Le Deal du moment : -25%
PC Portable Gamer 16,1” HP Victus 16 – 16 ...
Voir le deal
749.99 €

La pie vol-t-elle mieux que le pigeon ?

Saint Urea, magnifique royaume prospère et véritable joyeux de South Blue. En plus d'être un royaume stable dont les ressources naturelles n'ont rien à envier aux autres royaumes des blues, Saint Urea est l'un des bastions les plus puissants de la marine dans cette partie du globe et c'est aussi pour cette raison que Mantle Shoma, jeune capitaine pirate a décidé de faire son prochain coup d'éclat. Non, il ne comptait pas renverser la marine dans sa propre demeure, il ne comptait pas non plus détruire la ville. Non, pour son prochain coup d'éclat, Shoma visait simplement une banque de dépôt, mais pas n'importe laquelle. Saint Urea était divisé en plusieurs parties. Trois pour être plus exacte. La première partie n'intéressait pas Shoma, il s'agissait de la partie dites des pauvres. Ne se trouvait de ce côté que les plus démunies où les gens faisant partie du commun des mortels, des personnes n'ayant pas assez de revenu pour représenter un quelconque intérêt pour un pirate désireux de refaire sa trésorerie.

La seconde partie de la ville était la plus intéressante, car elle regroupait le côté chic et assez riche de la ville. Bourgeois, starlette et autre fortuné s'y trouvaient. La dernière partie de la ville n'intéressait pas non plus Shoma. Il s'agissait du coeur même du royaume. Se trouvait de ce côté l'élite. Les têtes pensantes du royaume, les officiers les plus influents, ce qui pour Shoma ne signifiait qu'une chose, cette partie était en quelque sorte un no man's land pour la racaille, un nid de vipère, la tanière de l'ours. Bien que le danger soit grand, Shoma ne pouvait baisser les bras et allait se faire l'une des six banques de la seconde partie de la ville. Pour ce faire Shoma ne pouvait compter que sur lui-même, mais pour élaborer un plan viable, le jeune capitaine pirate dû investir la ville et récolter des informations qui lui seront précieux. Tout le monde pouvait décider d'attaquer une banque, mais une fois à l'intérieur il fallait savoir quoi faire et savoir comment quitter les lieux sans se faire avoir par la marine.

Après une semaine à peaufiner son plan, Shoma était fin prêt à passer à l'action. Durant cette semaine, Shoma passa son temps à farfouiller durant la nuit au niveau de la seconde partie de la ville afin de sélectionner sa cible et y évaluer les risques. Mise à part un important dispositif de marin qui patrouillait de jour comme de nuit, il n'y avait pas grand-chose pouvant stopper Shoma. Pour la marine qui patrouillait en groupe de vingt et ne passait qu'à intervalle de trois minutes devant la banque, Shoma avait prévu assez de capsules de fumigènes. Avec de la fumée aussi noire que la nuit il serait capable de s'échapper avant que les groupes de marin ne puissent le rattraper et s'il ne faisait aucune erreur, alors dix minutes après le début du braquage il se trouverait déjà sur son navire de pêche en route pour une autre île.

Quittant la taverne qu'il avait désignée comme étant sa base, Shoma se dirigea en pleine journée en direction de la seconde zone. Bien sûr pour passer le dispositif de sécurité qui était très dur, car restrictif envers la population provenant de la zone pauvre qui voulaient entrer dans la zone plus riche il fallait avoir un certain laisser passer. Une carte qui indiquait que l'on faisait partie de l'autre monde. Heureusement pour lui, Shoma avait réussi à voler ce précieux sésame un soir alors qu'il traînait de l'autre côté du mur. Après avoir escaladé comme un fou le mur d'enceinte avec pour seul matériel son arme et son sabre, Shoma croisa la route d'un homme ivre, mais qui était vêtu comme une personne qui avait les moyens. Pensant devoir tuer le pauvre homme, le jeune capitaine trouva plus utile de lui subtiliser son passe-droit. L'échange était honnête et en échange d'une simple carte qui pouvait être refaite facilement, l'ivrogne venait de gagner le droit de vivre.

Passant le barrage avec succès, Shoma se mit en route pour la banque où allait se passer toute l'action. Après quelques minutes à travers les belles rues de la ville, le capitaine pirate entra dans la banque comme un client ordinaire et regarda autour de lui afin de voir si tous étaient comme les jours où il était venu en repérage. Après quelques mouvements de tête, Shoma constata que tous se passait comme prévu. Le seul Den Den Mushi vidéo qui se trouvait dans la banque avait une si grande zone à couvrir qu'il jouait les fainéant pour le plus grand bonheur du pirate. La pauvre bête n'était pas à blâmer, personne ne serait assez fou pour attaquer une banque en plein coeur d'une zone archi contrôler par la marine. Personne à part un pirate solitaire.

*Étape 1 réussi, passons au reste du plan*
  • https://www.onepiece-requiem.net/t1129-mantle-shoma
Je me rappelle encore de ce que j'ai dit, lorsque j'ai quitté Urea ce triste jour : Plus jamais je reviendrai dans cette île de putain de merde que même un clochard voudrait pas y laisser son clebs.

Et pourtant, j'étais bel et bien revenue. Misérables berries. Misérable Dena'.
Mais j'étais la seule à pouvoir ça, qu'il avait dit. Ça serait bien payé, qu'il avait dit. Et même que j'avais personne à tuer, qu'il m'avait rabâché. Nan. J'avais juste à perpétrer un attentat dans une des zones les plus sécurisées d'Urea. Dans une banque qui plus est. Sur une île où nombre de gens me connaissaient, et où j'étais presque sûre d'être repérée si je commettais la moindre connerie.

Et ça serait Père qui serait au courant, et qui pèterait un plomb.
Mais juste pour ça, juste pour imaginer sa tête, je m'étais finalement laissée tenter. Et aussi parce que, sérieux, on me payait quand même pas mal de berries pour cette connerie !

L'avantage, c'est que moi, en tant que bourgeoise, j'avais toujours mes sauf-conduits. Ceux qui me permettaient d'accéder au centre-ville. Ah oui, parce que j'imagine que vous connaissez pas mon île natale ! En fait, vous voyez, on a une certaine tradition. Certains appellent ça la solution finale, et ça leur plaît assez. Genre, on a décidé de parquer tous les pauvres dehors pour qu'ils y meurent tandis que les grands (comprendre ceux nés dans des familles aisées) jouissaient du confort des infrastructures gouvernementales (de l'île, pas celui mondial).

Donc bref, comprenez bien que, dans l'état actuel des choses, rentrer est la partie simple du plan. La question qui, flottait dans l'air, était de savoir comment faire pour passer inaperçue. Mais bon, Dena', il est prévenant. Il m'a glissé quelques recommandations. Mais ça s'est limité à ça, parce que c'est un connard de rat, Dena'. Mais bon, j'suis maline moi. Alors, même qu'il me faut quedalle de temps pour trouver les instruments du forfait !

