>> Nom & Prénom: Cassiopeai Shark
Pseudonyme : Cassi
Age: 28ans
Sexe : | Femme |
Race : Femme
Rang : ---
Métier : Épéiste et Navigatrice
Groupe : Marines!
Déjà un équipage : non
But : Faire règner l'ordre et établir une paix durable... par la force.
Fruit du démon ou Aptitude pour la suite : Je voudrais obtenir le fruit puissant du Cobra Royal. Je peux le réserver?
Équipements : Un peu de poison. Une armure de cuir rigide. Une épée style ''escrime'' ainsi qu'une dague
Codes du règlement (2) :
Ce compte est-il un DC ? : non
>> Physique
>> Psychologie
« L'épée, c'est avant tout l'arme de l'attente, de l'observation, de la préparation : et quand la faille adverse est enfin découverte et percée à jour, il s'agit de s'y engouffrer avec force, rapidité et finesse. »
Cette phrase était vu par des dizaines d’épéistes à chaque jours dans le dojo dans lequel Cassiopeai s’entraînait sur Jaya. Cassi avait développé sa personnalité autour du maniement de l’épée. Elle est une femme patiente, qui ne stress jamais et qui ne fait rien d’irréfléchi. Elle se bat uniquement lorsqu’elle à l’avantage, mais lorsqu’elle commence : rien ne peut plus l’arrêter, si elle a trouvé une faille elle s’y engouffre pour ne sortir qu’après avoir causer des dégâts irréparables. Elle est toujours préparée à toutes éventualités, chaque seconde pendant laquelle elle n’agit pas est utilisée pour préparer ce qu’elle va faire quelques temps plus tard.
Cassiopeai parle avec classe et politesse, utilise les termes « politicly correct » et conserve toujours un ton ferme et direct. Elle n’est pas du genre à s’attarder aux pensées futiles et artistiques, elle est plutôt terre à terre et extrêmement modéré. Elle ne boit jamais, si ce n’est qu’une coupe de vin le soir lors d’un souper de type « Vin et Fromage ».
Les plus grandes qualités de Cassiopeai sont sa patience et son opportunisme. Elle attendra l’erreur de son adversaire pour lui porter le coup final qui le mettra à terre. Elle vit très loin de ses émotions, ce qui peut être un défaut vu qu’elle n’appliquera presque jamais de jugement personnel aux criminels. Par exemple : Lorsque Luffy et son équipage étaient à terre, gisants sur le sol à Arabasta après avoir sauver son peuple, Cassiopeai n’aurait pas hésité une seconde à les attachés pour les rapportés au quartier général de la marine. Elle est marine, c’est cela son travail et elle le fait. Pour elle les lois ne sont pas quelque chose d’optionnel que l’on suit lorsque cela se porte. Il s’agit d’autant de lignes de conduites et de piliers que chaque citoyen devrait suivre sans déroger. Tu ne suis pas les lois, tu es l’ennemi de Cassiopeai, c’est aussi simple que ça. Cela me fait penser à vous parler de sa vision de la justice. Pour elle, l’ordre social doit, par-dessus tout, prôner. La marine est simplement le bras qui fait que l’ordre est maintenu, par conséquent elle est aussi la justice qui punit, sanctionne et exécute. C’est ainsi que Cassiopeai se considère : « Je suis la main de fer de la justice ».
Le métier pratiquer par Cassiopeai dans la marine est celui de navigatrice. Son tempérament prévoyant et calculateur permet d’être doué dans ce domaine. Elle se sent elle même lorsqu’elle à un sabre en main droite et un Log Pose en main gauche!
>> Biographie
Voilà ma bio! J'ai fais un zoom énorme sur 2 évènements, les plus marquants de la vie de mon personnage en donnant des détails sommaire sur le reste. J'ai éviter les détails inutile comme l'enfance. Dans un schéma narratif on dirait que j'ai seulement fait un très long "élément déclenceur". Merci!
‘’EN GARDE!’’
Les deux adversaires se faisait face, chacun analysant la posture de l’autre,
tentant de découvrir une faiblesse. Puis, l’autre fonce et tente une touche sur
la poitrine de Cassiopeai. Pas de chance, elle avait prévu ce coup, d’un petit
mouvement elle dévie l’épée de son adversaire qui passe a quelques centimètres
de son bras et elle touche avec le bout de son arme le plastron protecteur de son père. Une touche!
Les deux adversaires se font face de nouveau, cette fois
c’est Cassiopeai qui passe à l’offensive, elle effectue une feinte et tente de
toucher sur la cuisse avec le tranchant de la lame. Le coup était bien calculé,
mais pas de chances la riposte de son père se fait rapide et puissante :
celui bloque le coup et ramène l’épée de sa fille jusqu’à sa poitrine.
Cassiopeai est complètement bloqué, mais théoriquement il n’y a aucune touche.
Sa main gauche saisit alors le poignard qui se trouve à sa ceinture et, d’un
mouvement rapide, le met à la gorge de son paternel.
"Les pirates de cette île on une bien mauvaise influence sur toi,
Cassio ‘’, dit son père d’un ton qui évoquait plus de résignation
qu’autres choses.
‘’J’ai suivis vos conseils, père, et j’ai plongé dans votre faiblesse’’,
répondit la jeune fille, visiblement très amuser.
Cette scène était très normale pour la famille Shark, habitant de Jaya, l’île
des pirates. Le père de Cassiopeai tenait un Dojo dans lequel nombreux épéiste
venait s’entraîner lorsqu’ils passaient à Jaya. Pego Shark était reconnu comme
un des sabreurs les plus habiles de l’île et il n’était pas rare qu’il tenait
en respect des pirates d’une puissance certaine. De pars un entraînement constant et intense, Cassiopeai avait développer une personalité assez particulière pour son âge. Elle comprenait déjà le mal que les pirates faisait auteur d'eux et c'était déjà mise en tête de les arrêter. Elle avait arrêter de compter combien de fois elle avait vu des femmes se faire violenter, des pauvres dépouillés et des riches assassinés simplement parceque les pirates avaient le désir que leurs noms soient connus! Jeune femme qu'elle était, elle ne pouvait rien faire contre ces criminels, mais elle s'était promit d'un jour y remédier
Tous les jours depuis ses 8 ans Cassiopeai suivait les cours de son père dans
son Dojo pour y apprendre « La voie de l’épée ». La jeune fille se
disait que si elle serait assez forte elle pourrait s’arranger pour faire que
Jaya redevienne une ville acceptable! Sa détermination était telle qu'elle se mit à ne faire qu'un avec son arme. Ton comme elle, elle était droite, touchait toujours sa cible et ne faillait jamais. Même dans une position difficile elle revenait, ne lâchait pas prise et touchait son adversaire. Cassiopeai était plus qu'une épéiste: elle était l'épée elle-même. Tout comme son arme elle était froide et allait directement au but. Tranchante dans ses mots comme la lame l'est dans la chair, elle ne se laissait pas dominé par les hommes et femmes qui se prenaient supérieurs à elle sans raison. "Sous-estimé moi si vous voulez, vous allez simplement mourir plus vite", voilà ce qu'elle se disait lorsque quelqu'un la regardait de haut. Ce matin était celui de son 18ième
anniversaire, cela faisait maintenant 10 ans qu’elle s’entraînait avec son père
et, pour la première fois, elle venait de faire 2 touches de suite.
