire de sa vie, s'a-mu-ser (accessoirement, gagner du pognon et du pouvoir).

Fruit du démon ou Aptitude pour la suite : Sans doute un FDD, a définir plus tard^^.

Équipements : 4000 berries, son arme favorite, Croc, un glaive qui se transforme en lance d'une pression sur un mecanisme . Dans des fourreaux sur la face intérieure de ses avant-bras, quatre couteaux de lancer. Ceci est complété par une trousse de soin basique (pansement, desinfectant, aspirine, medicaments communs...), quelques vêtements, et, étrangement, une boite d'épices, condiments et arômes de cuisine, bien planquée au fond du sac...
Spoiler:

Codes du règlement (2) :

Parrain : A pas d'parrain...

Ce compte est-il un DC ? : Non
Si oui, quel @ l'a autorisé ? : Kamoulox...

>> Physique

Yuri n'est pas doté d'un physique particulier, au sens propre. Certes, il est assez grand, raisonnablement musclé, après tout, c'est le métier qui veut ça. Elancé, les muscles nettement dessinés sans qu'ils soient hypertrophiés, il dégage une impression de tonicité, comme s'il pouvait passer de l'immobilité à une grande vitesse en un clin d'oeil. Ce qui fait sa marque de fabrique, ce qui lui a valu son surnom (qu'il déteste), de « chasseur blanc », c'est sa pigmentation. Une maladie génétique rarissime lui cause une très faible pigmentation. Il a la peau très claire naturellement, ne sera jamais bronzé, il aura presque toujours l'air d'un spectre tant il est pâle. Ses cheveux ne sont pas en reste. Longs, souvent hirsutes, ils sont blancs aux reflets d'un argent sombre, crinière d'un blanc de neige obscurcie par les mèches plus foncées. Peu attaché à son apparence, Yuri laisse sa masse capillaire vivre sa vie, ne se servant d'une paire de lunettes de soleil ou d'un serre-tête noir de jais pour tenir ses cheveux que lorsque les choses deviennent sérieuses. Dernière partie de son anatomie atteinte par la maladie, ses yeux. A l'origine, Yuri avait des yeux d'emeraude, d'un vert excessivement profond, qui pouvaient passer pour noirs dans la pénombre. Aujourd'hui, la dépigmentation lui a offert des yeux d'or. Pas jaune maladifs, non non. Deux billes d'or pur enfoncées dans ses cavités oculaires. Un regard intense, dérangeant, agressif mais quasiment hypnotique. Des yeux de chats, pourrait-on dire, mais ça ne rendrait pas justice à la teinte presque métallique de ses pupilles. Sa maladie ne l'handicape pas, bien au contraire. Il en joue même, s'habillant dans les tons clairs pour accentuer sa paleur. Le plus souvent vêtu d'un ensemble gris argenté, il s'autorise parfois une touche de couleurs dans ses accessoires. Il est déjà assez facilement repérable comme ça sans en plus vouloir ressembler à feu Baggy le clown, dit-il., dit-il. Il n'apprécie pas les vetement qui sont trop prés du corps, préférant toujours avoir une marge de manœuvre dans ses mouvements. Hors d'exceptionnellement rares occasions, le sens pratique prime absolument sur tout dans le vêtement et la vie quotidienne. Dernier signe distinctif, vous le croiserez très souvent avec quelque chose au coin de la bouche. Cigarette, brin d'herbe, baton de sucette, cure-dent. Ca lui permet de mieux réfléchir, sinon il arrive que sa langue soit plus rapide que son cerveau...



>> Psychologie

Cette maladie qui vaut à Yuri cette pigmentation si particulière lui a apporté un avantage non négligeable, et a surtout conditionné sa psyché. La pigmentation va de pair avec une élasticité et une vigueur musculaire hors du commun. Yuri va tout simplement naturellement briller dans toutes les activités physiques qu'il va pratiquer. Il ne récoltera jamais la première place naturellement, mais sera dans le quinté de tête sans le moindre effort. Cette bénédiction physique, réellement, s'est transformée en malédiction psychologique. Réussissant sans avoir a s'investir, il n'éprouve de véritable intérêt que pour très peu de chose. Il n'a pas l'habitude de travailler, et n'en éprouve même pas l'envie, car tout lui paraît trop facile, et il ne cherche pas la renommée. Yuri veut vivre sa vie sans entraves. C'est un esprit libre, dans tout les sens du terme. Ne se sentant pas prisonnier des conventions sociales, ils passe facilement pour quelqu'un de mauvais. Et ca l'amuse. Parfois, il en joue. S'il chasse la prime, ce n'est pas pour nettoyer les mers, mais bien pour l'argent. Il ne verra aucune difficulté morale a rejoindre un équipage pirate sous une fausse identité temporaire. Sa maladie n'est que physique. Intellectuellement, et malgré les apparences, il considère que « le savoir, c'est le pouvoir ». A égale importance avec l'argent. Sauf que du pouvoir acquis par la connaissance est plus gratifiant pour lui. Des scrupules ? Très peu. Des règles?Les siennes. Des amis ? Euh, pas vraiment non. Des contacts tout au plus. Sans être asocial, Yuri n'apprécie pas plus que ça la compagnie d'autres personnes. Il supporte la foule (et encore...), n'accordera sans doute jamais une véritable amitié, mais si un jour c'est le cas, il sera toujours présent.
Ce que Yuri aime, c'est vivre. Vivre le moment présent, vivre libre. Il a choisi d'etre chasseur de prime parce qu'il est son propre maitre. Il l'a fait aussi pour l'argent, car l'argent, c'est le pouvoir. Curieux, il aime la decouverte de nouveaux endroits, nouvelles techniques, nouvelles cultures ou armes. Historien de vocation, il n'a pas connu de véritable enseignement, mais son goût pour l'archéologie est toujours là.