Bref, tout ça pour dire qu'aujourd'hui, je serai Amyra, bédouine du clan Al'meryia. Bon, je dois avouer que je sais pas ce qu'est un bédouine, sans parler du clan tout à fait imaginaire qui m'est passé par la tête. Maiiis ! Parce qu'il y a un mais, sinan ça serait vraiment naze, j'avais plusieurs teintures et vêtements achetés au prix fort (mais bon, si touuuut se passe bien, je serais renflouée pour plus de quinze fois le prix des bidules !). Une teinture pour assombrir le ton de ma peau, et une autre pour orner du jade mes boucles. Pour mes vêtements, un voile ne dévoilant de moi qu'une paire d'yeux, et d'autres pièces de tissu typées orientales (ou en tout cas, que j'imaginais de cette destination).

Le jour était arrivé, et Amyra n'avait eu aucun mal à se faufiler au centre ville. Mais ça, je l'avais déjà dit, c'était la partie facile. Et encore, facile ... C'tait limite si les gardes ne m'ont pas arrêtée et fouillée. Et si ça avait été le cas, ça aurait été direct la fin. Et la mienne.
Je comprends maintenant pourquoi j'aime pas lire mes bouquins jusqu'au bout ... Qu'importe. Je vagabondais dans les rues comme n'importe qui d'autre, bien que je doute que qui ce soit d'autre transporte une bombe artisanale dans son sac à main.
Et, croyez le ou non, je commençais à avoir terriblement chaud. Et ça ne pouvait pas venir du climat tiède ou de mes vêtements légers.

C'est juste que, v'voyez, je flippe.
On m'arrête une seule fois, et je subis le sort des Révolutionnaires, une mort prompte et expéditive.

Le mieux était de ne pas penser à ça. Et de, se contenter de tracer vers l'objectif. Faire ce qu'on avait à y faire, et quitter le périmètre avant l'explosion. Et si je ne me ratais pas, c'est ce qui arriverait. Que pourrait-il arriver de mal, sérieux ? J'avais juste un colis à livrer, dans une banque certe ! Mais ça n'en restait pas moins un colis !
Un travail simple et rapide, payant bien plus que ça ne le devrait !
N'empêche que sur le trajet, je pouvais pas m'empêcher de revoir tous les endroits que j'ai fréquenté. A un moment, même, je devais pas être à plus de cinq cents mètres de la maison familiale. C'est quand même un brin dégoutée que j'arrivais à l'intérieur de la banque.

Mais une n'est plus Tao, une est Amyra. Aujourd'hui.
Le temps de s'assoir sur un banc, en attendant qu'un guichet se libère. A moins que ...

... Ce ne soit pour configurer la minuterie de l'artefact.
Huhuhu, bientôt ça ferait un gros kaboum. Il risquait d'y avoir quelques blessés, et même un ou deux morts.

Mais bon, qu'importe ? Je ne serai plus là quand ça arrivera !
Ça serait pas ma faute, après tout, est-ce que moi je les ai obligé à aller dans cette banque ?
    Comment savoir quand le bon moment est arrivé lors d'un braquage de banque ? Très simple, il n'y en à pas. Une fois que vous êtes certain de vous, que votre cœur ne tremble pas et que vous savez ce qu'il vous reste à faire, alors cela veut dire que le moment idéal est arrivé, où pas, où cela veut simplement dire que vous venez de franchir le cap de la peur des répercutions que votre acte peut engendrer où.... Qu'importe les méthodes des braqueurs à travers le monde, une fois s'être assuré que la sécurité n'avait pas augmenter dans la banque, Shoma quitta son coin, attrapa l'un des poteaux métalliques qui contenaient les cordes qui composaient l'une des files d'attente et l'utilisa pour bloquer la porte d'entrer et ainsi entravant toute tentative de sortie. Maintenant que le bâtiment était sceller, plus personne ne pouvait y entrer et donc en sortir.

    "Que personne ne bouge, c'est un braquage. "

    Maintenant que le bâtiment était sceller, plus personne ne pouvait y entrer et donc en sortir. En entendant le pirate, les personnes se trouvant dans la banque se tournèrent en même temps tel des robots synchronisés et remarquèrent que la porte était bel et bien fermer. L'une des personnes se trouvant dans la banque et qui de par ses vêtements semblait plus aisé que les autres, après comme le disait le dicton, l'habit ne fait pas le moine, mais qu'importe, l'homme se mit à applaudir avant de dire à haute voix qu'il s'en était fallu de peu, mais qu'il n'était pas tombé dans le panneau devant cette farce au combien drôle. En quelques secondes l'atmosphère installée par l'annonce du pirate retomba et les clients pensèrent tous comme le dandy. N'ayant pas d'autre choix que de montrer qu'il n'était pas présent pour faire une simple farce, Shoma approcha de l'homme qui osa faire cette remarque et le cogna à deux reprises au nez.

    Une fois la vérité établie, Shoma se répéta ce qui causa un choc dans la tête de tous les clients qui comprenaient enfin qu'ils n'étaient pas devant une farce où au beau milieu d'un plateau de cinémas. Shoma était bel et bien ici afin de se faire les coffres de la banque. Utilisant son ombre afin de stopper les membres du personnel de la banque, le jeune capitaine s'assura de leur entière coopération. S'ils ne pouvaient pas bouger, alors personne ne pouvait alerter l'extérieur de ce qui se passait à l'intérieur. L'étape numéro deux était également un succès, mais Shoma n'avait aucun mérite, ce n'était pas la première banque qu'il se faisait et après avoir dû combattre un très bon combattant en tant que chef de la sécurité, Shoma en avait retiré une très bonne leçon afin de pouvoir récidiver sans devoir à user de la force.


    "Il ne vous sera fait aucun mal si vous restez calme et coopérer. Pour commencer je veux tout le monde au sol et que personne ne bouge. Les héros ne feront pas long feu avec moi. "

    Pas habitué à subir pareille violence, les personnes qui se trouvaient dans la banque commencèrent à comprendre dans quel pétrin ils se trouvaient et ne voyant aucun membre du personnel tenter de stopper le pirate, tous se mirent au sol. Profitant de la docilité de ses otages, Shoma quitta la salle afin de se retirer du côté de la salle des coffres. Profitant de la disparition du preneur d'otage, l'un des hommes se releva et tenta de rejoindre la porte, mais ne réussi qu'à gagner un couteau dans le dos. Dupe, Shoma ne l'était pas et fit semblant de quitter ses otages des yeux afin de voir si oui où non, ils étaient capables de rester sagement au sol le temps qu'il termine ce qu'il avait à faire, mais force est de constater qu'il avait raison d'agir de la sorte. La victime du pirate n'était pas morte, mais souffrait terriblement. Par chance la lame n'avait pas touché un point vital et il pouvait s'estimer heureux de pouvoir respirer, car à la base le capitaine pirate avait tenté de le tuer d'un coup.

    "Je vous demande de rester sage durant quelques minutes après quoi je vous laisserais partir. Ce n'est pas compliqué bon sang. "

    Quittant une fois de plus ses otages, Shoma gagna pour de bon la salle des coffres et commença à se faire plaisir. Il n'avait pas beaucoup de temps devant lui et devait donc vider le plus de coffre possible. Très vite, telle une machine, le capitaine pirate se mit à effectuer les mêmes gestes. Ouvrant les coffres, jetant leur contenu à l'intérieur de grands sacs et effectuant ainsi durant cinq minutes les mêmes gestes. Une bonne quinzaine des coffres privés vidée, Shoma s'attaqua au coffre central de la banque, la partie où était stockée l'argent. Les berry d'une bonne partie de la ville se trouvait devant lui. Devant autant d'argent, Shoma ne savait plus où donner de la tête. Se rappelant que son temps ne devait pas être gâché, le jeune hors-la-loi ne fit que jeter toute cet argent dans le reste de ses sacs avant de retourner voir ce qui se passait de l'autre côté.

