>> Bege Justino Luis
Pseudonyme : Aucun pour le moment Age: 25 ans Sexe : Homme Race : Humain Rang : Métier : Trésorier Groupe : Pirate Déjà un équipage : Les Truands But : Amasser une fortune inégalable. Fruit du démon ou Aptitude pour la suite : Équipements : Deux costards noirs, deux chemises blanches à rayures noires, deux cravates rouges à rayures noires et blanches, deux chaussures de ville noires et deux paires de gants noirs en latex. Codes du règlement (2) : Parrain : Moi ! Ce compte est-il un DC ? : Non Si oui, quel @ l'a autorisé ? : ... |
>> Physique
B'zour m'zeune homme ! Disait-il en postillonant sur le bureau ou plutôt sur le dossier de Mr. Propre.
Bonjour monsieur...
Bien bien donc v'zetes là pour le zob de trésorier ? Excuzez moi shi sh'est pas trop indishcret mais en vous voyant il faut vraiment que ze me remette au shport.
Pardonnez-moi mais vous êtes très bien comme ça.
Ah non non z'trouve que z'etes juste ce qu'il faut niveau carrure, she que z'aime c'est qu'on vois bien que vous partez en V, vous voyez ? Et puis sans parler de la largeur des épaules et le charisme qui en dégaze. Ma femme serait heureuze si ze vous ressemblait ! Shi shi j'te jure en plus z'avez une coiffure qui déchire !
Je suis chauve monsieur mais merc..
En plush le costard sur-mesure vous va très bien, un noir profond comme sha sh'est parfait pour faire ressortir votre physique avantazeux. Surtout qu'en dessous il y a la petite shemise blanche très shic accompagnée de la cravate rouge qui donne un bon mélanze. V'zavez bon goût m'zeune homme.
Mer..
Et puis dis donc, z'avez pas lézigné sur les moyens non plus niveau godasses ! Shaussures de ville neuves et toutes propres !
C'est pas donné à tout le...
Bon passons à la shuite, vous pouvez m'attraper le shtylo que j'ai zeter en haut de l'étazère s'il vous plaît, j'chuis trop petit et ma secrétaire est partie en vacanche avec le directeur.
Zetes plutôt grand, vous mezurer combien ?
Un mètre quatre-vingt et des poussières.
Zetes pas si grand que ça en fait, sha doit être un effet d'optique. Ashéyez vous.
Z'etes plutôt rigolo sur shette photo m'zeune homme !
Vous trouvez monsieur ?
Vous donnez vraiment un air shérieux, très shérieux ! On dirait que vous allez manger quelqu'un ! Et puis un vizage vraiment marqué ! Z'etes pas là pour rigoler haha ! Au moins vos yeux bleus turquoise apportent un peu de douceur à votre vizage parshe que sinon vous pasherez pour un vrai psyshcopathe ! Ah vous étiez déjà chauve à l'époque ? Bref vous avez pas tellement shanger en fin de compte juste quelques rides en plush quoi.
Psychopathe monsieur et oui j'étais toujours aussi chauve que ça. On peux reprend..
Monzieur j'suis dézolé mais sha va pas être possible, vous avez un pashé crimi...
Enfoiré de bâtard de merde de sale race d'enflure.
Pardon ?
J'ai dit : Tu passeras le bonjour à ta femme de ma part.
>> Psychologie
Alors monsieur faites voir votre dossier.
M...M...Merci.
Excusez-moi monsieur, pouvez-vous enlever vos gants ?
Voilà monsieur. On peux pass...
BULUP BULUP BU..
Moshi moshi ?!
Oui oui monsieur, vous voulez pas monter à 95 000 berrys pour ce collier ? ... Monsieur je ne peux pas faire de rabais, ristournes..
Excusez-moi, vous devriez lui dire que le prix de base est déjà rabaissé car en magasin il est deux fois plus cher et insistez bien sur le fait que c'est une affaire en or.
Monsieur le prix en boutique est quand même de 200 000 berrys, là c'est vraiment une affaire en or c'est pour ça que je ne peux pas baisser plus que cela... Oui oui très bien.. Oui vous le recevrez d'ici une semaine.