S'il fallait faire court, la première fois que vous verrez Yuri, vous serez mal à l'aise, car il dégage une aura malsaine, comme un fauve dans une prison humaine. Il ne sera jamais agréable avec vous, sera blessant, mais fera ce qu'il faut faire d'aprés lui. Si jamais vous entrez dans ses bonnes grâçes, il vous aidera de lui-même, ou même suivra vos idées, mais faites semblant de ne pas le remarquer...


>> Biographie


La vie de Yuri ? Yuri est encore assez jeune, aprés tout,il n'a pas vécu grand chose, surtout en venant au monde dans une île des plus tranquille. Une île où la majorité des gens vivaient du produit de leur terre, quelques villes qui concentraient la majorité des commerces... Bref plantons le décor. Une île de taille, réduite, honnêtement, une dizaine de villages, 3 villes, et basta. Heureusement, elle faisait partie d'un archipel bien placé, un climat sain, bref, vraiment pas de quoi se plaindre. auf que sur l'île, naquit un jour un gamin aux cheveux clairs et aux yeux verts, qui allait bientôt devenir un cauchemar pour ses parents. Des parents aimants, une maison assez grande pour eux trois, bref Yuri aurait pu être le plus heureux bébé du monde. Mais il n'a jamais été d'un caractère facile. En grandissant, ce trait de caractère ne s'arrangeait pas. Il ne comprenait pas pourquoi on lui répétait sans arrêt « sois gentil avec tes camarades », « sois poli, souris »,... Eux n'étaient pas gentils avec lui. Ils l’embêtaient a cause de sa peau trop pâle et de son attitude insoumise. Les professeurs et autres personnes chargées de surveiller les chères têtes blondes des habitants de l'archipel en tinrent deux mots aux parents, mais rien à faire. Yuri s'amusait mieux seul qu'avec ses petits camarades. Il sacrifiait littéralement aux jeux en groupe. Et comme il se débrouillait toujours seul, il ne voyait pas d’intérêt particulier a se trouver des amis. De toutes façons, le jeune Yuri avait déjà des idées bien arrêtées sur l’inutilité des autres personnes de son espèce. Les idiots qui jouaient au fond de la classe et se plaignaient après de rien comprendre. Les filles qui préféraient parler mode et se moquer des intellectuels, et les intellectuels qui se plaignaient d’être des souffre-douleurs et ne bougeait pas le moindre petit doigt pour changer leur situation. Dés l'âge de 8 ans, Yuri était devenu un enfant taciturne, méprisant et effronté, d’après ses professeurs. Pour lui, c'est juste qu'ils n'avaient pas prouvé être digne de leur autorité sur lui. L'école était une purge pour le gamin aux cheveux clairs, parce qu'il ne s’accommodait d'aucune des lois de la cour de récré ou de la salle de classe. Les caïds de la cour de récré pouvaient bien faire les malins et terroriser leurs congénères, si le petit blondinet palot décidait de leur mettre une branlée parce qu'ils l'avaient un peu trop cherché, ils repartaient perdants. Le danger a toujours plu à Yuri. Ca le fait se sentir vivant. La vie est si vite ennuyeuse. Rester des heures assis, écouter le maître parler, attendre de pouvoir rentrer pour écouter ses parents parler... Yuri fit rapidement le tour des écoles de l'île. Pas parce que ses parents étaient des voyageurs, non. Sielvin et Tara Eisdeniev étaient trés satisfaits de leur petit commerce d'objets artisanaux, avec une petite brasserie pour aller avec. Sauf que leur gosse fut vite considéré comme un gamin à problème, très rapidement exclu des écoles qui l'acceptaient. Parfois même sans qu'il ait causé de réels soucis, mais en « prévention ».A l'age de 12 ans, il prit conscience d'être particulier, lorsque tous les garçons de sa classe se liguèrent pour lui tomber dessus en cours de gym et qu'il fut le seul a rester debout. Debout sur un tatami, les poings en sang, la figure tuméfiée, un sourire carnassier accroché aux lèvres, et une lueur d'amusement teinté de rage dans des yeux qui prenaient déjà leur teinte dorée, Yuri promenait un regard plein de dédain et de dégoût envers les quatorze garçonnets qui avaient voulu le tabasser. Seul contre quatorze, et il avait gagné. Se battre était plaisant. Fatiguant, mais plaisant. Et faire goûter l'humiliation était enivrant. Taciturne à la maison, Yuri y passait aussi peu de temps que possible. La nature environnante, les fôrets, les salles de sports, c'est à ces endroits que le jeune homme passait alors la majorité de son temps, sculptant son corps sans même s'en rendre compte. Des endroit où il était seul, sans autres humains pour venir lui pomper l'air.