    * Voilà un travail de chef *
    • https://www.onepiece-requiem.net/t1129-mantle-shoma
    - Que personne ne bouge, c'est un braquage.

    Je dois avouer que, lorsque j'ai entendu ça, j'ai cru à la plaisanterie. C'était tellement cliché, que ça en était presque déplacé. Quel manque d'originalité. Quel manque ... De ... Prestance ? J'sais pas. Mais d'un autre coté, si moi j'étais un gangster, qu'est-ce que j'aurai dit ? "Écoutez les gars, je vais un peu voler tout l'argent de cette banque, alors laissez moi faire ou je vous tue avec une cuillère à café." ? Définitivement, c'était mieux. Je gardais cette phrase dans un recoin de mon esprit. Et là, y'a un attardé qui dit que c'est une blague marrante, ce qui fait que tous les gens ont commencé à se détendre.
    Sauf moi. Parce que, moi, j'ai l'habitude de côtoyer ce genre de gens qui vous tuent pour prendre votre montre. Alors, quand quelqu'un dit quelque chose, généralement il va le faire.
    Moi dans tout ça ? Une exception, parce que je suis un peu exceptionnelle. Dans le bon sens du terme.

    Bref, je me contente d'observer la suite.
    Cet homme là n'avait rien du fake, et pour le prouver il avait foutu deux mandales à l'inconscient. Il s'en sortirait, pour sur, mais j'aurai pas aimé être sa place. Mais en fait, c'tait tant pis pour lui ah ! J'aimais pas sa tête. Même si je l'ai remarqué que lors de son intervention. Bref. Le personnel est statique, et ça, par contre, c'est pas normal.
    Je sais pas trop ce que c'est, mais quelque chose me dit qu'il y a quelque chose de louche.
    Le con qui ose attaquer une banque de St Urea en plein jour - parce qu'il l'était, con, avait certains talents que le reste des mortels ne pouvaient se vanter d'avoir.
    Et c'était peut-être mieux ainsi.

    Il reprend la parole, et je ne peux pas m'empêcher d'être affligée. Du banal à ne plus savoir qu'en faire, sérieux, ça te casserait pas les genoux de faire dans le grandiloquent ? Okay, t'as les moyens de tes menaces, mais c'est pas une raison merde ! Fallait définitivement que je le prenne à part, après qu'il ait commis sa connerie.
    Parce que c'en était une, de connerie. Il allait mourir, ici.
    Urea n'est pas connue pour abriter des bisounours. Les autorités d'ici sont bien équipées et nombreuses. Et les rumeurs faisaient part d'utilisateurs du Haki, de Fruits du Démon, et autres trucs chelous.
    Bref. Bon, ça n'enlevait rien à son action d'éclat, disons le bien. C'est juste bête qu'il y passe juste après quoi. Il quitte enfin la pièce, et je continue d'observer.

    Un abruti tente de s'échapper, et il se prend un couteau dans le dos. Classique. Le méchant pas gentil parle pour une nouvelle banalité, avant de quitter pour de bon la pièce. Là, j'pense que c'est okay, je me permets de me lever, et de me diriger vers les portes. Pas pour fuir, après tout, c'est pas dans mon intérêt. Mais plutôt pour confirmer ce que je pense.
    L'avantage des portes en verre incassable, c'est qu'elles ne se cassent pas (et oui) mais surtout qu'on peut voir à travers. Et ce que je vois, bah, ça me fait sourire.

    Plusieurs dizaines de marines escortées de quelques troupes d'élite.
    Qui se tassent et qui se tassent. Toujours plus nombreuses. Je crois que j'ai même vu quelques armes anti-char dans le tas. Bref, je leur fais un coucou à travers la vite, et vu leurs têtes je sens qu'ils s'y attendent pas, et je retourne à ma place.
    A attendre sagement. Après tout, ce n'est qu'une question de temps. Une question de temps avant que tout cela ne s'achève.

    - Qu'il est agréable de contempler le travail bien fait.

    Ou pas !
      Une fois de retour dans la salle principale le jeune capitaine remarqua une jeune femme retourner à sa place. Une nouvelle fois une personne avait tenté de défier son autorité. Les habitants de cette île n'aimait vraiment pas recevoir d'ordre. Si la jeune femme n'aurait pas regagné sa place tranquillement Shoma aurait fait usage de la force afin d'encrer dans la mémoire de toutes ces personnes qu'il n'était pas bon de défier un pirate en plein travail, mais celle-ci compris que la meilleure des choses à faire était de suivre les instructions que lui avait donné le bandit. Quittant son petit coin où il pouvait voir tout le monde, Shoma retourna dans la salle principale afin de faire ses adieux et quitter la banque par la grande porte, mais alors que tout se passait pour le mieux, le jeune capitaine remarqua un mini Den Den Mushi qu'il n'avait jusqu'à présent jamais remarqué. Situé sous le comptoir de la banque le petit Den Den Affichait des yeux rouges, ce qui n'annonçait rien de bon.

      Passant très vite du côté de la porte, Shoma remarqua que son super plan sans faille venait de tomber à l'eau. La marine qui ne devait pas être au courant de ce qui se passait à l'intérieur de la banque venait d'être alerté que quelque chose d'anormale venait de s'y produire. Comme on pouvait le prévoir de la part des forces de la marine de l'île, le bâtiment fut très vite encerclé de soldat prêt à faire feu au moindre signe de menace. Prisonnier de la banque qu'il voulait dévaliser, Shoma se posa très loin des fenêtres afin de ne pas donner des idées à quelques tireurs embusqués. Shoma le savait, plus il restait longtemps à l'intérieur de la banque et plus il donnait l'avantage à la marine. Pont, passerelle, mur d'enceinte, la marine pouvait tout fermer et ainsi bloquer la fuite du pirate et afin de ne pas se retrouver avec une guerre sur le dos, car avec autant d'hommes contre lui, cela ne pouvait s'appeler qu'ainsi.

      Presser par le temps, Shoma décida d'utiliser un plan qui relevait plus du système D que du plan sorti du cerveau d'un génie de la fuite. Pour arriver à quitter la banque sans se faire tirer dessus, Shoma allait libérer les orages. Vous trouvez que ce n'est pas un bon plan ? En libérant les otages, le jeune capitaine pirate entrave le champ de vision de la marine, ce qui lui permettra de fuir dissimulé à travers la foule. Alors qu'il allait mettre son speudo plan à l'oeuvre, Shoma décida de faire marche arrière en pensant à une chose très intelligente. Que se passerait-il si quand il libère ses otages, ceux-ci décide de le pointer du doigt indiquant à la marine qui est le responsable de cela et sur qui il fallait tirer par la même occasion. Ce dernier plan comportait trop de risque, voilà pourquoi Shoma décida de ne pas le mettre en pratique.