>> Biographie
H.RP : Si la couleur fait trop mal aux yeux dites le et je la change :-)
Lors d'un entretien d'embauche en plein après-midi dans une bijouterie de West Blue. Il y a dans la salle qui fait office de bureau de recrutement deux personnages : Un chauve et un homme assez trapu.
B'zour m'zeune homme ! Disait-il en postillonant sur le bureau ou plutôt sur le dossier de Mr. Propre.
Bonjour monsieur...
Les deux hommes se regardaient dans les yeux pendant quelques secondes sans se dire un mot.
Bien bien donc v'zetes là pour le zob de trésorier ? Excuzez moi shi sh'est pas trop indishcret mais en vous voyant il faut vraiment que ze me remette au shport.
Pardonnez-moi mais vous êtes très bien comme ça.
Ah non non z'trouve que z'etes juste ce qu'il faut niveau carrure, she que z'aime c'est qu'on vois bien que vous partez en V, vous voyez ? Et puis sans parler de la largeur des épaules et le charisme qui en dégaze. Ma femme serait heureuze si ze vous ressemblait ! Shi shi j'te jure en plus z'avez une coiffure qui déchire !
Je suis chauve monsieur mais merc..
En plush le costard sur-mesure vous va très bien, un noir profond comme sha sh'est parfait pour faire ressortir votre physique avantazeux. Surtout qu'en dessous il y a la petite shemise blanche très shic accompagnée de la cravate rouge qui donne un bon mélanze. V'zavez bon goût m'zeune homme.
Mer..
Le recruteur regarda en dessous le bureau puis regarda à nouveau le chauve.
Et puis dis donc, z'avez pas lézigné sur les moyens non plus niveau godasses ! Shaussures de ville neuves et toutes propres !
C'est pas donné à tout le...
Bon passons à la shuite, vous pouvez m'attraper le shtylo que j'ai zeter en haut de l'étazère s'il vous plaît, j'chuis trop petit et ma secrétaire est partie en vacanche avec le directeur.
L'homme en costard se leva et attrapa le petit stylo en argent de l'homme embonpoint.
Zetes plutôt grand, vous mezurer combien ?
Mr. Propre donna le stylo à son interlocuteur tout en lui répondant.
Un mètre quatre-vingt et des poussières.
Zetes pas si grand que ça en fait, sha doit être un effet d'optique. Ashéyez vous.
Le postulant s'assit brusquement et l'employeur ouvrit le dossier d'embauche. Quelques minutes s'écoulèrent quand soudain.
Z'etes plutôt rigolo sur shette photo m'zeune homme !
L'homme lui tendait la photo qui avait été prise lorsqu'il était en prison : de face et de profil en tenant sa plaque d'immatriculation.
Vous trouvez monsieur ?
Le recruteur fit une grimace de charognard et laissa entendre un petit grognement avant de faire des éloges sur la dite photographie.
Vous donnez vraiment un air shérieux, très shérieux ! On dirait que vous allez manger quelqu'un ! Et puis un vizage vraiment marqué ! Z'etes pas là pour rigoler haha ! Au moins vos yeux bleus turquoise apportent un peu de douceur à votre vizage parshe que sinon vous pasherez pour un vrai psyshcopathe ! Ah vous étiez déjà chauve à l'époque ? Bref vous avez pas tellement shanger en fin de compte juste quelques rides en plush quoi.
Psychopathe monsieur et oui j'étais toujours aussi chauve que ça. On peux reprend..
Monzieur j'suis dézolé mais sha va pas être possible, vous avez un pashé crimi...
L'homme en costard se leva d'une traite. D'ailleurs si on regarde le mouvement au ralenti on peux voir la cravate voltiger d'une façon plutôt classe mais ça on s'en fout, revenons à nos moutons. Donc je disait, l'homme en costard se leva d'une traite et partit en direction de la sortie tout en bafouillant quelques mots.
Enfoiré de bâtard de merde de sale race d'enflure.
Pardon ?
Le chauve leva sa main droite au ciel tout en faisant le signe d'au revoir.
J'ai dit : Tu passeras le bonjour à ta femme de ma part.
L'employeur exprimait un air dubitatif après avoir entendu la phrase d'adieu du postulant.
