John D’Artagnan ?
Pseudonyme : Wood Âge: la vingtaine Sexe : F Race : Homme Rang : ? Métier : Ébéniste Groupe : Civil en vue de changement futur Équipage : x But : acquérir le plus parfait et diversifié des maniements concernant le bois. Fruit du démon : je demande à connaitre mon niveau une fois ma fiche validée pour pouvoir choisir. Équipements : Codes du règlement (2) : Parrain : Google (non je blague) Ce compte est-il un DC? : non Si oui, quel @ l'a autorisé? : x |
_ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _________ Physique Grand et svelte, sans toute fois l’être assez pour attirer l’attention. Voilà ce que tout le monde qui le connaît vous dira. Mais je ne suis pas tout le monde, je donne la vie à John D’Artagnan. Profiter de ma connaissance… Grand, oui, mais sans plus, il n’est et ne saura jamais l’un de ses ignobles géants. John n’est pas du genre sang-mêlé et arbore tout ce qu’il y a de plus humain. Malheureusement, pour le bien de son travail, il garde sur sa tête et ses épaules une cape bien particulière et toute de noir tressé. Toute sombre et rempli d’un mystère indéniable. Pour les curieux, l’intérieur est un velours rougeâtre des plus confortable, mais passons. Sous ce mystère, se terre un individu minutieux du détail dont les cheveux, sont noués derrière sa tête pour éviter toute distraction. Pour le bien de son travail, oui j’ai bien dit cela, car pour être le meilleur, il ne sufi pas d’être doué. Pour épater la galerie, il faut attirer l’œil des plus fins observateurs et se sans révéler ses secrets les plus intime. Voilà pourquoi, depuis tout jeune déjà, il s’obstine à garder l’anonymat, travailler devant tout le monde, sans que quiconque puisse réellement savoir qui il est réellement. Je crois qu’avec ceci, vous aurez tôt fait de comprendre se que ça fait, se que l’ont peut ressentir face à un mystère des plus total. Mais je me permets de continue, maintenant que l’effet visuel est décrit et je l’espère ressentit ! De sa cape d’ébène, vous pourrez, si vous en avez la chance, apercevoir en sortir, deux mains extraordinaires, c’est d’ailleurs grâce à ses deux merveilles qu’il aura reçu et mériter le surnom de sculpteur de vie dans son village. Grande et fine, parsemé d’entaille et de marque reflétant toute une vie de dur labeur. Sensuelle ou pas, les femmes qui les regarderaient seraient les seules capables d’en admirer la complexité, de ressentir à quel point un seul de ses touchers serait une exception et une chance incroyable. Elles représentent pour beaucoup un cadeau, une vraie bénédiction. Quand un outil se tient dans le creux de ses paumes, nul ne pourrait y imaginer autre chose, elles sont faites sur mesure pour tenir ses outils, instruments qui lui serviront tout au long de sa vie, à créer son art. * Pour découvrir la vérité sur toutes les allusions, les sous entendus et ainsi de suite, aller lire la suite. Psychologie * j'avertit que c'est la partie la plus faible, j'ai eut de la difficultés à faire mon philosophe, donc si vraiment cette partie me nuit pour le niveau de ma validation merci de me prévenir... John n’est pas un physicien, un mathématicien, un scientifique ou tout ce qui lui aurait apporté un regard juste et compréhensif sur le monde. Il est artiste et découvre chaque jour de nouvelle source d’inspiration, c’est entre autres grâce à cette vision qu’il aura adopté un regard critique, assez développé, incapable d’aimer un objet ou bien une couleur plus qu’une autre. Sa vie en sera aussi grandement plus joyeuse, la découverte est chez lui un atout important et indispensable pour son intérêt général. Sa vie n’est qu’un ramassis de Mensonge, domaine dans laquelle il excelle, mais jamais dans sa manière d’interpréter la