~ N. As Hana
Pseudonyme : On va dire Ananas Age: 20 ans Sexe : Femme Race : Humaine Rang : Fugueuse Métier : Musicienne, bretteuse Groupe : Civils Déjà un équipage : Nul But : Faire payer le papounet Fruit du démon ou Aptitude pour la suite : Ambidextre Équipements : Deux sabres courts et un violon ♥ Codes du règlement (2) : Parrain : Nop' Ce compte est-il un DC ? : No'p Si oui, quel @ l'a autorisé ? : N'op |
~ Physique
Hana est une bourgeoise. Cela se voit dans son port de tête, ses mains blanches et douces et sa démarche souple et gracile qui lui permet de se déplacer sans perturber le moindre grain de sable et ses gestes amples. Jamais un mouvement ne sera effectué inutilement. Vous remarquerez pourtant quelques signes qui feront que vous pourrez avoir un doute. Sous son ample kimono, lorsqu'elle le porte, vous pourrez observer les lignes de muscles assez entrainés. En effet, ayant pratiqué le kendo dans son enfance et ne s'étant jamais vraiment arrêtée, la jeune fille possède une carrure qui ne sied guère à se stature, lorsque l'on y fait attention. Ceci dit, rien ne prête à confusion chez mademoiselle As. Non, c'est bien une fille, aucun de doute la dessus. Ses traits juvéniles sont encore présent, preuve de sa jeunesse et ses joues sont souvent roses. Niveau vestimentaire, plusieurs tenues plaisent à Hana. Ainsi vous pourrez voir la version kimono d'entrainement, qui soit dit en passant est sa tenue la plus simple, mais aussi le kimono de cérémonie ou le kimono dénaturé qui permet une plus grande amplitude de mouvement et une plus grande rapidité dans l’exécution des mouvements. Ceci dit, pour se battre en général la bourgeoise préfère adopter une ancienne veste de son frère, rougeoyante et couverte de fleurs de cerisier sous laquelle elle revêt une chemise à jabot blanche et un ample haut noir avec un col en v. En général, pour le bas elle optera pour un pantalon large arrivant à mi mollet. Oui, cette tenue est vraiment celle de prédilection de la jeune fille. Oh, vous remarquerez sans doute son ruban rouge, avec lequel elle attache le plus souvent ses cheveux bruns, ainsi que son étui à violon qu'elle transporte partout. Ceci dit, ce qui vous étonnera sans doute le plus ce sont ses sabres. Une jeune fille avec des sabres... Quelle drôle d'idée! |
~ Psychologie
De enfant perturbée à ado renfermée, Hana est devenue une jeune femme déterminée. Oh, bien sûr son but trahis sa névrose mais elle s'est beaucoup calmée. Parfois ceci dit, la haine la dévore de façon si intense qu'elle devient incontrôlable. C'est un peu comme si elle se voyait agir de l'extérieur et observait en simple spectatrice le massacre qu'elle crée. Quand je dis massacre, elle n'a jamais fait plus que de détruire le gymnase où elle s'entrainait au maniement du sabre ou de rendre sa chambre totalement méconnaissable (ce jour là, elle avait étripé toutes ses peluches!). Mademoiselle As n'a jamais été confrontée au sang, ayant grandit dans le luxe. Ce qu'elle hait le plus est son père mais par extension, elle hait tout autant les pirates, qui volent eux aussi les honnêtes gens. Elle n'aura aucun problème de conscience à se salir les mains pour rendre le monde meilleur. De groupe sanguin O, Hana est agréable, sociable et optimiste. Elle ira toujours de l'avant et ferait tout pour ses amis (elle a même empêché la noyade de Pluf, sa peluche marmotte, quand elle avait cinq ans! C'était la gouvernante qui voulait la mettre dans un baquet plein d'eau et de bulles... Y'a des ces inconscients!). En contrepartie, elle est aussi critique, indécise (quand il s'agit de choisir son dessert dans une patisserie), étourdie et irresponsable. En effet ayant vécu dans une cage dorée où elle a grandie entourée de domestiques, la jeune fille est invariablement franche. Son irresponsabilité peut vite devenir un problème pour ceux qui auront à la supporter... |
~ Biographie
Pourquoi...? Pourquoi tu me rejettes? Ça me fait mal... Si mal... Regarde moi... S'il te plait, ne m'ignore pas encore cette fois! Non, retourne toi! Ce n'est pas possible! Tu ne peux pas me laisser là, comme ça... Non, je suis ton enfant... Tu m'aime forcement... Mais... Pourquoi me tourne tu toujours le dos? Dis, ce n'est pas possible, non, vraiment ça ne pas exister... Un père qui haïsse autant sa fille... Que t'ai je fait? Ce n'est pas ma faute si mère est morte... J'ai... J'ai pas fait exprès! Grand frère est sorti avant de son ventre mais il ne lui a pas fait mal et moi... Non! C'est pas ma faute! Juste il est comme moi! On est jumeaux! On est pareil! Mais lui tu l'aime... Et moi non.