      Après une minute à planifier un autre moyen de quitter la banque, Shoma reçu la visite d'un homme. Un soldat de la marine vit frapper à la porte mais remarqua que cette dernière était complètement bloquée et qu'il ne pouvait rien y faire pour l'ouvrir. Ne voulant pas se faire repérer, Shoma lâcha son emprise sur les employés de la banque et utilisa son ombre comme intermédiaire afin de prendre contact avec l'agent de la marine. Au travers de la porte l'homme tenta de négocier avec le pirate. Si Shoma laissait partir un otage afin de montrer qu'il était de bonne foi, alors la marine pourrait tenter de répondre à ses exigences. L'homme n'était pas bête, il savait qu'une attaque de force allait très vite tourner en bain de sang et qu'au final il y aurait plus de mort qu'autre chose. Résolu à gagner du temps dans le but de se sortir d'affaire, Shoma accepta et débloqua la porte grâce à son ombre et laissa sortir une jeune fille de dix ans qui se trouvait avec sa mère dans la banque.

      Voyant le pirate où plutôt l'ombre obtempérer, le marin demanda à Shoma ce qu'il voulait afin qu'il puisse libérer les otages. Sans même réfléchir, Shoma demanda une bonne bière ainsi qu'une centaine de petites choses. La liste des exigences du pirate allait du marteau à un stylo, d'une feuille en carton à un drapeau de la marine marchande. Le but de Shoma n'était pas de se faire une collection de biblo, mais bien de faire envoyer le plus d'agents de la marine le plus loin possible et une fois qu'ils se seraient mis tous en mouvement afin de répondre à ses exigences, il pourrait tenter de fuir. Comme prévu le groupe de la marine qui se trouvait en poste devant la banque se mit à se diviser et une vingtaine de personnes quittèrent les rangs et bien qu'étonner se mirent en route pour trouver les objets que Shoma voulait.

      Aussitôt une faible partie de ses hommes parti à la recherche des objets de la demande du pirate, l'homme qui était venu négocier revint afin de demander un délai supplémentaire au pirate afin que ses hommes trouvent ce qu'il avait demandé. N'ayant pas d'objection, Shoma accepta. Profitant de sa présence, le marin demanda au pirate de libérer la mère de l'enfant prétextant que celle-ci était en pleure. Avec autant d'otage pris au piège avec lui Shoma accepta de nouveau. Voyant que le pirate libérait autant d'otage qu'il voulait, le marin se sentait en confiance et tenta même d'ajouter une personne supplémentaire à son compteur, mais après la mère, Shoma refusa et demanda au négociateur de partir jusqu'à temps que tout ce qu'il avait demandé ne soit arrivé.

      *J'aurais du demander une pizza aussi, merde.*
      • https://www.onepiece-requiem.net/t1129-mantle-shoma
      Il est à point.

      Ce bonhomme étrange manipulant les ombres, aussi malin qu'il pouvait (ou pas) l'être, n'avait pas prévu un tel rassemblement de Marine. Un travail de débutant quoi. Ou de débile. Ou des deux à la fois. Il n'avait pas pris le temps de rassembler des informations sur les lieux et les forces en présence. A moins que ... Il soit assez puissant pour n'en avoir cure. Mais bon, vu la façon dont il essayait de gagner du temps, sa puissance ne devait pas être à la hauteur.
      Se débarrasser d'une ou deux escouades de Marines ça devait être dans ses compétences.
      Mais tout ça ... Bah, j'vais vous paraître obvious, mais on dirait qu'il en était pas capable.

      Et moi dans tout ça ? Bah, j'allais lui donner un p'tit coup de pouce tiens.
      Après tout, j'suis une personne altruiste moi ! Une fille avec le coeur sur la main, prête à aider son prochain !

      Mais bon, j'me devais d'attendre le bon moment. Il venait de libérer une mère, et avait congédié le Marine. Alors, moi, j'suis comme ça. Je me lève, sans peur aucune. Quoi qu'en fait nan, j'devais me contrôler à grande peine pour ne pas ressembler à une feuille au grès du vent. J'me contente de lui faire un signe du doigt, et de me diriger vers les coffres de la Banque. Va-t-il me suivre ou me planter un couteau froidement ?
      Sincèrement, j'pensais qu'il allait me suivre. Je n'essayais pas de fuir, mon pas était lent et mesuré, et si il était assez futé, il comprendrait tout de suite où je voulais en venir.
      Alors, quand j'arrive à la salle des coffres, et que je suis toujours debout et sans le moindre heurt, comprenez bien que j'exhale un soupir de soulagement.
      Pour moi-même.

      Mon interlocuteur me domine de taille, et sans aucun doute de puissance.
      Il n'avait aucune raison d'accepter mes demandes, et il pouvait même m'imposer les siennes. Mais une est Tao, et une a beaucoup de ressources.
      Et puis surtout merde quoi, j'devrai pas avoir beaucoup de mal à manipuler cet ahuri quoi.

      - Parlons bien, parlons vite. T'es dans la merde et tu fais tout ton possible pour gagner du temps. Sauf que ça va pas marcher, tu le sais aussi bien que moi. Alors, moi j'te propose un truc : Une diversion pour que tu te casses, en échange de 50% de tes gains. Payables tout de suite.

      Je le mettais sous pression, et c'était voulu. Je n'avais en aucun cas révéler ma diversion, et c'était bel et bien voulu, après tout il pourrait s'en emparer et se débarasser de moi par la suite. Bref, je l'obligeais à choisir vite. Et c'est dans la précipitation que les choix les moins optimaux s'imposent à vous.

      J'ouvrais mon sac, et attendais qu'il y verse l'argent tant escompté, tout en battant des cils.
      L'air de rien, quoi.
        Voyant que la situation à l'extérieur n'évoluait pas dans son sens, Shoma pensa très sérieusement à laisser sortir ses otages et profiter de la cohue afin de se sortir lui-même d'affaire. Après tout même si ce n'était pas la plus brillante des idées qu'il ait eut, cette idée avait quand même quelques chances de réussite et puis si cela ne marchait pas il avait encore ces petites capsules très pratiques de fumée noire qui lui permettrait de facilement aveugler ses ennemis si ces derniers s'avèrent un peu trop avenant à son égard. Alors qu'il allait mettre son "plan" à exécution, Shoma remarqua une jeune femme quitter sa position et marcher lentement un peu comme si le sol était truqué de mine et se dirigea en direction des coffres. Ne comprenant pas le manège de la jeune femme, Shoma se leva et décida de voir ce qui se passait. La tuer était une option que Shoma laissa dans un petit coin de sa tête, si celle-ci avait tenté de partir en direction de la porte de sortie, il l'aurait exécuté de sang froid, mais étant donné qu'elle a pris le chemin opposé ce n'est que sa curiosité qui lui sauva la vie.

        Quittant sa place, Shoma retrouva la jeune femme accompagnée de ses sacs d'argent. Bien sûr comme pour les autres fois il avertit les otages de ne pas quitter leur place afin de ne pas se voir exécuter. Une fois dans la salle des coffres, Shoma compris pourquoi la jeune femme avait décidé de jouer les rebelles quand cette dernière se mit à lui soumettre ses exigences. La jeune femme avait un certain cran. Il n'était pas donné à tout le monde de se lever en pleine prise d'otage afin de demander à celui qui tirait les ficelles de lui donner une partie de son butin. Non franchement la jeune femme en avait dans le pantalon comme on le disait, mais il en fallait un peu plus pour faire plier Shoma. Après le monologue de la jeune femme, Shoma était divisé entre deux réactions.

