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Shishou Iwa

>> Shishou et Iwa


Shishou Iwa Shisho10

Pseudonyme : Pas de pseudo.
Age: 36 ans pour Shishou et 30 pour Iwa.
Sexe : Hommes
Race : hommes poisson
Rang :

Métier : Navigateur
Groupe : Pirates, même si le terme ne nous semble pas très adéquat.
Déjà un équipage : Les Etrangers
But :
-Pour Shishou: Devenir l'égal du plus grand auteur dramaturge de tous les temps: Fishman Fakespeare.
-Vivre libre ou mourir (mais le plus tard possible).
- Pour Iwa: Trouver l'île des papillons.


Fruit du démon ou Aptitude pour la suite : Beurk! Après on coule.
Équipements : des livres.

Codes du règlement (2) :

Parrain : Red.

Ce compte est-il un DC ? : oui
Si oui, quel @ l'a autorisé ? : Toji/ Red

>> Physique

-Bonjour chères lecteurs, je suis Shishou, pour vous servir et mon grand ami sur lequel je suis perché se prénomme Iwa, tu dis bonjour Iwa ?

-Bonjour…

-Parce que la plus élémentaire des politesses impose que nous nous présentions, commençons d'abord par nous décrire physiquement.

Pour ma part, je suis un homme poisson de l’espèce des pieuvres et comme vous l’avez probablement remarqué, je n’ai malheureusement pas un physique de rêve, et pour cause, je suis atteint d’une maladie rare chez les hommes poissons, la « Piscicotrophie Sclérosante », c’est une maladie génétique très handicapante qui empêche la croissance des petits alvins et qui me fait plus ressemble à un supion géant qu’à un véritable homme pieuvre, il n’y a malheureusement rien à y faire, la vie est ainsi faite.
Ma masse cérébrale représente quatre vingt quinze pour cent de mon poids, ce qui fait de moi une tête molle montée sur huit petits tentacules atrophiés. Cela me rend extrêmement faible lorsque je suis séparé d’Iwa, je me déplace à la vitesse d’une limace sur terre et à peine plus vite dans l’eau. Ceci dit mes ventouses sont suffisamment puissantes pour rester accroché à Iwa lors d’un choc par exemple, et, je garde comme tous ceux de mon espèce la capacité de cracher de l'encre au visage des importuns. Pour tenter d'échapper à l'image d’un simple calamar à la peau rougeâtre peu charismatique, j’ai opté pour le port de la moustache et d’un élégant chapeau melon.

Iwa lui, c’est une force de la nature, il appartient à la race des Hommes Thon.
Je n’ai jamais rencontré quelqu’un d’aussi fort, il pourrait broyer le crâne d’un humain avec deux doigts, probablement sans forcer, il est physiquement capable d'accomplir des travaux herculéens! Du haut des ses trois mètres on à une très jolie vue. Peu de gens osent l’approcher, au corps à corps, il est redoutable. Ceci dit il ne se bat que si je lui demande car il est de nature douce et gentille, n’est ce pas Iwa ?


-Oui, Shishou. Shishou c’est mon copain, je l’écoute tout le temps.

-Ses gouts vestimentaires sont discutables, il s'affuble en permanence une chemise hawaïenne bleu et blanche ainsi qu’un slip de bain noir avec des étoiles blanches cousues dessus, il trouve que cela se mari bien avec sa peau bleutée.

-C’est bô hein !? J'aime les étoiles…

-Comme Shishou distingue mal sa droite de sa gauche, nous avons décidé de lui faire tatouer un symbole sur chaque avant bras; un papillon sur le bras gauche et un escargot sur le bras droit. Ainsi, lorsque nous devons aller à gauche, je lui demande d'aller "Coté papillon" et lorsque nous devons aller à droite, "coté escargot", je précise que c'est Iwa qui a choisi les motifs.



>> Psychologie

-Dame nature est parfois capricieuse car le pauvre Iwa à une malheureusement une capacité cérébrale inversement proportionnelle à ses qualités physiques. Je vous explique:
Iwa est profondément simplet, il doit avoir environ quatre ans d'âge mental, il s'exprime avec difficulté et a énormément de mal à comprendre le monde qui l'entoure. Sans moi, il serait incapable de prendre la moindre décision, aussi placide qu’une huitre, tout juste bon à brouter des algues. Il se contenterait probablement d’obéir à la première personne venue comme c’était le cas lorsque je l’ai rencontré, et il faut savoir qu'Iwa aux ordres d’une personne mal intentionnée, cela peut être absolument terrifiant. Les notions de bien et de mal sont pour lui assez floues et il a besoin d'être guidé en permanence.
Iwa est végétarien, il se nourrit d’algues, de légumes et de fruits, surtout des fruits, il est friand. Il lui est bien arrivé quelques fois de manger de l’humain, mais je vous prie de croire que c’était purement accidentel. Iwa adore tout ce qui vole, les papillons en particulier, il peut rester des heures à en regarder un en bavant.


- Moi, je peux pas voler, ma maman, elle est au ciel, si je savais voler, j’pourrai la revoir. J’aime bien les loutres aussi.

-Ah oui, mille excuse mon ami, il aime aussi les loutres.