...C'est parce que je ne sais rien faire, c'est cela? Je sais, j'ai toujours été nulle dans l'apprentissage. Mais de toute façon, le maître ne s'occupait que de Juste. Parce que lui il allait reprendre ton affaire. Et moi non. Moi je n'ai pas cette prétention. Je ne suis que la seconde, et je suis une fille. Et je n'aime pas les livres de calcul, les comptes et tout ce qui va avec. Moi je préfère écrire et jouer de la musique. J'ai toujours préféré cela d'ailleurs. Mais tu n'y as jamais fait attention. Alors j'ai cru que tu préférais avoir des fils, deux fils. C'est pourquoi je me suis mise au kendo. Tu m'as payé des cours, mais tu t'en fichais pas mal. A table, tu ne parlais qu'à lui. Je n'avais jamais le droit une seule question sur ma journée. Et tu n'as même pas remarqué le jour où je me suis coupée les cheveux avec le sabre qu'il y avait dans ton bureau. Ni la liasse de mèches qui trainaient dans ta poubelle d'habitude pleine de factures. La gouvernante que tu me payais m'a sévèrement réprimandée ce jour là. Je m'en souviens encore.
Au bout d'un moment je me suis dit que j'avais été stupide. Non, tu ne voulais pas deux garçons. Sinon tu m'aurais déjà remarqué, j'avais meurtri mon corps pour empêcher la puberté d'arriver, effacé tout ce qui était féminin chez moi et porté les anciens vêtements de Juste. En fait je n'étais tout simplement pas assez jolie. Alors j'ai laissé poussé mes cheveux. Je voulais qu'ils soient aussi longs que ceux de mère. Je voulais être aussi belle qu'elle, pour que tu puisses enfin me voir. Un matin, je me suis donc présentée devant ton bureau, sachant que te déranger dans ton travail te mettait habituellement dans une colère noire. J'avais emprunté un ancien kimono de maman et avait arrangé mes cheveux à sa façon, en me basant sur une ancienne photo dans le sanctuaire. Je me rappelle clairement de cette claque que tu m'as assené ce jour là. La première. Et aussi la première fois que tu me regardais dans les yeux, que tu me touchais.
Comment voulais-tu que je réagisse moi hein, dis moi? Que voulais tu que je fasse? Comment j'aurais pu savoir qu'il aurait mieux valut que je meurs à sa place? Comment? Dis moi! Je n'étais qu'un bébé, j'ai pris la vie de celle que tu aimais. Mais tu n'as jamais pu me le pardonner. Je venais à peine d'atterrir dans ce monde que j'étais déjà haïs. Oh, bien sûr je n'ai manqué de rien, matériellement parlant. Non, j'ai juste manqué de chaleur humaine et de tout ce qui peut faire qu'un enfant se construit sainement. Tu m'as détruite. L'enfant que j'étais ne comprenais pas. L'adolescente a fait de son mieux et moi, moi je t'en veux. Je t'en veux de n'avoir su m'aimer. D'avoir formaté Juste. Je t'en veux de m'avoir fait croire toutes ces années que je devais changer pour te plaire parce que je n'étais pas assez bien pour toi. Je t'en veux d'avoir acheté ma liberté dans cette cage dorée. Je crois que je ne dirais jamais assez combien je te hais.
Le pire a sans doute été le jour où tu as voulu me marier de force pour te rapprocher encore un peu plus de ces Tenryubitos devant lesquels tu courbais constamment l'échine. Tu crois que je n'ai pas vu comment ils te regardaient? Tu crois que je ne sais pas qu'ils te considèrent comme un tapis sur lequel marcher? Ton environnement, ta façon de faire, tout ça me dégoute, tu n'es qu'un pauvre homme. Il n'y a que le pouvoir qui compte maintenant que la tristesse a posé son lourd voile noir sur ton cœur et que la froideur a gelé tes sentiments. Plus rien ne compte à part l'argent. Les profits. Le statut social. Mais moi je connais tes magouilles, tu es un pirate père, et à l'instar des pires criminels, tu es mauvais. Pourris jusqu'à la moelle. Et tu forges mon frère à ton image.
Voilà, j'ai décidé de partir. Tu me donnais trop d'argent alors je pars avec. Je t'ai aussi piqué tes sabres, ceux qui ornaient le mur derrière ton bureau. Je suis sûre que tu ne sais même pas que je suis ambidextre. Parce que je tenais un journal intime. Mais ça non plus tu ne devais pas savoir. Et j'avais tellement de choses à écrire que j'avais le poignet en compote alors je passais à l'autre main. J'avais trop besoin de me confier à quelque chose. Et maintenant je manie deux sabres. Je ne sais pas encore ce que je vais faire de ma vie. J'ai le choix. Je quitte la cage et devient libre. Mais tu verras, tu le regretteras. Je te ferais payer un jour. Et ce jour là tu me regarderas bien en face, avec des yeux écarquillés et tu comprendras tout le mal que tu as rependu. Tu comprendras tes erreurs ce jour là.