‘’Tu deviens forte, Cassiopeai, mais je ne désire pas que tu vive la même vie que moi ici. Tu dois trouver ta voie’’. Lui dit son père en homme sage.
Sans répondre, la jeune Shark salua son père et prit chemin vers le marché de
la ville, là ou elle achèterait la nourriture pour les repas de la journée.
Elle venait d’entrée que son attention fut attirée par de grands cris qui
s’élevait du port. Elle courut pour voir ce qui se tramait et aperçut avec
étonnement un bateau de la marine! Elle n’en croyait pas ses yeux! Un bateau
marine, symbole de justice et de force, ici à Jaya? La terre des pirates?
C’était impensable! Mais les cris ne venaient pas du bateau, en effet, cela ne
prit que quelques minutes avant que tous les pirates de la ville est été au
courant qu’un bateau des gardiens de la paix et de l’ordre se soit amarré au
quai. Il y avait un attroupement d’une bonne centaine de pirate qui formait un
demi-cercle devant les marines. Ils s’échangeaient des paroles qui étaient les
suivantes :
« Foutus marines! Dégagez d’là sinon c’est moi qui m’en occupe! » Dit
un pirate particulièrement sale et empestant le rhum a 10 kilomètres à la
ronde. Sa menace fut applaudie par des rires et cris de la part des autres
pirates. Celui qui semblait être le capitaine du bateau nouvellement arrivé
ignora le commentaire et déclara d’une voix forte et autoritaire :
« Nous, marines, savons que ce cache ici le révolutionnaire Emile K. Zola
et nous sommes venu le capturer, laisser nous passer! ». Les paroles du
marine s’était accompagner d’un mouvement dans lequel il montrait une prime sur
laquelle était marquer « 75 millions de Berrys » avec la photo du
fameux Emile K. Zola. Son intervention fut suivit d’un silence de plusieurs
secondes avant que tous se mettent à rire très fort. Au rire succéda le bruit
que font les sabres lorsqu’ils sont dégainer et celui que font les balles
lorsqu’elles sont tirés. Les pirates s’attaquaient aux marines. La bataille fut
féroce et dura une dizaine de minute, à la fin il ne restait plus que le
capitaine du vaisseau debout avec un pistolet dans une main et un long katanas
dans l’autre, il faisait face à cinq pirates crasseux et semblait en position
de faiblesse.
Dans l’esprit de Cassiopeai, tous ne passe qu’en une seconde. Elle se
remémorait son père qui lui disait « Tu dois trouver ta voie » et,
comme jamais, elle avait l’impression qu’elle avait quelque chose à faire. Ces
marines n’avaient pas chercher la violence, ils étaient simplement venu
récupérer un criminel notoire qui mettaient en péril la vie du peuple! Alors
que le pirate qui empestait l’alcool allait porter le coup fatal au capitaine,
Cassiopeai se mit entre les deux combattant et bloqua le coup d’une habile
parade et plongea son regard dans celui du pirate puant. Ce dernier fit un
sourire carnassier avant de lancer les paroles suivantes :
« Hey… mais tu es la petite Shark!? Allez petite fait pas de choses
stupides et j’serais pas trop vilain avec toi. Dégage de d’là! »
Cassiopeai ne bronchait pas, le pervers puant qui était devant elle, elle le
connaissait par réputation. C’était un pirate primé à 15 millions de Berrys qui
flambait depuis 2 mois en alcool le butin de son équipage. Un stupide fouteur
de trouble, rien de plus. Alors qu’elle allait répliquer qu’elle ne bougerait
pas ce fut une voix d’homme qui l’arrêta :
« Bouge fillette, tu as déjà fait beaucoup plus que tu ne le
devais ».
C’était le capitaine de la marine qui venait de parler. Un instant après ces
mots, il était rendu derrière le pirate et le pourfendait de son sabre alors
qu’il terrassait les quatre autres d’autant de balles bien visés. En moins de
cinq secondes, tous était à terre, ne restait plus que Cassiopeai et, bien sûr, le capitaine de la marine.
Pour la jeune fille, s’était l’incompréhension. Il avait l’air d’être en
position de faiblesse, mais voilà qu’il terrassait ses cinq adversaires sans
difficulté! Son regard incrédule en disant long sur ce qu’elle pensait et la
marine prit la peine de l’éclairer.
« J’aurais pu gagner n’importe quand, mais je voulais leurs donner une
chance de courir, pour tenter de faire couler moins de sang. Mais tu as mis ta vie en danger, me forçant à agir. Pourquoi tu as voulu me protéger? »
« Parce que… Parce que… Je voulais… Je voulais protéger
la Justice! ». La jeune fille avait mis dans ses mots une sincérité totale
et un dévouement qui étonna le capitaine. Une petite fille, une adolescente
prête à sacrifier sa vie pour… la justice?
Cette rencontre fut un point tournant dans la vie de Cassiopeai, le soir même
le capitaine avait capturer le révolutionnaire et reprenait sa route vers le
quartier général de la marine. S’étant embarquer clandestinement sur le bateau,
Cassiopeai était en route vers son destin, ou elle pourrait devenir cette
justice qu’elle avait tenter de protéger.
Une fois arriver au QG le reste se fit de lui même, elle alla directement
s’enrôler et commença à travailler plus fort que jamais pour devenir une
épéiste toujours plus habile. Elle apprit là à lire les cartes maritimes et un vieil
explorateur lui enseigna les rudiments de l’art de la navigation. Tous cela
durant 10 ans, 10 ans à apprendre et à s’entraîner. Maintenant elle est prête.
pour montrer au monde de la piraterie qui elle est vraiment :
« Cassiopeai Shark, La Main de Fer de la Justice »
Paroles Cassiopeai
Paroles Père de Cassioepeai
Paroles Pirate
Paroles Capitaine Marine
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>> Test RP
Test RP
[center]Un lion mort ne vaut pas un moucheron qui respire - Voltaire
Il est enfin venu le grand jour. Oui, le temps de prouvé ce qu'elle valais. Elle sentait s'enlever de ses épaules un poids lourds. Elle croyait enfin avoir compris ce dont elle désirait. Le bateau qui allait mener Cassiopeai et son rival du jour à l'île ou, disait-on, la vermine était trop nombreuse arrivait la nuit même aux alentours de minuit. Cassiopeai passait les dernières heures à bord de la galère marine dans sa cabine. Certains pourraient voir là une marque de stress, mais ce n'était pas du tout le cas. Elle préparait son plan dans les moindres détails. Déjà, elle avait fait le tour de ses supérieurs pour recueillir un maximum d'information sur le lieu ou est-ce qu'elle allait débarquer. Elle avait même passé une longue soirée dans une taverne avec de vieux voyageurs plus ou moins louches pour avoir des informations sur les coins moins bien fréquentés de la ville.