Il parait que sur Grand Line, il existe une Ile peuplée des plus merveilleux papillons du monde, j’aimerai lui faire plaisir et trouver cette île.
Quand à moi, je suis de nature calme et posée, j'apprécie les gens bien éduqués et les conversations enrichissantes. Je suis omnivore mais j’ai cependant un faible pour le gelly à la menthe, le pudding et le thé, surtout le thé à la bergamote, je le prends tous les jours, à seize heures.
Ce que j’aime par-dessus tout le Théâtre, en particulier l’œuvre de Fishman Fakespeare, dont je suis un grand fanatique, « Hôtel Eau » est probablement sa plus grande réussite. J’aime à penser qu’un jour je serai un auteur à sa hauteur, si je puis m’exprimer ainsi. Je n’ai pour moi que mon cerveau et j’ai donc décidé de le mettre à profit, j’aime me cultiver, écrire et lire. J’aime la poésie comme la cartographie, en fait je m’intéresse à tout ce qui se lit. J’aime aussi les mots d’esprit ; lorsqu’une situation est grave, rien de tel pour détende l’atmosphère mais surtout, le plus important, c’est garder son calme en toute circonstance.
Ma connaissance de la cartographie me vient du temps ou j'étais esclave sur le Jolly Cœur.


-Shishou, il à la flemme.

- Non Iwa, on dit le flegme.

-Ah…

-Nous avons trouvé une sorte d’accord Iwa et moi, Nous sommes physiquement dépendant l’un de l’autre. Je suis la tête, il est le corps, nous prenons soins l’un de l’autre, tous les jours nous faisons quelque chose l’un pour l’autre et tous les jours je remercie le ciel de m’avoir donné un ami comme Iwa.

>> Biographie


Je suis né en 1588 sur l’ile des hommes poissons. Mes parents étaient d’une puissante famille proche du Roi Manboshi 1er, fils du Roi Neptune. J’ai grandi (façon de parler) dans un contexte privilégié où j’ai reçu à la fois beaucoup d’amour et la meilleur des instructions.

-Shishou, il sait tout plein des choses.

-Merci Iwa, c'est gentil.

A défaut d’être valide, il fallait au moins une tête bien remplie. J’ai passé des centaines heures à étudier aussi bien les classiques de Fakespeare que la géographie marine ou les mathématiques, la physique quantique, la cuisine de chez Granny, etc...
Mon père était fier de moi, c’était un Octopus de fort belle taille, un gaillard, mais aussi un homme de savoir. Il me disait souvent que l’instruction était l’arme des Hommes-Poissons civilisés, que la force physique pouvait parfois pâlir devant la force des mots, j’ai mis du temps à comprendre cela.
Malgré toute l’attention de mon père et tout l’amour que me portait ma douce mère, une pieuvre d’une grande beauté, je souffrais d’être prisonnier de ce corps placide, il est affreux de ne pouvoir se déplacer à sa guise, de voir nager et jouer les autres enfants tandis que vous êtes condamné à l’immobilisme, ou presque, je ne le souhaite à personne. Je n’avais pas d’amis, personne ne voulait passer du temps avec un petit poulpe atrophié. Ma seule compagnie était celle de mes parents, des précepteurs et de mes livres. Mes livres, quelles merveilleux amis.
Souvent je rêvais les yeux ouverts d’aventures et de grands voyages, je lisais et relisais les aventures du Borgo le pirate,de Momo le hareng sanglant, de l’équipée sauvage, des trois frères kaizoku, et de Flint le Barracuda, celui qui disait que son plus grand trésor était sa liberté, celui dons les voyages le menait partout sur Grand Line. Le roman racontait qu’il avait trouvé All Blue, pour s’y rendre il fallait d’abord passer par l’ile des papillons, sur Grand Line, j'ai souvent raconté cette histoire à Iwa, pendant qu'on était prisonniers.


-Shishou, J'voudrais bien y aller sur l'ile des papillons.

Moi je restais prisonnier de ma chambre, incapable de me déplacer sans l’aide de quelqu’un. J’ai vécu ainsi jusqu’à mes treize ans, reclus comme une amibe dépressive. Plus le temps passait plus mes rêve de voyage se faisait forts, le rêve, je n'avais que ça. Même si mes parents, m’emmenaient quelque fois en promenade, je restais désespérément prisonnier de mon corps, je le haïssais ce corps malingre.
A cette époque, à l’âge où tous les autres Hommes-Poissons ne pensent qu’à s’amuser, je restais dans cette grande bibliothèque qu’était devenue ma chambre, j’aurais tellement voulu un ami. J’aurai pu vivre ainsi pendant des années, je m’y étais même résigné, mais le destin en décida finalement autrement.

Je n’étais pas sans savoir les malversations politiques qui agitent le royaume vieillissant des Hommes- poissons. Mon père, éminent défenseur de Mamboshi 1er n’avait probablement pas que des amis.
Un soir, alors que je dormais paisiblement, j’ai entendu un bruit dans mon sommeil. Je me suis réveillé et j’ai vu cette grande ombre penchée sur mon lit. Une ombre gigantesque, couverte d’une cape sombre et d’un large chapeau, j’étais terrorisé, et j’ai entendu sa voix comme sortie d’outre tombe, cette voix, je ne l’oublierai jamais, elle m’a dit:



-Pas de chance petit, t’es pas tombé dans la bonne famille.

Sans que je puisse faire quoi que ce soit, elle m’attrapa d’un geste brusque par les tentacules et m’enferma dans un sac de toile.

J’ai été ballotté pendant plusieurs heures, tantôt dans l’eau, tantôt à l’air et j’ai fini par m’endormir. Quand je me suis éveillé, j’étais perché sur un hamac dans un endroit sombre et puant, l’endroit où je me trouvais ressemblait à une cale de bateau. J’étais enchainé par un anneau de métal qui se prolongeait par une chaine de fer vissée dans une poutrelle.