...C'est parce que je ne sais rien faire, c'est cela? Je sais, j'ai toujours été nulle dans l'apprentissage. Mais de toute façon, le maître ne s'occupait que de Juste. Parce que lui il allait reprendre ton affaire. Et moi non. Moi je n'ai pas cette prétention. Je ne suis que la seconde, et je suis une fille. Et je n'aime pas les livres de calcul, les comptes et tout ce qui va avec. Moi je préfère écrire et jouer de la musique. J'ai toujours préféré cela d'ailleurs. Mais tu n'y as jamais fait attention. Alors j'ai cru que tu préférais avoir des fils, deux fils. C'est pourquoi je me suis mise au kendo. Tu m'as payé des cours, mais tu t'en fichais pas mal. A table, tu ne parlais qu'à lui. Je n'avais jamais le droit une seule question sur ma journée. Et tu n'as même pas remarqué le jour où je me suis coupée les cheveux avec le sabre qu'il y avait dans ton bureau. Ni la liasse de mèches qui trainaient dans ta poubelle d'habitude pleine de factures. La gouvernante que tu me payais m'a sévèrement réprimandée ce jour là. Je m'en souviens encore.
Au bout d'un moment je me suis dit que j'avais été stupide. Non, tu ne voulais pas deux garçons. Sinon tu m'aurais déjà remarqué, j'avais meurtri mon corps pour empêcher la puberté d'arriver, effacé tout ce qui était féminin chez moi et porté les anciens vêtements de Juste. En fait je n'étais tout simplement pas assez jolie. Alors j'ai laissé poussé mes cheveux. Je voulais qu'ils soient aussi longs que ceux de mère. Je voulais être aussi belle qu'elle, pour que tu puisses enfin me voir. Un matin, je me suis donc présentée devant ton bureau, sachant que te déranger dans ton travail te mettait habituellement dans une colère noire. J'avais emprunté un ancien kimono de maman et avait arrangé mes cheveux à sa façon, en me basant sur une ancienne photo dans le sanctuaire. Je me rappelle clairement de cette claque que tu m'as assené ce jour là. La première. Et aussi la première fois que tu me regardais dans les yeux, que tu me touchais.
Comment voulais-tu que je réagisse moi hein, dis moi? Que voulais tu que je fasse? Comment j'aurais pu savoir qu'il aurait mieux valut que je meurs à sa place? Comment? Dis moi! Je n'étais qu'un bébé, j'ai pris la vie de celle que tu aimais. Mais tu n'as jamais pu me le pardonner. Je venais à peine d'atterrir dans ce monde que j'étais déjà haïs. Oh, bien sûr je n'ai manqué de rien, matériellement parlant. Non, j'ai juste manqué de chaleur humaine et de tout ce qui peut faire qu'un enfant se construit sainement. Tu m'as détruite. L'enfant que j'étais ne comprenais pas. L'adolescente a fait de son mieux et moi, moi je t'en veux. Je t'en veux de n'avoir su m'aimer. D'avoir formaté Juste. Je t'en veux de m'avoir fait croire toutes ces années que je devais changer pour te plaire parce que je n'étais pas assez bien pour toi. Je t'en veux d'avoir acheté ma liberté dans cette cage dorée. Je crois que je ne dirais jamais assez combien je te hais.
Le pire a sans doute été le jour où tu as voulu me marier de force pour te rapprocher encore un peu plus de ces Tenryubitos devant lesquels tu courbais constamment l'échine. Tu crois que je n'ai pas vu comment ils te regardaient? Tu crois que je ne sais pas qu'ils te considèrent comme un tapis sur lequel marcher? Ton environnement, ta façon de faire, tout ça me dégoute, tu n'es qu'un pauvre homme. Il n'y a que le pouvoir qui compte maintenant que la tristesse a posé son lourd voile noir sur ton cœur et que la froideur a gelé tes sentiments. Plus rien ne compte à part l'argent. Les profits. Le statut social. Mais moi je connais tes magouilles, tu es un pirate père, et à l'instar des pires criminels, tu es mauvais. Pourris jusqu'à la moelle. Et tu forges mon frère à ton image.