Les infos, elles les avaient, mais maintenant elle devait "toc, toc" se concentré sur ce qu'elle allait devoir faire. Elle commençait à affuter sa dague "toc, toc" et son épée, toute à ses pensées que nul ne pouvait "TOC, TOC"... Quelqu'un cognait! Cassiopeai Shark sortit de ses idées alors qu'elle entendit (finalement) les coups qui étaient donnés sur la porte de sa cabine.
Sans hâte particulière, elle alla ouvrir et découvrit sans grande stupéfaction que c'était là le sous-officier de la marine qui voulait la même promotion qu'elle qui était devant sa personne. Cet homme était grand, les cheveux rasés et de forte musculature. Il était toujours munit de son pistolet fétiche et d'un sabre. Du haut de ses 1m85 il était imposant avec sa cicatrice sous l'oeil gauche. Automatiquement, il imposait le respect. D'un seul coup-d'oeil il donnait l'impression d'avoir vaincu des ennemis puissant. Cet homme transpirait la force, la confiance et la victoire. Il voulait gagné et allait gagné... Ça se voyait... selon lui! Si, elle, elle était le serpent qui inspire finesse, dextérité et clairvoyance, lui il était le lion qui donnait impression de force, d'endurance et de combativité.
L'homme à la cicatrice, qu'on connait maintenant sur le nom de Darius, porta un regard à la splendide créature qui se trouvait devant lui. Elle était belle avec son épée à la taille, son vêtement noir et chaud pour affronté la nuit froide et...
"Sale brute...". Pensa t'elle à cette instant, mais elle avait plus important à faire pour le moment. Elle étudia encore quelques minutes la carte, pris son sac et un millier de Berry qu'elle mit dans une bourse à sa ceinture et sortit sur le pont, désirant humer l'air avant son expédition nocturne.
À peine le bateau était-il accosté qu'elle fit signe au capitaine qu'elle sortait en lui soufflant que si elle n'était pas là à l'aube c'était qu'un malheur lui était arrivé. L'officier tenta bien de la retenir en lui disant à quel point s'était dangereux pour une belle jeune femme comme elle, mais son regard vert transperçant comme sa lame fit comprendre à son supérieur qu'elle savait déjà tout cas et celui-ci lui fit signe qu'elle pouvait y aller, tout en lui réclamant une extrême prudence.
Pour commencer, Cassiopeai déambula durant 1 heures dans les rues et ruelles de la ville et identifia certains endroits. Des bars, des restaurants et autres places clés du genre. Elle trouva finalement ce qu'elle cherchait: Une ruelle large de 2mètres qui faisait un coude pour finir en un cul-de-sac. Ça, toutes les villes en avait au moins une, il fallait seulement la trouvé. Ensuite elle passa 4 longues heures dans un bar miteux dans un coins reculé de la ville ou elle eut des discutions que je vous rapporterais plus tard. Elle rentra au bateau de la marine quelques heures avant le levé du soleil et le début de la chasse. Elle s’endormit avec un sourire de satisfactions aux lèvres. La raison: Elle allait gagné, son poison avait déjà commencer à faire effet, dans moins de 12 heures elle aura cette promotion.
Le soleil se levait et déjà le bateau était en effervescence. Les marines étaient séparé en deux groupe égaux. L'un allait servir les ordres de Cassiopeai, l'autre allait répondre de ceux de Darius. Dans un habit de combat particulièrement impressionnant, ce dernier scandait déjà des ordres clairs à ses soldats. Moins d'un quart d'heure plus tard, il était sorti du port et commençait sa chasse. La jeune femme, avait devant elle les forces qui allaient être témoins de sont triomphe. Oui, elle était confiante, mais n'en conservait pas moins un sang-froid qui était en voie de devenir légendaire. Ses mots, dits avec une voix assurée stupéfièrent les marines dès qu'ils furent prononcés:
Après quelques instants d'hésitations ils finirent pas l'écouter, et commencèrent à se préparer. Cela prit aux plus lents 30 longues minutes avant d'être prêt, il restait donc 4 heures à attendre. Un des marines eut la présence d'esprit de posé la question qui brûlait toutes les lèvres. Cette question était bien sûr "pourquoi?". Avec un sourire elle se mit à leurs expliquer son plan et, bien sûr, le rôle primordial que tous ils allaient y jouer. Plus aucun ne remettait en doute leurs chefs maintenant: elle jouait le tout pour le tout, c'était une marque de cran et c'était là une qualité que beaucoup estimait parmi leurs supérieurs. 11 heure sonnait et la troupe sortit du bateau sans nul bruit, au premier carrefour, sans qu'aucun mots ne fut échanger, Cassiopeai tourna à droite et ses soldats, à gauche.
Son son côté elle alla au milieu d'une place circulaire, qui semblait à un marché secondaire. Heureusement, aujourd'hui n'était pas jour du marché et les passants se faisait moins nombreux. Cassiopeai patienta donc là jusqu'à midi moins quart et vit finalement l'homme qu'elle attendait arrivé. Il n'était pas de stature impressionnante et était même d'apparence banal. Le genre d'homme que vous avez l'impression de croiser cents fois durant la même journée. En gros, il était semblable aux autres et passait inaperçu. Un œil particulièrement attentif peut par contre remarqué que cinq gardes du corps le surveillait. Chacun se trouvait à 10 mètres de lui et étaient vêtu avec simplicité. Une fois arrivé au centre de la place, Cassiopeai, qui jusque là était rester en retrait alla le voir. Habituellement, les circonstances demandaient qu'elle porte son uniforme de la marine, mais c'est sous une cape verte foret ample que celui-ci se trouvait. D'un même gestes les deux adversaires dégainèrent leurs épées et c'est alors que lui revint en mémoire la discutions qu'elle avait eu la veille avec cet homme....
[b]
L'un des gardes du corps de l'homme annonça à forte voix qu'un duel était sur le point de commencé et qu'il fallait libéré le centre de la place, ce qui fut fait en une minute à peine. Les deux épéistes se faisait face. D'un côté, Cassiopeai Shark, sous-officier de la marine et, de l'autre, Reginald Wolf, premier sur la liste des révolutionnaires qu'elle devait capturé. Ce dernier était bien sûr venu avec ses meilleurs hommes, chacun d'eux figurait aussi sur la liste de Cassiopeai, son plan fonctionnait jusqu'à maintenant, mais la partie la plus difficile allait débuter... Le combat commençait.
Cassiopeai tenait sa position habituelle de défense et commençait à marcher en cercle, sa cible faisait de même tandis qu'il enlevait son manteau pour se saisir de ses deux longs sabres avec plus d'aisance. La danse continua ainsi quelques instant avant que l'homme ne la chargea. Premier choc. Cassiopeai bloqua les premiers coups avec vitesses, mais recula de quelques pas vu la force de son adversaire. Celui-ci donnait une force telle dans ses coups qu'elle avait de la misère à maintenir son épée bien droite. C'était maintenant à elle d'attaquer.