        La première étant de tuer la jeune femme. Les moyens pour l'exécuter étaient nombreuses. L'étranger, la poignarder, enfoncer sa tête contre les murs jusqu'à la mort et encore ce n'était qu'une infime liste de méthode pratique pour tuer une personne. La seconde réaction était de prendre ce qu'il venait d'entendre comme une blague et en rire. La jeune femme devait être sans un bon jour, car Shoma décida de ne pas la tuer et se mit à rire avant de déposer un billet de 100 berry dans son sac avant de lui demander de retourner avec les autres avant qu'il ne décide de changer d'avis. La blague de la jeune femme était drôle, mais il ne fallait pas s'attendre à ce qu'il partage son butin. Depuis quand un pirate partage ce qu'il vol ? Si la jeune femme voulait de l'argent, elle n'avait qu'à se faire une autre banque.


        " Bon aller presse toi d'aller t'asseoir. "

        *50% de mes gains payables tout de suite, elle est pas mal celle la.*


        N'ayant pas pris la jeune femme au sérieux, Shoma retourna avec le reste de ses invités avant de leur annoncer que la partie allait bientôt prendre fin et que ce n'était qu'une question de minutes avant qu'ils ne retrouvent leur liberté. En entant les paroles du pirate, beaucoup de personnes le prirent au mot et s'attendaient à être libéré de leur sort, mais ce qu'ils ne savaient pas étaient que Shoma allait encore avoir besoin d'eux à l'extérieur, mais cette fois en tant que bouclier humain. Son fruit lui permettait d'avoir une défense supérieure aux êtres ordinaires, mais n'avait rien d'infranchissable, voilà pourquoi il était préférable pour lui d'ajouter une couche de protection entre lui et les projectiles des soldats de la marine.

        "Allez je pense que le moment est venu.
        Formez un jolie triangle et plus vite que ça!"


        Pourquoi un triangle ? Shoma ne le savait pas vraiment. Le triangle n'avait rien de plus où de moins que les autres formes géométriques, mais c'était la première formation qui lui était passé par la tête, alors c'est cette formation qu'il demanda à ses otages de faire. Au début sa demande suscita quelques interrogations de la part des otages, mais après quelques claques derrières des têtes, tous se mirent en mouvement sans poser de question. Ils devaient écouter et ne pas réfléchir. Une fois en rang comme des poins obéissant, Shoma libéra la porte d'entrée et demanda à la première personne qui se trouvait en tête d'ouvrir la porte avant de commencer à sortir lentement.

        *Voilà un plan digne d'un véritable pirate*

        Afin de ne pas se faire tirer dessus, Shoma se trouvait au milieu du triangle et usait de son ombre afin de contrôler les mouvements des otages se trouvant dans la partie centrale avec lui. L'argent se trouvait également près du pirate et était tenu par des civils. Quand le moment viendra, Shoma libérerait ses otages, mais avant il devait impliquer le plus possible de personne afin d'embrouiller la marine. L'un des responsable avait déjà vu son visage, mais si des complices apparaissaient il ne serait plus le seul à être pris en chasse. Eh oui il n'était pas complètement idiot le capitaine.
        • https://www.onepiece-requiem.net/t1129-mantle-shoma
        Je hochais la tête à une unique reprise, suite à sa réponse et à son billet.

        Peut-être aurai-je pu essayer avec un peu plus de conviction. Peut-être aurai-je pu tenter quelque chose d'autre. Beaucoup de peut-être, en fait. Mais en fait, j'osais pas continuer. Quelque chose me dit que ces cent pathétiques berries étaient l'unique concession que je tirerai de lui. Et, une voix dans ma tête me disait : Estime toi heureuse qu'il t'ai offert ça plutôt qu'une mort prompte. Avec une mine bien déconfite, voilà que je revenais à ma place comme il me le conseillait. Ou plutôt comme il l'exigeait.
        C'qu'il ne savait pas, c'est que moi, moi, quand je dis un truc, bah je suis sérieuse. Vraiment sérieuse. Enfin, en général ... Bon okay, quelques fois ! Quoi ?! Vous me croyez toujours pas ?! Bon okay, cette unique fois j'étais sérieuse voilà ! Contents ?

        ... J'perds la tête à me parler à moi-même.
        Bref, j'aime pas qu'on me prenne pour une conne. Alors, comme moi j'suis vraiment conne quand j'm'y mets, bah j'ai décidée de lui faire payer. Et de prendre un petit bonus au passage. Une va utiliser sa diversion, à des fins pas très très honorables. Remarque, à la base, ça n'avait rien d'honorable ... 'fin bon, vous me comprenez.
        La bombe cachée à l'intérieur de mon sac, elle est du genre artisanale, avec un minuteur maison (un réveil quoi). Alors moi, parce qu'on va pas le dire, mais j'suis un peu une rageuse, bah j'décide de mettre l'activation à trente secondes.

        Et oui, comme ça, vu qu'il était en train de se barrer avec ses otages (et me demandez pas pourquoi, mais il m'a oublié et donc laissée sur mon banc), bah il m'a laissée les mains libres pour mon plan à la con : Faire péter la bombe derrière lui.
        Le but ? Le nuage de débris, à travers lequel je vais me barrer et qui provoquera une panique monstre chez les otages. Et comment il sera protégé si tout le monde part dans tous les sens ? Et oui, il sera en plus à découvert.
        Tout ça pour pas avoir voulu partagé, j'vous jure. Y'a de ces gens parfois à qui on voudrait donner des claques ! Ou leur faire péter des bombes, au choix.

        Cinq secondes s'étaient écoulées depuis que j'avais mis le compte à rebourd. Et là, j'ai tracée aussi vite que mes petites jambes me l'ont permis, comme le vent et la tempête !
        Le cambrioleur et sa clique étaient dehors, au moment où moi-même sortait du bâtiment.
        Et que la bombe faisait un gros kaboum, balançant éclats de verre, débris et poussières en tout sens. Bon, okay, je me sentais un peu coupable. Pas pour les gens que j'aurai pu éventuellement blessé, ah nan ! Mais pour cette honorable banque qui n'avait commis comme unique crime que de conserver beaucoup de monnaie sonnante et clinquante.

        Bref, je me redresse (vu que par réflexe, j'm'étais couchée en entendant la détonation) et trace vers un des otages. Un de ceux tenant le butin. Et justement, voilà que j'le retrouve la gueule béante et pissant le sang, un gros colifichet fiché dans sa chair. La vue me révulse, me donne un haut de coeur, me fait presque vomir.
        Et j'suis coupable de ça, c'est le pire. Mais en fait nan, je l'ai jamais obligé à se prendre ce truc hein ! C'est juste qu'il est pas doué, qu'il a pas eu de chance ou de j'sais pas quoi, mais c'pas ma faute merde !

        J'm'empare du sac et le fait tomber dans le mien, ni vue ni connue j'espère.
        Et enfin, j'me recentre sur les Marines. La secousse a pas trop l'air de les avoir dérangé ni surpris, et ils sont en position ,les canons en joue. En me voyant, j'devine les mots et surtout j'vois les gestes, et une issue est libérée pour que je puisse fuir et me mettre en sécurité.
        Je soupire, un petit sourire se dessinant sur mes lèvres.