>> Psychologie
Lors d'un entretien d'embauche en fin d'après-midi dans une autre bijouterie de West Blue. Moi le chauve, j'étais cette fois-ci en face à face avec un recruteur plutôt mal-élevé. J'analysais l'endroit, c'était comme une habitude pour moi : Où est-ce que je pourrais ranger un cadavre ? Par où la marine pourrait débarquer ? Par quelle fenêtre j'ai des chances de ne pas m'écraser au sol ? Où était caché le coffre, l'or, les berrys, enfin la "money" vous voyez ?
Alors monsieur faites voir votre dossier.
Je le regardait droit dans les yeux avec un regard ténébreux, il m'avait interrompu dans mon inspection. Et... et il ne savait pas à quel point ça m’énervait que l'on me dérange pendant que j'étais occupé à scruter une éventuelle source de richesse. Mais bon, j'étais là pour le boulot donc pour cette fois-ci je passais l'éponge. Du coup je lui donnai mon dossier avec mon plus beau sourire qui n'était d'ailleurs pas très crédible avec mon regard, ça donnait vraiment l'impression que j'arborais un visage de sadique.
M...M...Merci.
Sous la pression intense le recruteur lâcha le dossier sur son bureau qui se résuma par un bruit sourd. D'ailleurs la poussière qui s'accumulait sur la table de travail en venait à s'accumuler aussi sur mon costard. J'ai horreur de ça, il faut être propre sur soi, il faut être présentable, il faut être physiquement parfait. Je regardai mon costard, je mis mes gants en latex et j’ôtai les dernières traces de poussières en direction de l'employeur. Tiens crèves, avec un peu de chance d'ici trente ans t'auras une maladie des poumons. D'ailleurs je ne pouvais pas m'empêcher de laisser entrevoir un sourire narquois après ma réflexion assez débile.
Excusez-moi monsieur, pouvez-vous enlever vos gants ?
Et moi ? Je lui demande à ta femme si elle peut enlever son string ? Non seulement il mettait de la saleté partout sur moi, il m'interrompait dans mon repérage des lieux mais en plus il me donnait des ordres ! Heureusement qu'il ne sait pas que moi et l'autorité ça fait deux contrairement à la propreté et moi qui fait un. En plus là j'tenais un bon raisonnement et une bonne formulation à la Jean Claude Vandale. Après tout, il fallait que j'décroche ce boulot donc j'passais encore une fois l'éponge. J'enlevai tout doucement mes gants en le fixant droit dans les yeux.
Voilà monsieur. On peux pass...
BULUP BULUP BU..
Moshi moshi ?!
Je croyais rêver, il me faisait une réflexion sur la manière de se tenir juste avant et là c'est l'hôpital qui se foutait de la charité. Je bouillonnais intérieurement, je pensais vraiment que j'allais lui mettre un taquet avant qu'il parle de quelque chose qui m'intéressait fortement.
Oui oui monsieur, vous voulez pas monter à 95 000 berrys pour ce collier ? ... Monsieur je ne peux pas faire de rabais, ristournes..
Je tapotais mes doigts sur la table tout en écoutant d'une oreille attentive les sommes faramineuses qui s'écoulaient au fur et à mesure de la discussion. A un moment mon instinct de baratineur et celui du sens des affaires étaient à leurs apogées.
Excusez-moi, vous devriez lui dire que le prix de base est déjà rabaissé car en magasin il est deux fois plus cher et insistez bien sur le fait que c'est une affaire en or.
L'employeur me regarda avec un air du style "Pour qui il me prend ce nigaud ?" mais il tenta quand même le coup avec ma technique.
Monsieur le prix en boutique est quand même de 200 000 berrys, là c'est vraiment une affaire en or c'est pour ça que je ne peux pas baisser plus que cela... Oui oui très bien.. Oui vous le recevrez d'ici une semaine.
Alala j'étais vraiment fier de moi, la technique commerciale il y a que ça de vrai ! Heureusement que j'baignais dans le mensonge et les berrys depuis mon plus jeune âge. Fier de moi je me tournai vers la vitre où, toi lecteur tu me regardais avec tes grands yeux écarquillés et le sourire en coin. Du coup pour te rassurer j'te fis un clin d’œil et le pouce en l'air avant de reprendre les affaires.