Première technique de combat, de quelques pas rapides elle s'approcha et fit une habile fente à son adversaire pour le frapper à la poitrine. Ce coup se faisait en allongeant son corps pour surprendre l'adversaire de la porté de l'épée. Avec de l'entrainement Cassiopeai avait joint à ce coup une vitesse très intéressant et elle toucha la poitrine de son adversaire. Cela lui fit une profonde entaille d’où coulait le sang, mais il n'en eut cure. Il fonça sur la jeune fille et lui asséna un, deux, cinq, dix coups de sabres qu'elles bloquait. C'est finalement en criant "Powerfull Slash!" qu'il donna un coup d'une puissance telle qu'il désarma Cassiopeai et mettait alors son autre sabre sous sa gorge.
Ses propos insinuait la plus grande perversité et Cassiopeai vit dans le regard de cet homme une volonté d'aller jusqu'au bout de ses paroles. Elle sortit donc sa bourse et la lança au pied du Révolutionnaire. Celui-ci ramassa le paquet, l'ouvrit et...
Alors qu'il levait son sabre pour accomplir le coup final, Cassiopeai dégaina à grande vitesse sa dague qui était à sa ceinture et entailla la cuisse de son adversaire. À ce coup, elle eut un sourire diabolique à peine perceptible, mais elle eut beaucoup de mal à le garder cacher lorsqu'elle vit une petite goute de liquide mauve s'écouler du bout de sa dague... du venin! Plus vite que l'éclair et comme pourvu d'une nouvelle force, qu'en fait, elle n'avait jamais perdu, Cassiopeai rangea son arme et parti en courant vers la rue qui se trouvait derrière elle. En chemin elle tenta de ramasser son sabre, mais un des gardes du corps de Réginald l'avait déjà récupérer et s'élançait à ses trousses. C'est avec une véritable peur dans les yeux qu'elle se mit à détaller le plus vite possible devant elle, poursuivit pas 7 hommes qui lui voulait la mort. Elle tournait à droite, puis à gauche, puis encore à droite, mais rien ne suffisait pour perdre ses poursuivants. Brusquement, elle tourna dans une petite rue entre deux maisons aux toits bas, les hommes la suivait toujours. La ruelle faisait un coude et après une dizaine de mètre elle se trouvait face à un mur de béton de 5 mètres de haut. Ses adversaires la rejoignait. Le boss, en dernier, arriva, tenant sa jambe qui le faisait souffrir. Il contemplait la jeune fille, seulement armée d'un poignard qui se tenait devant lui... Comme elle était désirable. Un sourire pervers se dessina sur ses lèvres au moment ou il dit ces paroles:
C'est du tac-au-tac qu'elle répondit, criant presque:
Ce geste fut accompagné d'un mouvement rapide dans lequel elle enlevait sa cape et découvrait son bel uniforme de sous-officier: Des pantalons de cuirs avec un gilet rigide sur lequel était gravé en lettre bleu "MARINE". À ce moment, sur le sommet des bâtiment des deux côtés de la rue, plusieurs marines pointait leurs armes sur le révolutionnaire et ses sbires. Une partie des valeureux soldats sautèrent d'en bas du toit pour bloquer la retraite des criminels, sans jamais cesser de les menacer de leurs armes. Remarquant le trouble dans lequel il était, Réginald tenta d'entraîner la salope qui l'avait berné dans sa mort. Il sauta sur Cassiopeai et tenta de lui assener un ultime coup. Les deux blessures de l’homme le ralentirent dans sa démarche et Cassiopeai évita la première lame et bloqua la deuxième avec sa dague, alors que la Révolutionnaire retentait son attaque il tomba à genoux et mit une main sur sa poitrine, en proie à une douleur immense.
Les sbires, voyant leurs chefs à terres et les nombreux canons dissuasif pointés sur eux se rendirent, les menottes leurs furent passés et tous regagnèrent le bateau. Rendu sur ce lieu, ils enchaînèrent solidement les prisonniers. Le chef se tordait toujours de douleur et Cassiopeai sortit de sa poche une éprouvette dans lequel tenait un liquide jaunâtre: l'antidote du venin. Elle le lança au prisonnier qui le but d'un trait et, quelques secondes plus tard, il semblait déjà aller mieux: il était sauver.
Le soir tombant, Darius revint, vingt-cinq hommes en piteux état le suivait: c'était ses prises. Sur le pont du navire, l'Officier demanda aux deux prétendant à la promotion de nommé leurs hauts-faits de la journée, les pertes humaines ainsi que leurs dépenses matérielle. Darius, dans son empressement machiste habituel dit d'une voix forte:
Cassiopeai, d'un ton étonnamment calme dit:
L'officier sourit sans répondre, dit de mettre tous les prisonniers aux fers dans les cales du bateau et de regagner le bateau: il avait bien hâte de faire son rapport à ses supérieurs.
Comment avez vous connu le forum ? Un ami (Fred) et topsiteComment décrire Cassiopeai Shark? Tout d’abord, commençons par le physique. Il faut mettre au clair une chose : c’est une femme qui a reçu un cadeau de la part de la nature. Vous l’avez deviné, c’est la beauté. Cette splendide créature est grande, mince et physiquement en forme. Elle semble présentée une certaine force physique derrière une apparence toute féminine. Ses jambes sont fortes et habituées aux longues distances de courses. Ses bras sont fiers et ne tremblent pas lorsqu’ils tiennent son fleuret. Sa poitrine, sans être grosse, est d’une taille intéressante pour les hommes aux pensées tordues. Son visage est, au premier regard, particulièrement froid et serein. Ce dernier, tout comme le reste de son corps, est très pâle, comme s’il refusait que le soleil ne le bronze. Jamais vous ne verrez une ride de mécontentement déformez le chef d’œuvre artistique qu’est le visage de Cassiopeai. Sa bouche est petite et ses lèvres rouges sont pincés, preuve d’une dureté de caractère. Ses yeux sont d’un vert foncé et semblent profond comme la mer elle-même, Dieu seulement sait combien de marins ont tombés dans le gouffre de ce regard profond et saisissant qui vous transporte dans le monde de l’amour déraisonnable en un instant. Ses cheveux sont coupés court et sont bruns foncés. Cassiopeai est toujours vêtu avec classe, un chapeau serti d’une plume, des vêtements de qualités et des gants en tissus minces forment toujours son habillement. Au niveau de l’attitude (physiquement parlant) maintenant. Elle est toujours droite, les épaules biens centrés et la main sur sa hanche, prête à dégainer son fleuret à une vitesse étonnante. Si elle vous parle ce serra toujours en vous fixant dans les yeux et jamais son regard ne va se détourner de son interlocuteur. En combat, elle est toujours dans la même position : les pieds à la largeur des épaules forment un angle de 90degrés, elle présente son côté droit à son adversaire avec son épée bien pointé sur lui, le coude légèrement fléchit pour permettre plus d’aisance. Sa main ‘’inutile’’ est sur sa hanche, prête à sortir sa dague si la situation le demandait.
>> Psychologie
« L'épée, c'est avant tout l'arme de l'attente, de l'observation, de la préparation : et quand la faille adverse est enfin découverte et percée à jour, il s'agit de s'y engouffrer avec force, rapidité et finesse. »
Cette phrase était vu par des dizaines d’épéistes à chaque jours dans le dojo dans lequel Cassiopeai s’entraînait sur Jaya. Cassi avait développé sa personnalité autour du maniement de l’épée. Elle est une femme patiente, qui ne stress jamais et qui ne fait rien d’irréfléchi. Elle se bat uniquement lorsqu’elle à l’avantage, mais lorsqu’elle commence : rien ne peut plus l’arrêter, si elle a trouvé une faille elle s’y engouffre pour ne sortir qu’après avoir causer des dégâts irréparables. Elle est toujours préparée à toutes éventualités, chaque seconde pendant laquelle elle n’agit pas est utilisée pour préparer ce qu’elle va faire quelques temps plus tard.
