Alheïri Salem Fenyang
Fifiche de Preza'
Fifiche de Preza'
une image 200*300 | Pseudonyme: Le glandeur pro. Age: 36 ans, 1 mois et 4 jours. ♪ Sexe: Race: Simple humain. Rang: ~ Le rang max qu'un marine peux avoir en prez" ~ Métier: Navigateur aguerri. Groupe: Marine. ♥ Déjà un équipage: Se la joue solitaire, pour le moment. But: Promouvoir la paix dans le monde, en ayant son propre sens de la justice. Fruit du démon ou Aptitude pour la suite: Ganshou Ganshou no mi. (Le haki des armements sera jouable plus tard ?) Équipements: Un simple bâton de bois, et une petite lame, et différentes cartes de navigations. Codes du règlement (2): Parrain : ~ |
DESCRIPTION PHYSIQUE Salem ? Ouais ouais, je le connais. Faut dire que c’est un mec qui s’oublie pas facilement, vous savez. Le décrire physiquement, est contradictoirement facile et difficile. Enfin, façon de parler. Il n’y a qu’à le voir ne serait qu’une seule fois, pour comprendre ce que je dis. Non non, je ne vous fais pas marcher. Il n’est pas vraiment d’une beauté à couper le souffle, mais son être tout entier impose ce petit coup d’œil involontaire, qu’on se risquerait d’effectuer, avec cette pointe de crainte, mêlée à un soupçon d’admiration. De manière indirecte, il impose le respect. C’est subjectif hein, mais ça a presqu’un ton d’objectivité, c’que je dis. Mais comme les humains ont l’habitude d’ajouter, on n’a pas tous les mêmes goûts, et certaines personnes, justement, pourraient ne pas voir dans ma visée naturelle des choses… De très loin, il est assez difficile, et ce, même pour les borgnes, de ne pas percevoir une silhouette que je qualifierai de « mini-géante », si si. Pour moi, Salem c’est la grande girafe qui n’arrive pas à se fondre dans la masse normalement « humaine » si je pourrais me permettre de le dire ainsi. Ne pas le voir, serait tout simplement un acte d’ignorance pure et simple. Il n’y a pas que la taille qui impressionne chez lui. C’est un gros malabar. Une montagne de muscles ambulante. Dans le monde, il est su de tous, que la race humaine –Géants mis à part- a une constitution morphologique moyenne, voir petite. De par cette vérité universelle, et parmi un lot restreint de personnalités qui forment l’exception à la règle quand à la population mondiale, d’Alheïri y fait parti intégrante. Tout chez lui, est vraiment frappant. De ses cheveux, jusqu’à la couleur de sa peau, en passant bien sur par ses prunelles. Atypique comme tout le monde, certes, mais atypique à sa manière. Bref, passons ce global, pour rentrer dans le vif du sujet. L’visage d’Salem ? Il est légèrement opposé à l’ensemble de sa carrure. Bien qu’il ait presque l’air d’une « brute épaisse », son faciès exprime la sérénité, la douceur, le bien être… et le petit côté frimeur, lorsqu’il arbore quelques fois, un petit sourire bien à lui, dont il a le fameux secret. En gros, il représente le gros mignon garçon qu’on pourrait croiser dans un recoin de la rue. Son visage, de par son côté doux estompe l’appréhension quand au reste de son corps. C’est en évoquant la douceur de sa face, qu’on vire vers une certaine partie qui la caractérise telle quelle. Son arcade sourcilière. En effet, si le regard d’Alheïri n’est nullement dur, ni perçant, c’est bien à cause de ses sourcils. D’une forme oscillant entre le pointu, et le droit, ses sourcils constamment surélevés lui confèrent un regard assez laxiste, et bienveillant. Aucune once de malveillance n’est à déceler dans son regard. Ses yeux quand à eux, sont bridés et les paupières supérieures y sont légèrement visibles. Pas bossus non plus. La couleur de ses prunelles est d’un vert de jade, mais pour être complètement en harmonie avec la couleur de sa peau, il ira mettre des lunettes de soleil à teinte rougeâtre. Il a un cou pour le moins, large et raisonnablement long. Parties évidentes de son visage, et complètement démunies d’une quelconque pilosité, les joues d’Alheïri sont dans la norme. Elles sont loin d’être joufflues en fait. Sa mâchoire se trouve elle aussi dans les normes. En gros, il n’y a pas de signes particuliers quand à sa face. Elle est d’une forme ovale, voir presque allongée, mais rien de vraiment trop étonnant. Sa chevelure est un véritable champ de bataille. Mi courte, elle est la plupart du temps dressée en sortes de pics. Pour couronner le tout, ce qui le rend, quelque peu « extravagant » elle est de couleur blanche. Par respect pour sa propre personne, et pour le fait d’être un tant soi peu présentable, il les enduira de défrisants, histoire qu’ils soient plus soyeux. Certaines mèches retomberont même devant son front dégarni. Son nez est mutin, et ses lèvres rosies sont assez petites, pour former une bouche discrète. Ponctué par un menton presque carré avec un certain angle prononcé… Sa dentition