>> Biographie
H.RP : Si la couleur fait trop mal aux yeux dites le et je la change :-)
Lors d'un entretien d'embauche en fin de soirée dans une énième bijouterie de West Blue. Tu remarqueras lecteur que, j'suis un fan incontesté des bijouteries ! Bref passons à l'essentiel, là j'discute avec un type qui me plait bien, il m'a tout de suite mis dans l'ambiance, un recruteur cool en perspective jusqu’à ce qu'il me pose quelques questions à la con.
Mais monsieur Bege, quand je vois votre dossier... Bege... bege, ce nom me dit vraiment quelque chose.
Capitaine pirate Capone Bege ?
Haha exactement ! Vous aviez des liens avec cette personne ou c'est juste le nom qui voilà quoi ?
Si je le connais ? Je crois bien ouais, une vraie crapule ce papy !
L'employeur balbutie après avoir entendu le mot "papy".
Vous êtes le descendant ?
Oui assurément.
Il a fini de me poser des questions ? Ça commence vraiment à me gêner là, ça attaque mon intimité.
Pouvez-vous m'en dire plus sur votre rencontre, enfance, enfin vous voyez ce genre de chose parce qu'avec des antécédents criminels j'ai besoin d'être rassuré...?
J'pense pas avoir pris de rendez-vous avec un psy' ces derniers temps enfin bon ça doit être ma secrétaire. Les souvenirs me reviennent en tête, comment j'vais lui dire ça moi, il a pas besoin d'en savoir plus que ça. J'ai pas envie de faire un long monologue avec toutes mes informations donc j'vais regrouper quelques idées. Pour faire long : Alors mes parents comment se prénommaient-ils déjà ? Lu, lu, Luis, comme mon deuxième prénom ! Et Isa, isaniella ? Non Isabella ! Puis bon ils m'avaient donner naissance sur l'archipel Shabaondy en 1599. Je peux aussi lui raconter comment s'était passer l'acte... Non non restons simple, après on était partis sur West Blue quand j'devais avoir trois-quatre ans parce que à ce qu'il paraît les tenryuubito de l'archipel faisaient main basse sur les nouveaux-nés. Du coup c'est aussi à ce moment là que j'avais rencontrer papy. C'était un sacré énergumène mais faut l'avouer il était très gentil avec nous. Deux exemples : Je me rappelait très bien qu'il détestait les mauvaises manières et l'impolitesse parce que j'avais souvent pris des torgnoles à cause de mon comportement, heureusement qu'il était pas resté longtemps avec nous et qu'il était partit quelques années après. D'ailleurs j'dois tenir ça de lui : le fait de rester propre, de rester poli, de faire attention à ce que les autres pensent de nous bref replongeons nous dans mes souvenirs. Mais même s'il avait quelques défauts, il faut dire que j'étais beaucoup attaché à lui. Non seulement grâce à lui on baignait dans les berrys mais en plus il m'apportait personnellement un modèle. Je le mettais toujours sur un piédestal lorsqu'il me racontait ses aventures. En plus j'suis sûr qu'il en rajoutait parce qu'en plus d'être un ancien capitaine pirate, il était un gros baratineur ! Mais justement c'était pour ça que je l'aimais, pas pour son parcours de pirate, mais pour sa capacité à mentir quand il le souhaitait. Ses escapades étaient trop grosses pour être vraies mais il me remettait souvent en doute lorsqu'il parlait de berrys car effectivement je ne savais pas d'où venait tout cet argent. Du coup moi aussi j'commençais à faire le mytho' à tout va mais j'avais vite compris qu'il fallait utiliser ce don à bon escient. Je peaufinais ma technique au fur et à mesure des années toujours sous l'emprise de mon papy. Je comprenais qu'il ne fallait pas mentir à des gens que l'on côtoie tout les jours de peur qu'il y ai un retour de flamme, qu'il fallait le faire uniquement dans son intérêt et pas pour s'amuser. Bref c'est grâce à Capone Bege que j'ai un sens du baratin aigüe et pour faire court :
Je suis né à l'archipel Shabaondy en 1599 puis j'ai vécu sur une île de West blue, c'est là-bas que j'ai connu Capone Bege et j'ai vécu heureux et j'ai eu beaucoup d'en.. Pardon je disais et j'ai vécu heureux toute mon enfance.
