Ceci se déroule environ deux jours après la fin de ceci.
C’est bizarre tout était brumeux, un peu comme s’il était dans le coton. Yukikurai ouvrit doucement les yeux et la lumière bien que faible des hublots lui fit mal aux yeux. Il fut obligé de plisser les yeux pour que la douleur n’augmente pas. Alors qu’il veut se frotter les yeux, son bras reste immobile comme si son poignet était lié au lit. Un essai avec l’autre main et il arrive à la même conclusion en plus de la douleur due à une blessure. Il aimerait que sa vue se réadapte pour qu’il puisse examiner la situation dans laquelle il se trouvait. En attendant, il refaisait le cours des événements pour essayer de se souvenir de ce qu’il s’est passé, un peu comme après une bonne cuite où l’on se demande comment on est arrivé là. Alors, en reprenant du début, on l’avait envoyé livrer du café pour une bande de révo scientifique qui prenait le chemin de grand line. Une fois qu’il les eut repérés, il se retrouva dans un piège tendu par la marine. Il se souvenait bien des combats, un homme l’avait sauvé de manière mystérieuse d’une pluie de balle. Ensuite, il se souvient avoir combattu. A la fin il avait ramassé un marteau, il avait foncé dans le tas, rebondi, il eut un grand flache et puis plus rien.
Sa vue était redevenue normal, il put constater que ses blessures avaient été soignées. Il avait un bandage sur l’avant-bras gauche, un autre sur le torse et l’épaule. En fait, il ressemblait plus à une momie qu’à un humain pour le moment. Il tourna la tête et constata qu’il était dans une infirmerie, car il y avait un bon nombre d’autre personne sur des lits. Les hublots lui signalait qu’il était sur un bateau, mais à qui appartenait-il ? Était-il prisonnier des marines ou de révo paranoïaque, tel était la question. Reprenant petit à petit conscience de son corps et de tous les dégâts qu’il avait subi, la douleur revint lui dire bonjour, comme une vielle amie. Il se rendit alors compte qu’il avait la bouche pâteuse et qu’il avait soif. Il voulut appeler quelqu’un, mais il ne vu personne de valide capable de lui apporter de l’eau et surtout de lui dire pourquoi était-il attaché.
Il continua de se reposer le temps que quelqu’un entre dans la pièce. Ce qui fut le cas, après une attente qui lui sembla interminable. Un groupe de personnes à la tête de médecin entra finalement dans la pièce. Ils se divisèrent et firent le tour des blessés. Quand l’un d’eux arriva au lit de Yukikurai, il se retourna vers la porte et donna ses ordres.
« Vous pouvez aller dire à Miss Lifchitz que notre invité est réveillé. »
L’homme qui se trouvait à l’entrée disparu rapidement. Bakasaru quant à lui voulu demander à quoi tout cela pouvait bien rimer, mais il n’arriva pas à articuler comme il faut avec la bouche aussi sèche et pâteuse. Il se rabattit sur quelque chose de plus facile à dire et encore ce ne fut pas un grand succès.
« EE..ghghe De l’eehgghaahghuuu, eau »
Le médecin ayant parfaitement compris et se doutant qu’il devait avoir soif, apporta un verre d’eau. Ne pouvant boire lui-même à cause des entraves, Yukikurai dut boire avec l’aide du docteur. Chaque gorgée d’eau lui apportait une fraicheur salvatrice. Dieu que ça lui faisait du bien. Quand il eut fini, il eut nettement moins de mal à parler.
« Pourquoi suis-je attaché, si je suis comme j’ai cru le comprendre sur le bateau de madame Lifchitz ? »
« On a fait qu’exécuter les ordres. Vous verrez cela avec elle, elle ne va pas tarder à arriver.