Après une enfance pas particulièrement facile et un parcours scolaire chaotique, vous vous doutez bien que l'adolescence de Yuri n’allait pas arranger le phénomène. Si l'on excepte son succès auprès de la gent féminine, que les mauvais garçons (et Yuri en était un beau spécimen) ont toujours attiré, l'adolescence du gamin aux cheveux blancs fut marqué par la mise en place de sa liberté. Liberté de penser, d'apprendre, d'agir. Il se construisit un ensemble de règles au cours de ses années, des règles qui ne le concernaient que lui, finalement. Esprit libre, encore, toujours. Sa présence en classe se fit de plus en plus aléatoire, les matières littéraires ayant sa préférence, au désavantage de tout ce qui était scientifique. Il prit goût à la cuisine à cette époque, aidant ses parents vieillissants à tenir leur boutique, en cuisine, où les plats qu'il prenait étonnamment plaisir à cuisiner défilaient pour le bonheur de clients ignorants que c'etait le délinquant juvénile N°1 de l'île qui les régalait. Le reste de son temps se partageait entre des errances en ville ou dans les campagnes environnantes et les prises de becs qui se terminaient en prises de poings dans la figure avec les racailles locales et autres bandes de délinquants juvéniles. Là où d'autres enfants font du sport, voient leurs amis ou vont au spectacle de marionnettes, Yuri traînait en ville et cherchait des noises à tous les « gangs «  qu'il pouvait rencontrer. C'était son idée d'une bonne soirée ? Pourquoi viser les voyous ? Parce que viser un citoyen lambda, c'était pas sur qu'il sache se battre. Donc pas de défi. Donc pas d'interet. Lors d'une soirée presque comme les autres, qui avait pourtant commencé comme une mauvaise soirée, sans un sou en poche, Yuri eût une révélation. C'était effectivement une mauvaise soirée, sans personne pour l'asticoter et lui permettre de se défouler. Une soirée qui s'améliorait en tombant sur quatre encagoulés assis autour d'un monticule d'une demi-douzaine de sacs, sacs à dos, sac à mains, portefeuilles,... Visiblement, Yuri était arrivé au moment du partage du butin. Que bien évidemment les voyous n'entendaient pas partager. Et à dire vrai, Yuri n'avait même pas pensé à le demander. Il voulait juste une occasion de cogner. Un rire fou aux lèvres, il se lança dans la mêlée alors que ses opposants dégainaient leurs armes. Ce ne fut pas beau à voir. Des mots, des insultes, des coups. Des dents volèrent, des yeux furent pochés, un bras fut cassé, un torse fut lacéré ; Mais au final, Yuri, vêtements déchirés, deux dents pétées et une estafilade en diagonale sur tout le tronc, se tenait vainqueur devant le tas de sacs, les voleurs ayant fui. Par pure curiosité, il les vida, récupérant objets de valeur et argent. Plus d'argent qu'il n'en avait jamais eu d'un coup. Plusieurs dizaines de milliers de berris. C'était donc si simple de gagner de l'argent ? Se battre, voler ? Sauf que voler aux voleurs et en profiter pour les dérouiller, c'était plus cool. Plus agréable aussi. Une plénitude rarement atteinte venait de l’envahir. Chasseur de prime, ca sonnait bien, non ? Pour ça, fallait savoir se battre. Check. Vouloir voyager et vivre dangereusement. Check. Parler plusieurs langues. Ca s'apprend. Comme le reste. Tout s'apprend, quand on peut payer...Ce fut une des rares fois où Yuri, s’étant trouvé un véritable objectif, s'investît dans quelque chose. Dés qu'il put légalement le faire (sans doute une de ses dernières concessions à la loi...), il prît le large, quittant son île et ses parents, qui eux n'avaient rien vu venir et avaient tenté de faire changer d'avis leur si turbulent et pourtant bien-aimé fiston.