C'est très court pour un temps de réflexion aussi long...
Et ta femme quand elle jouit, je lui demande pourquoi c'est très court pour un calibre aussi long ? Calme Justino, il ne faut pas que je m'emporte à la moindre réflexion désagréable sinon j'aurai jamais ce job.
Bien bien, et en ce qui concerne votre parcours en prison, la raison ? Comment c'était ?
J'pense pas avoir pris de rendez-vous avec un inspecteur de la marine ces derniers temps enfin bon ça doit être encore ma secrétaire. Là par contre j'peux développer sur la longueur ! C'est vraiment un haut fait pour moi ou plutôt une erreur judiciaire à la con.
Mon parcours en prison ? Bah déjà pour commencer si tu veux savoir le comment du pourquoi, il va falloir que t'accroches ta ceinture parce qu'une erreur judiciaire comme ça t'en verras jamais deux fois dans ta vie. Donc j'm'étais fait arrêter sur une île de West Blue mais une île bien pommée, tu vois le truc ? Genre la seule île sur les Blues qui était isolée du monde donc reprenons. J'étais là-bas parce que j'pensais faire du business et du baratin à tout va mais dès le premier jour j'm'étais fait coffrer. Ça s'était passé au marché de l'île, j'choisissais les tomates toutes fraiches à revendre plus tard quand deux mousses de la marine étaient venus par derrière pour me mettre les menottes. Autant dire que j'avais pas pu me défendre. Donc j'avais été emmener au QG de West Blue, le voyage s'était plutôt bien passé, j'étais entre deux tonneaux dans une cale ligoté comme un morceau de jambon. Et puis je gueulais hein, je sortais tout les mensonges que je pouvais mais aucunes réactions, c'était à croire que je naviguais sur un bateau fantôme. Bref une fois dans les locaux du QG il fallait subir une sorte de test de témoin oculaire, j'te dis pas comment j'étais confiant parce qu'être chauve c'était un bon atout, pas de coiffures, bref c'était ce que j'me disais avant de rentrer dans la salle avec quatre autres types. Comment ils étaient ?
Pouvez-vous abré..
Ta gueule, tous chauves, tous athlétiques, tous de même taille et tous avec le visage marqué. J'étais pas dans la merde si tu vois ce que j'veux dire. Puis au moment où on te demandait de tourner le dos, c'est là que j'm'étais dit "J'suis sûr qu'ils vont le faire à la Am stram gram". Manque de pot c'est moi que le témoin avait désigner. Du coup j'me débattais à coup sûr, bah ouais c'était pas moi après tout, d'ailleurs à ce moment là je savais toujours pas pourquoi j'étais sous les verrous. Continuons : j'arrivais ensuite à la prison de South Blue. Pourquoi South Blue ? Je savais pas non plus mais un officier m'avait vite rafraichi la mémoire avant de fermer ma cellule. Il disait que j'étais accusé de trafic d'armes illégales, que je faisais mes affaires auprès de la piraterie et South Blue parce que d'après lui j'avais toujours vécu ici. Et là tu vois, à ce moment précis, je le regardais droit entre les deux yeux et j'me disais : "Ils auraient pas pu pister un autre chauve pour le test oculaire ?" Bon ça va j'étais en taule le temps de trois mois mais quand même ! Après tu veux savoir comment c'était ? C'est tout simple je t'explique : D'abord il y avait 3 types de gars dans ce type de maison. Le Boss, les suiveurs et la brebis égarée. Au début j'étais la brebis égarée mais j'avais monter de grade à celui de suiveur assez rapidement grâce à mes capacités de mythomane. Et puis à partir de là je bougeais plus, on m'avait attribuer le rôle de trésorier parce que tu savais pas tout mais en prison il y avait du trafic aussi. C'est notamment grâce à ça que mon sens des affaires s'est sur-développé. Et du coup les trois mois étaient passés assez rapidement. Au moment de ma sortie j'étais un peu triste, j'avais trouver ma vocation. Donc là maintenant que je suis libre j'arpente les rues à la recherche de magots, de lingots, de boulots. Surtout ma technique réside sur le fait que je me fais passer pour un postulant et je me convaincs moi-même car c'est très dur d'ailleurs. Et après PAF ! Je dérobe les bijoux, les coffres, enfin tu vois le truc ?