Voilà, j'ai décidé de partir. Tu me donnais trop d'argent alors je pars avec. Je t'ai aussi piqué tes sabres, ceux qui ornaient le mur derrière ton bureau. Je suis sûre que tu ne sais même pas que je suis ambidextre. Parce que je tenais un journal intime. Mais ça non plus tu ne devais pas savoir. Et j'avais tellement de choses à écrire que j'avais le poignet en compote alors je passais à l'autre main. J'avais trop besoin de me confier à quelque chose. Et maintenant je manie deux sabres. Je ne sais pas encore ce que je vais faire de ma vie. J'ai le choix. Je quitte la cage et devient libre. Mais tu verras, tu le regretteras. Je te ferais payer un jour. Et ce jour là tu me regarderas bien en face, avec des yeux écarquillés et tu comprendras tout le mal que tu as rependu. Tu comprendras tes erreurs ce jour là.
~ Test RP
Sortie. Enfin. Hana frissonna en regardant le clair de lune. L'air était frais mais au moins, il demeurait sec. La jeune fille serra contre elle son étui à violon, son petit baluchon et ses deux épées. Elle avait au moins eu la présence d'esprit de dissimuler son argent car, comme elle l'avait parfois lu dans certains livres, la nuit était le domaine des voleurs et des brigands. Avec sa grande cape noire elle avait espéré se cacher pour pouvoir fuir la ville et rejoindre le port. Le hic c'était qu'elle ne savait pas où était le port, n'ayant jamais quitté son quartier doré. Ce dernier était justement un peu trop doré. En effet il n'émanait pas des maisons, qui à vrai dire auraient plus mérité l'appellation de palais, de la noirceur. Avec leurs jardins proprets et leurs hautes grilles en fer forgées, le plus souvent recouvertes de feuilles d'or ou d'argent et leurs briques impeccablement cirées, les alentours resplendissaient plutôt et diffusaient un halo éclatant. Autant dire qu'en noir, la petite bourgeoise se fondait mal dans la masse.
Qu'à cela ne tienne, le quartier était certes grand mais tout le monde dormait à cette heure-ci, pas question d'avoir des cernes pour le lendemain! Et on ne pouvait pas dire que les gardiens étaient très attentifs, roupillant dans leurs postes. Hana se retourna vers son ancienne demeure, son ancien chez-soi, avec un brin de nostalgie. C'était la dernière fois qu'elle observait cet endroit mais aussi la première fois qu'elle s'y sentait totalement étrangère. Oh, bien sûr, la jeune fille ne s'était jamais vraiment sentie chez elle dans ces lieux mais c'était tout de même là qu'elle avait grandie. Elle pensa à Juste et au regard dédaigneux qu'il lui avait lancé la veille, lors du dîner. A nouveau elle se demanda comment aurait été sa vie si elle n'avait pas tué sa mère en naissant. Aurait-elle été plus heureuse? Sans doute...
La fugueuse secoua la tête. Le temps n'était plus à la rêvasserie, elle était libre de faire ce qu'elle jugerait bon désormais, de se forger sa propre image de la justice et de son destin. Un jour elle reviendrait ici et mettrait son propre père sous les lourds verrous d'une prison dégoutante. Ce fut avec ces pensées réconfortantes que la gamine s'enfonça dans l'obscurité. Le quartier des riches de la ville était entouré par une épaisse muraille qui empêchait les manants d'y entrer. Les tours de garde étaient réguliers et les pas des surveillants lents. Hana se demanda si elle parviendrait à s'échapper de l'enceinte. Cachée dans un bosquet, elle observa les tours, notant scrupuleusement l'écart entre chaque ronde.
Au bout d'une heure, alors qu'elle commençait à s'assoupir le garde repassa une nouvelle fois. C'était le moment qu'elle attendait. La bourgeoise se leva et entra dans le poste, vide. Après avoir gravit l'escalier en colimaçon elle se retrouva sur le chemin de ronde. Au delà s'étendait la ville, d'abord assez gracieuse et ordonnée puis chaotique et presque sauvage. Au loin on percevait les bruits d'une cité vivante et animée, en dépit de l'heure mais aussi... Le port. Mademoiselle As se mit à sourire sous sa cape. Son but était proche. Une fois là bas elle embarquerait pour une autre île et serait tranquille. Son père la chercherait peut être un temps, mais jamais il ne la trouverait si elle quittait le royaume de Goa.
Maintenant il fallait faire vite. Le prochain tour ne mettrait pas tant de temps à passer. Hana se hissa sur la margelle et pivota, dos au vide. La muraille était tout de même assez haute, de l'autre côté du mur on ne s'en rendait pas vraiment compte mais quand il s'agissait de se glisser sur la longue surface sculptée ça devenait moins évident. Quoi que, si elle avait été lisse ça aurait été encore plus dur. La jeune fille se laissa tomber sur l'étroite corniche et retint son souffle pendant que le garde suivant passait. Une fois qu'il se fut assez éloigné, elle rassembla ses affaires qu'elle mit ensuite dans sa cape avec laquelle elle fit un énorme baluchon. Après avoir accroché ce sac improvisé à son cou, ce qui lui permettait de libérer ses mains, la bourgeoise se lança dans la dé-escalade du mur. Elle se félicita d'avoir pensé à mettre des vêtements d'homme. Ils rendirent sa tache plus aisée. Cependant, bien plus qu'aisée la tâche n'était toujours pas évidente et à cinq mètres du, elle dévissa et de roula lamentablement jusqu'au sol.