Alors évidemment, on ne s'improvise pas chasseur de primes. Surtout dans un archipel aussi tranquille que celui qui l'avait vu naître... Il faut s’entraîner. Il fallait trouver un maître d'arme, un soldat à la retraite ou quelqu'un qui sache manier les armes et se battre et qui n'avait pas peur de se retrouver avec le pus turbulent des élèves. Sur l'île voisine, Un ivrogne nommé Staader apprit à Yuri a se servir de son corps comme une arme, le pouvoir des lames, des pointes. Pour l'exorbitant tarif d'une bouteille d'alcool par leçon. Oui, il fallait le saouler pour qu'il se laisse emporter par ses récits et apprenne au jeune comment marcher dans ses pas. Sans scrupules, avec application, Yuri consolida donc la cirrhose du foie de son « maître ». Il ne lui fallut pas longtemps pour comprendre qu'a part tenir l'arme par le bon bout, le vieillard ivrogne ne savait pas grand chose. Il allait apprendre sur le tas. Le tas des délinquants, voleurs et fugitifs qu'il apprit rapidement à ramener, souvent pour des primes dérisoires, mais qu'il voyaient comme une simple formation. Il n'attachait alors que peu d'importance à sa réputation. Les formalités administratives furent rapidement remplies. Il ne restait plus qu'une seule étape. Partir, se lancer. Au cours de ses « voyages  initiatiques », Yuri a appris la légende des pirates, des fruits du démon, l'existence des hommes poissons, améliorant son maniement des armes et du corps. Il a appris l'histoire, approfondi la géographie... Il a appris a se battre de manière efficace, parce que c'est pas en étant un simple bagarreur qu'on peut courir après les primes. Il s'est fait des contacts, des ennemis, des populations reconnaissantes et des bandes ennemies. Aujourd’hui Yuri entre dans la cour des grands. Du moins c'est ce qu'il se dit, c'est ce qu'il a décidé. Aprés de longues recherches, poursuites et très hasardeux et violents combats, il a enfin réussi à capturer « Infamous Jerry ». La marine avait commencé à donner la chasse à ce pirate, l'attendant pour lui tendre une embuscade. Yuri n'avait eu qu'à prendre la place d'un matelot de la Marine et attendre bien sagement l'attaque. Malgré les efforts de ses deux gardes du corps, le capitaine pirate avait fini à genoux et les mains liées alors que l'assaut faisait toujours rage. Quelques minutes après, Yuri s'en allait sur une barque, son prisonnier baillonné et ligoté à ses pieds, en route pour toucher sa prime. Une prime de capitaine. Un capitaine pirate dont la renommée ne dépasse pas celle d' l'archipel qu'il a l'habitude de rançonner. Mais dont la prime, elle, faisait saliver. Presque surévalué. Sans doute parce que le pirate en question avait enlevé la femme et la fille du plus riche commerçant de l'archipel... Y'a rien de mieux que les histoires personnelles pour faire gonfler une prime. Prime qui disparut d'ailleurs presque immédiatement dans un équipement complet. Aujourd'hui, Yuri Eisdeniev, le « chasseur blanc », Yorei pour le travail, se lance dans le grand bain... Et il a bien l'intention d'y engranger pouvoir, richesse et plaisir...



>> Test RP

Le Test rp est obligatoire, il vous sera donné par le modérateur responsable de la section présentation.
Faire un test rp avant l'intervention sera totalement inutile : il ne comptera pas.

Quand vous estimez avoir terminé votre présentation, signalez le et demandez votre test RP. Pour plus de lisibilité vous pouvez aussi l'indiquer dans le sous titre de votre présentation [En attente de Test RP] Plus ce sera visible, moins vous avez de chance que les modérateurs vous loupent.


_ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _________
Informations IRL

Prénom : Kryss, ca ira bien

Age : Trop !

Aime : bien des choses, métal symphonique, wargames, enseigner l'histoire, geeker, draguer...

N'aime pas : la musique pourrite, le jeu de l'oie, la tomette marseillaise que je sais meme pas comment ca s'écrit, la brandade de morue

Personnage préféré de One Piece : Zoro, pour faire simple.

Caractère : (définissez vous en quelques mots) Pfff... On est sur un site de rencontres ou quoi ? Donc un peu chieur (hein, on a vu, là^^), humour, gentil. Prof, donc pas copain avec le langage seumeusseu.Joueur.

Fais du RP depuis : god dammit, many years !

Disponibilité : (en jours par semaine, c'est bien sur, approximatif) j'peux passer sur le forum tous les jours, mais pas pondre 5 rp/semaine...

Comment avez vous connu le forum ? Gougueule ?


Dernière édition par Yorei le Lun 10 Sep 2012 - 12:51, édité 1 fois
    Sakut yuri, voila ton test Rp

    S'il y a une chose que tu n'avais pas prévu dans le boulot de chasseur de primes, c'est que la concurrence serait si rude. Parfois encore plus que la traque elle même...
    C'est comme ça que sur une ile des Blues ou tu viens de capturer un criminel primé que tu es en train de ramener tranquillement à la base marine la plus proche, tu es soudain pris pour cible par une bande de types bizarres qui semble prêts à tout pour te piquer ta proie sous le prétexte fallacieux qu'ils ont vu l'affiche de sa prime en premier.
    ( http://oprannexe.forumotion.com/t65-le-gang-des-d-alton )
    Ils sont nombreux, coriaces, vicieux, et la base marine ou ils seront obligés de te lâcher la grappe est à deux jours de marche. Raconte nous comment tu t'es tiré de ce guêpier.

    Bye Red
      Tout avait si bien commencé. Le soleil était haut dans le ciel, dardant ses rayons calorifères sur ma peau, tentant de me faire sortir de ma carnation « fromage blanc », un petit vent soufflait, rafraîchissant, jouant avec mes mèches de cheveux, et mes oreilles subissaient l'assaut des injures, invectives et menaces du gibier de potence que je ramenais à la base marine la plus proche. Randy le sauvage, recherché pour vol avec violence, ivresse sur la voie publique, et exhibitionnisme. Une espèce de gorille évolué, hirsute, aux cheveux et à la barbe noire comme du charbon, pour lequel l'amour des mouches était un indicateur du niveau d'hygiène. Bref, un très agréable compagnon de route, qui allait surtout me rapporter, à en croire son affiche, quelques centaines de milliers de berris. Et mine de rien, il les valait, le bougre. Non seulement il avait fallu le retrouver, mais il avait fallu le capturer. Et il s'en laissait pas conter question castagne, le poilu. Enfin, ca faisait déjà deux jours que je le traînais, et j'en avais encore pour autant avant de croiser la première caserne ou déposer mon colis. Ca, pour se planquer il était fortiche. Quatre jours de traque dans une forêt dense, non mais franchement... Bon, faut voir le bon coté des choses, j'étais le seul chasseur de primes assez cramé ou assez doué en milieu forestier pour aller le chercher. Ce qui prouve en soi que son plan était valable, il avait pas eu de bol, juste...

