Jackson Norbert Harvey
Pseudonyme : Jack
Age: 30 ans
Sexe : I am a guy guys, nothing else.
Race : Humain
Rang : ...
Métier : ...
Groupe : Marine
But : C'est avant tout une motivation, il n'aspire non pas à un but ultime, sa vie, toutefois, se résume à une chose, il s'agit de l'honneur.
Fruit du démon ou Aptitude pour la suite : J'aimerais bien lui faire avaler le FDD du léopard
Équipements : Il possède un sabre que son grand-père lui a légué, celui-ci étant néanmoins tout-à-fait banal et en guise de protection, il a une amure de cuire, des brassards et des jambières de cuir.
Codes du règlement (2) :
Parrain :
Ce compte est-il un DC ? : Bah NON!
Physique« 1... 2… 3… 4… 5... 20… 30… 40… 50, comptait-il alors qu’il faisait ses push ups avec une charge de 50 kg sur son dos »
Torse nu ne portant qu’un pantalon, on pouvait voir ses muscles se contractés. Tous les matins il se levait vers 6h pour s’entrainé, c’était sa vieille routine, celle que son grand-père lui avait imposé il y à de cela des d’années auparavant. C’est grâce à cette même routine et cela jumelé à des années de dur labeur dans les champs qu’il avait pu développer cette musculature impressionnante. Le visage serein, il se donnait corps et âme. Un quotidien nécessaire dirait-on. Les push ups terminer, c’était la fin de son entrainement, il se releva, il était grand oui, car du haut de son 1m85 sa stature était imposante. Était-ce un colosse, non loin de là, seulement il se démarquait. Ses longs cheveux noir plein de sueur tombaient directement devant ses yeux, des yeux brun rien de plus banal, lui obstruant au passage la vue. Il les replaça d’un mouvement de tête, achevant de les coiffer en plaçant les mèches rebelles à l’aide de ses mains derrière ses oreilles, comme il l’avait tant de fois fait. Se dirigeant vers le dortoir, il croisa en chemin un miroir et son regard s’y arrêta. Pensif, son visage se contracta légèrement, signe de sa concentration, c’était une moue qui s’apparentait à de la frustration d’ailleurs quiconque ne l’aurais pas connu l’aurait cru en colère. Néanmoins, il ne faisait que fixer sa joue gauche et tout en la tâtant de se main, il se rappelait le jour où il avait dû aider sa mère parce qu'un cheval se montrait récalcitrant. C’était un coup de sabot qui était venu lui fendre la mâchoire, laissant comme marque cette balafre. Préférant continuer, il ravala sa salive et reprit son chemin, car rien ne sert de remuer les fantômes du passé.
C’était un jour comme les autres, c’était un autre jour où lui et l’équipage à laquelle il avait été affecté partait. Une semaine en mer, puis retour au QG, affecté à la surveillance des voies marines, rien de bien complexe, mais tout-de-même cela nécessitait de la préparation. Marchant ainsi d’une démarche fière il se dirigeait vers sa chambre. Croisant plusieurs de ses coéquipiers, il les salua au passage. Son chemin fait, il se prépara rapidement, enfilant ses habits de marins et se parant de ses jambières, de son armure de cuir et de ses brassards. Attrapant la veste de son père sur laquelle était brodé le symbole de son ancienne division, il s’armait aussi du sabre de son grand-père, deux choses auxquels il tenait. Le dos droit, la tête haute, la tête fière, motivé. Jackson était prêt !PsycologieJe me rappelle aussi de cet autre jour où j’étais assit les jambes croisées et que, du haut d’une falaise, je fixais l’océan, je la voyais se profiler à l’horizon. Sans trop comprendre pourquoi, elle m’avait toujours attiré. Je savais que par de là les mers un destin m’attendait. Je ne m’y étais, toutefois, jamais attardé me contentant plutôt de penser à ma famille et aux leçons dont le vieux croutons me faisait par. Parfois, bien sur, je pensais à papa, aux aventures qu’il devait vivre et aux gens que de par sa position il défendait. Néanmoins, l’essentiel de mes idées ne dépassaient jamais le présent. Mais cette fois-ci en était une des rares où je pensais au futur, à ce que j’étais et ce que je voulais devenir. Alors, j’eu cette idée…
Qu’est-ce qui définit l’homme me dis-je. Qu’est-ce qui fait que l’un est bon et l’autre mauvais ? Qu’est-ce que la motivation ? Et l’ambition ? La volonté elle ? Quel genre d’homme souhaiterai-je être ? À suivre le courant de mes idées qui lui venait et revenait au rythme des vagues qui s’écrasaient contre la paroi rocheuse quelques cent mètres plus bas, je comprenais qui j’étais…
Volonté, Honneur, Égalité, Justice, Liberté, Courage.