réalité, le moindre de ses actes n’était trop délasser, ou assez grave. Mentir étant devenue avec le temps une seconde nature, le jeune travailleur en viendra surement à remettre son identité en question, mais qui sais qui sera assez fou pour explorer se terrain ardu Outre ses horribles mensonges, ce personnage hors du commun est des plus gentil, bien que souvent trop peu bavard, il aime partager son expérience, encourager ou fournir des efforts pour qui le mérite bien. Le tout en évitant les ennuis, mais une chose est importante, car bien qu’il n’ait aucun parti pris, dévier la loi, l’ordre ou la justice restera toujours une option facile pour une situation qui le mérite. Biographie [/b]Unique et seul héritier de la famille d’Artagnan, l’enfant se fit donner la vie, sur la magnifique île dénommée Endaur. C’est la que débute l’histoire de sa vie, là que la destiné de leur famille atteindra des sommets encore inégalés. Sa mère la charmante Ania s’était éprise d’amour, deux ans auparavant, pour l’un des plus beaux et fiers bucherons de la place, le noble Bartholomeau D’Artagnan. Tous deux s’étaient ensuite mariés d’une union non officielle et s’étaient construit leur propre maisonnette non loin du reste de la population. Leur petit nid d’amour, aussi chaleureux soit-il, se fit rapidement envahir par le jeune bébé, dont le nom fut choisi à l’avance en hommage au grand-oncle et père adoptif d’Ania, décédé d’une maladie avant son temps. Durant un peu moins d’une dizaine d’années, leur vie fut souvent difficile, mais la volonté forte de la famille les aida à ne jamais lâcher prise et dans les moments les plus pénibles, les habitants de l’ile ont toujours su leur apporter l’aide dont ils avaient besoin, entourant leur famille d’un lien d’amour, de franchise et d’entraide. C’est donc dans un environnement diversifié que grandit le jeune bambin. John fut rapidement aimé de sa communauté, il démontra souvent une forte volonté et un sens des responsabilités encore plus important. Dès l’âge de cinq ans, le jeune enfant voulait suivre son père au bois, fasciné par le travail qu’il exerçait, curieux d’en découvrir toujours un peu plus, mais la même réplique l’empêcha toute son enfance à suivre son paternelle, « c’est un lieu d’homme, tu na pas ta place ici.». À l’âge de huit ans, il quitta l’école, ne s’intéressant aucunement aux notions élémentaires, son rêve à lui était différent, il ne recherchait pas un savoir intellectuel, mais bien manuel de la vie. Bien sûr peu de gens ont approuvé cet abandon et beaucoup furent déçue de son comportement, mais personne ne pue rien faire face à la situation. Le tout changea, de l’opinion des gens à leur façon de le percevoir, et tout ça par une seule et unique preuve de volonté. Se jour là, enfermé dans sa petite maisonnette, frustrée, et en pleure, recherchant la sécurité d’un lieu aimer. Sans réfléchir, c’est la que se produisit le premier contact avec les outils de son père, et aussi la que pour la première fois, l’enfant commença à buriner, ciseler, estamper, graver, sculpter, fendre et harceler un énorme tronc d’arbre, sa rage s’effaçait peu à peu, ses mains saignaient de multiples petites coupures et ses yeux s’était rougie de fatigue, la détresse, le chagrin, tout s’était évacué, tout s’était retransmis dans cet étrange morceau de bois. Passant ensuite des heures à le regarder, effondré de fatigue, ça ne ressemblait à rien de connu, le bois n’était plus qu’une passoire et s’était à se moment de ça vie, la parfaite métaphore pour représenter son état sentimental, donnant l’impression de souffrir, de ne pas savoir comment se placer, d’être faible et de ne pas être à sa place dans notre monde. «Écoute», avait dit son père en rentrant, «c’est