      Et moi non plus, au final, j'avais pas eu de bol. Deux jours à crapahuter dans les sous-bois,à me battre avec les ronces et les mauvaises herbes, à marquer les arbres histoire de pas me perdre. Deux jours à faire des micro-campement, un feu, attacher Randy et le suspendre aux arbres pour eviter qu'il ne s'enfuie,J j'avais enfin récupéré le chemin qui permet de sortir de la forêt, et à peine le temps de faire 200 mètres qu'une balle se plantait dans le sol devant moi. Une détonation à faire saigner les oreilles et un geyser de poussière qui m'atteignait littéralement le genou ! Au moins ca fixait directement le calibre. Si le tireur me touchait, il ne resterait pas assez de moi pour remplir mes propres poches... Je stoppais net et passais la main dans mon dos, posant la main sur la poignée de Croc. Un rapide coup d’œil me rassurait. Mon colis, courageux comme pas deux, s'était jeté au sol au bruit de la détonation, tremblant et transpirant sous l'effet de la frayeur. C’était d'ailleurs pas génial, la sueur répandant ses effluves encore plus loin que quand il était « sec ». D'ici quelques secondes, j'allais être au centre d'une véritable sphère de puanteur... Je plissais les yeux pour distinguer le ou la fautive, qui allait payer, ne serait-ce que pour l'offense olfactive que j'étais en train de subir. Un rayon de soleil frappa le métal, faisant scintiller ce qui ressemblait furieusement au canon d'un fusil ! Pas le temps de réfléchir. Un violent coup de pied au sol pour faire voler la poussière et me faire un écran, et je plongeais dans les fourrés bordant le sentier. J'abandonnais mon butin, mais vu comment il était saucissonné, et vu la trouille qu'il avait, peu probable qu'il s'échappe.

      L'éclat avait frappé à une cinquantaine de mètres devant moi, en hauteur. Mon agresseur se trouvait donc sur un arbre, ce qui allait limiter une partie de son champ de vision en dehors du chemin de terre. Parfait. Je me faufilais dans les buissons, silencieux autant que possible, faisant doucement glisser une de mes couteaux de lancer peint en noir hors de son fourreau, gardant l’œil dans la direction générale du coup de feu. Là,je la voyais. C'était « une ». Tout juste une vingtaine d'année, cheveux blonds presque blanc. Mais le cache-œil et ses taches de rousseur trahissait son identité. Dakota D'Alton, un autre niveau de gibier de potence que celui que je traînais. La plus individualiste de la famille, et tant mieux pour moi. Parce que j'allais affronter une des meilleure tireuse des Blues, et si elle avait du renfort, j'allais grave galérer. Un rapide coup d’œil me fit remarquer un chemin vaguement dégagé dans les fourrés derrière elle. Ho la maligne, elle s'était ménagée un chemin de repli. J'avançais encore une dizaine et contournais mon « invitée », qui semblait de plus en plus perplexe de ne pas me voir resurgir des fourrés. D'un geste vif, je fouettais l'air et envoyais mon couteau se planter en vibrant à une dizaine de centimètres de sa jambe, comptant sur ses réflexes de sniper. Et elle ne me déçut pas. Elle se laissa tomber d'un mouvement fluide et se rua vers son chemin de repli, sans se rendre compte que c'est de là que venait le couteau. Ju surgissais tel un diable de sa boite et lui enfonçais directement mon coude dans l'estomac, lui coupant le souffle et l'envoyant au tapis, souffle coupé. Une partie de mon esprit était en train de se dire « yipeee, j'ai fait mon mois !! », tandis que l'autre hurlait « ca pue ca pue ca pue ca pue !! ». Dakota D'Alton suffoquait à mes pieds, tentant de reprendre sa respiration. Je sortais une corde d'une poche de ceinture, lorsque un métal froid se posa contre ma joue.

      -Mauvaise idée, garçon.

      Pas de conneries. Pas de gestes brusques. J'écartais doucement ma joue du canon et me relevais doucement, sans gestes brusques, et m'éloignais de quelques pas de Dakota en train de se remettre, jetant un coup d'oeil aux nouveaux arrivants. Le pistolet était tenu par une femme en tout début de trentaine, a vue de nez. Elle me pointait vaguement du canon de son pistolet, et avait l'autre main posée sur la tête d'une gamine blondinette qui jouait avec une hachette. Une vision pas tres rassurante. A coté d'elle, une autre gamine qui triturait un lance-pierre. Et derrière le trio feminin, un trio masculin que je reconnus pour avoir assez souvent vu leur tête sur des affiches. Bubba, Jimmy et Billy D'Alton s'était joints à la fête. En gros, la moitié de la famille D'Alton s'était invitée à la petite fête. Joie. Du coin de l'oeil, je voyais Dakota se relever, visiblement pas contente du tout.

      -Qu'est-ce que vous venez faire ici ?