        Tout s'était passé mieux que prévu, n'est-ce pas ?


        Dernière édition par Tao Song le Lun 5 Nov 2012 - 18:10, édité 1 fois
          Malgré un petit calage au début de son opération, Shoma avait réussi à reprendre le rythme qu'il s'était fixée afin de quitter au plus vite la banque, mais comme depuis le début, rien de ce qu'il entreprenait ne marchait comme il l'avait imaginé. En plus de tomber sur des soldats de la marine qui ont encerclé la banque, Shoma compris après une chute au sol qu'il était tombé sur un terroriste. Le où la personne qu'il traitait de terroriste était responsable de l'explosion d'une bombe à l'intérieur de la banque. Par chance, eh oui on pouvait appeler cela de la chance, Shoma avait demandé à ses otages de quitter la banque ce qui lui permit de ne pas ce retrouver à l'intérieur de la banque quand celle-ci voilà en éclat. Une fois de plus par chance, he oui la chance avait beaucoup de place dans la vie du pirate, la bombe n'était pas supère puissante, ce qui permit à Shoma de ne pas mourir sur le coup.

          Le souffle de l'explosion jeta au sol tous les otages. Une chose était certaine la bombe n'était pas l'oeuvre du pirate et il n'était pas question qu'on le prenne pour responsable. Au sol tel un vulgaire tapis, Shoma eut la vie sauf grâce au corps de deux pauvres civils qui lui servirent de bouclier. Sonné, mais pas blesser, Shoma regardait autour de lui afin de voir s'il y avait encore des survivants, car s'il était le seul encore en vie cela voudrait dire qu'il n'avait plus aucun bouclier afin de contrer les balles des soldats de la marine. Après un léger coup d'oeil, Shoma trouva des survivants, mais à peine avait-il commencer à se relever qu'une ombre fine se faufila entre les corps et cibla les sacs qui contenaient l'argent dérober à la banque.

          Ne perdant pas une seconde avec tout ce qui l'entourait, car devenu futile, Shoma se releva avec difficulté et ramassa le second sac que le voleur avait laissé au sol. Le voleur venait de se faire voler. La situation avait tout d'un gag, du moins si on ne faisait pas abstraction des morts sur le sol et de la marine qui se trouvait à quelques mètres seulement et qui attendait que le rideau de fumée qui s'était formé retomber. Libérant les survivants de l'emprise de son ombre, Shoma usa de son don afin de s'aider à mieux se mouvoir, car la bombe l'avait bien affaibli le laissant amoindri dans une situation devenue critique. Debout sur ses jambes, Shoma attrapa le second sac et pris la direction de l'ombre furtive qui allait bientôt connaitre la colère d'un pirate qui n'aime pas les voleurs.

          * Qui peut-être assez fou pour me voler ? Si je l'attrape il ne verra pas le soleil se coucher....*

          Quittant le nuage de fumée, Shoma observa le visage de la personne qui avait son argent. En voyant cette personne, Shoma n'en croyait pas ses yeux. Il s'agissait de la jeune femme qui lui avait fait une proposition afin de quitter la banque en utilisant son plan. Shoma ne l'avait pas prise au serieuse et maintenant la jeune femme avait décidé de se refaire sur le butin du pirate. En voyant la jeune femme en meilleure forme que lui, Shoma la soupçonna également d'être le terroriste qui n'avait eu aucun remord de faire sauter une bombe dans une banque, alors qu'elle était pleine. Pas le temps à perdre, Shoma avança afin d'attraper la jeune femme par le col, mais trébucha sur un corps. La victime de l'explosion avait perdu sa mâchoire. Comment le savait-il ? Le membre qui avait quitté sa place se retrouva dans la main du pirate quand celui-ci se releva.

          Jetant au sol la mâchoire qui ne lui appartenait pas, Shoma décida de ne pas faire un pas de plus et de laisser son voleur fuir quand les voix des soldats de la marine lui demandèrent de ne pas faire un pas de plus et de lever les mains en l'air. Bien sûr la jeune femme qui avait pris ses jambes à son cou fut pris en chasse par une dizaine d'hommes, mais nul doute qu'un appel d'urgence avait été passé afin de dépêcher plus de soldat afin de procéder à son arrestation. Un acte terrorisme sur une île clé de la marine n'allait certainement pas passer inaperçu et impuni. Ne pouvant laissé la jeune femme prendre trop d'avance sur lui, Shoma décida de changer son plan et puis au point où il en était avoir un plan ne servait plus à rien. Avant de penser à fuir la seconde partie de la ville, Shoma devait mettre la main sur la femme et son argent, voilà pourquoi il fit un doigt d'honneur au marin afin de partir.

          Bien qu'amoindri, Shoma restait plus rapide que les marins qui le poursuivaient et en utilisant son ombre comme bouclier afin de se protéger le dos, le jeune capitaine s'assurait d'éviter de recevoir des projectiles dans le dos. Astucieux, voilà un qualificatif qui irait bien à Shoma, mais il lui en faudrait bien plus pour stopper la marine, car en plus de la pluie de balle qui fusait dans son dos, Shoma tomba nez-à-nez avec un petit groupe de soldat qui visiblement s'était mis en tête de stopper la jeune femme. Même s'il ne savait rien de Shoma, en le voyant maculé de sang et de poussière, les soldats demandèrent au pirate de se stopper. Suspect, Shoma l'était jusqu'au bout des doigts, mais n'ayant pas de temps à accorder à la marine, Shoma sauta sur la tête d'un marin avant de poursuivre son parcours.

          *Tu vas me le payer gar$$ *
          • https://www.onepiece-requiem.net/t1129-mantle-shoma
          Au fond, tout se déroulait mieux que prévu.
          A moins que ...

          - Eh mais arrêtez cette fille !

          - T'es fou Azazel ! C'est une otage, pourquoi on devrait l'arrêter ?!

          - Parce que d'après le Den Den Mushi vidéo, c'est elle qui aurait fait péter la banque !

          - Ça m'a l'air légitime. Les gars, attrapez la !

          C'est comme ça que je me suis retrouvée à courir dans les rues du centre-ville de St Urea, une dizaine de Marines carrément motivés à mes trousses. L'avantage que j'avais, c'était la distance. J'avais fait quelques mètres avant que l'ordre de capture ne soit lancé.
          Et là, vraiment, je sentais que ça allait être dur pour moi. Bon, okay, je bénéficiais d'un avantage : Ils étaient obligés de faire deux fronts, un pour moi, l'autre pour le dangereux cambrioleur, qui d'après mes observations, était une menace bien plus immédiate que celle que je représentais. Après tout, moi, je me suis juste contentée de faire exploser un bâtiment vide quoi ! Y'avait pas (ou presque) de morts d'homme !

          Moi ou la Marine, qui des deux vaincrait ? Remporterait ce défi sur la route de tous les périls ?! Peu à peu, la distance s’accroissait. Ils semblaient décider à m'attraper vivante, si bien que, malgré les armes pendant à leurs épaules, nul n'osait faire feu. Et, profitant de vêtements légers (contrairement à mes poursuivants), j'arrivais à les battre au niveau de la vitesse.