Cassiopeai parle avec classe et politesse, utilise les termes « politicly correct » et conserve toujours un ton ferme et direct. Elle n’est pas du genre à s’attarder aux pensées futiles et artistiques, elle est plutôt terre à terre et extrêmement modéré. Elle ne boit jamais, si ce n’est qu’une coupe de vin le soir lors d’un souper de type « Vin et Fromage ».
Les plus grandes qualités de Cassiopeai sont sa patience et son opportunisme. Elle attendra l’erreur de son adversaire pour lui porter le coup final qui le mettra à terre. Elle vit très loin de ses émotions, ce qui peut être un défaut vu qu’elle n’appliquera presque jamais de jugement personnel aux criminels. Par exemple : Lorsque Luffy et son équipage étaient à terre, gisants sur le sol à Arabasta après avoir sauver son peuple, Cassiopeai n’aurait pas hésité une seconde à les attachés pour les rapportés au quartier général de la marine. Elle est marine, c’est cela son travail et elle le fait. Pour elle les lois ne sont pas quelque chose d’optionnel que l’on suit lorsque cela se porte. Il s’agit d’autant de lignes de conduites et de piliers que chaque citoyen devrait suivre sans déroger. Tu ne suis pas les lois, tu es l’ennemi de Cassiopeai, c’est aussi simple que ça. Cela me fait penser à vous parler de sa vision de la justice. Pour elle, l’ordre social doit, par-dessus tout, prôner. La marine est simplement le bras qui fait que l’ordre est maintenu, par conséquent elle est aussi la justice qui punit, sanctionne et exécute. C’est ainsi que Cassiopeai se considère : « Je suis la main de fer de la justice ».
Le métier pratiquer par Cassiopeai dans la marine est celui de navigatrice. Son tempérament prévoyant et calculateur permet d’être doué dans ce domaine. Elle se sent elle même lorsqu’elle à un sabre en main droite et un Log Pose en main gauche!
>> Biographie
Voilà ma bio! J'ai fais un zoom énorme sur 2 évènements, les plus marquants de la vie de mon personnage en donnant des détails sommaire sur le reste. J'ai éviter les détails inutile comme l'enfance. Dans un schéma narratif on dirait que j'ai seulement fait un très long "élément déclenceur". Merci!
‘’EN GARDE!’’
Les deux adversaires se faisait face, chacun analysant la posture de l’autre,
tentant de découvrir une faiblesse. Puis, l’autre fonce et tente une touche sur
la poitrine de Cassiopeai. Pas de chance, elle avait prévu ce coup, d’un petit
mouvement elle dévie l’épée de son adversaire qui passe a quelques centimètres
de son bras et elle touche avec le bout de son arme le plastron protecteur de son père. Une touche!
Les deux adversaires se font face de nouveau, cette fois
c’est Cassiopeai qui passe à l’offensive, elle effectue une feinte et tente de
toucher sur la cuisse avec le tranchant de la lame. Le coup était bien calculé,
mais pas de chances la riposte de son père se fait rapide et puissante :
celui bloque le coup et ramène l’épée de sa fille jusqu’à sa poitrine.
Cassiopeai est complètement bloqué, mais théoriquement il n’y a aucune touche.
Sa main gauche saisit alors le poignard qui se trouve à sa ceinture et, d’un
mouvement rapide, le met à la gorge de son paternel.
"Les pirates de cette île on une bien mauvaise influence sur toi,
Cassio ‘’, dit son père d’un ton qui évoquait plus de résignation
qu’autres choses.
‘’J’ai suivis vos conseils, père, et j’ai plongé dans votre faiblesse’’,
répondit la jeune fille, visiblement très amuser.
Cette scène était très normale pour la famille Shark, habitant de Jaya, l’île
des pirates. Le père de Cassiopeai tenait un Dojo dans lequel nombreux épéiste
venait s’entraîner lorsqu’ils passaient à Jaya. Pego Shark était reconnu comme
un des sabreurs les plus habiles de l’île et il n’était pas rare qu’il tenait
en respect des pirates d’une puissance certaine. De pars un entraînement constant et intense, Cassiopeai avait développer une personalité assez particulière pour son âge. Elle comprenait déjà le mal que les pirates faisait auteur d'eux et c'était déjà mise en tête de les arrêter. Elle avait arrêter de compter combien de fois elle avait vu des femmes se faire violenter, des pauvres dépouillés et des riches assassinés simplement parceque les pirates avaient le désir que leurs noms soient connus! Jeune femme qu'elle était, elle ne pouvait rien faire contre ces criminels, mais elle s'était promit d'un jour y remédier
Tous les jours depuis ses 8 ans Cassiopeai suivait les cours de son père dans
son Dojo pour y apprendre « La voie de l’épée ». La jeune fille se
disait que si elle serait assez forte elle pourrait s’arranger pour faire que
Jaya redevienne une ville acceptable! Sa détermination était telle qu'elle se mit à ne faire qu'un avec son arme. Ton comme elle, elle était droite, touchait toujours sa cible et ne faillait jamais. Même dans une position difficile elle revenait, ne lâchait pas prise et touchait son adversaire. Cassiopeai était plus qu'une épéiste: elle était l'épée elle-même. Tout comme son arme elle était froide et allait directement au but. Tranchante dans ses mots comme la lame l'est dans la chair, elle ne se laissait pas dominé par les hommes et femmes qui se prenaient supérieurs à elle sans raison. "Sous-estimé moi si vous voulez, vous allez simplement mourir plus vite", voilà ce qu'elle se disait lorsque quelqu'un la regardait de haut. Ce matin était celui de son 18ième
anniversaire, cela faisait maintenant 10 ans qu’elle s’entraînait avec son père
et, pour la première fois, elle venait de faire 2 touches de suite.
‘’Tu deviens forte, Cassiopeai, mais je ne désire pas que tu vive la même vie que moi ici. Tu dois trouver ta voie’’. Lui dit son père en homme sage.
Sans répondre, la jeune Shark salua son père et prit chemin vers le marché de
la ville, là ou elle achèterait la nourriture pour les repas de la journée.
Elle venait d’entrée que son attention fut attirée par de grands cris qui
s’élevait du port. Elle courut pour voir ce qui se tramait et aperçut avec
étonnement un bateau de la marine! Elle n’en croyait pas ses yeux! Un bateau
marine, symbole de justice et de force, ici à Jaya? La terre des pirates?