Oh la connerie le recruteur est tout blanc, j'me suis laisser emporter ! Merde merde merde bon il faut que je me casse.
Bon bon j'vais te laisser bonne fin de soirée.
Je cours vers la sortie tout en zieutant les bijoux exposés.
>> Test RP
Je cours, oui je cours même très vite puis je m'arrête net juste avant d'ouvrir la porte de la bijouterie. Je regarde à travers la vitre de la porte mais une lueur dorée à ma droite m'interpelle fortement. Je me retourne comme tout bon individu et je regarde la vitrine, il y a là un bijou mais un tel bijou que je ne sais même pas si on à le droit de l'insulter comme ça. Là c'est complètement une divination, une hallucination. Une bague aux courbes généreuses, un demi-cercle en or comme je les aime, quelle coquine ! C'est pas tout elle se pavane sur son petit bout de laine blanche aux yeux de tous, prête à être dérobée et dégustée. Sa tenue de soirée est juste magnifique, un petit rubis incrusté au milieu de la poitrine. Elle, elle était pas comme les autres. Alors que je suis en plein idylle, mon ancien futur employeur l'arme à la main me colle un très lourd dilemme.
Tu dégages de là ou t'es mort !
Je vois bien qu'il a peur du recul, il tient son revolver les bras tendus et a une tête à avoir peur de se mouiller. J'crois que je suis dans une situation délicate là mais ça ne m'empêche pas d'infiltrer ma main à travers la vitrine pour toucher ma déesse. Plusieurs tentatives mais cela se résume par des "Touches pas !". C'est tout à fait la même situation que lorsqu'on tend une sucette à un gosse et qu'on lui dit de la manger après le repas. Ça laisse toujours un goût amer mais c'est pas pour autant qu'on abandonne. Du coup je vais adopter le plan baratin, je lève les mains.
Si j'm'en vais, tu ne me tireras pas dessus ?
Non mais pars maintenant alors !
Il tremble le pauvre, je regarde un coup par la fenêtre voir s'il y a des ruelles sombres à proximité. Je vois pas grand chose mis à part un gaillard atteint de calvitie la gueule collée à la vitre et le pif' déformé. Sur le coup je me demande si il a que ça à foutre de faire du lèche-vitrine mais une fois qu'il commence à s'éloigner de la vitre, je remarque qu'il a un uniforme à la c... un uniforme à la... un uniforme de la marine ! Et son grade ? Je le vois pas bien mais il y a assez de traits pour que j'comprenne que c'est pas un rigolo. Merde merde ça se gate sévère là ! T'imagines la situation, je pourrais la tourner à mon avantage comme quoi on me braque mais vu que j'ai la tête de l'emploi et que l'autre c'est le gérant de la bijouterie.. J'ai pas énormément de chances. Le recruteur commence à s'impatienter tandis que le marine fait le tour de la boutique. Comme on dit il ne faut jamais gâcher les grandes occasions, un coup de foudre c'est un coup du destin et je suis sûr que c'est réciproque.
J'ai un truc à te propo...
Ta gueu.. Vas-y !
Est-ce que tu sais que j'ai la clé de deux bijouteries qui sont dans l'allée ? Est-ce que tu sais à quel point ça peut être facile de noyer la concurrence ? Est-ce que tu sais que tu peux devenir la seule bijouterie de cette allée ? Est-ce que tu sais le nombre de clients que tu pourras récupérer ? Est-ce que tu sais à quel point ta fortune s'élevera ? Est-ce que tu sais aussi que personne ne saura d'où viendra cette fuite ? Avec ça ton business marchera dix fois mieux mais en échange je veux la petite beauté là.
Je lui montre à travers la vitrine comme un enfant qui montre à ses parents quel bonbon il veut.
Non je ne suis pas comme... ! Hum .. Lances moi les clés !
Et qui me dit que tu ne me tueras pas après ? Pour en finir avec les témoins ?
Il doute c'est bon signe par contre ce qui est mauvais signe c'est que le grand gusse, et bah je le vois plus. Ca c'est pas bon du tout, il faut que je file maintenant, tout de suite.
Tu veux les clés ? Elles sont dans ma veste de costard, tiens attrapes !