une œuvre d’art, tu sais» et ses seules paroles l’avaient alors frappé comme si un arbre s’écroulait sur sa petite personne. Comment pouvait-il aimer? Ça? Puis il l’avais relevé, lui avais remis les outils en main et lui avais dit encore, «tu sais, dans la vie, nul ne peut choisir pour un autre se qu’il veut faire, mais je t’ai regardé et aussi pennée soie tu, une beauté incroyable se dégageait de tes gestes, je suis si fier que tu te soie exprimé avec tant de passion.» À ce moment, John n’était pas tout à fait en mesure de comprendre chaque mot, chaque signification, mais tout resta graver dans son cerveau comme sur du papier, son père lui avait donné les ailes nécessaires. C’est durant près d’un an, que l’apprenti ébéniste s’efforça de faire de ses mains les outils ultimes pour pouvoir enfin devenir quelqu'un et c’est l’une de ces journées bien chaudes qu’une nouvelle fuite basée sur la non-confiance de soi se produisit, forçant le jeune enfant à s’enfuit pour se retrouver seul avec son for intérieur, cherchant un peu d’inspiration par delà ça grande forêt qu’il trouva une petite plage, le sable chaud lui donna le lit qu’il espérait puis il se laissa aller à ses pleurs. - Hé jeune homme, tu fais honte à quoi la, arête de pleurnicher ! Malheureusement, il n’était pas seul, un autre homme se tenait non loin de lui, un peu sombre, à l’allure malsaine. Une bonne réplique lui vint en tête, mais l’enfant décida de s’abstenir. - Tu sais, la vie est dure, j’ai passé dans ton trou et crois-moi tu as une vie de merde, à toi seul de faire de ça un meilleur avenir. L’homme l’énervait, vraiment beaucoup, mais au fond de lui, le chagrin était trop important, il n’était qu’un bon à rien et il le savait. - C’est quoi ton nom morveux? Rajouta-t-il. - Je suis.. John d’Artagnan et vous? - Sharp Jones, Charpentier à temps partiel et tu voies, je deviendrais quelqu'un moi. À se moment, une lueur d’espoir l’envahi, peut-être aurait il un conseil ! Mais dès qu’il tourna la tête dans sa direction, rien. L’homme avait disparu, ne laissant derrière lui que le jeune enfant, toujours en conflit avec sa conscience. Quelques années plus tard, bientôt près d’une dizaine d’années depuis l’incident du massacre de la buche et des pleure, les adieux touchaient à leurs fins dans la petite ile d’Endaur. Les villageois ordinaires venaient de faire leurs adieux à cet incroyable tailleur de bois. Une fois que la famille se retrouva seule sur le bord de l’eau et de la petite barque de bois, la mère prit la parole à l’intention de son enfant. - Es-tu sûr de toujours vouloir tromper tout le monde pour tes idéaux? - Mais maman, tu sais aussi bien que moi que cette cape est l’une des seules façons d’être l’égal de tous. - Johanne D’Artagnan ! la place d’une femme est ou elle le souhaite ! te faire passer pour un homme t’aura peut-être aidé ici, mais la ou tu iras peut-être qu’ils te traiteront différemment. - Maman, je reste convaincu qu’en regardant le monde dans le corps d’un homme, mes talents seront plus facilement acceptés. - Alors promet nous, que le moment venu, quand tu seras au somment de ton art, tu révèleras à tous ton secret ! - Mon but est de montrer au monde que moi, une femme a réussi. Test RP C’était dans les environs d’une semaine après son départ que la jeune femme remplie d’espoir et d’attente envers l’avenir atteignit la première marche de son destin. Le destin, ou la force des vents l’avaient poussé vers une petite ile inconnue. Dès que son petit navire fut attaché au quai, la jeune femme remit sa cape en place et se dirigea vers le lieu le plus habité qu’elle remarqua directement par les colonnes de fumée qui s’élevait vers les cieux. Un peu plus tard dans la même journée, une fois que ses quelques effets personnels furent emmagasinés dans une petite chambre fraichement louer dans l’auberge du coin, la chasse à l’emploi débuta. Par chance et pour le salut d’un mode de vie adéquat au-dessus du seuil de la pauvreté, un emploi rémunéré était offert sur le chantier naval. L’offre se lisait comme suie :