On vous a soigné, vous aviez de multiple plaie donc évité de gigoter pour qu’elles ne se rouvrent pas. Sinon pour votre brulure à la tête, il ne devrait pas rester de trace, mais sur le dos votre main gauche vous aurez surement une cicatrice. »
« Des brûlures ? Comment ça m’est arrivé je ne me souviens pas avoir été brulé. »
« Je n’en sais rien, j’étais resté dans la forêt avec les autres membres non combattant. La chef saura surement vous expliquer, vu qu’elle a un rapport détaillé du déroulement de la prise du bateau pour avoir une idée de ce qu’il s’est passé. »
Le médecin continua de s’occuper de Yukikurai, vérifier ses plaies et pansements, changer ceux qui en avaient besoin. C’est ainsi que Yuki contemplait la brulure sur son avant-bras gauche quand la chef de cette section scientifique entra dans la pièce. Elle était comme dans son souvenir, belle, mais avec un grain de folie qui fait peur.
« Alors, vous êtes réveillé, monsieur l’espion du gouvernement ! »
Yuki n’en croyait pas ses oreilles, elle le prenait pour un espion. Ce n’était pas croyable. Qu’est-ce qui avait bien pu lui faire penser ça ? Elle ne doit pas être toute seule dans sa tête, c’est la seule explication. En même temps, elle venait de répondre à la question de pourquoi était-il attaché, ça en faisait une de moins.
« Heu, oui je suis réveillé comme vous pouvez le voir. Votre déclaration explique pourquoi je suis attaché sur mon lit. Par contre qu’est-ce qui vous fait porter de telle accusation ? Je peux vous prouver que je suis bien un révolutionnaire. Vous êtes madame Lifchitz, chef d’une section scientifique de la révolution qui se rend sur Grand Line. Vous avez demandé au QG d’Inu Town de vous livrer du café et un log-pose. Et c’est ce que j’étais venu faire. Cela vous convint-il ? »
Son œil s’agitant dans son orbite comme un mauvais signe, elle répondit d’un ton sec.
« Non cela n’est pas suffisant. Je suis une révolutionnaire connue, tout espion bien informer sur sa mission peut le savoir. Quant à vos autres informations, il suffit que vous ayez vilement intercepté la communication avec un Den Den noir. De plus, vous êtes arrivé sur le bateau de manière imperceptible, comme un espion l’aurait fait.»
« Si vous êtes si convaincue que cela de mon identité pourquoi m’avoir soigné ? »
« Dans un premier temps, les hommes se chargeant du nettoyage vous ont gardé, car vous leur aviez indiqué la commande de café que vous livriez. Ils l’ont, en effet, trouvé là où vous l’aviez indiqué. Dans le doute ils vous ont conduit à l’infirmerie. Mais je persiste à dire qu’un vrai espion aurait lui aussi amener du café. D’ailleurs, nous n’avons pas trouvé le log pose. »
« Par la suite en faisant un rapport sur l’opération avec les points de vue de chacun pour avoir une idée globale de la situation, Rafaelo, un révo de confiance, m’a dit quelque chose qui m’a fait vous épargner la vie. Il semblerait que vous vous soyez sacrifié pour intercepter une grenade que le Choucas avait lancée vers la réserve de poudre. Votre attitude suspect de disparaitre et apparaitre par magie ne joue pas en votre faveur, même si vous avez combattu à nos côtés. »
Cela expliquait les brulures et sa perte de connaissance. Il avait intercepté la grenade sans le savoir, mais ça il n’allait pas le dire.
« N’y aurait-il pas un moyen de vous prouver que je suis bien un révolutionnaire ? Je peux contacter la base d’où je viens par escargophone, peut-être. »
« Hors de question, cela est beaucoup trop facile de nous rouler dans la farine de cette manière. »
Bakasaru se mit à réfléchir quel moyen avait-il de lui prouver qui il était réellement. Il ne trouvait rien qui pourrait convaincre cette folle. Puis, soudain alors qu’il avait renoncé à chercher, un visage lui apparut. Oui, il avait reconnu l’un des membres de l’équipage et lui aussi l’avait reconnu. Il ne restait plus qu’à espérer qu’il soit toujours en vie.
« Ne partez pas Hiroko. Je pense pouvoir vous prouver que je suis bien ce que je prétends, un révolutionnaire, un vrai. Je connais l’un des membres de votre équipage. L’homme au chapeau et à la cape noire a été en mission avec moi. Mission qui fut des plus désastreuses soit dit en passant. On l’appelait…. l’empereur, car il est manchot. Son vrai nom c’est Kyoky, non Kyori, non plus, Kyoshi, voilà c’est ça Kyoshi. Il peut vous dire que je suis bien un révolutionnaire. »
Hiroko fit une moue boudeuse qui serra le cœur du jeune homme.