Six mots simples qui représentaient déjà toute ma vie. C’est ce jour-là, je vous dis que je compris qui j’étais. Ces six mots sont moi. Ils font de moi un homme juste, mais avant tout un homme t’intégrité. Je vis pour qui je suis. Je vis parce que j’ai la volonté de me battre pour les valeurs qui m’animent. Je vis pour l’honneur et pour le respect, pour défendre les miens et protéger ceux qui en ont besoin, parce qu’un homme qui a des bras et qui ne fait rien n’en vaut pas plus qu’un autre, je vis parce que je le dois. Je vis parce qu’en ce bas monde on doit défendre l’égalité de chacun, ce qui ma permit de grandir doit être offert à tous et chacun. Je vis pour la justice, pour qu’elle soit équitable et qu’elle défende les libertés de chaque individu. Mais avant tout, je vis parce que je ne pas peur, je vis parce que j’ai la volonté, l’honneur et le courage de mes convictions.Biographie
«S’il n’y a pas de risque, il n’y a pas réussite n’y d’honneur et s’il n’y a pas d’honneur il n’y a pas d’homme. Les courageux, ceux qui sont prêt à mettre leur corps en jeu et de tout risquer pour leur passion, ceux-là, ce sont des hommes. Il n'y a rien de magique, aucun raccourci ni secret. Pour réussir il faut se dédier. Pour réussir on doit suer, s’entrainer jour et nuit, être prêt à ne plus dormir. N’avoir aucune hésitation ! Pour réussir on doit vivre pour notre but, on doit avoir la tête haute. Jack ! Tu seras le seul acteur de ta réussite ! Tu es le maître de toi-même ! Ce sera toi et toi seul qui fixeras les limites, personne d’autre. Si tu réussis ce sera grâce à toi, mais si cela n’arrive pas ce sera ta faute.»
De ces mots-là, je m’en souviendrais toujours. Voilà ce que mon grand-père m'a dit le jour où il est mort. Je devais avoir environ 10 ans. Déjà 20 ans me direz-vous que ce jour est passé. Peut-être bien, seulement je m’en souviens comme si c’était hier, sa voix qui manquait de puissance essouffler par le temps, qui sonnait creuse, mais qui m’inspirait un respect inimaginable et qui, vestige d’une autre époque, se montrait pleine de fierté.« Pépé, dis-je le sourire aux lèvres tout en caressant le sol là où nous avions enterré le vieux, c’est toi qui m’as réussit. »
Et je le pensais sincèrement, car c’était de lui que me venait toute ma volonté et mon dévouement à la cause. Toujours m’encourageait-il, m’imposant l’ardeur, se donnant lui-même comme exemple, alors que vieux de 75 ans et défraichit par le temps il m’imposait un tempo toujours plus haut lorsque l’on s’entrainait. Je me rappelai du jour où je lui avais dit que je souhaitais m’inscrire au Dojo du village. Il m'avait souris puis m'avait demandé pourquoi, je lui ai répondu que c’était pour défendre ceux que j’aime comme le faisait papa. Je ne sais pas si c'est parce que je lui ai donné la réponse qu'il souhaitait entendre, mais le lendemain, il m’amenait dans la cour arrière et me montrait les bases du combat au sabre. M’expliquant comment m’entrainé, me donnant pratiquement des devoirs.J’étais tout petit et il m’enseignait déjà la voie de l’honneur. Grâce à lui j’ai compris la vie. Car, chaque goute de sueur qui perlait sur mon front me rapprochait de moi-même. Je vis mon âme et senti mon corps. Plus jeune je ne le comprenais pas encore, mais il me préparait, il voulait que je sois fort et juste, il voulait que mon bras défende ceux qui en avaient besoin. Je ne saurais dire s’il me destinait à de grandes choses, mais ce jour je su que j’en étais capable. Là, je versais une larme en son honneur, elle tomba sur sa tombe.«« Vois, pépé, le sabre que tu m’as légué n’a servi qu’à protéger les plus faibles, chuchetai-je. »
Je continuai, pensant à la petite famille«Pépé, papa est mort lui aussi, tué d’une balle par un pirate, il faisait son devoir, c’était un marine… Il faisait son devoir oui ! Je m’arrêtais un instant, ravalant ma salive !« Maman et Anne vivent toujours sur Kage Berg elles font leur deuil, mais je sais, au fond de moi, qu’elles vont s’en remettre, un autre pause, cette fois je pensais,« Moi, Pépé, c’est à mon tour de jouer le rôle de chef de famille, demain je m’engage dans la Marine. »
C’était une promesse. Tout petit je lui avais dit que mes bras serviraient à des causes justes, je réitérais mon pacte. Je le faisais pour ceux que j’aimais, pour ceux que j’allais aimer et pour ceux que j’avais aimé. Jusque là, je m'étais entrainé et avait aidé ma mère à s'occuper de la terre, nous étions des fermiers, mais depuis ce jour je vis de mon courage et de l'honneur, je suis un marine, je fais régner la justice.Test RPMais quel drôle de scène, il y avait là Jackson assit sur un tabouret, oui celui d’un bar. Mais que faisait-il là me direz-vous ? Il ne boit pas pourtant ! Ah, je vous répondrai qu’il y a situation à tout. Jack ne se tenait pas la par hasard, non bien sur, car il attendait quelqu’un. Un ami qu’il avait rencontré chez les marines. Peut-être plutôt était-ce une connaissance plutôt ? Toujours est-il que notre grand gaillard le tenait en haute estime. Il le savait doté d’un sens de l’honneur, le savait intègre et empreint d’un désir de justice, tout comme lui-même l’était. C’est d’ailleurs pourquoi il s’était déplacé, préférant prendre congé de ronde plutôt que laisser une âme juste affronter les périls d’une solitude dévastatrice. Car l’homme qu’il attendait venait de vivre un tragique incident, sa femme était morte. Jackson s’était informé, elle avait été une victime, disait-on, lors d’un assaut visant une cellule révolutionnaire sur l’ile de Las Camp. Triste histoire, la guerre laisse toujours un sillon de malheureux derrière elle se dit-il. Toujours est-il que tout homme digne de ce nom prendrait cela comme un affront à son honneur. En cela, Jack comprenait tout-à-fait la réaction de son ami, il se devait, toutefois, de le ramener sur le droit chemin. Homme de principe, il allait lui rappeler pourquoi est-ce que cette guerre existait. Il voulait lui faire comprendre que la faute ne revenait pas au puissant de ce monde, mais bien à lui-même, parce qu’un homme se doit de s’assurer que sa famille réside en un lieu sécuritaire, parce qu’un homme est responsable de ses proches, et que s’ils meurent la faute lui revient.