      La torgnole partit avant même que je ne remarque le mouvement de Crazy Maggy la tristement célèbre. Bon, en même temps, avec 5 personnes à surveiller, j'pouvais pas prêter trop d'attention aux détails. Je reculais doucement, pas à pas, tant pour me rapprocher de mon colis que pour mettre de l'espace entre eux et moi. Non pas que je manque de confiance en mes capacités, mais là, un contre six voire sept D'Alton...Oui, même les gamines étaient dangereuses.

      -Un autre ton quand tu me parles. Si on avait pas débarqué, tu serais ligotée et à sa merci. Alors un peu de reconnaissance ! Combien de fois t'ai je dit de ne pas partir toute seule en chasse.

      -J'en ai marre de jamais rien pouvoir faire comme j'en ai envie. Et puis j'aurais très bien pu me démerder toute seule ! Toi et les autres, vous servez juste à me frustrer. J'suis parfaitement capable de prendre soin de moi, et...

      Je n'écoutais plus le reste de la tirade. Dakota et Crazy Maggy se hurlaient dessus comme des poissonnières, les deux gamines les regardaient et les trois autres semblaient trop idiots pour prendre une décision par eux-mêmes. Des fois, les disputes familiales, ca a du bon...

      -Halte là ! Jimmy, va ligoter ce jeune homme pendant qu'on récupère ce colis. On va le livrer rapidement, faut faire les courses avant de rentrer à la maison.

      Ca ne m’étonnait qu'à moitié. La famille D'Alton avait décidé de me piquer ma prise. Ca m’étonnait pas, mais ca me rendait quand même furieux. Le bonne vieille colère, pure et brûlante. L'air ravi, Jimmy D'Alton arrivait, les deux mains occupées à défaire une corde, et complètement oublieux de ma présence. J'avais oublié, et j'en remerciais le ciel, qu'outre être vicieux, l'autre caractéristique des D'Alton est d'être idiots. Je serrai les poings, laissant croire que je me résignais. Mais apparemment, mon numéro de théâtre n’allait servir à rien. A part la déjà connue Gummie Sue qui me tenait en joue avec son lance-pierre, personne ne faisait réellement attention à ce qui se passait. Dakota et Maggy s’engueulaient, Debby se curait le nez, comme Bubba. Seul Billy bob avait gardé son arme prête. Mais la bêtise de Jimmy Bob l'avait placé pile dans sa ligne de mire. Arrivé à moins d'un mètre et en train de me tendre la corde, comme si j'allais m'auto-ligoter, je gratifiais Jimmy d'un violent coup de poing. Je visais 5 centimètres sous la bouche, le cueillant à la pointe du menton pour un effet optimum. Et je ne fus pas déçu. Avant même que Billy n'épaule son fusil, j'avais récupéré Jimmy complètement sonné, le cerveau encore en train de danser la rumba dans sa boite crânienne et j'en faisais un bouclier humain devant moi. Nom d'un chien qu'il était lourd ! Je plongeais la main vers sa ceinture et dégainais son premier pistolet, le braquant sur la famille qui tournait brusquement toutes ses armes, du fusil au tromblon en passant par le lance-pierre droit vers moi. Pas le temps de réfléchir. J'abaissais le canon de mon arme, expirant tout en me resserrant au maximum contre mon bouclier vivant mais inanimé. En moi, le vide blanc qui précède tout combat s’étendait, décontractant chacun de mes muscles, me permettant de capter chaque détail. A 10 mètres de ma cible, impossible de la rater.

      Je tirais dans le ventre de Gummie Sue.

      L'odeur du sang ne me vint pas tout de suite aux narines. Par contre, les yeux écarquillés se dessinèrent très rapidement sur les visages de tout les membres de la famille présents. Sauf pour Bubba, mais lui il compte pas. Les larmes montèrent aux yeux des deux jumelles, pendant que Gummie portait les mains à son ventre et baissait la tête pour regarder, comme si elle ne comprenait pas ce qui lui arrivait. Dans un charmant petit sous-bois, un chasseur de primes sans trop de scrupules venait de tirer une balle dans l'estomac de la gamine venue apprendre comment le rançonner. Je profitais de la seconde d'incrédulité pour jeter au sol le pistolet vide et dégager de la ceinture de Jimmy le deuxième, et dernier. J'en profitais pour arranger ma prise sur mon Jimmy bouclier, calant mon coude autour de son cou pour ralentir l'afflux d'oxygène et éviter un réveil trop rapide. Je pointais rapidement mon nouveau jouet vers la famille qui me regardait désormais avec des yeux brûlants de haine. De mon coté, je sentais un sourire moqueur, malsain, carnassier se dessiner sur mes lèvres.

      -Je vous conseille de vite l'emmener voir un toubib. Généralement c'est pas mortel, mais faudrait pas tenter le diable...

      - Billy, emmènes les petites. Fais porter Gummie à Bubba, faut pas qu'elle marche. Dakota et moi, on va crever cette ordure.

      - Elle a bon dos l'ordure. Vous êtes venu à 6 pour me faucher ma prime, moi j'essaie juste de m'en sortir en vie et avec ma prime sur pattes. Si vous vouliez bien partir avec le reste de votre famille, j'vous promets que je laisse mon colis ici pour que vous le récupériez plus tard. Euhh, par colis, j'parle de votre frere, fils, neveu, j'en sais rien. La belle au bois dormant, quoi.

      -Tu vas crever, salopard.