-Alors t’es réveillé ?

L’homme à la cape et au chapeau se tenait derrière moi, c’était un humain, il avait le visage à moitié brulé, un vrai monstre, dans tous les sens du therme.

-Tu me trouve laid hein ? Et bien t’as rien à m’envier Nabot. Faut que tu saches que maintenant tu vas bosser pour moi, t’as pas intérêt à faire de vague si tu veux pas que j’t’étripe et que je te fasse frire.

-Oui, il était pas bô le « fossoyeur ».

-Effectivement Iwa, et ce n’était pas son seul défaut, c’était un personnage particulièrement violent et cruel. J’étais à présent prisonnier sur le Jolly Cœur, un bateau de forbans spécialisés dans le fret des esclaves de Shabondy vers les Blues, j’étais passé d’une prison à une autre.

-Oui, parce que avant, Shishou et moi, on était des enclaves.

-On dit des esclaves Iwa, pas des enclaves.

-Ah…

-C’était en effet le cas, j’avais été raflé pour d’obscures raisons tout comme mon ami Iwa, à cette époque, il n’avait que sept ans mais mesurait déjà un bon mètre quatre vingt pour cent kilos, il était déjà redoutable.Je ne sais pas exactement quelle histoires a pu vivre Iwa, il semble que lui-même ne le sache pas. Pour tout vous dire, nous ne sommes pas certains de son age. Le Jolly Cœur n’était pas un bateau de croisière, les hommes étaient violents, incultes et surtout terriblement mal élevés, aucun savoir vivre mais, nous avions cependant trouvé sur ce navire une place de choix; moi comme cartographe, Iwa comme homme de main. La docilité d’Iwa en faisait une parfaite marionnette soumis aux ordres du « fossoyeur » et, pendant qu’il me forçait à rédiger des cartes marines toute la sainte journée, que j’écrivais à m’en faire saigner les ventouses, Iwa lui obéissait aux ordres les plus vils du « fossoyeur ».

-Avant, le fossoyeur, c’était lui mon copain, il demandait toujours que je porte des trucs, ou que je tape des gens. Shishou lui, il est plus gentil, il me tape pas avec le fouet qui pique, il s’occupe de moi, le fossoyeur c’est plus mon copain.

-Durant cette triste période, nous avons parcouru les cinq mers et nous avons vu passer beaucoup d’esclaves, de Saint Urea en passant par luvneel, il est probable que beaucoup soient en train de piocher dans une mine de charbon, ramer sur une galère ou soient simplement morts.

-Ils sont au ciel, c’est ça ?

-Oui Iwa, probablement pour la plupart. Nous, nous pouvions nous estimer chanceux, je dessinais des cartes, tracais des routes maritimes et Iwajouait les gros bras pour le bon plaisir de l’équipage, mais cela valait mieux que de finir entre les mains du capitaine ou d’un de ses sbires, je vous le garentis.
Le temps à passé, presque dix années pendant lesquelles je n’avais d’autre choix que celui d’obéir et de regarder les horreurs qui se tramaient ici.
Iwa avait bien grandi, il dépassait les trois mètres, parfois je discutais avec lui la nuit tombée, souvent de pas grand-chose, nous nous entendions bien.


-Ma maman elle disait que ma cervelle est comme celle d’une huitre, c’est très joli les huitres, ma maman, elle devait bien aimer les huitres, c’est pour ça qu’elle disait ça ! Elle disait aussi qu’il fallait que je me trouve un copain pour m’aider, parce que ça sert à ça les copains, Shishou, c’est mon meilleur copain parce qu’il fait que des trucs gentil pour moi et il aime pas trop quand je tape les gens, surtout quand je les envoie au ciel. Aller au ciel c’est quand on dort longtemps et qu’on arrive pas à se réveiller.

-Un jour, ou plutôt une nuit, nous avons été réveillé par des coups de cannons, Iwa était avec moi ce soir là, puis on à entendu des bruits de bataille sur le pont superieur, des cris et des coups de fusil !
La bataille à duré une heure et le calme est revenu, on a entendu des pas dans l’escalier, te rapelles tu Iwa ?


-Oui, j’savais pas quoi faire parce que « le fossoyeur » il était pas là alors j’ai demandé à Shishou, il m’a dit que je devais faire ce que je voulais, alors comme je savais pas ce que je voulais, j’ai rien fait.

- Que pouvait-il se tramer, je n’en savais rien. J’avais à la fois affreusement peur mais j’étais également très excité, puis la porte c’est ouverte, et trois grandes silhouettes sont entrées Le premier, un humain gigantesque, presque de la taille d’Iwa entra. Il était très musclé, torse nu avec un sarouel blanc, sa peau halée, burinée par le soleil dégageait une odeur de monoï, il était aussi chauve que moi et portait une grande barbe blanche qui touchait presque le sol, il était couvert de cicatrices, et il avait la prestance d’un prince.
Il nous parla d’une voix profonde et chaude.


-Comme les courants marins ?

- Non Iwa, je parles au sens figuré, c’est une image !

-Ah… Elle est où l’image?

- Euh, je t’expliquerai plus tard hein ? Où en étais-je ? Ah oui, alors il nous à dit :

-Vous êtes libres…

Je ne pouvais y croire, j’ai donc avalé ma salive et ai osé :

-Messire, sommes nous réellement libres mon ami et moi ? Et si c’est bien le cas, puis je vous demander quel est le nom de nôtre sauveur ?

