Je venais de me cacher dans la calle de ce bateau pirate. J’étais sorti de cette ville infâme… Mais rien n’était encore gagné. Je ne savais pas trop où allait ce navire… A la prochaine île, il fallait que je sorte pour commencer ma vie d’aventure. Mais pour l’heure…
Clank ! Clank !
Ca commençait à secouer dur ici… Le bois craquait de parts et d’autres et j’avais même l’impression que ça devenait humide ici… Mais merde oui ça prend l’eau !!! Le bateau n’était plus de toute première jeunesse, mais quand même… D’après la montée lente de l’eau, c’était des petites fissures qui laissaient passer la flotte… trop petite pour trouver les sources de l’infiltration…
J’entendais les pas des pirates s’agiter au-dessus de ma tête. J’étais bien caché dans le fin fond de la calle, mais si je ne voulais pas mourir de froid ou noyé, il fallait que je remonte. J’ai pris l’échelle et ouvert doucement la planche de bois. Mes yeux se baladèrent autour de l’ouverturePuis, j’ai senti le poids d’un marin refermer le bout de bois avec mes doigts coincés sans que ce dernier ne s’en rende compte…
J’avais envie d’hurler et je commençais à gigoter comme une danseuse sur mon estrade de barreaux… Quand enfin la pression s’arrêta, j’ai ouvert rapidement la calle oubliant totalement ma discrétion, trop énervé par la douleur.
Ulcky : Bande de nazes ! Ca va pas ! Coincer mes doigts ! Mer... Ah … Euh… Bonjour, messieurs…
Devant moi trois mecs bien plus surpris que moi de voir un clandestin dans leur bateau, commençaient à sortir leurs lames dans un lieu un peu trop exigu … Ma tête touchait encore le plafond et se défendre ici… Galère…
Le premier court vers moi… enfin arrive au plus vite vers moi, car courir ici… Arrivé à mes pieds… Il tombe plus bas oubli totalement d’où je venais… Les deux autres s’organisèrent pour me prendre de côté… Là encore pas facile vu la largeur de la boite de sardines… J’ai empoigné des cordes posées non loin de moi et les ai lancées pour les ralentir. De mon côté direction la sortie arrière ! Et oui, en générale, on ne fait pas qu’une ouverture d’entrée ou de sortie !
Arrivé sur le pont, le vent soufflait plus que raison… J’avais du mal à me tenir en équilibre et ça hurlait de partout afin de maintenir un semblant de cap… Je profitais de ce désordre pour me trouver un autre endroit où me planquer… Mais je n’y voyais pas grand-chose… Je bousculais des gens de temps à autre laissant passer deux ou trois insultes… Enfin une vraie porte !
Derrière une cabine assez luxueuse et bien aménagée. Un lit doux et au coin… Une Baignoire !!!
Yuan : Youhou !!!!!! Tayo dans l’eau chaude !!!
Les huiles essentielles et la mousse me donnaient envie de faire un roupillon… En plus ca faisait berceuse avec les vagues… Mais J’ai vite déchanté quand le capitaine du navire arriva dans sa cabine et commença à hurler de colère en me voyant débordant de bonheur.
Capitaine : Tu es un HOMME MORD !!!!!!!!!
Yuan : Cool papy, t’as pas une serviette tiens ?
Un coup de sabre à la verticale en direction des bijoux de famille ! Juste le temps d’écarter les jambes et de comprendre que la baignoire était soit très fragile ou soit le sabre était hyper aiguisé. Malgré tout, la panoplie était intacte et à la vue de tous…
C’est le sourire aux lèvres que je commençais à courir partout dans la pièce à la recherche de mes vêtements et le couperet au cul ! A force, on était de plus en plus dans la pièce et moi de moins en moins à l’aise pour me trouver une issue… C’est le dos contre la vitre au fond de la pièce que je commençais à sentir le roussi…
Capitaine : Tu es fait comme un rat ! Il n’y a plus de sortie pour toi.
Ulcky : Euh oui, mais là il doit y avoir personne dehors à maintenir le cap du bateau, non ?
Un gros coup dans nos oreilles ! Le bateau venait de se fracasser sur un rocher ou autre chose d’ailleurs et c’est l’explosion de la vitre qui me donne une sortie « obligatoire », car j’avais été littéralement projeté dans l’eau…
A mon réveil, je dormais sur une planche de bois… Devant moi une montagne de débris en tous genres. Cela ne devait pas faire bien longtemps que j’étais ainsi, car déjà l’équipage de la baignoire semblait me chercher au loin… Comment ais-je deviné me diriez-vous ? Car quand j’ai entendu « Trouvé la Nouille ! », je n’ai pas trop cherché…
Je me suis caché plus loin derrière un tas de débris… Jusqu’au moment où une main calleuse m’empoigna l’épaule…
Clank ! Clank !