      -J’espérais que vous diriez ça.

      Pendant ce petit echange d'amabilités, les ordres de Crazy Maggy avaient été suivis avec diligence. Du coup, j'étais passé d'une situation de crise seul contre sept D'Alton à seul contre deux, une vieille tordue et une jeune dangereuse, mais avec un otage. Qui a dit que je savais pas gérer les crises ? Je posais le canon sur la tempe de Jimmy bob, bien planqué derrière lui. Ca commençait d'ailleurs à me faire mal au dos et aux cuisses de me recroqueviller comme ça. Mais ma sécurité passait avant mes désagréments. J'etais toujours en infériorité numérique, et il fallait que je remédie à ca. Une idée germa dans mon esprit. Il allait falloir être rapide et violent, ca tombe bien, c'était ma spécialité. J'avançais d'un pas, fixant Crazy Maggy dans les yeux, puis passant rapidement vers Dakota. Cette dernière avait dégaine elle aussi une paire de pistolets ouvragés. Ma parole, ils étaient tous des fondus de la poudre dans cette famille ? Aucun ne maîtrisait le bel art du contact, brutal et sauvage ? Chouette alors. Un pas de plus. Crazy Maggy me fixait elle aussi, cherchant un moyen de me foutre a terre et de m'achever sans devoir d'abord abattre son précieux fiston. Dakota, elle, était inexpressive. Je n'aimais pas ça. Ca ressemblait trop à moi lorsque j'allais tirer, ce calme absolu qui m'envahit avant l'éruption du volcan de colère qui me sert de carburant. Pas de temps a perdre. Encore un pas. Maggy n'avait pas bougé, fallait lui reconnaître son cran. Ou ma folie de m'avancer vers une mère de famille de laquelle j'avais saigné la nièce chérie et tenait le fils en joue. Allez, presque, j'y étais presque. Je jetais un oeil à Dakota. Elle avait ses deux pistolets devant elle, pointé vers le bas. Elle ne voulait pas me donner un prétexte pour abattre Jimmy. Mais des qu'il serait sorti de sa ligne de tir, j'allais me faire plomber. Bon, l'heure de vérité était venue.

      Je décalais le pistolet de la tempe de Jimmy et tirais vers Dakota. Sans même voir si elle était touchée, je lâchai l'arme et pivotais sur moi-même en me baissant, comptant sur l'effet de surprise et l'élan pour projeter le Jimmy toujours évanoui sur Crazy Maggy qui venait de détourner la tête pour s'assurer de l'état de sa chérinette. Boum ! Crazy Maggy venait de se prendre son fiston avec élan, et allait avoir le cerveau embrumé pour quelques secondes. Quelques secondes que j'allais devoir mettre à profit. Sans même réfléchir, je me jetais vers le tas Jimmy-Maggy, a temps pour entendre une détonation et sentir une balle me frôler, et dissuader Dakota de tirer à nouveau avec le risque de toucher un membre de sa famille. D'un mouvement rapide et fluide, je dégainais et déployais Croc, transformant mon glaise en lance qui m'assurait l'avantage au contact, et me laissai envahir par la rage du combat, celle qui me fait éclater de rire à chaque fois que je risque ma vie. Me léchant les lèvres, bouche ouverte sur un cri sauvage et inarticulé, un sourire fou sur mon visage, je bondis purement et simplement sur Dakota, pointant ma lance vers elle comme pour embrocher un morceau de viande. L'image que j'offrais devait être assez effrayante pour déconcentrer la majorité des gens, et c'est sans doute ce qui me sauva la vie. Je sentis l'odeur de poudre et la brûlure à mon flanc avant de comprendre qu'elle m'avait tiré dessus en plein saut. Heureusement que je l'avais déconcentré, sinon je suis sûr qu'elle m'aurait cueilli comme un fruit mûr. Je piquais brutalement, comme pour l'embrocher, puis enchaînait avec deux passes d'armes, concentrant mes attaques sur ses jambes pour l'handicaper. Lorsqu'elle fut à point, trop concentrée sur la pointe de ma lance, je tournais sur moi-même et piquais vers la bas pour lui faire baisser le regard, et levais la jambe pour la ceuillir au menton, d'un coup de pied circulaire, lui réservant le même sort que Jimmy. Je me retournais immédiatement en garde, lance pointée devant moi, pour constater que Crazy Maggy s'était faite la malle, abandonnant les deux autres. Elle devait se douter que de toutes façons, j'allais pas pouvoir ramener les trois à la Marine. Je me demandais si échanger Randy le Sauvage contre Dakota D'Alton ne serait pas plus avantageux, mais le risque que Dakota s'enfuie pendant le trajet était plus grand. Je récupérais ce qu'il y avait à récupérer sur Jimmy et Dakota, à savoir quatre pistolets et un fusil ouvragé, calibré et sans doute fait sur commande, quelques milliers de berris, et les laissais plantés là, inconscients, évanouis comme des bienheureux.