Sur le coup, je n’étais pas certain d’avoir bien fait de poser la question, le silence se fit un instant et le géant répondit:


-Je suis Shamus White, Commander de la flotte libre des Polar bears.

Un type tout mince habillé entièrement de blanc c’est approché, il a dégainé une épée et a tranché nos chaines d’un geste, Iwa m’as regardé et m’a dit :

-Qu’est ce qu’on fait Shishou ?

-Et bien si tu n’y vois pas d’inconvénients, je souhaiterai que tu me prennes avec toi et que nous montions ensemble.

Iwa, m’as pris dans ses bras et nous sommes montés, partout les corps de nos anciens geôliers jonchaient le plancher, sur le pont principal, « le fossoyeur » gisait dans son sang, à ses cotés le capitaine et les hommes du navire, tous inanimés, les seuls personnes vivantes sur le pont étaient l’équipage de Mr White et les esclaves remontés des cales, nos sauveurs étaient tous habillés en blanc, exception faite de quelques taches carmines.
Shamus monta sur la dunette arrière et s’adressa à nous :


-A vous tous qui étiez esclave je rends la liberté, c’est ici sur les mers d’East Blue que prend fin votre captivité, ce bateau, le Jolly Cœur est à présent le mien, que tous ceux qui le veulent se joignent à nous, pour les autres nous serons bientôt en vue de Cocoyashi ou nous vous débarquerons, quel que soit votre choix, nous ne vous demandons qu’une chose, de dire à qui voudra l’entendre que les pirates sont avant tout des hommes libres...

Autour de nous s’étendait la mer et près du Jolly Cœur, deux autres navires aux couleurs de White. La mer était magnifique, je l’ai contemplé alors que le soleil se levait, jamais je n’avais vu plus beau spectacle, à nos pieds s’étendait la liberté, l’occasion unique de vivre les aventures de mes héros de romans.

-Shishou, tu voudrais pas être mon copain ?

-Oui Iwa,bien sur que je veux être ton copain et si tu veux, on prendra soins l’un de l’autre, et on vivra des aventures extraordinaires.

-Euh… D’accord.

Alors deux jours plus tard, on a débarqué à Cocoyashi, Shamus nous a tous regardé descendre, les bras croisés il nous à adressé un clin d’œil quand on est descendu à terre, c’était la première fois qu’on me portait de la considération, c’était également la première fois qu’on voyait une ile, une vraie, c’était exactement comme dans les romans.
Puis la flotte des Polar Bears à mis les voiles, et on s’est retrouvé, Iwa et moi, seuls et libres. On a vécu de petits boulots portuaires, y’avait toujours du travail pour nous, peux d’humains avaient la force d’iwa. On s’entendais vraiment très bien, une très grande complicité est née entre nous. Nous avons pris le temps de bien de nous connaitre, mettant au point des codes pour que nous nous comprenions lorsque je lui demandais de faire des choses. Certes nous avons du fuir quelques villes, les hommes poissons ne sont pas toujours les bienvenus, en particulier Iwa envoyait un malotru à l’hôpital, mais dans l’ensemble, tout se passait bien.
On a parcouru les Blues, allant de ports en ports, arpentant les docks, avide de voyages et d’aventure, j’étais en train de vivre ce que j’avais cru inaccessible, une vie faite de liberté, de livres et de thé (tous les jours à seize heures). Notre nouvelle vie semblait beaucoup plaire à Iwa.


-Oui, j’aime me promener, et taper les humains aussi des fois, c’est rigolo.

-Oui Iwa, n’oublie pas, nous nous sommes mis d’accord pour ne nous battre que lorsque cela était inévitable n’est ce pas ?

-Euh oui, c’est toi qui me dis Shishou…

Nous avons mis au point des techniques de combat Iwa et moi, elles nous ont sauvé la mise plus d’une fois, car ce monde est également dangereux, lui et moi formont une sacré équipe.
Je me suis toujours demandé ce qu’étaient devenu mes parents, certes ils me manquaient mais pour rien au monde je ne renoncerai à cette vie, je voulais en voir toujours plus, en savoir toujours plus et peut être un jour, revoir Shamus, si un jour avec Iwa je devenais un pirate, j’aimerai lui ressembler. Iwa lui il était tous les jours plus radieux il apprenait de nouvelles choses chaque jours.
Voila, cela fait treize ans que l’on se balade sur les bleus tous les deux et j’ai déjà bien des histoires à vous compter, des anecdotes à raconter. L’aventure ne fait probablement que commencer.


-Shishou ?

-Oui Iwa?

-Je t’aime beaucoups.

-Moi aussi mon grand.





>> Test RP

Fiche en relecture...


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Informations IRL

    Prénom : Sylvain

    Age : 37

    Aime : la musique, les chats, les sages tibétains.

    N'aime pas : les moustiques tigre, les cimetières indiens, kikou et lol.

    Personnage préféré de One Piece : Zoro, Mihawk.

    Caractère : Pour faire court, je souffre du syndrome de Peter Pan.

    Fais du RP depuis : Longtemps sur papier, pas longtemps sur le net.

    Disponibilité : de 2 à 6 selon le travail IRL

    Comment avez vous connu le forum ? C'est tonton Red.