Hana se releva en massant ses coudes endoloris. Heureusement que son baluchon avait amorti sa chute. Cela l'apprendrait à ne pas réfléchir assez. Bon, maintenant elle était sale. Alors dans tous les cas il fallait qu'elle se change. La jeune fille avisa un kimono rose et beige. Tout simple. Oui, ça conviendrait pour le voyage, et puis elle n'aurait qu'à repriser les autres vêtements. Une fois changée, elle s'enfonça dans la première ruelle. C'était étrange, jamais elle n'avait imaginé le centre ville ainsi. Même des hauteurs, cela ne correspondait pas à ce qu'elle avait vu. C'était trop... Désordonné... Et un peu crasseux aussi, il fallait bien l'avouer. Alors c'était d'ici que venait sa gouvernante? Et les esclaves, ils venaient d'où eux? Maintenant que elle s'en rendait compte, c'était vrai que la fugueuse n'avait jamais réellement fait attention à eux. La bourgeoise pesta une nouvelle fois contre sa cage dorée et la mentalité des gens qu'elle avait fréquenté dans son enfance. C'était vrai, pour eux, comme pour elle auparavant, c'était normal d'avoir des esclaves.
A mesure qu'elle avançait dans les rues, Hana était de plus en plus choquée de voir la crasse qui semblait tout orner ici. Elle arriva enfin à ce qui devait être une sorte de place. Elle ne ressemblait cependant en rien aux places que la protagoniste avait l'habitude de fréquenter. Non, normalement sur une place il y avait une jolie fontaine sculptée et des fleurs. De gros bosquets bien entretenus... A mesure qu'elle prenait conscience de la différence de train de vie entre elle et ces gens, qui fréquentaient ces quartiers quotidiennement, la demoiselle as se mit à détester de plus en plus sa fortune et son père, qui volait impunément ces gens là. Il ne semblait pas possible à la jeune fille que quelqu'un puisse être encore plus pauvre que ceux qui vivaient dans ces lieux.
Avisant un établissement qui devait être un bar, à ce que la fugueuse en savait, Hana se rendit compte qu'elle avait faim. L'aube pointait à peine le bout de son nez et pourtant l'endroit semblait être très animé, aux vues des cris qui en sortaient. Cela faisait un peu bestiale mais, loin de l'effrayer, cela intriguait la bourgeoise. Elle poussa la lourde porte de l'établissement et une lourde odeur de friture et de transpiration la prise au nez. Ainsi qu'une autre odeur, assommante mais qu'elle n'arrivait pas à identifier. La gamine parcourut des yeux la salle. La plupart des clients semblaient assommés et on observait sur leurs visages leurs barbes qui devaient dater de plusieurs jours. Certains de leurs vêtements étaient rapiécés, ou gras, à moins qu'ils ne soient irrémédiablement sales. La bourgeoise ne put réprimer un mouvement de dégout devant cette crasse omniprésente puis se détesta pour sa réaction. Elle avança vers le comptoir où un gros chauve, qui devait être le gérant de l'établissement, essayait en vain de nettoyer la surface avec un torchon de toute façon bien trop sale et limé. Quand elle l'interpella, il leva sa lourde tête avec difficulté puis écarquilla les yeux.
Z'êtes pas d'ici vous... lança t-il avec un regard entendu.
Euh, non, je suis arrivée en ville il y a peu... Pourrais-je avoir de quoi me restaurer s'il vous plait?
Mais certes monseigneur... dit-il en se baissant vers le dessous de son comptoir. T'nez mam'zelle...
Il lança ce qui devait être un bol et dont le contenu était plus que suspicieux à Hana qui resta un moment interloquée.
Euh... Vous auriez une cuillère s'il vous plait?
Ah, nan 'plus de truc comme ça ici. Ca vous f'ra 2000 berrys mam'zelle.
Ah euh... D'accord... répondit la jeune fille en tirant la somme de sa bourse qui était fixée à son obi et en la déposant sur le plan de travail.
Le gérant écarquilla une nouvelle fois ses yeux avant de prendre une chope en bois derrière lui et de la lancer sur un type qui dormait, à en juger par les ronflements, sur une table.
Hé! Roger! Regarde la gamine elle vient de payer 2000 berrys pour sa soupe! cria-t-il avant d'éclater d'un rire tonitruant.
Ce cri réveilla tous les soulards qui roupillaient en paix. Ils observèrent tous Hana qui se sentait de plus en plus mal à l'aise. L'un d'entre eux se leva et se dirigea d'un pas lent vers elle avant de lui lancer un regard lubrique.
Hé, t'sais, moi j'ai plein de trucs à te vendre si tu veux...