C’était impensable! Mais les cris ne venaient pas du bateau, en effet, cela ne
prit que quelques minutes avant que tous les pirates de la ville est été au
courant qu’un bateau des gardiens de la paix et de l’ordre se soit amarré au
quai. Il y avait un attroupement d’une bonne centaine de pirate qui formait un
demi-cercle devant les marines. Ils s’échangeaient des paroles qui étaient les
suivantes :
« Foutus marines! Dégagez d’là sinon c’est moi qui m’en occupe! » Dit
un pirate particulièrement sale et empestant le rhum a 10 kilomètres à la
ronde. Sa menace fut applaudie par des rires et cris de la part des autres
pirates. Celui qui semblait être le capitaine du bateau nouvellement arrivé
ignora le commentaire et déclara d’une voix forte et autoritaire :
« Nous, marines, savons que ce cache ici le révolutionnaire Emile K. Zola
et nous sommes venu le capturer, laisser nous passer! ». Les paroles du
marine s’était accompagner d’un mouvement dans lequel il montrait une prime sur
laquelle était marquer « 75 millions de Berrys » avec la photo du
fameux Emile K. Zola. Son intervention fut suivit d’un silence de plusieurs
secondes avant que tous se mettent à rire très fort. Au rire succéda le bruit
que font les sabres lorsqu’ils sont dégainer et celui que font les balles
lorsqu’elles sont tirés. Les pirates s’attaquaient aux marines. La bataille fut
féroce et dura une dizaine de minute, à la fin il ne restait plus que le
capitaine du vaisseau debout avec un pistolet dans une main et un long katanas
dans l’autre, il faisait face à cinq pirates crasseux et semblait en position
de faiblesse.
Dans l’esprit de Cassiopeai, tous ne passe qu’en une seconde. Elle se
remémorait son père qui lui disait « Tu dois trouver ta voie » et,
comme jamais, elle avait l’impression qu’elle avait quelque chose à faire. Ces
marines n’avaient pas chercher la violence, ils étaient simplement venu
récupérer un criminel notoire qui mettaient en péril la vie du peuple! Alors
que le pirate qui empestait l’alcool allait porter le coup fatal au capitaine,
Cassiopeai se mit entre les deux combattant et bloqua le coup d’une habile
parade et plongea son regard dans celui du pirate puant. Ce dernier fit un
sourire carnassier avant de lancer les paroles suivantes :
« Hey… mais tu es la petite Shark!? Allez petite fait pas de choses
stupides et j’serais pas trop vilain avec toi. Dégage de d’là! »
Cassiopeai ne bronchait pas, le pervers puant qui était devant elle, elle le
connaissait par réputation. C’était un pirate primé à 15 millions de Berrys qui
flambait depuis 2 mois en alcool le butin de son équipage. Un stupide fouteur
de trouble, rien de plus. Alors qu’elle allait répliquer qu’elle ne bougerait
pas ce fut une voix d’homme qui l’arrêta :
« Bouge fillette, tu as déjà fait beaucoup plus que tu ne le
devais ».
C’était le capitaine de la marine qui venait de parler. Un instant après ces
mots, il était rendu derrière le pirate et le pourfendait de son sabre alors
qu’il terrassait les quatre autres d’autant de balles bien visés. En moins de
cinq secondes, tous était à terre, ne restait plus que Cassiopeai et, bien sûr, le capitaine de la marine.
Pour la jeune fille, s’était l’incompréhension. Il avait l’air d’être en
position de faiblesse, mais voilà qu’il terrassait ses cinq adversaires sans
difficulté! Son regard incrédule en disant long sur ce qu’elle pensait et la
marine prit la peine de l’éclairer.
« J’aurais pu gagner n’importe quand, mais je voulais leurs donner une
chance de courir, pour tenter de faire couler moins de sang. Mais tu as mis ta vie en danger, me forçant à agir. Pourquoi tu as voulu me protéger? »
« Parce que… Parce que… Je voulais… Je voulais protéger
la Justice! ». La jeune fille avait mis dans ses mots une sincérité totale
et un dévouement qui étonna le capitaine. Une petite fille, une adolescente
prête à sacrifier sa vie pour… la justice?
Cette rencontre fut un point tournant dans la vie de Cassiopeai, le soir même
le capitaine avait capturer le révolutionnaire et reprenait sa route vers le
quartier général de la marine. S’étant embarquer clandestinement sur le bateau,
Cassiopeai était en route vers son destin, ou elle pourrait devenir cette
justice qu’elle avait tenter de protéger.
Une fois arriver au QG le reste se fit de lui même, elle alla directement
s’enrôler et commença à travailler plus fort que jamais pour devenir une
épéiste toujours plus habile. Elle apprit là à lire les cartes maritimes et un vieil
explorateur lui enseigna les rudiments de l’art de la navigation. Tous cela
durant 10 ans, 10 ans à apprendre et à s’entraîner. Maintenant elle est prête.
pour montrer au monde de la piraterie qui elle est vraiment :
« Cassiopeai Shark, La Main de Fer de la Justice »
Paroles Cassiopeai
Paroles Père de Cassioepeai
Paroles Pirate
Paroles Capitaine Marine
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>> Test RP
Test RP
[center]Un lion mort ne vaut pas un moucheron qui respire - Voltaire
Il est enfin venu le grand jour. Oui, le temps de prouvé ce qu'elle valais. Elle sentait s'enlever de ses épaules un poids lourds. Elle croyait enfin avoir compris ce dont elle désirait. Le bateau qui allait mener Cassiopeai et son rival du jour à l'île ou, disait-on, la vermine était trop nombreuse arrivait la nuit même aux alentours de minuit. Cassiopeai passait les dernières heures à bord de la galère marine dans sa cabine. Certains pourraient voir là une marque de stress, mais ce n'était pas du tout le cas. Elle préparait son plan dans les moindres détails. Déjà, elle avait fait le tour de ses supérieurs pour recueillir un maximum d'information sur le lieu ou est-ce qu'elle allait débarquer. Elle avait même passé une longue soirée dans une taverne avec de vieux voyageurs plus ou moins louches pour avoir des informations sur les coins moins bien fréquentés de la ville.
Les infos, elles les avaient, mais maintenant elle devait "toc, toc" se concentré sur ce qu'elle allait devoir faire. Elle commençait à affuter sa dague "toc, toc" et son épée, toute à ses pensées que nul ne pouvait "TOC, TOC"... Quelqu'un cognait! Cassiopeai Shark sortit de ses idées alors qu'elle entendit (finalement) les coups qui étaient donnés sur la porte de sa cabine.
Sans hâte particulière, elle alla ouvrir et découvrit sans grande stupéfaction que c'était là le sous-officier de la marine qui voulait la même promotion qu'elle qui était devant sa personne. Cet homme était grand, les cheveux rasés et de forte musculature. Il était toujours munit de son pistolet fétiche et d'un sabre. Du haut de ses 1m85 il était imposant avec sa cicatrice sous l'oeil gauche. Automatiquement, il imposait le respect. D'un seul coup-d'oeil il donnait l'impression d'avoir vaincu des ennemis puissant. Cet homme transpirait la force, la confiance et la victoire. Il voulait gagné et allait gagné... Ça se voyait... selon lui! Si, elle, elle était le serpent qui inspire finesse, dextérité et clairvoyance, lui il était le lion qui donnait impression de force, d'endurance et de combativité.