Dernière édition par Shishou Iwa le Dim 30 Sep 2012, 22:09, édité 8 fois
    Pour la forme, rebienvenue Shishou. Chouette avatar, comme toujours. Tu connais la musique. Up quand tu as fini pour le test rp.
    • https://www.onepiece-requiem.net/t2303-fiche-du-vieux-pludbus
    • https://www.onepiece-requiem.net/t2255-toujours-pas-six-pieds-sous-terretermine-meme
    Merci Plud, Je boucle ça cette semaine et je préviens pour mon test.
      Voila, je veux bien mon teste RP please.
        Salut Sam, voilà ton test.

        Une nuit un peu trop sombre où on marche presque à tâtons, un peu trop sans étoiles dans le ciel, un peu trop fatiguée, un peu trop "arf, on aurait peut-être dû penser à prendre une lampe"... Dans une rue bientôt mal famée comme il y en a souvent dans les docks, tu dis à Iwa de prendre côté papillon pour vous rendre là où vous deviez vous rendre. Seulement, bien évidemment, la nuit tous les tatouages sont gris, alors il prend... à droite. Et tu n'as pas le temps de lui rappeler que, non, quand c'est enroulé comme ça c'est un escargot, et que c'était de l'autre côt-Tu n'as pas le temps.

        Vous voilà tous deux partis pour une nuit bien mouvementée, on dirait. Une nuit à base de dents en or qui brillent dans l'ombre et d'odeurs de chique, de mauvais rhum et de scorbut naissant. Papillon c'était à gauche, Iwa, à gauche...


        Shishou Iwa 661875SignTahar
        • https://www.onepiece-requiem.net/t2280-
        • https://www.onepiece-requiem.net/t2249-
        Voici mon test, j'espère que cela vous plaira.


        _______________________________________________________


        Nous parlions d’anecdotes tout à l’heure, je vous propose ce commencer par celle-ci; Iwa et moi avons parfois un peu de mal à nous comprendre, un problème de communication nous a déjà conduit à des situations cocasses et parfois…dangereuses.

        Alors que nous trainions nos basques du coté de Southblue, sur Hinu Town pour être précis, Iwa et moi avions décroché un contrat de manouvrier grassement payé, le travail était particulièrement pénible. Une flotte de quatre navires à décharger en une journée, c’était un travail pour nous, mais un travail de titan, nous le fîmes bien et dans les temps, il n’était pas encore minuit lorsque nous finîmes.
        Travail achevé et berrys en poche, je proposai à Iwa de dormir à l’auberge pour une fois. Le capitaine de quais nous avez conseillé une gargote peu regardante de l’ethnie de ses occupants. Problème, l’endroit se situait de l’autre coté des docks, il fallait pour s’y rendre passer par ce que l’homme avait nommé « le quartier des ombres », un nom peu engageant.

        D’abord à droite puis à droite à nouveau et enfin à gauche, rien de plus simple croyais-je, si l’on ne trainait pas, nous y serions vite, je sentais déjà l’odeur du thé bien chaud et des petits fours, c’était malheureusement sans compter sur une nuit de poix et des ruelles mal ou pas éclairées. Dans ces quartiers, on ne croise que bandit, brigand, détrousseur, forban, malfaiteur, pillard, pirate, scélérat, truand, vaurien, voleur ou autres dépouilleurs à la petite semaine.
        J’ai hésité un instant avant de demander à Iwa de s’avancer, mais la perspective d’une nuit dans un bon lit, au chaud finit de me décider, nous traverserions les Ombres.
        J’ai demandé à Iwa de s’avancer au cœur de la petite ruelle boueuse qui donnait sur un océan de ténèbres (pardonnez moi si j’en rajoute un peu, c’est mon côté Fakespearien).

        Aller d’abord coté escargot puis escargot à nouveau, nous avancions presque à tâtons, c’était la nouvelle lune, et l’endroit déjà peu rassurant l’était bien moins encore sans lumière. Damned, une lampe n’aurait pas été du luxe.

        -Euh, Iwa, on va côté papillon maintenant.

        Iwa tourna à droite et continua à s’avancer.
        J’avoue que je n’étais pas très rassuré, là, j’étais pressé de sortir de ces ruelles qui empestaient la maladie comme les problèmes.
        Hein ? A droite ? Mais c’était à gauche !

        -Iwa ! J’ai dit papillon ! C’est à gauche Iwa, à gauche, là tu es allé à droite ! Tu sais l’escargot…

        -Ah… Désolé Shishou, c’est qu’il fait noir alors j’pouvais pas regarder les tatouages.

        Alors que je demandais à Iwa de faire demi tour, la nuit se fit soudain moins dense, on y voyait plus clair d’un coup.
        Devant nous luisaient à présent des torches, elles éclairaient une quinzaine de bonshommes à la mine angoissante, aux chicots noirs de chique et à l’odeur de musque, option rhum frelaté. Ils étaient tous relativement moches et leur sourire sardonique n’avait vraiment rien d’aimable.
        Je n’étais pas du tout rassuré rassuré, tous ces gens ne semblaient décidément pas très affables. Iwa lui, ne semblait pas leur prêter attention, il plongé dans l’observation de ses tatouages.

        -R’gardez donc c’que l’vent nous amène les gars, un p’tit calamar haut perché sur un gros bonhomme bleu, héhé.


        -Oups, héhé, bien le bonsoir Messieurs, à vrai dire nous ne faisons que passer, nous ne dérangerons pas, c’est promis. Répondis-je.

        -Z’êtes probablement pas du coin pour qu’vous vous faufiliez comme ça sur l’territoire des Ombres.