« Malheureusement, il a été blessé et ne s’est toujours pas réveillé du coma dans lequel, il est tombé. »
C’est un peu soulagé que Yuki enchaina.
« Il va s’en tirer j’espère. Je vous propose un truc, vous me considérez comme un espion si cela vous chante, jusqu’à son réveil et là il m’innocentera de vos accusations. Cela vous convient-il ? »
Elle sembla être touchée par l’attention qu’il portait à la santé de son condisciple. Puis, pendant qu’elle réfléchit son œil tourna à toute vitesse dans son orbite. Semblant peser le pour et le contre, elle finit par trancher.
« Ça aurait pu me convenir si vous nous aviez fourni comme vous le dites un Log pose. Or nous n’en avons pas trouvé sur vous. »
« Ha oui, c’est vrai je l’avais bien caché. Pouvez me donner mon chapeau. Oui celui-là merci. Posez-le sur ma main droite. »
Un homme lui donna son chapeau qui était posé à côté de lui. Bakasaru entra sa main dans son chapeau, trouva la tirette qui ouvrait la poche secrète. Une fois sa main passée dans la poche il trouva le log sans aucun problème. Il demanda qu’on retire le chapeau. Hiroko pu voir qu’il avait maintenant un log en main.
« J’espère que cela suffit à plaider en ma faveur. Je vous le donne en signe de ma bonne foi. »
Oui, mais ce n’est pas suffisant, en attendant le réveille de l’empereur vous restez attaché sur votre lit. »
Elle prit d’une main ferme le log que Yuki lui tendait, puis elle quitta la pièce peu après avec quelque jeu de cape faisant une sortie théâtrale. Yukikurai quant à lui se rendormit assez vite une fois la pièce vidée du personnel soignant, l’antidouleur qu’ils lui avaient administrés y étant pour beaucoup.
C’est bizarre tout était brumeux, un peu comme s’il était dans le coton. Yukikurai ouvrit doucement les yeux et la lumière bien que faible des hublots lui fit mal aux yeux. Il fut obligé de plisser les yeux pour que la douleur n’augmente pas. Alors qu’il veut se frotter les yeux, son bras reste immobile comme si son poignet était lié au lit. Un essai avec l’autre main et il arrive à la même conclusion en plus de la douleur due à une blessure. Il aimerait que sa vue se réadapte pour qu’il puisse examiner la situation dans laquelle il se trouvait. En attendant, il refaisait le cours des événements pour essayer de se souvenir de ce qu’il s’est passé, un peu comme après une bonne cuite où l’on se demande comment on est arrivé là. Alors, en reprenant du début, on l’avait envoyé livrer du café pour une bande de révo scientifique qui prenait le chemin de grand line. Une fois qu’il les eut repérés, il se retrouva dans un piège tendu par la marine. Il se souvenait bien des combats, un homme l’avait sauvé de manière mystérieuse d’une pluie de balle. Ensuite, il se souvient avoir combattu. A la fin il avait ramassé un marteau, il avait foncé dans le tas, rebondi, il eut un grand flache et puis plus rien.
Sa vue était redevenue normal, il put constater que ses blessures avaient été soignées. Il avait un bandage sur l’avant-bras gauche, un autre sur le torse et l’épaule. En fait, il ressemblait plus à une momie qu’à un humain pour le moment. Il tourna la tête et constata qu’il était dans une infirmerie, car il y avait un bon nombre d’autre personne sur des lits. Les hublots lui signalait qu’il était sur un bateau, mais à qui appartenait-il ? Était-il prisonnier des marines ou de révo paranoïaque, tel était la question. Reprenant petit à petit conscience de son corps et de tous les dégâts qu’il avait subi, la douleur revint lui dire bonjour, comme une vielle amie. Il se rendit alors compte qu’il avait la bouche pâteuse et qu’il avait soif. Il voulut appeler quelqu’un, mais il ne vu personne de valide capable de lui apporter de l’eau et surtout de lui dire pourquoi était-il attaché.