Euh non, non merci... répondit la bourgeoise en s'éloignant avec un frisson.
Elle heurta alors un autre type qui lui adressa un sourire entendu. Les chicots achevaient de ronger ses dents.
Bah alors? Elle veut partir la mam'zelle? Mais non, reste, on commence juste à s'amuser...
La fugueuse était maintenant entourée d'hommes tous plus crasseux les uns que les autres et qui tendaient tous leurs mains vers elle, comme pour la dépecer. Elle crut même apercevoir le reflet métallique d'une lame.
Euh... je suis désolée, je dois vraiment partir...
Mais non, reste! Regarde... on est sympas!
Hana commença à s'affoler. Elle empoigna son baluchon et en sorti un sabre.
Hola on se calme ma p'tite dame! lança un des hommes, dont le nez avait une teinte rouge sanguinolente et un oeil au beurre noir sur son visage, en sortant un pistolet de très mauvaise facture de sa ceinture.
Les soulards devinrent des loups. En réfléchissant à deux milles à l'heure, la jeune fille ne vit qu'une seule issue pour elle. Elle détacha sa bourse et la lança le plus fort possible dans un coin de la salle. Les types se ruèrent dessus ce qui lui laissa le temps de filer dans le capharnaüm général. Elle courut le plus vite possible à travers les rues. Il faisait maintenant bien jours et elle bouscula nombres de passants qui avaient tous les mêmes regards envers elle. Curiosité. Jalousie. Envie. C'était un vrai cauchemar! Jamais Hana ne s'était imaginée le centre ville ainsi. Une larme coula sur sa joue.
A un carrefour, la fugueuse dû ralentir, un immense chariot bloquait la route. Et dessus des esclaves, aux regards éteints et résignés. Un enfant agrippa le kimono de la jeune fille qui le regarda effrayée. On aurait dit un fantôme, tant avec les haillons qu'il portait que à cause du vide de ses yeux et de son aspect cadavérique.
Tu n'aurais pas à manger? J'ai faim...
La demoiselle As le regarda avec horreur avant de faire demi tour et retourner au carrefour précédent. Elle se rendit alors compte qu'elle était suivie et la peur pris le dessus. Elle dégaina un sabre et continua à courir le plus vite possible. Elle avisa une arcade vers laquelle elle se rua et se retrouva dans une sorte de décharge. Ce fut à ce moment là que l'évidence la frappa, ce n'était pas dans le centre ville qu'elle avait été mais dans la ville frontière. Et maintenant elle faisait face au Grey Terminal... Ce n'était pas bon, pas bon du tout!
Qu'à cela ne tienne, le quartier était certes grand mais tout le monde dormait à cette heure-ci, pas question d'avoir des cernes pour le lendemain! Et on ne pouvait pas dire que les gardiens étaient très attentifs, roupillant dans leurs postes. Hana se retourna vers son ancienne demeure, son ancien chez-soi, avec un brin de nostalgie. C'était la dernière fois qu'elle observait cet endroit mais aussi la première fois qu'elle s'y sentait totalement étrangère. Oh, bien sûr, la jeune fille ne s'était jamais vraiment sentie chez elle dans ces lieux mais c'était tout de même là qu'elle avait grandie. Elle pensa à Juste et au regard dédaigneux qu'il lui avait lancé la veille, lors du dîner. A nouveau elle se demanda comment aurait été sa vie si elle n'avait pas tué sa mère en naissant. Aurait-elle été plus heureuse? Sans doute...
La fugueuse secoua la tête. Le temps n'était plus à la rêvasserie, elle était libre de faire ce qu'elle jugerait bon désormais, de se forger sa propre image de la justice et de son destin. Un jour elle reviendrait ici et mettrait son propre père sous les lourds verrous d'une prison dégoutante. Ce fut avec ces pensées réconfortantes que la gamine s'enfonça dans l'obscurité. Le quartier des riches de la ville était entouré par une épaisse muraille qui empêchait les manants d'y entrer. Les tours de garde étaient réguliers et les pas des surveillants lents. Hana se demanda si elle parviendrait à s'échapper de l'enceinte. Cachée dans un bosquet, elle observa les tours, notant scrupuleusement l'écart entre chaque ronde.
Au bout d'une heure, alors qu'elle commençait à s'assoupir le garde repassa une nouvelle fois. C'était le moment qu'elle attendait. La bourgeoise se leva et entra dans le poste, vide. Après avoir gravit l'escalier en colimaçon elle se retrouva sur le chemin de ronde. Au delà s'étendait la ville, d'abord assez gracieuse et ordonnée puis chaotique et presque sauvage. Au loin on percevait les bruits d'une cité vivante et animée, en dépit de l'heure mais aussi... Le port. Mademoiselle As se mit à sourire sous sa cape. Son but était proche. Une fois là bas elle embarquerait pour une autre île et serait tranquille. Son père la chercherait peut être un temps, mais jamais il ne la trouverait si elle quittait le royaume de Goa.