          Même qu'à un moment, je les ai perdus de vue, et oui ! Je vous le promets ! Devant moi et derrière moi, juste des curieux passants faisant leurs emplettes, se demandant pourquoi une jeune demoiselle aux origines exotiques était aussi pressée.
          Mais c'était sans compter sur ... LE CAMBRIOLEUR !
          Qui visiblement, n'était pas content du touuuut. Même si je ne voyais pas trop pourquoi.
          Après tout, je ne lui ai pris qu'une partie de son butin quoi ! Il pouvait très bien vivre sans quoi, après tout, moi je le fais bien hein ! Alors lui aussi il peut faire un effort et être solidaire quoi ! Et j'ai intérêt à courir très très très vite, celui-là est plutôt du genre rapide, et il n'hésiterait pas à me tuer froidement si j'étais à portée.
          Et ça, c'était comme la capture ou le viol : A proscrire !

          Si j'arrive à la mer, il pourra plus rien me faire, j'en suis certaine.
          Derek me l'avait expliqué, lors de sa petite démo'.
          Puis merde quoi, j'peux pas me faire avoir par ça quoi ! C'est tous des connards les mangeurs de fruits du démon !

          ... Sans compter sur ce caillou vicieux, jalonnant la route.
          Et me faisant m'étaler pathétiquement en plein milieu de voie pavée.

          - Besoin d'aide, mademoiselle ?

          En tout cas, les passants sont très agréables !
            Au début encore sous le choc de la bombe qui avait explosé dans la banque Shoma ne courait pas en pleine mesure de ses capacités, mais sa détermination et sa colère compensa le manque ce qui donnait un résultat positif dans la balance, mais quand son organisme assimila l'évènement et retrouva ses automatismes ordinaires le jeune pirate gagnait de plus en plus de terrain. Pas question de laisser la marine attraper la jeune femme et encore moins laisser cette voleuse partir avec son argent. Bien que distancé par les deux groupes de tête, Shoma pouvait compter sur la foule pour lui indiquer la direction. Même si la marine devait poursuivre quotidiennement des bandits, les passants aiment rester au beau milieu du chemin et regarder dans la direction que prenaient les protagonistes. C'était toujours pareil et quelques sois l'île, la curiosité de l'homme n'avait pas de limite ainsi en suivant les têtes des passants Shoma savait dans quelle direction se rendre.

            Après quelques minutes à courir en ligne droite sans se soucier des passants, Shoma dû trouver un autre moyen de progresser. Non pas que les marins qui le poursuivaient ne voulait pas le lâcher et gagnaient de plus en plus de terrain, mais bien qu'il y avait de plus en plus de passant et que le chemin devenait obstrué. Passer en force était une solution envisageable, mais à plus il pousserait de personne et plus il dispersait ses forces, alors qu'il ne devait surtout pas laisser la jeune voleuse prendre plus d'avance dans sa fuite. Utilisant l'environnement à son avantage, Shoma utilisa son ombre afin de se projeter sur les toits. En avançant en hauteur le jeune capitaine venait de compliquer un peu plus la tâche de ses poursuivants qui devaient faire face à de plus en plus de civils qui entravaient leur progression.

            Depuis les toits, Shoma n'avait plus à faire attention au passant, mais devait sauter au bon moment pour ne pas faire une chute qui pourrait le blesser, lui faire perdre un temps précieux et pire encore laisser ses poursuivants le capturer, car hé oui un pirate n'est pas obligé de se faire capturer vivant, même mort un pirate avait de la valeur. En parlant de tomber, le jeune pirate manqua de peu de se prendre les pieds dans un fil à linge à cause d'une bande de piafs qui décidèrent de prendre leur envol au moment précis où Shoma atterri après un saut dans le vide entre deux maisons. Par chance son ombre l'aida à ne pas perdre l'équilibre et sectionna le fil permettant ainsi au capitaine de poursuivre sa progression.

            *Attend moi jeune voleuse, je te couperais les mains*

            Ayant intelligemment utilisé le terrain à son avantage, Shoma réussi à faire décrocher ses poursuivants qui avaient de plus en plus de mal à avancer à cause de la foule et les obligea même à demander des renforts, car insaisissable. Malgré cette petite victoire, Shoma ne pouvait pas crier victoire tout de suite. En demandant des renforts la marine allait déployer plus d'hommes ce qui ne lui laissait pas une grande marge de manoeuvre.

            Comme le dit un dicton qu'aime Shoma, le travail fini par payer. Dans la situation en question il n'était pas vraiment en train de travailler, mais il est normal qu'à force de poursuivre la jeune femme Shoma réussisse à rattraper son retard. Ce n'était pas "normale", mais en prenant en compte que le chemin qu'il prenait était plus facile il la rattrapait plus facilement, mais avant de s'occuper de la jeune femme qu'il arrivait à voir au bout de la route, Shoma devait s'occuper de la compagnie et cette compagnie était une bande de soldat de la marine qui lui courrait après. Ne voulant pas laisser son butin tomber entre les mains des forces ennemis, Shoma dû venir en aide à la jeune femme. Pour une fois leurs intérêts étaient les mêmes, voilà pourquoi Shoma décida qu'il était temps pour lui de regagner la terre ferme et de réduire le nombre de poursuivant.

            *Pas de temps à perdre avec des cafards*

            Tel un faucon qui fonce sur la proie qu'il à verrouiller, Shoma saute dans sa course sur le groupe de marin qui commençait déjà à fatiguer à force de poursuivre la jeune femme avec leur lourd équipement. Effet de surprise réussi, le jeune capitaine pirate enfonça la lame de son sabre aiguille dans l'espace très étroit qui se trouvait entre le cou et le bras, provoquant la mort immédiat du pauvre marin qui ne compri pas ce qui lui arrivait. La mort peut arriver aussi vite que la foudre et le pauvre homme venait d'en faire les frais. L'action s'était passée si vite que le temps que le reste du groupe ne se prépare à combattre, Shoma avait déjà déployé son ombre formant des pics assez nombreux qu'il pu vaincre ses opposants sans que ceux-ci ne puisse tenter une contre-attaque.

            Avec une attaque aussi rapide, Shoma pouvait facilement entrer dans le guiness des records à la rubrique des meilleurs assassins, mais à cause du nombre important de témoins qui avaient vu le pirate tuer, ce dernier perdait tous les points de la discrétion, mais qu'importe. Retirant son sabre du corps de sa victime, Shoma se remit en route, cette fois-ci avec un boulevard s'offrant à lui grâce à son crime qui effraya la population qui ne voulait pas finir comme les marins.


            "Merci"

            *Il leur en faut peur pour être effrayer dans ce bled*

            Reprenant sa poursuite, Shoma assista à la chute de la jeune femme, ainsi après une bonne dizaine de minute à courir à travers la ville Shoma réussi à mettre la main sur la voleuse et comme un bon gentlemen qui se doit, le jeune capitaine lui porte assistance. Devant la main tendue du capitaine il ne fallait pas voir qu'il avait oublié ce que la jeune femme lui avait fait subir, mais bien un moyen d'avoir l'une de ses mains afin de les séparer du reste de son corps. Dans un livre Shoma avait lu que dans certaine île du nouveau monde les voleurs n'étaient pas jetés en prison, mais se voyaient leurs mains tranché et maintenant qu'il était victime d'un vol il trouvait l'idée pas si idiote que cela.
            • https://www.onepiece-requiem.net/t1129-mantle-shoma
            Je m'aide de la main tendue, pour me relever.
            Et, dans un grand sourire, je me tourne vers cet aimable passant m'aillant aidé dans le besoin.