        Le probable chef de cette fine équipe venait de sorti un couteau plus que douteux, probablement porteur de germes hautement pathologiques vu l’état du couteau, peut être même les siens ce qui devenait encore plus effrayant ! Damned !
        Nous voici dans un sacré bourbier.

        -Z’etes pas chez vous ici les drôles, alors va falloir mettre la main à la poche pour pas qu’on vous abime trop héhé !

        Les brigands semblaient accourir de tous les coins, ils étaient près d’une trentaine à présent, hommes femmes ou enfants. Tous semblaient prêts à en découdre armés de serpes, de poignards, de fourches rouillés.

        Une voix se fit entendre de loin :

        -Vas y Jacot, coupes leurs les couilles !

        Ah, l’affaire semblait se compliquer, je n’avais vraiment pas envie d’une échauffourée, je me retins pour ne pas laisser échapper une giclée d’encre. Je n’avais pas envie qu’Iwa risque une blessure.

        -Euh, si vous le permettez messires, et avant d’envisager une émasculation, il serait peut être préférable de réfléchir à une solution plus diplomatique? Après tout nous sommes entre gens de bonne éducation, je suis certain une solution amiable doit être envisageable, n’est-ce pas ?

        Fort peu convaincu par mon allocution, je vis alors mon interlocuteur prendre une mine renfrognée.

        - V’la qu’y nous cause étranger celui là ? Z’avez compris quequ’chose ?

        Un brouhaha unanime lui répondit :

        -NON !

        -C’pas bin compliqué les drôles, ici personne y vient sans envoyer les fafiots, chuis bin sur qu’y a du gras, alors on déroule parce que sinon j’m’en va vous suriner quequ’chose de grandiose.

        L’homme parlait un argot incompréhensible…Je devinais cependant un possible rapport avec sa tentative d’extorsion de fond.

        -Shishou ? On les tape ?

        - Non Iwa, nous sommes des gens civilisés et nous ne nous battrons que si nous n’avons aucune autre alternative.

        -Ah bon, tant pis.

        Je repris la conversation et tentait de m’exprimer dans un langage clair et concis.

        -Auriez vous l’amabilité de nous conduire à une personne ayant autorité sur vôtre euh, disons caste ?

        L’homme resta coi.
        Voyant que ce dialogue ne menait à rien, j’optai pour une version plus primitive.

        -Moi…désire…voir…chef…vous…

        Jacot se gratta le front lors qu’un éclair de lucidité sembla lui illuminer le visage.

        -J’crois qu’on va les mener voir la patronne, p’tet qu’elle y comprendra mieux qu’à moi.

        -Je crois que ce coup-ci, nous avançons Iwa.

        Et c’était le cas, toujours sous la menace de leurs armes, nous emmenés dans les ruelles malodorantes du quartier des ombres. Nous y croisâmes, malades, estropiés, mendiants tous sals et puants pendant plus de dix minutes dans un véritable dédale. Au bout d’un temps, nous parvînmes à une grande maison de bois, on nous invita à y entrer rudement, Iwa du se courber de moitié pour passer sous le seuil, nous fumes suivis de près par la troupe de mauvaise augure. La pièce était peu éclairée, remplie de tout un tas de choses, de papiers, de livres, de bocaux plein de je ne sais quoi, il flottait dans l’air une odeur de moisi.

        Au milieu de la pièce, il y avait une table à laquelle la femme la plus ridée que j’ai jamais vue se tenait accoudée. Ses cheveux gris et emmêlés lui tombaient jusqu’aux épaules, elle était vêtue de guenilles.

        -Qu’est que tu m’amène, le Jacot ?

        -Deux clampins qu’on comprend pas bien comment qu’y causent, j’peux même pas leur faire comprendre qu’y faut envoyer l’grisbi!

        - Et vous ne pouviez pas les tuer tout simplement ?

        - Bah c’t à dire que l’pécore à la peau bleu, l’est probablement pas facile à tomber, alors on s’disais nous autre que t’y pourrait p’tet leur expliquer qu’il vaut mieux se laisser faire.

        La vieille se redressa et s’adressa à nous :

        -Peut être que son parler vous échappe mais il s’agit de vous détrousser Messieurs.

        -Ah, il m’avait bien semblé comprendre… Avons-nous une alternative avant de passer à la partie martiale Madame ? Madame comment ?

        -Chuis Mémé Malandrin, c’est moi qui chapote le quartier. Z’auriez tout intérêt vous autres au joli parler à déposer vot’ monnaie sur la table avant qu’on vous déleste par nos propres moyens.

        -Shishou ? On les tape?

        Aux paroles d’Iwa, tous avaient esquissés un pas en arrière, a bien les regarder, ils avaient l’air aussi peu rassurés que nous. Il était cependant hors de question que quelqu’un nous vole, question de principe.

        -Non Iwa, voyons si nous pouvons régler le litige autrement.
        Hummm, Madame Malandrin, il va s’en dire que si vous donniez l’assaut, peut être mettriez vous la main sur notre argent, mais il est probable que vos hommes ne s’en tirent pas à très bon compte, mon ami est plutôt fort… Pouvons-nous négocier.


        Mémé Malandrin se gratta les quelques poils qu’elle avait au menton et reprit la parole :

        -Bien les drôles, alors je vous propose un défi…

        Le silence se fit dans la pièce, Mémé Malandrin boitilla jusqu'à un coin de la pièce et du fond d’un placard sortit un gros bouquin poussiéreux. Qu’elle revint poser sur la table, sur la couverture était écris en lettres d’or; Encyclopédie du tout et du rien. Mémé ouvrit le livre et prit un air grave.