Au début, l’offre la ravit au plus haut point et sans réfléchir, elle s’inscrivit pour débuter le travail au plus vite, mais au bout de la ligne, ça ne lui prit même pas une semaine pour se rendre compte que M. Carlo n’était rien de plus qu’un armateur désagréable et radin. Malheureusement, le besoin surpasse souvent les moyens et ce n’est qu’un mois après le début de son arrivée qu’un homme remarquât son véritable talent, car les autres n’étaient tout simplement pas de fin connaisseur ou n’avaient aucunement l’œil critique. Production de masse et peu de qualité n’était définitivement pas ses termes préférés. L’homme avait tout de suite demandé à voir plus de ses œuvres et s’était démarqué des autres par son gout développé. Elle ne se douta de rien, car l’homme paraissait bien, savaient les bonnes manières et par-dessus tout, il lui proposait une offre en or. Faire un coup d’argent assez important pour lui permettre de tenter sa chance ailleurs, une nouvelle ile et une nouvelle chance d’éblouir ! C’est donc avec une avance pour les matériaux qu’ils signèrent un papier officialisant le contact. Les règles étaient simples, si elle pouvait faire tout le travail seul et en moins d’une semaine, il lui doublait l’avance sans que personne ne soit au courant, rendant la cachoterie possible aux yeux de l’affreux Carlo. Tout avançait avec une réelle vitesse de croisière et enfin la jeune femme pue ressentir une fois de plus la merveilleuse sensation de la liberté ! Travaillant avec ardeur, elle sculpta une magnifique figure de proue qui avec tout le minutieux travail prendrait énormément de valeurs, sait d’ailleurs ce qui rendit Carlo jaloux au point qu’il débuta ses petites magouilles à l’intention du client. Se ne fut pas bien long avant qu’il mette la main sur une information bien juteuse, en fait le chaleureux client qui lui avait fait du tord d’une manière involontaire se révélait être un célèbre et jeune pirate, tout nouveau dans le métier, il s’était déjà emparé d’une ile et son équipage ne sassais d’augmenter. Aussitôt découvert aussitôt dénoncer, ce sale enfoiré ne pouvait pas envisager une vie ou il ne se préoccuperait que de ses petites affaires… Un peu plus tard, le vieux détestable rentra dans son chantier encore imprégner de l’odeur nauséabonde de la traitrise, puis interpella le jeune ébéniste qu’il pensait toujours à sa botte comme un chien bien dressé, puis débuta l’une de ses interminables séances de jérémiades remplies de vantardises exagérées. - Tu sais, le mec qui t’a commandé cette atroce sculpture pour son navire? - Ce n’est pas affreux et c’est une figure de figure de proue digne des plus beaux navires. - Si tu le crois, mais d’un œil expert, je t’assure qu’il te reste encore des années avant de pouvoir égaler la semelle de ma botte! Silence, malaise et frustration régnaient dans la place, rendant la colère de la jeune femme à un niveau encore inégalé, mais c’était lui qui payait tout donc encore un peu de patience. Voyant qu’elle ne répondait pas et qu’elle continuait à finaliser les derniers détails il reprit d’un ton encore plus imposant, histoire de jouer du coude avec la fierté de l’artiste. - Revenons à nos moutons, heureusement que tu ne les élèves pas, j’aurais du mal à croire que tu réussirais à faire vivre un être vivant. Le gars, c’est un pirate, donc je t’ordonne de détruire tout sa, un peu de bois de chauffage me ferait