Le bateau arrive au port dans une d'mie-heure. T'es prête à commencer la chasse hehe? Lui dit-il, d'un air suffisant.
J'étais justement entrain de finir mes derniers préparatifs, Darius, quand ta subtilité habituelle m'a dérangé. Répondit la jeune épéiste, qui ne se laissait aucunement dominé par aucune façon que ce soit.
L'homme à la cicatrice, qu'on connait maintenant sur le nom de Darius, porta un regard à la splendide créature qui se trouvait devant lui. Elle était belle avec son épée à la taille, son vêtement noir et chaud pour affronté la nuit froide et...
Hey! Ques'tu fais habillé comme ça? Dis moi pas que tu as l'intention de commencer dès ce soir à chasser les rats??
Comme seul réponse Cassiopeai sourit de façon énigmatique et se rassit sur la chaise pour se remettre face au petit bureau ou s'étalait une carte de l'île, message clair que, pour elle, la conversation et la visite était terminée. La réponse pour le moins glaciale de la jeune femme avait laisser à Darius un sentiment de surprise et c'est sans ajouter mot qu'il quitta la pièce en faisant claquer fort la porte de la cabine derrière lui, visiblement contrarié."Sale brute...". Pensa t'elle à cette instant, mais elle avait plus important à faire pour le moment. Elle étudia encore quelques minutes la carte, pris son sac et un millier de Berry qu'elle mit dans une bourse à sa ceinture et sortit sur le pont, désirant humer l'air avant son expédition nocturne.
À peine le bateau était-il accosté qu'elle fit signe au capitaine qu'elle sortait en lui soufflant que si elle n'était pas là à l'aube c'était qu'un malheur lui était arrivé. L'officier tenta bien de la retenir en lui disant à quel point s'était dangereux pour une belle jeune femme comme elle, mais son regard vert transperçant comme sa lame fit comprendre à son supérieur qu'elle savait déjà tout cas et celui-ci lui fit signe qu'elle pouvait y aller, tout en lui réclamant une extrême prudence.
Pour commencer, Cassiopeai déambula durant 1 heures dans les rues et ruelles de la ville et identifia certains endroits. Des bars, des restaurants et autres places clés du genre. Elle trouva finalement ce qu'elle cherchait: Une ruelle large de 2mètres qui faisait un coude pour finir en un cul-de-sac. Ça, toutes les villes en avait au moins une, il fallait seulement la trouvé. Ensuite elle passa 4 longues heures dans un bar miteux dans un coins reculé de la ville ou elle eut des discutions que je vous rapporterais plus tard. Elle rentra au bateau de la marine quelques heures avant le levé du soleil et le début de la chasse. Elle s’endormit avec un sourire de satisfactions aux lèvres. La raison: Elle allait gagné, son poison avait déjà commencer à faire effet, dans moins de 12 heures elle aura cette promotion.
Le soleil se levait et déjà le bateau était en effervescence. Les marines étaient séparé en deux groupe égaux. L'un allait servir les ordres de Cassiopeai, l'autre allait répondre de ceux de Darius. Dans un habit de combat particulièrement impressionnant, ce dernier scandait déjà des ordres clairs à ses soldats. Moins d'un quart d'heure plus tard, il était sorti du port et commençait sa chasse. La jeune femme, avait devant elle les forces qui allaient être témoins de sont triomphe. Oui, elle était confiante, mais n'en conservait pas moins un sang-froid qui était en voie de devenir légendaire. Ses mots, dits avec une voix assurée stupéfièrent les marines dès qu'ils furent prononcés:
Nous partons à onze heure, je veux tous vous voir armé d'un fusil longue porté, pas de vulgaires pistolets.
Après quelques instants d'hésitations ils finirent pas l'écouter, et commencèrent à se préparer. Cela prit aux plus lents 30 longues minutes avant d'être prêt, il restait donc 4 heures à attendre. Un des marines eut la présence d'esprit de posé la question qui brûlait toutes les lèvres. Cette question était bien sûr "pourquoi?". Avec un sourire elle se mit à leurs expliquer son plan et, bien sûr, le rôle primordial que tous ils allaient y jouer. Plus aucun ne remettait en doute leurs chefs maintenant: elle jouait le tout pour le tout, c'était une marque de cran et c'était là une qualité que beaucoup estimait parmi leurs supérieurs. 11 heure sonnait et la troupe sortit du bateau sans nul bruit, au premier carrefour, sans qu'aucun mots ne fut échanger, Cassiopeai tourna à droite et ses soldats, à gauche.
Son son côté elle alla au milieu d'une place circulaire, qui semblait à un marché secondaire. Heureusement, aujourd'hui n'était pas jour du marché et les passants se faisait moins nombreux. Cassiopeai patienta donc là jusqu'à midi moins quart et vit finalement l'homme qu'elle attendait arrivé. Il n'était pas de stature impressionnante et était même d'apparence banal. Le genre d'homme que vous avez l'impression de croiser cents fois durant la même journée. En gros, il était semblable aux autres et passait inaperçu. Un œil particulièrement attentif peut par contre remarqué que cinq gardes du corps le surveillait. Chacun se trouvait à 10 mètres de lui et étaient vêtu avec simplicité. Une fois arrivé au centre de la place, Cassiopeai, qui jusque là était rester en retrait alla le voir. Habituellement, les circonstances demandaient qu'elle porte son uniforme de la marine, mais c'est sous une cape verte foret ample que celui-ci se trouvait. D'un même gestes les deux adversaires dégainèrent leurs épées et c'est alors que lui revint en mémoire la discutions qu'elle avait eu la veille avec cet homme....
.::FlashBack::.
-Ah ouais? Toi, tu me lance un pari?-Oui à vous! Et d'avance et en preuve de ma bonne fois, je vous donne 1000 Bérys!
-Me payer pour faire un duel? Tu me prends pour qui? Une bête de foire?-Non pas du tout... J'espère simplement que vous auriez compris qu'il s'agissait là d'un gage de bonnes volontés car je ne paris pas moins 1 500 000 sur ma victoire!
-Quo... quoi? Une fillette comme toi me défi au sabre pour 1,5M de Bérrys? AHAHAHH! À demain midi sur la place du second marché petite fille... Demain soir je boirais sur ton compte![b]
.::Fin du FlashBack::.
L'un des gardes du corps de l'homme annonça à forte voix qu'un duel était sur le point de commencé et qu'il fallait libéré le centre de la place, ce qui fut fait en une minute à peine. Les deux épéistes se faisait face. D'un côté, Cassiopeai Shark, sous-officier de la marine et, de l'autre, Reginald Wolf, premier sur la liste des révolutionnaires qu'elle devait capturé. Ce dernier était bien sûr venu avec ses meilleurs hommes, chacun d'eux figurait aussi sur la liste de Cassiopeai, son plan fonctionnait jusqu'à maintenant, mais la partie la plus difficile allait débuter... Le combat commençait.
"EN GARDE!"
Cassiopeai tenait sa position habituelle de défense et commençait à marcher en cercle, sa cible faisait de même tandis qu'il enlevait son manteau pour se saisir de ses deux longs sabres avec plus d'aisance. La danse continua ainsi quelques instant avant que l'homme ne la chargea. Premier choc. Cassiopeai bloqua les premiers coups avec vitesses, mais recula de quelques pas vu la force de son adversaire. Celui-ci donnait une force telle dans ses coups qu'elle avait de la misère à maintenir son épée bien droite. C'était maintenant à elle d'attaquer.