        -Etranger, puis qu’il semble qu’un combat n’arrange ni vous ni nous, je vous propose une épreuve, je vais vous poser trois questions au hasard et vous tenterez d’y répondre, si vous réussissez, vous serez libre de repartir comme vous êtes venu, si vous échouez à une seule question, vous devrez partir en laissant vos berrys.

        Mémé ne semblait pas idiote, elle s’en remettait au hasard, en cas de défaite, elle pourrait toujours expliquer que nous avons eut de la chance, ainsi elle ne perdrait pas la face.

        -Nous relevons votre défi madame Malandrin.

        La salle était d’un silence de mort, mémé nous toisa de son mauvais œil avant d’ouvrir le livre à une page au hasard et sans nous lâcher du regard, fit glisser son doigt calleux sur les pages jaunies, puis elle s’arrêta net.

        -Première question petit calamar rouge, tu n’as droit qu’à une réponse alors pèse bien tes mots:

        Pourquoi un fouet claque t’il ?


        Mémé avait l’air plutôt contente d’elle, la réponse était pourtant évidente.

        -Le fouet claque lorsqu’il passe le mur du son.

        La vieille regarda le livre, le lu un instant et déclara d’un air renfrogné

        -C’est juste !

        Elle rouvrit le livre au hasard et choisit une nouvelle question:

        -Quel est le seul mammifère à posséder quatre genoux ?

        C’est à ce moment là que les cours de biologie qui vous semblaient tellement ennuyeux lorsque vous étiez enfant vous paraissent soudain magistraux.

        -C’est l’éléphant.

        Mémé, toujours renfrognée, grommela un juron incompréhensible avant de nous répondre :

        -Bonne réponse.

        Je penchais ma tête vers Iwa et lui fit un clin d’œil, il me répondit avec un sourire naïf.

        -Je pose ta troisième question et cette fois, je crois qu’les choses se corsent…

        Quelle théorie est une théorie traitant de l'une des questions de physique théorique: fournir une description de la gravité quantique c’est-à-dire l’unification de la mécanique quantique et de la théorie de la relativité générale.


        J’affichais alors un sourire satisfait à l’énoncé de la question, mon père avait raison, un tête bien pleine, c’est important :

        -Il s’agit de la théorie des Cordes.

        Mémé Malandrin semblait autant vexée qu’en colère alors que l’auditoire commençait à chuchoter.
        Elle leva les mains et le brouhaha stoppa.

        -C’est effectivement la bonne réponse… Mais voyons maintenant comment va s’en sortir ton ami.

        Mémé me regarda d’un air satisfait.

        -Hein ? mais j’ai répondu aux trois questions !

        -Toi oui, tu es déjà libre de partir mais ton ami aussi doit répondre, et je ne te conseille pas de lui souffler les réponses.

        Mince, piégé, je n’avais pas vu les choses sous cet angle, je crois qu’on pouvait faire une croix sur nos berrys.

        -Iwa je te laisse répondre du mieux que tu peux.

        -D’accord Shishou.

        Iwa, les pieds en dedans, le regard bas, mis le bout de ses indexes en contacte dans un reflexe enfantin.

        -Je commence Gros Bleu, tu es prêt ?

        -Oui

        -Dans un célèbre paradoxe, les éléments associés à la poule sont les ?

        -Euhhhh…

        Mémé écarquilla les yeux et grogna…

        -Les œufs, bonne réponse...

        La salle commençait à se chauffer d’impatience, l’ambiance était pesante

        -Voici la question suivante, cette fois tu es cuit :

        Quel est le résultat de la formule suivante :cos²x + sin²x


        -Hein ?

        Mémé avala de travers et manqua de s’étouffer. Elle avait probablement parié sur l’échec échec d’Iwa, c’était sans compter sur un coup de pouce du destin.

        -Un, c’est encore une bonne réponse.

        Je n’en revenais pas, Iwa avait trouvé deux réponses sur les trois. Mémé Malandrin fouilla frénétiquement dans le livre puis se redressa.

        -Voici ta dernière question, si tu réponds, vous aurez remporté mon défi.

        Quel est le nom des fermions que la théorie du modèle standard décrit, en compagnie de la famille des leptons, comme les constituants élémentaires de la matière.


        Iwa était pétrifié, il me regardait d’un air implorant, je connaissais la réponse, j’aurais voulu lui souffler mais c’était impossible, les quarks, Iwa ne trouverait pas par hasard.

        Après un long silence Iwa dit :

        -Je sais pas.

        Alors la salle s’enflamma des cris de joie des traine-misères, et Mémé ferma son livre, elle affichait un air fier et méprisant.

        -Allez, donnez le fric maintenant.

        Iwa me regardait d’un air navré, le pauvre bonhomme ne devait pas bien comprendre ce qui se passait, moi par contre, j’eu soudain une révélation, étais-je donc aveugle?

        -Faut que je donne les sous Shishou ?

        -Non mon ami.

        La salle se tut et Mémé me toisa d’un air suspicieux.