Ca commençait à secouer dur ici… Le bois craquait de parts et d’autres et j’avais même l’impression que ça devenait humide ici… Mais merde oui ça prend l’eau !!! Le bateau n’était plus de toute première jeunesse, mais quand même… D’après la montée lente de l’eau, c’était des petites fissures qui laissaient passer la flotte… trop petite pour trouver les sources de l’infiltration…
Ulcky : J’espère que ça va s’arrêter ici.
Yuan : Pourquoi tu dis ça ? Ca prend l’eau, donc ça monte et ça va couler ?!
Ulcky : Pas si on bloque le passage…
Yuan : Pourquoi tu dis ça ? Ca prend l’eau, donc ça monte et ça va couler ?!
Ulcky : Pas si on bloque le passage…
J’entendais les pas des pirates s’agiter au-dessus de ma tête. J’étais bien caché dans le fin fond de la calle, mais si je ne voulais pas mourir de froid ou noyé, il fallait que je remonte. J’ai pris l’échelle et ouvert doucement la planche de bois. Mes yeux se baladèrent autour de l’ouverturePuis, j’ai senti le poids d’un marin refermer le bout de bois avec mes doigts coincés sans que ce dernier ne s’en rende compte…
J’avais envie d’hurler et je commençais à gigoter comme une danseuse sur mon estrade de barreaux… Quand enfin la pression s’arrêta, j’ai ouvert rapidement la calle oubliant totalement ma discrétion, trop énervé par la douleur.
Ulcky : Bande de nazes ! Ca va pas ! Coincer mes doigts ! Mer... Ah … Euh… Bonjour, messieurs…
Devant moi trois mecs bien plus surpris que moi de voir un clandestin dans leur bateau, commençaient à sortir leurs lames dans un lieu un peu trop exigu … Ma tête touchait encore le plafond et se défendre ici… Galère…
Le premier court vers moi… enfin arrive au plus vite vers moi, car courir ici… Arrivé à mes pieds… Il tombe plus bas oubli totalement d’où je venais… Les deux autres s’organisèrent pour me prendre de côté… Là encore pas facile vu la largeur de la boite de sardines… J’ai empoigné des cordes posées non loin de moi et les ai lancées pour les ralentir. De mon côté direction la sortie arrière ! Et oui, en générale, on ne fait pas qu’une ouverture d’entrée ou de sortie !
Arrivé sur le pont, le vent soufflait plus que raison… J’avais du mal à me tenir en équilibre et ça hurlait de partout afin de maintenir un semblant de cap… Je profitais de ce désordre pour me trouver un autre endroit où me planquer… Mais je n’y voyais pas grand-chose… Je bousculais des gens de temps à autre laissant passer deux ou trois insultes… Enfin une vraie porte !
Derrière une cabine assez luxueuse et bien aménagée. Un lit doux et au coin… Une Baignoire !!!
Yuan : Youhou !!!!!! Tayo dans l’eau chaude !!!
Les huiles essentielles et la mousse me donnaient envie de faire un roupillon… En plus ca faisait berceuse avec les vagues… Mais J’ai vite déchanté quand le capitaine du navire arriva dans sa cabine et commença à hurler de colère en me voyant débordant de bonheur.
Capitaine : Tu es un HOMME MORD !!!!!!!!!
Yuan : Cool papy, t’as pas une serviette tiens ?
Un coup de sabre à la verticale en direction des bijoux de famille ! Juste le temps d’écarter les jambes et de comprendre que la baignoire était soit très fragile ou soit le sabre était hyper aiguisé. Malgré tout, la panoplie était intacte et à la vue de tous…
C’est le sourire aux lèvres que je commençais à courir partout dans la pièce à la recherche de mes vêtements et le couperet au cul ! A force, on était de plus en plus dans la pièce et moi de moins en moins à l’aise pour me trouver une issue… C’est le dos contre la vitre au fond de la pièce que je commençais à sentir le roussi…
Capitaine : Tu es fait comme un rat ! Il n’y a plus de sortie pour toi.
Ulcky : Euh oui, mais là il doit y avoir personne dehors à maintenir le cap du bateau, non ?
Un gros coup dans nos oreilles ! Le bateau venait de se fracasser sur un rocher ou autre chose d’ailleurs et c’est l’explosion de la vitre qui me donne une sortie « obligatoire », car j’avais été littéralement projeté dans l’eau…
A mon réveil, je dormais sur une planche de bois… Devant moi une montagne de débris en tous genres. Cela ne devait pas faire bien longtemps que j’étais ainsi, car déjà l’équipage de la baignoire semblait me chercher au loin… Comment ais-je deviné me diriez-vous ? Car quand j’ai entendu « Trouvé la Nouille ! », je n’ai pas trop cherché…
Je me suis caché plus loin derrière un tas de débris… Jusqu’au moment où une main calleuse m’empoigna l’épaule…