      Soufflant un grand coup, je laissais retomber toute la pression et toute la colère accumulée, puis me dirigeais vers mon colis, histoire de reprendre ma route. Deux jours jusqu'à la base Marine la plus proche. Deux jours dans une forêt où les D'Alton se baladaient. Joie. Je saisissais la corde et relevais mon prisonnier de force, puis le faisait signe de la tête, lui intimant l'ordre d'avancer. Crazy Maggy était sans doute partie chercher le reste de la famille, et j'avais pas plus envie que ça de faire connaissance avec ce fameux reste. J'estimais avoir droit à une demi-heure de tranquillité, puis il faudrait sortir du sentier tracé pour voyager à travers bois. Plus lent, mais plus sûr pour éviter les mauvaises rencontres.

      -Allez Randy, magnes-toi. S'ils nous retombent dessus, je t'abats avant de ficher le camp.
        Salut Yorei, je passe pour ton premier avis !

        Bon, pas de point forme parce que j’ai pas trouvé de faute qui m’ont sauté aux yeux. Répétition un peu au début de ton histoire, des fautes de frappes qui devraient pas y être : ça fait vraiment mauvais genre sur une présentation comme ça. Sérieusement, une relecture pour au moins enlevé ces erreurs, ça aurait été bien.

        Je passe directement au fond, après un tout petit point forme en fait. Et sur le fond, j’ai presque envie de dire que c’est un sans-faute : Le physique et la psychologie sont complets et très bien écrits, on voit très bien comment est le gars, un bon salaud qu’est pas vraiment gentil ni vraiment méchant. Bref, moi, ça me va.
        Pour la biographie, c’est du tout bon. Vrai qu’on a un peu du mal à comprendre pourquoi est-ce que le gamin se met à agir comme ça, il a une famille autour de lui qui l’aime, ou du moins qui a l’air, et lui se comporte comme un indépendant, mais la sociopathie, on sait pas d'ou ça vient... Pourquoi pas. Petit bémol, tu n’as pas mis à quel moment est-ce que la pathologie de ton personnage prend le dessus sur son physique, ou tout du moins, ce n’est pas clairement défini.
        Pour le test RP, tu t’en es bien sorti. C’était pas un test facile et tu t’es retrouvé face à une fine équipe qu’est du genre à bien embêter. Tu t’en sors. Bien. Peut-être trop au vue de la difficulté que ça aurait dut être, mais vu que ton style coule de source et que c’était vraiment prenant, je ne dirais rien.

        Bon, trêve de compliments, je suis sur du 750-800D.

        Bon courage pour ta validation !
        • https://www.onepiece-requiem.net/t3945-fiche-technique-de-lilou#4
        • https://www.onepiece-requiem.net/t2202-
        Bonjour!

        Je file mettre des claques à mon correcteur orthographique, je ferais plus attention a ce que mes doigts tapent pas plus vite que mon cerveau, et j'attends sagement ma validation^^.

        Merci encore!
          Bonjour et bienvenue sur OPR Yuri ! ^^
          J'espère que tu vas apprécier ce forum. Si tu as la moindre question n'hésite pas.
          Que les joies du RP soient avec toi ! Very Happy
            Yop, deuxième avis pour ta prèz':

            Donc, j'vais pas reprendre les points qui ont été bien expliqué par Lilou, mais j'vais plutôt me concentrer sur ce qui ma fait le plus tiquer.
            Contrairement à ma collègue, c'est la forme qui me pose le plus de soucis dans ta présentation. D'une manière générale, peu de fautes de syntaxe, mais des étourderies malvenues. C'est à dire: des répétitions, des mots pas complets ou qui manquent, des ponctuations un peu scabreuses et ce genre de choses. Dans l'ensemble, ça manque cruellement d'une bonne relecture. J'pense pas que le correcteur orthographique soit à blâmer dans ton cas.
            Voilà, après le personnage, il est bien et bon. Tu nous le montres comme il faut dans le test RP. T'as à mon avis bien géré les PNJ et ça, dans tous les cas, ça passe.

            Donc, résultat des courses. J'ai été un peu plus critique que Lilou sur la forme, du coup, j'tombe à 700 cailloux. Y'a beaucoup de bon (même si je l'ai pas forcément dit, vu que ça a déjà été dit) et ça, c'est toujours bon ;) .

            Voilà, bienvenue ici, bon RP, plus qu'un à passer.

            Walt'
              Salut Yorei, derniére voix pour toi

              Des descriptions très classiques mais qui se lisent bien et qui font bien leur boulot, le perso est crédible, bien décrit et bien mis en valeur, bon, ça fait un albinos de plus mais je pense que c'est le propre des forums rp de voir grouiller ce d'affections so dark. Et la psycho est chouette... Nickel, donc...

              Niveau bio, c'est sympa mais je rejoint Lilou sur le fait que ce soit un peu dommage qu'il manque un peu le terreau qu'on attribue d'habitude à la naissance de ton genre de névrose. L'ambiance et la situation familiale tout ça tout ça... C'est un peu de la psychologie de comptoir, mais dans un shonen c'est un truc qui marche plutôt bien.
              A part ça RAS, comme au dessus quoi. C'est cohérent, ça se tient... Bien...

              Pour le test c'est du très bon, on voit enfin le personnage en action et tu le joues au poil, tu colles parfaitement aux description que tu as vendues et ça c'est parfait. L'action est claire, bien menée, et la façon dont tu joues les pnj qu'on t'a fourrés dans la patte leur correspond tout à fait. Bel effort la aussi...

              Et au bilan du coup je suis dans les 750 dorikis. Ce qui te valide la dessus.

              Bye Red