        -En effet Mémé car Iwa à répondu à trois de tes questions : tout d’abord les œufs, ensuite le un, mais avant cela, tu lui as demandé s’il était prêt à répondre, ce à quoi il a répondu oui, Iwa à donc répondu à tes trois premières questions…

        Mémé s’en décrocha la mâchoire, elle resta interdite un long moment. Ne sachant que faire, le regard vide, elle finit par dire :

        -Vous évez répondu à vos trois questions et je respecterai mon engagement, vous êtes libres de traverser le quartier des ombres. De plus, comme vous vous êtes montrés habiles, je vous accompagnerai moi-même…

        -Shishou ? On les tape pas alors ?

        -Non Iwa ce ne sera pas nécessaire, nous avons gagné nôtre droit de passage.


        -Ah, bon.

        Mémé, ses hommes et nous avons traversé les rues sombres, sans un bruit, au bout d’un quart d’heure, elle s’est arrêté et nous à regardé du haut de son mètre cinquante.

        -Voila vous êtes arrivés, c’est par ici et que je ne vous revois plus.

        J’ai regardé d'abord les malandrins et Mémé qui nous faisait face puis mon compagnon.

        -Bien joué Iwa c’est grâce à toi que nous nous en sommes bien tiré.

        -Ah bon ?

        -Oui.

        Perché sur l’épaule d’Iwa, je tendis un tentacule dans le vide.

        -Topons là mon ami.

        Sproutch…

        -Iwa ! J’ai dit Topons là pas tapons la !

        -Oh, zut, pardon.

        Iwa venait de réduire Mémé Malandrin en un vieux tas de chaire informe, elle s’agita de quelques spasmes avant d’expier dans un borborygme enroué…

        Je vous ai déjà dit à quelle vitesse pouvait courir Iwa ?
          Salut Sam, première voix pour toi et dernière préz pour moi de la journée, ça me va bien. Et toi ?

          Je dis "Sam", ça m'évite de choisir entre m'adresser à Iwa ou m'adresser à Shishou.

          Bon, et je disais que ça m'allait bien, parce que ça me va bien. Genre bien bien.

          Les descriptions sont parfaites d'humanité, la bio aussi, et je pense tout le point de vue "Shishou", en fait.

          Le reste, c'est références en cascade et/ou cette même sorte de style très léger que je retrouve quand je lis Red, sans pour autant qu'il ne te soit pas personnel, et vraiment c'est très très frais, merci pour l'instant de lecture. Pour te dire, je pensais lire ton test ce matin dans la foulée des autres, et puis finalement j'ai lu tout d'un coup hier soir quand j'ai vu que tu avais posté. La chute du test est juste parfaite, au passage. Moi, je serais toi, j'en serais fier. Mais bon, je suis pas toi, puisque je suis moi.

          Et moi étant moi, je plafonne à 800. C'est pas mal, 800. C'est le reflet de mon enthousiasme et du sourire qui vient aux lèvres à te lire, comme a dit Serg quand tu as posté tes descriptions. Je ne sais pas s'il passera donner un avis. J'aurais pu dire plus, j'ai été tenté de dire plus, mais il reste encore quelques malheureuses fautes qui me font penser que, ben, 800, c'est bien.

          Je te lis déjà avec Sam, je te lirai sous ce compte aussi. Bon jeu avec.


          Shishou Iwa 661875SignTahar
          • https://www.onepiece-requiem.net/t2280-
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          Salut vous deux, je passe pour votre deuxième avis !
          Et de même que pour Tahar, ça me va bien. Voir plus que bien. Je saurais pas comment dire que j'ai trouvé ça excellent. Certes, quelques fautes par-ci par-là, mais rien qui n'entache vraiment la qualité du récit. D'un bout à l'autre, j'ai trouvé ça parfait. La qualité, l'originalité, subjuguent tout ce qui pourrait éventuellement manquer à votre présentation. Je dis "votre", parce que vous êtes deux. Et autant l'un que l'autre, vous êtes géniaux héhé !
          C'est dur de faire des commentaires tout petit parce qu'on a rien à dire !
          Si le gars, là, il est sur du 800, moi, j'irai volontiers sur du 1000, mais c'est à voir avec le prochain qui passe.

          Juste au passage, vrai que vous faites pas tant Pirate que ça, pourquoi ne pas être civil ? Chez les étrangers, ça choquerait pas, et ça correspondrait, je pense, mieux à ces personnages ^^
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          Je viens valider pour un 800. Je n’ajouterai pas grand chose d'autre.

          Juste que tu m'as vendu du rêve durant cette prez. Les dialogues du géant viennent très souvent (tout le temps?) couper le p'tit pouple au moment où il faut pour re-dynamiser le tout et c'est vraiment bien pensé. Il ajoute une bonne touche d'humour et rend le tout encore plus sympa. Là où tu t'es surpassé, c'est vraiment le test rp où les différentes questions sont très bien pensées et assez compliquées pour en perdre les petits cerveaux comme le mien. Tu fais ressortir l'intelect du poulpe, la brutalité du géant. C'est totalement cohérent avec l'image que l'on se faisait des persos, bref, bravo.

          Je rajouterai juste un bémol. Ce qui fait que je ne te donnerai pas 1 000. Ce sont ces petites fautes qui viennent gâcher la lecture au milieu d'un grand ébaïssement. On va avoir un paragraphe parfait et là, au milieu, une phrase salement tournée qui nous fait sortir un court instant de la rêverie. Vraiment dommage parce que sans ça, ç'aurait été parfait.

          Bref, 800 D pour deux persos excellents.
          • https://www.onepiece-requiem.net/t3508-ishii-mosh
          • https://www.onepiece-requiem.net/t3356-ishii-mosh