Il est désorienté c'est l'idéal pour gagner quelque secondes. J'enleve ma veste et je lui lance en l'air de manière à ce qu'il ne voit plus ma silhouette. En une demi-seconde, je dérobe ma bien-aimée et je sort par la porte en commençant à courir dans l'allée commerçante. J'ai bien dis je commence car à peine je m'échauffe pour faire un sprint que le gaillard de la marine est devant moi. En plus je ne vois même plus le soleil.
Bonjour monsieur. Puis-je faire une fouille intégrale ?
Oh le fourbe il attend que je sorte pour pouvoir m'interpeller. Il faut que je me magne avant que l'ex-futur employeur se montre. Je peux pas vraiment lui répondre alors je le regarde dans les yeux, je le fixe, il me fixe. Il n'y a plus aucun bruits dans les environs, un vrai style far-west, un duel entre deux rivaux. Haha j'adore cette ambiance mais normalement il y a une touffe de paille qui roule le long de l'allée... J'ai parler trop vite c'est pas une boule de paille mais une touffe de cheveux qui roule progressivement sur ma chemise. Je la lorgne puis je toise le grand marin qui a un regard encore plus noir. Et comme si je dégainais un revolver à six coups j'attrape un cheveu et je le lui montre.
C'est à toi ça ?
J'explose de rire avant de me prendre un coup de genou dans les côtes, je l'ai bien chercher mais il ne me fouillera pas. J'regarde alors aux alentours : Magasin, magasin, magasin, maison, magasin... Ah si une ruelle !
Allez-y monsieur, fouillez-moi !
Au moment où il s'abaisse pour regarder s'il y a quelque chose de suspect dans mon pantalon à part mon ana.. bref je le pousse par terre et je prends mes jambes à mon cou vers la ruelle. Au moment de tourner j'suis déjà au sol, j'comprends pas bien là ah si j'commence à avoir une douleur à l'épaule, il m'a tirer dessus l'enfoiré ! J'ai de l'avance il faut pas que je m'attarde ici.
Sale chauve !
Je continue à gambader comme je le peux à travers les ruelles avec bien-sûr ma nouvelle petite amie. C'est le parcours du combattant, il faut se baisser, sauter et dérober. Le haut gradé de la marine me rattrape de plus en plus, c'est qu'il est rapide cet enfoiré. Du coup j'mets le turbo mais j'ai pas vraiment l'impression d'avancer alors je regarde vers le bas et il s'avère que mes pieds ne touchent plus le sol. J'sens comme une petite gène au niveau de mon col de chemise alors je remue ma tête un petit coup mais rien y fait. Enfin, je tourne ma tête pour voir la gueule du foutu marine. Je lui mets un coup de talon dans les côtes pour qu'il me lâche et dieu seul sait comme les chaussures de ville font un mal de chien. Il me lâche et je file à toute allure. Je regarde par moments derrière moi, c'est vraiment un rapide le gars. J'pense en avoir encore pour longtemps quand soudain j'entends un grand BONG derrière moi, je me retourne et je vois le haut-gradé allongé sur sol, inconscient. Haha ! C'est un jeune qui a ouvert ses volets, moi j'ai réussi à passer en dessous mais pas lui.
Peut-être que tu serais passé si t'aurais raser les cheveux au lieu d'attendre que ça tombe !
Je rigole si fort que le jeune qui ouvre ses volets me regarde avec stupéfaction.
J'suis chauve et alors ? T'as un blem' ?
Je reprends ma course tout en caressant d'une main ma plaie et de l'autre ma paie. J'ai eu vraiment chaud sur ce coup là mais maintenant on va pouvoir envisager quelque chose entre toi et moi, chérie.
_ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _________
Informations IRL
[list]Prénom :
Age : 19
Aime : Sport, sortir.
N'aime pas : J'aurais pu dire mon taff mais j'en ai plus
Personnage préféré de One Piece : Chopper
Caractère : (définissez vous en quelques mots) connard et fêtard :king:
Fais du RP depuis : 3-4 mois
Disponibilité : (en jours par semaine, c'est bien sur, approximatif) 5/7
Comment avez vous connu le forum ? Moi-même
Dernière édition par Justino Bege le Jeu 6 Sep 2012 - 17:58, édité 12 fois