Maintenant il fallait faire vite. Le prochain tour ne mettrait pas tant de temps à passer. Hana se hissa sur la margelle et pivota, dos au vide. La muraille était tout de même assez haute, de l'autre côté du mur on ne s'en rendait pas vraiment compte mais quand il s'agissait de se glisser sur la longue surface sculptée ça devenait moins évident. Quoi que, si elle avait été lisse ça aurait été encore plus dur. La jeune fille se laissa tomber sur l'étroite corniche et retint son souffle pendant que le garde suivant passait. Une fois qu'il se fut assez éloigné, elle rassembla ses affaires qu'elle mit ensuite dans sa cape avec laquelle elle fit un énorme baluchon. Après avoir accroché ce sac improvisé à son cou, ce qui lui permettait de libérer ses mains, la bourgeoise se lança dans la dé-escalade du mur. Elle se félicita d'avoir pensé à mettre des vêtements d'homme. Ils rendirent sa tache plus aisée. Cependant, bien plus qu'aisée la tâche n'était toujours pas évidente et à cinq mètres du, elle dévissa et de roula lamentablement jusqu'au sol.
Hana se releva en massant ses coudes endoloris. Heureusement que son baluchon avait amorti sa chute. Cela l'apprendrait à ne pas réfléchir assez. Bon, maintenant elle était sale. Alors dans tous les cas il fallait qu'elle se change. La jeune fille avisa un kimono rose et beige. Tout simple. Oui, ça conviendrait pour le voyage, et puis elle n'aurait qu'à repriser les autres vêtements. Une fois changée, elle s'enfonça dans la première ruelle. C'était étrange, jamais elle n'avait imaginé le centre ville ainsi. Même des hauteurs, cela ne correspondait pas à ce qu'elle avait vu. C'était trop... Désordonné... Et un peu crasseux aussi, il fallait bien l'avouer. Alors c'était d'ici que venait sa gouvernante? Et les esclaves, ils venaient d'où eux? Maintenant que elle s'en rendait compte, c'était vrai que la fugueuse n'avait jamais réellement fait attention à eux. La bourgeoise pesta une nouvelle fois contre sa cage dorée et la mentalité des gens qu'elle avait fréquenté dans son enfance. C'était vrai, pour eux, comme pour elle auparavant, c'était normal d'avoir des esclaves.
A mesure qu'elle avançait dans les rues, Hana était de plus en plus choquée de voir la crasse qui semblait tout orner ici. Elle arriva enfin à ce qui devait être une sorte de place. Elle ne ressemblait cependant en rien aux places que la protagoniste avait l'habitude de fréquenter. Non, normalement sur une place il y avait une jolie fontaine sculptée et des fleurs. De gros bosquets bien entretenus... A mesure qu'elle prenait conscience de la différence de train de vie entre elle et ces gens, qui fréquentaient ces quartiers quotidiennement, la demoiselle as se mit à détester de plus en plus sa fortune et son père, qui volait impunément ces gens là. Il ne semblait pas possible à la jeune fille que quelqu'un puisse être encore plus pauvre que ceux qui vivaient dans ces lieux.
Avisant un établissement qui devait être un bar, à ce que la fugueuse en savait, Hana se rendit compte qu'elle avait faim. L'aube pointait à peine le bout de son nez et pourtant l'endroit semblait être très animé, aux vues des cris qui en sortaient. Cela faisait un peu bestiale mais, loin de l'effrayer, cela intriguait la bourgeoise. Elle poussa la lourde porte de l'établissement et une lourde odeur de friture et de transpiration la prise au nez. Ainsi qu'une autre odeur, assommante mais qu'elle n'arrivait pas à identifier. La gamine parcourut des yeux la salle. La plupart des clients semblaient assommés et on observait sur leurs visages leurs barbes qui devaient dater de plusieurs jours. Certains de leurs vêtements étaient rapiécés, ou gras, à moins qu'ils ne soient irrémédiablement sales. La bourgeoise ne put réprimer un mouvement de dégout devant cette crasse omniprésente puis se détesta pour sa réaction. Elle avança vers le comptoir où un gros chauve, qui devait être le gérant de l'établissement, essayait en vain de nettoyer la surface avec un torchon de toute façon bien trop sale et limé. Quand elle l'interpella, il leva sa lourde tête avec difficulté puis écarquilla les yeux.
Z'êtes pas d'ici vous... lança t-il avec un regard entendu.
Euh, non, je suis arrivée en ville il y a peu... Pourrais-je avoir de quoi me restaurer s'il vous plait?
Mais certes monseigneur... dit-il en se baissant vers le dessous de son comptoir. T'nez mam'zelle...
Il lança ce qui devait être un bol et dont le contenu était plus que suspicieux à Hana qui resta un moment interloquée.