Ainsi, Jackson buvait une bière de piètre qualité, il manquait de moyen notre fier gaillard, car il envoyait la moitié de sa solde à sa mère et sa sœur, il préférait qu’elles vivent bien plutôt que lui mieux. C’est d’ailleurs à ce moment que son ami le rejoignit. Venant s’asseoir sur un tabouret à sa gauche. Il laissa tomber des pièces sur le bar sans rien dire, mais une femme à l’air fatigué vint tout-de-même lui apporté une pinte d’alcool. Il devait venir à tous les soirs ces temps-ci. Il sentait l’ordure, à vrai dire il empestait, ses ongles étaient crasses, ses vêtements aussi, sa tignasse grasse et dépeignée. On aurait pu le croire sans-abri et au fond, sans-doute l’était-il devenu. Son air était morose et ses yeux rempli de haine… Ou plutôt de chagrin. C’était un homme brisé qui se tenait à coté de Jackson. Cela, il le savait, il sentait, toutefois, que dans les abysses de son âme ravagée se cachait un homme pur, plein d’orgueil et fier. Le défi était simplement de le trouver dans tout ce malheur. De rouvrir les yeux de cet homme perdu, afin qu’il se retrouve. Choisissant ses mots, il lui tapa l’épaule d’un geste amical, le sentant fébrile il attendit un instant.
« Mon gars, qu’est-ce qui t’es arrivé ?, dit-il calmement d’un ton qui imposait, toutefois, le respect. »
Tant de fois, avait-on vanté à Jackson l’honneur et la volonté de cet homme. Il ne frappait jamais le premier et encore moins de dos disait-on. Un homme de principe et intègre. Il le lui avait même prouvé lors d’une mission où ils avaient travaillé de pair. L’homme défait noyait son chagrin dans son verre. Triste. Le terminant d’une traite, il laissa tomber la pinte sur le bar et se levant précipitamment, il attrapa violemment jack par le collet, ce dernier ne bougeant pas d’un centimètre et levant le ton comprit alors tout le désarroi que cet homme vivait. La vie la changeait.
« Ouais ! La vie frappe fort hein ? Tu crois peut-être que tu vas pouvoir frapper plus fort qu’elle, mais tu te trompe. Il s’agit de savoir à qu’elle point elle peut te frapper avant que tu flanche. Ça, c’est la vraie question, arrêtant un instant, prenant le temps de se dégagé, y à un moment où est-ce que tu devras prendre tes responsabilités. James ! Tu es le seul responsable de ce qui es arrivé à Betty… Pff Las Camp, t’as manqué de jugement. Maintenant assume toi, les marines ne sont pas responsable, c’est cette île qui est dangereuse. Ne jette pas la faute sur quelqu’un d’autre, regarde toi plutôt dans un miroir, une autre pause, celle-ci plus longue, allez, moi j'y vais. »
Tournant le dos à son ami, il quittait d’un pas décidé cette taverne miteuse. Demain, c’était jour de mer, il devait être reposé, le devoir d’un homme passe avant tout.
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Prénom : Fred
Age : 17 ans
Aime : FootUS, peinturer, etc..
N'aime pas : Hum.....
Personnage préféré de One Piece : Comment pourrais-je en avoir un, ils sont tous incroyables !
Caractère : Beau !
Fais du RP depuis : 5 ans entrecouper d'énorme pause.
Disponibilité : Bah les jours que je serais présent!
Comment avez vous connu le forum ? Fait longtemps donc j'sais plus trop
Dernière édition par Jackson N. Harvey le Dim 9 Sep 2012 - 16:31, édité 75 fois