Il continua de se reposer le temps que quelqu’un entre dans la pièce. Ce qui fut le cas, après une attente qui lui sembla interminable. Un groupe de personnes à la tête de médecin entra finalement dans la pièce. Ils se divisèrent et firent le tour des blessés. Quand l’un d’eux arriva au lit de Yukikurai, il se retourna vers la porte et donna ses ordres.
« Vous pouvez aller dire à Miss Lifchitz que notre invité est réveillé. »
L’homme qui se trouvait à l’entrée disparu rapidement. Bakasaru quant à lui voulu demander à quoi tout cela pouvait bien rimer, mais il n’arriva pas à articuler comme il faut avec la bouche aussi sèche et pâteuse. Il se rabattit sur quelque chose de plus facile à dire et encore ce ne fut pas un grand succès.
« EE..ghghe De l’eehgghaahghuuu, eau »
Le médecin ayant parfaitement compris et se doutant qu’il devait avoir soif, apporta un verre d’eau. Ne pouvant boire lui-même à cause des entraves, Yukikurai dut boire avec l’aide du docteur. Chaque gorgée d’eau lui apportait une fraicheur salvatrice. Dieu que ça lui faisait du bien. Quand il eut fini, il eut nettement moins de mal à parler.
« Pourquoi suis-je attaché, si je suis comme j’ai cru le comprendre sur le bateau de madame Lifchitz ? »
« On a fait qu’exécuter les ordres. Vous verrez cela avec elle, elle ne va pas tarder à arriver.
On vous a soigné, vous aviez de multiple plaie donc évité de gigoter pour qu’elles ne se rouvrent pas. Sinon pour votre brulure à la tête, il ne devrait pas rester de trace, mais sur le dos votre main gauche vous aurez surement une cicatrice. »
« Des brûlures ? Comment ça m’est arrivé je ne me souviens pas avoir été brulé. »
« Je n’en sais rien, j’étais resté dans la forêt avec les autres membres non combattant. La chef saura surement vous expliquer, vu qu’elle a un rapport détaillé du déroulement de la prise du bateau pour avoir une idée de ce qu’il s’est passé. »
Le médecin continua de s’occuper de Yukikurai, vérifier ses plaies et pansements, changer ceux qui en avaient besoin. C’est ainsi que Yuki contemplait la brulure sur son avant-bras gauche quand la chef de cette section scientifique entra dans la pièce. Elle était comme dans son souvenir, belle, mais avec un grain de folie qui fait peur.
« Alors, vous êtes réveillé, monsieur l’espion du gouvernement ! »
Yuki n’en croyait pas ses oreilles, elle le prenait pour un espion. Ce n’était pas croyable. Qu’est-ce qui avait bien pu lui faire penser ça ? Elle ne doit pas être toute seule dans sa tête, c’est la seule explication. En même temps, elle venait de répondre à la question de pourquoi était-il attaché, ça en faisait une de moins.
« Heu, oui je suis réveillé comme vous pouvez le voir. Votre déclaration explique pourquoi je suis attaché sur mon lit. Par contre qu’est-ce qui vous fait porter de telle accusation ? Je peux vous prouver que je suis bien un révolutionnaire. Vous êtes madame Lifchitz, chef d’une section scientifique de la révolution qui se rend sur Grand Line. Vous avez demandé au QG d’Inu Town de vous livrer du café et un log-pose. Et c’est ce que j’étais venu faire. Cela vous convint-il ? »
Son œil s’agitant dans son orbite comme un mauvais signe, elle répondit d’un ton sec.
« Non cela n’est pas suffisant. Je suis une révolutionnaire connue, tout espion bien informer sur sa mission peut le savoir. Quant à vos autres informations, il suffit que vous ayez vilement intercepté la communication avec un Den Den noir. De plus, vous êtes arrivé sur le bateau de manière imperceptible, comme un espion l’aurait fait.»