"Lunge Strike!"
Première technique de combat, de quelques pas rapides elle s'approcha et fit une habile fente à son adversaire pour le frapper à la poitrine. Ce coup se faisait en allongeant son corps pour surprendre l'adversaire de la porté de l'épée. Avec de l'entrainement Cassiopeai avait joint à ce coup une vitesse très intéressant et elle toucha la poitrine de son adversaire. Cela lui fit une profonde entaille d’où coulait le sang, mais il n'en eut cure. Il fonça sur la jeune fille et lui asséna un, deux, cinq, dix coups de sabres qu'elles bloquait. C'est finalement en criant "Powerfull Slash!" qu'il donna un coup d'une puissance telle qu'il désarma Cassiopeai et mettait alors son autre sabre sous sa gorge.
IDIOTE! Petite IDIOTE! Tu pensais me vaincre? Ahahahh! Tu ne sais pas à qui tu as à faire. La boisson hier t'a un peu monté à la tête hier avant que tu me lance ce duel. Tu devais être morte de trouille. Pauvre petite... Tant de gaspillage... Aller, donne moi mon or, j'ai gagné. Si tu es gentille je devrais pas trop te faire de mal quand je vais t'apporter chez moi...
Ses propos insinuait la plus grande perversité et Cassiopeai vit dans le regard de cet homme une volonté d'aller jusqu'au bout de ses paroles. Elle sortit donc sa bourse et la lança au pied du Révolutionnaire. Celui-ci ramassa le paquet, l'ouvrit et...
Tu me prends pour qui petite garce? Il y a même pas mille Berrys là dedans! T'a voulu m'avoir, tu vas le payer de ta vie!
Alors qu'il levait son sabre pour accomplir le coup final, Cassiopeai dégaina à grande vitesse sa dague qui était à sa ceinture et entailla la cuisse de son adversaire. À ce coup, elle eut un sourire diabolique à peine perceptible, mais elle eut beaucoup de mal à le garder cacher lorsqu'elle vit une petite goute de liquide mauve s'écouler du bout de sa dague... du venin! Plus vite que l'éclair et comme pourvu d'une nouvelle force, qu'en fait, elle n'avait jamais perdu, Cassiopeai rangea son arme et parti en courant vers la rue qui se trouvait derrière elle. En chemin elle tenta de ramasser son sabre, mais un des gardes du corps de Réginald l'avait déjà récupérer et s'élançait à ses trousses. C'est avec une véritable peur dans les yeux qu'elle se mit à détaller le plus vite possible devant elle, poursuivit pas 7 hommes qui lui voulait la mort. Elle tournait à droite, puis à gauche, puis encore à droite, mais rien ne suffisait pour perdre ses poursuivants. Brusquement, elle tourna dans une petite rue entre deux maisons aux toits bas, les hommes la suivait toujours. La ruelle faisait un coude et après une dizaine de mètre elle se trouvait face à un mur de béton de 5 mètres de haut. Ses adversaires la rejoignait. Le boss, en dernier, arriva, tenant sa jambe qui le faisait souffrir. Il contemplait la jeune fille, seulement armée d'un poignard qui se tenait devant lui... Comme elle était désirable. Un sourire pervers se dessina sur ses lèvres au moment ou il dit ces paroles:
Tu vas voir ce que ça donne que d'être ennemi de Réginald!
C'est du tac-au-tac qu'elle répondit, criant presque:
Vous verrez ce que c'est que d'être l'ennemi de la marine!
Ce geste fut accompagné d'un mouvement rapide dans lequel elle enlevait sa cape et découvrait son bel uniforme de sous-officier: Des pantalons de cuirs avec un gilet rigide sur lequel était gravé en lettre bleu "MARINE". À ce moment, sur le sommet des bâtiment des deux côtés de la rue, plusieurs marines pointait leurs armes sur le révolutionnaire et ses sbires. Une partie des valeureux soldats sautèrent d'en bas du toit pour bloquer la retraite des criminels, sans jamais cesser de les menacer de leurs armes. Remarquant le trouble dans lequel il était, Réginald tenta d'entraîner la salope qui l'avait berné dans sa mort. Il sauta sur Cassiopeai et tenta de lui assener un ultime coup. Les deux blessures de l’homme le ralentirent dans sa démarche et Cassiopeai évita la première lame et bloqua la deuxième avec sa dague, alors que la Révolutionnaire retentait son attaque il tomba à genoux et mit une main sur sa poitrine, en proie à une douleur immense.
Il était temps que le venin commence à agir... Si dans 3 heures l'antidote ne vous es pas administré, vous serrez mort. Vous tous! D'après les droits que notre sainte marine m'accorde de pars mon titre de Sous-officier, je vous déclare en état d'arrestation et en attente d'un jugement. Déposez tous vos armes!
Les sbires, voyant leurs chefs à terres et les nombreux canons dissuasif pointés sur eux se rendirent, les menottes leurs furent passés et tous regagnèrent le bateau. Rendu sur ce lieu, ils enchaînèrent solidement les prisonniers. Le chef se tordait toujours de douleur et Cassiopeai sortit de sa poche une éprouvette dans lequel tenait un liquide jaunâtre: l'antidote du venin. Elle le lança au prisonnier qui le but d'un trait et, quelques secondes plus tard, il semblait déjà aller mieux: il était sauver.
Le soir tombant, Darius revint, vingt-cinq hommes en piteux état le suivait: c'était ses prises. Sur le pont du navire, l'Officier demanda aux deux prétendant à la promotion de nommé leurs hauts-faits de la journée, les pertes humaines ainsi que leurs dépenses matérielle. Darius, dans son empressement machiste habituel dit d'une voix forte:
25 hommes arrêter. 3 tués. Valeur totale de 30,100,000M de Berrys. 4 marines morts et une dizaine de blessé, dont moi, dans la mêlée générale. Plusieurs armes brisés. Nous nous sommes battus vaillamment en faisant la chasse à ses chiens! Le sacrifice de quelqu'un d'entre nous nous a permit d'accomplir notre mission avec force! Je mérite le poste plus que quiconque car j'ai prouvé ma valeur!
Cassiopeai, d'un ton étonnamment calme dit:
7 hommes arrêter. Aucun tué. Valeur totale de 20,000,00M de Berrys. Aucun blessé parmis les marines. Matériel utilisé: 1000 Bérrys, un quart de fiole de poison et un antidote. J'ai fais ma mission en ne tirant aucune balle, en affrontant un homme plus fort que moi et sans avoir aucun de mes soldats blessés. À vous de décider qui est-ce qui mérite le poste maintenant.
L'officier sourit sans répondre, dit de mettre tous les prisonniers aux fers dans les cales du bateau et de regagner le bateau: il avait bien hâte de faire son rapport à ses supérieurs.
Nom: Jules
Dernière édition par Cassiopeai Shark le Ven 14 Sep 2012 - 14:37, édité 6 fois