            - Oh c'est sympa ça-

            Mon souffle se coupe, mon cœur se stoppe, mes yeux s'écarquillent d'effroi.
            Cet agréable passant n'est autre que le VIL CAMBRIOLEUR ! Qui me regarde avec un grand sourire de psychopathe, qui veut dire que non seulement il va me tuer MAIS, parce qu'il y en a toujours un (et que ça serait moins marrant sinon) qu'il allait me faire souffrir un looong moment, long dépendant de ma conception du temps et de la sienne (car tout le monde sait qu'il est relatif, à moins que ce ne soit un conte de malade mental).
            Alors là, j'ai envie de dire un truc qui pourrait me sauver. Mais, rien ne sort de ma gorge, tous les mots se bloquent et s'entrechoquent.

            Une rafale de tirs interrompit l'échange privilégié, et me fit revenir à la dure réalité : Si je reste, je meurs. Et la mort, c'est mortel (si si, c'est vrai !). Donc, j'me redresse, lui fout un coup d'épaule (dans l'espoir de le renverser) et on s'retourne pour courir, vers un extérieur qui se veut moins hostile et moins peuplé. Si j'atteignais les quartiers pauvres, je pouvais espérer semer la Marine, après tout, il y a des endroits qu'ils n'osent même pas patrouiller ... Mais il restait toujours le problème du loup à visage humain, sadique à n'en pas douter.
            Prenant quelques mètres d'avance, je décidais de foutre un bordel monstre ! Les étalages installés de part et d'autre de la rue ? Bah moi j'm'amuse à renverser leur contenu au sol, dans l'espoir de ralentir ces vils individus ! Des fruits, des sacs, des bijoux, des vases, des hamsters, que sais-je encore ! V'là que les cris d'indignation résonnent tout autour de moi, alors que les marchands voient une p'tite conne se débarrasser de leur moyen de subsistance !

            Et je cours et cours encore, parce que ma vie elle en dépend ! Et là, je vois l'opportunité d'obstruer encore plus la voie : Un chariot contenant de nombreux tonneau d'ale. Des tonneaux qui, suite à ma magnifique attention, sont en train de dévaler la rue en direction des challengers.

            Challengers me direz vous ?! Bah oui ! Parce que c'moi qui règne sur les pistes de course, nah !
              Maintenant qu'il tenait le bras de la jeune femme avec assez de force pour l'empêcher de partir, Shoma fit tourner son sabre sur lui-même histoire d'augmenter la peur de la jeune qui se demandait bien ce qui allait lui arriver dans les secondes à venir. Voyant l'homme s'amuser avec son sabre avec un regard de tueur en série, les passants préférèrent faire comme s'ils ne voyaient rien plutôt que de prendre le risque de subir le même sort que la jeune femme. Pas bête les habitants de l'île, même s'il s'agissait plus de peur que d'autre chose. L'intimidation terminée, Shoma commença son mouvement de descente afin de trancher la main de la jeune femme quand il fut stoppé. La marine avait réussi à les retrouver et contrairement aux autres groupes, cette fois le dispositif lancer à sa poursuite comptait bien plus d'hommes ce qui compliqua les affaires du capitaine.

              Profitant du relâchement du pirate, la jeune femme réussie à le repousser et à prendre la fuite. Devant cette nouvelle poursuite qui se profilait, Shoma poussa un soupir avant de se relancer de plus belle en direction de la jeune femme. Ne voulant pas se faire couper en morceau, la jeune femme eu la brillante idée d'entraver le chemin avec divers obstacle et son idée aussi rudimentaire soit-elle réussi à stopper Shoma, du moins un petit moment. Se prenant les pieds dans un chariot, Shoma trébucha avant de se relever encore plus déterminé à lui couper les bras. Devant le nombre grandissant d'obstacle que jetait la jeune femme au beau milieu du chemin, Shoma retourna sur les toits, mais cette fois-ci sa progression ne se passa pas aussi bien qu'il l'aurait souhaité.

              A peine venait-il de monter sur un toit que celui-ci s'effondra et s'il n'avait pas été l'heureux propriétaire du Kage Kage no Mi, Shoma aurait terminé sa course dans la gamelle d'un chien qui visiblement n'était pas très content de voir un inconnu défoncer sa niche. La première mésaventure du capitaine aurait pu lui servir de leçon, mais devant la distance grandissante qui le séparait de la voleuse, Shoma insista et sauta le plus vite qu'il put sur une autre maison, mais en évaluant mal la distance Shoma compris qu'il n'avait aucune chance d'atteindre l'autre bout de la rue par voie aérienne et s'il nétait pas tomber dans une poubelle de carton il ne pourrait sans doute même plus espérer rattraper la jeune femme.

              Quittant son matelas de carton, Shoma se remit à la poursuite de la jeune femme, mais perdit très vite sa trace. Fou furieux, Shoma sautait de maison son en maison afin de trouver la jeune femme où des indices pouvant le conduire directement à elle, mais rien n'y faisait. Frustré, Shoma avait même pensé à tout détruire sur son passage, mais les tirs des soldats qui fusaient dans sa direction lui remit les idées en places, voilà pourquoi le jeune capitaine opta pour sa tirer d'affaire. Aujourd'hui il venait de se faire un nouvel ennemi. Une chose était certaine, le jour où il croiserait la jeune femme, alors elle regrettera à tout jamais de lui avoir subtilisé son argent. Il n'était pas encore né celui qui volerait le capitaine Shoma sans que celui-ci ne se venge.

              Renonçant à la poursuite de la jeune femme, Shoma pris à son tour ses jambes à son cou afin de ne pas se faire capture par la marine qui régnait en maître sur l'île. La partie n'était pas gagnée d'avance, car si Shoma était agile, rapide et puissant, la marine elle avait de son côté le nombre. En tant qu'île forte de la marine sur les blues, Saint Urea comptait pas moins d'assez d'hommes participer à une guerre ouverte avec n'importe quelle île des blues, ce qui signifiait que Shoma se retrouvait dans une fourmilière hostile et que s'il ne la jouait pas discret, alors il n'aurait aucune chance d'en sortir vivant.

              Utilisant les égouts comme moyen afin de quitter la seconde partie de Urea, Shoma réussi à se rendre dans les bas-fonds de la troisième partie de l'île, échappant ainsi à la marine qui avait quadrillé toutes les sorties "normale". Une fois libre et sans personne à ses trousses, le jeune capitaine se débrouilla afin de retourner au port afin de quitter l'île le plus vite possible. Pour lui cette aventure se finissait bien, quoi qu'il avait dû faire une croix sur une partie de l'argent qu'il avait volé. Ce n'était que partie remise, tôt où tard il retrouverait cette jeune femme et ainsi ils pourraient régler leur compte.



              FIN

              • https://www.onepiece-requiem.net/t1129-mantle-shoma