Euh... Vous auriez une cuillère s'il vous plait?
Ah, nan 'plus de truc comme ça ici. Ca vous f'ra 2000 berrys mam'zelle.
Ah euh... D'accord... répondit la jeune fille en tirant la somme de sa bourse qui était fixée à son obi et en la déposant sur le plan de travail.
Le gérant écarquilla une nouvelle fois ses yeux avant de prendre une chope en bois derrière lui et de la lancer sur un type qui dormait, à en juger par les ronflements, sur une table.
Hé! Roger! Regarde la gamine elle vient de payer 2000 berrys pour sa soupe! cria-t-il avant d'éclater d'un rire tonitruant.
Ce cri réveilla tous les soulards qui roupillaient en paix. Ils observèrent tous Hana qui se sentait de plus en plus mal à l'aise. L'un d'entre eux se leva et se dirigea d'un pas lent vers elle avant de lui lancer un regard lubrique.
Hé, t'sais, moi j'ai plein de trucs à te vendre si tu veux...
Euh non, non merci... répondit la bourgeoise en s'éloignant avec un frisson.
Elle heurta alors un autre type qui lui adressa un sourire entendu. Les chicots achevaient de ronger ses dents.
Bah alors? Elle veut partir la mam'zelle? Mais non, reste, on commence juste à s'amuser...
La fugueuse était maintenant entourée d'hommes tous plus crasseux les uns que les autres et qui tendaient tous leurs mains vers elle, comme pour la dépecer. Elle crut même apercevoir le reflet métallique d'une lame.
Euh... je suis désolée, je dois vraiment partir...
Mais non, reste! Regarde... on est sympas!
Hana commença à s'affoler. Elle empoigna son baluchon et en sorti un sabre.
Hola on se calme ma p'tite dame! lança un des hommes, dont le nez avait une teinte rouge sanguinolente et un oeil au beurre noir sur son visage, en sortant un pistolet de très mauvaise facture de sa ceinture.
Les soulards devinrent des loups. En réfléchissant à deux milles à l'heure, la jeune fille ne vit qu'une seule issue pour elle. Elle détacha sa bourse et la lança le plus fort possible dans un coin de la salle. Les types se ruèrent dessus ce qui lui laissa le temps de filer dans le capharnaüm général. Elle courut le plus vite possible à travers les rues. Il faisait maintenant bien jours et elle bouscula nombres de passants qui avaient tous les mêmes regards envers elle. Curiosité. Jalousie. Envie. C'était un vrai cauchemar! Jamais Hana ne s'était imaginée le centre ville ainsi. Une larme coula sur sa joue.
A un carrefour, la fugueuse dû ralentir, un immense chariot bloquait la route. Et dessus des esclaves, aux regards éteints et résignés. Un enfant agrippa le kimono de la jeune fille qui le regarda effrayée. On aurait dit un fantôme, tant avec les haillons qu'il portait que à cause du vide de ses yeux et de son aspect cadavérique.
Tu n'aurais pas à manger? J'ai faim...
La demoiselle As le regarda avec horreur avant de faire demi tour et retourner au carrefour précédent. Elle se rendit alors compte qu'elle était suivie et la peur pris le dessus. Elle dégaina un sabre et continua à courir le plus vite possible. Elle avisa une arcade vers laquelle elle se rua et se retrouva dans une sorte de décharge. Ce fut à ce moment là que l'évidence la frappa, ce n'était pas dans le centre ville qu'elle avait été mais dans la ville frontière. Et maintenant elle faisait face au Grey Terminal... Ce n'était pas bon, pas bon du tout!
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Informations IRL
Prénom : Lisa :3
Age : 17 ans
Aime : Les tagadas, mon amoureux qui me dit bonne nuit tous les soirs, pouvoir dormir beaucoup, les fruits, papoter sans prise de tête, le rose (beaucoup le rose), acheter des nouveaux vêtements, Joke le canard... Énormément de choses quoi \o/
N'aime pas : Les épinards, les prises de tête, les devoirs de physique et de phylo, Toto quand il écorche des animaux innocents
Personnage préféré de One Piece : Chopper rules! ♥♥♥
Caractère : (définissez vous en quelques mots) Je suis... Kana! Donc moi. Ca fait 5 mots, c'est juste impec ♥
Fais du RP depuis : Euh je sais pas, j'ai la flemme de compter mais après environ un an de pause je reprend le flambeau. En fait j'ai du rp 2 ans max, un an et demi plutôt d'ailleurs n.n
Disponibilité : (en jours par semaine, c'est bien sur, approximatif) Je dirais très variable, de manière générale je dirais 6/7 n.n
Comment avez vous connu le forum ?
Il y a de cela très longtemps lors d'une fusion avec le réel OPR, OPRévolution :3
Dernière édition par Hana N. As le Dim 21 Oct 2012 - 15:08, édité 8 fois