le plus grand bien pour ma nouvelle maison. - Avec tout le respect que je vous dois, ce n’est pas à vous de juger de mon art. Le client, qu’il soie pauvre, riche, homme, femme, et j’en passe. M’a payé d’avance et est donc déjà le propriétaire de cette magnifique œuvre. - Insolent! comment ose tu remettre mon jugement en question, cette poutre de bois mal tailler ne quittera jamais se chantier. Argumente encore une fois et je te mets à la porte c’est clair? De plus, j’ai dénoncé l’homme et son équipage, ils se feront arrêter d’ici la fin de la journée. - Faite comme bon vous semble, au grand pire cette œuvre, elle pourrait se retrouver sur l’un de vos navires, pas besoin de la détruire, disons que je vous l’offre vous la prenez? - Mmm, je ne suis pas du genre impoli qui refuse un cadeau, je vais envoyer mes gars la charger et l’entreposer, pour le reste, fini sa et disparait, je te donne une semaine de congé sans solde, comprend y qui est le maitre. Fier de ça pseudo victoire, il s’estompa retrouvant les conforts de sa luxueuse demeure, mais pendant se temps, la jeune femme fit se qu’elle avais à faire, elle finit, laissa les hommes l’entreposer dans une caisse de bois puis elle l’identifia d’une marque dans le couvercle. Sans laisser de trace elle retourna chez elle, prit un petit dispositif escargot qu’elle utilisait pour la première fois et contacta le client comme il lui avait montré un peu plus tôt dans la semaine. Expliquant hâtivement la situation, il comprit rapidement le génie dont elle avait fait preuve et la gravité de la situation. Leur plan s’échafauda rapidement puis un rendez-vous fut prévu dans la nuit, au chantier et plus précisément, entre le quai des visiteurs et l’entrepôt. La jeune artiste avait tout préparé, son sac et les effets dont l’abandon n’était autre qu’impossible. Rentrer et ouvrir la passerelle des visiteurs ne fut qu’un jeu d’enfant et l’intrusion des pirates se fit sans les regards indiscrets des travailleurs. Ensemble, ils chargèrent la caisse identifiée et préparèrent le navire puis l’heure des adieux arriva. - Merci pour tout, sans ton appel, la marine nous aurais pincé et avouons-le, nous n’aurions pas résisté. Voilà ton argent, je crois que le tout en vaut bien la peine. - Merci, votre sens de l’honneur vous distingue des imbéciles de cette ile. - Ce n’est rien après tout, j’obtiens une magnifique figure de proue pour mon gros navire! Mais toi, dis-moi, que fais-tu maintenant? - Je n’aimerais pas abuser, mais avec votre argent, je m’imaginais bien fuir avec vous, de plus mon aide sera précieuse pour souder les deux morceaux ensemble. - Rien ne nous ferait plus plaisir de vous accueillir à bord! dans se cas, ALLER LES GARS, ON DOIT SE RENDRE À LA PROCHAINE ILE! |
_ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _________
Informations IRL
- Prénom : Alexandre le magnifique pour les intimes
- vous voulez savoir se qui se cache sous la cape ? :
Âge : 18ans, bientôt 19 -> 4/10/93
Aime : Le Rp, l'ébénisterie, ma copine, dessin, graphe, sport, etc.
N'aime pas : les gens qui ne sont pas sérieux, et mon déficit d'attention...
Personnage préféré de One Piece : Zoro pour le style, Luffy pour le comportement et franky pour sa diversité
Caractère : toujours heureux, j'aime la diversité !
Fais du RP depuis : 2ans bientôt
Disponibilité : généralement je passe tous les jours, je post dans la journée, mais comme tout le monde il m'arrive d'avoir des sorties moment intime hors ordinateur, dans ses cas la je préviens mes compagnons.
Comment avez-vous connu le forum? : je n'ai rien à cacher, donc voilà c'est dur, mais c'est google ...
Dernière édition par John D’Artagnan le Mar 25 Sep 2012 - 15:41, édité 9 fois (Raison : modification titre)