« Si vous êtes si convaincue que cela de mon identité pourquoi m’avoir soigné ? »
« Dans un premier temps, les hommes se chargeant du nettoyage vous ont gardé, car vous leur aviez indiqué la commande de café que vous livriez. Ils l’ont, en effet, trouvé là où vous l’aviez indiqué. Dans le doute ils vous ont conduit à l’infirmerie. Mais je persiste à dire qu’un vrai espion aurait lui aussi amener du café. D’ailleurs, nous n’avons pas trouvé le log pose. »
« Par la suite en faisant un rapport sur l’opération avec les points de vue de chacun pour avoir une idée globale de la situation, Rafaelo, un révo de confiance, m’a dit quelque chose qui m’a fait vous épargner la vie. Il semblerait que vous vous soyez sacrifié pour intercepter une grenade que le Choucas avait lancée vers la réserve de poudre. Votre attitude suspect de disparaitre et apparaitre par magie ne joue pas en votre faveur, même si vous avez combattu à nos côtés. »
Cela expliquait les brulures et sa perte de connaissance. Il avait intercepté la grenade sans le savoir, mais ça il n’allait pas le dire.
« N’y aurait-il pas un moyen de vous prouver que je suis bien un révolutionnaire ? Je peux contacter la base d’où je viens par escargophone, peut-être. »
« Hors de question, cela est beaucoup trop facile de nous rouler dans la farine de cette manière. »
Bakasaru se mit à réfléchir quel moyen avait-il de lui prouver qui il était réellement. Il ne trouvait rien qui pourrait convaincre cette folle. Puis, soudain alors qu’il avait renoncé à chercher, un visage lui apparut. Oui, il avait reconnu l’un des membres de l’équipage et lui aussi l’avait reconnu. Il ne restait plus qu’à espérer qu’il soit toujours en vie.
« Ne partez pas Hiroko. Je pense pouvoir vous prouver que je suis bien ce que je prétends, un révolutionnaire, un vrai. Je connais l’un des membres de votre équipage. L’homme au chapeau et à la cape noire a été en mission avec moi. Mission qui fut des plus désastreuses soit dit en passant. On l’appelait…. l’empereur, car il est manchot. Son vrai nom c’est Kyoky, non Kyori, non plus, Kyoshi, voilà c’est ça Kyoshi. Il peut vous dire que je suis bien un révolutionnaire. »
Hiroko fit une moue boudeuse qui serra le cœur du jeune homme.
« Malheureusement, il a été blessé et ne s’est toujours pas réveillé du coma dans lequel, il est tombé. »
C’est un peu soulagé que Yuki enchaina.
« Il va s’en tirer j’espère. Je vous propose un truc, vous me considérez comme un espion si cela vous chante, jusqu’à son réveil et là il m’innocentera de vos accusations. Cela vous convient-il ? »
Elle sembla être touchée par l’attention qu’il portait à la santé de son condisciple. Puis, pendant qu’elle réfléchit son œil tourna à toute vitesse dans son orbite. Semblant peser le pour et le contre, elle finit par trancher.
« Ça aurait pu me convenir si vous nous aviez fourni comme vous le dites un Log pose. Or nous n’en avons pas trouvé sur vous. »
« Ha oui, c’est vrai je l’avais bien caché. Pouvez me donner mon chapeau. Oui celui-là merci. Posez-le sur ma main droite. »
Un homme lui donna son chapeau qui était posé à côté de lui. Bakasaru entra sa main dans son chapeau, trouva la tirette qui ouvrait la poche secrète. Une fois sa main passée dans la poche il trouva le log sans aucun problème. Il demanda qu’on retire le chapeau. Hiroko pu voir qu’il avait maintenant un log en main.
« J’espère que cela suffit à plaider en ma faveur. Je vous le donne en signe de ma bonne foi. »
Oui, mais ce n’est pas suffisant, en attendant le réveille de l’empereur vous restez attaché sur votre lit. »
Elle prit d’une main ferme le log que Yuki lui tendait, puis elle quitta la pièce peu après avec quelque jeu de cape faisant une sortie théâtrale. Yukikurai quant à lui se rendormit assez vite une fois la pièce vidée du personnel soignant, l’antidouleur qu’ils lui avaient administrés y étant pour beaucoup.