est correcte, c'est-à-dire blanche, complète, et régulière. Dans l’ensemble, il ne pèse pas moins d’une centaine de kilogrammes. Ce poids impressionnant est expliqué surtout par la lourdeur de ses muscles, et de ses os, suite à une croissance rapide dès le bas âge de l’adolescence. Nombre, qui se marie parfaitement avec ses deux cent vingt-deux centimètres. Vous ne trouvez pas tout cela assez ? Lui, si. Remarquez, c’est très pratique lorsqu’est dressé un obstacle devant lui, ou tout autre chose de ce genre. Il ne peut réellement se comparer à un géant de l’île d’Elbaf, mais ses muscles sont assez notables pour être appréciables. Ouaip, il est balèze ce type. Et il n’y a pas que ses bras qui sont baraqués. Ses épaules aussi. Elles sont carrées, et légèrement voutées vers l’avant, cause de sa trop grande taille. Sa poitrine quand à elle est assez développé, imposante. Son abdomen est correctement sculpté. Ce n’est pas des tablettes de chocolats qui lui manquent en tout cas. Il est assez complet au niveau de son torse. Sur ces points, rien à ajouter. Ses cuisses et jambes, sont assez athlétiques, et effilées. Une situation qui l’arrange sur bien des plans. Qu’est ce que vous en aurez à faire finalement… ? Cela facilite sa démarche, qui peut s’avérer vive comme lente. Tout cela pour dire qu’il n’a pas vraiment de problèmes avec sa physionomie, mis à part son dos qui le fait quelques fois souffrir… Oui oui, la grande taille a aussi ses inconvénients…Des muscles fessiers identiques à ceux d’un homme de son âge, ainsi qu’une poigne vigoureuse à force de trop s’axer sur les aptitudes physiques. En parlant de ses mains, elles sont de formes carrées, ce qui d’après les croyances, relèvent d’un caractère difficile. Vient le sujet le plus fatidique de toutes ces descriptions. Sa peau. Rares sont les personnes à peau mate dans l'ensemble de la population. Ils se comptent en effet sur les doigts de la main. Elle suscite bien de questions, ce qui a le talent d’agacer le pauvre Salem. C’est en majeur partie à cause d’elle qu’il a droit à être dévisagé en plein couloir d’un quelconque bâtiment de la marine, sa taille n’arrangeant en rien les choses. Signe de luxure, elle a l’art de révulser certaines personnes. Cette situation n’a rien à voir avec un racisme probable, mais plutôt un problème de principes vieillissants. D’où, la crédulité de certaines personnes… Et encore heureux que ce genres de personnes soient rares… Son code vestimentaire, reflète les états d’âmes dans lesquels il peut être baigné. Il a des goûts prononcés sur certaines choses, mais une couleur trop sombre vous indiquera p'être qu'il déprime grave. En gros, il a une grande garde robe, et ne se prive pas du plaisir de se vêtir correctement. Il aime suivre la tendance des nouvelles ères. Aussi petitement soit-il. Malgré son âge, cela lui permet de rester « branché » comme on dit. Mais il la suit lucidement. Il n’est pas non plus un de ces gars à se ruer sur une création fraichement sorti dans les différents magasins des différentes villes qu’il traverse de par son métier de bon marin. Pour lui, chaque chose en son temps. Donc en général, il s’habille de manière sobre, soit l’élégant uniforme de la marine. Les couleurs qui tapent immédiatement l’œil, ce n’est pas trop son trip, en même temps. Il préfère les couleurs peu agressives à l'oeil, ou un truc simple qui n’attire pas grandement l’attention. Il aime, et vénère les bracelets en argent. C’est un peu son lot quotidien, vu qu’il en a toute une collection. Le marin arbore souvent des gilets sur une chemise à manches longues de la marine. Très curieux, concernant les différents us et coutumes de ce vaste monde, il lui arrive aussi de se vêtir de vêtements folkloriques, respectifs aux régions qu’il visite. Une exception. L’habitude et le sens de l’éthique lui prodiguent cependant de ne pas en faire de trop, ni d’oublier son uniforme obligatoire. Il se calquera alors sur ce qu’il verra, dans ces contrées inconnues. Seul, chez lui, vous ne le verrez qu’avec un simple débardeur, et un short, l’air complètement débraillé, et rêveur. « Ce sont ses petites habitudes…» DESCRIPTION PSYCHOLOGIQUE Le malabar semble être d’une nature complexe aux premiers abords, mais il n’en est rien. C’est un homme simple. Simple de par son indépendance vis-à-vis de bien de personnes, et de par ses aises que lui confère son grade au sein de la marine. Bien que pensif à certains moments, il fait presque tout avec banalité, sauf si l’occasion requiert des forces physiques et psychologiques supérieures à la normale. Il n’a pas forcement besoin d’autrui pour survivre. Il n’est pas vraisemblablement ténébreux, mais n’est pas non plus le plus grand des hommes sociables. Il peut être facilement cernable, pour qui voit dans sa visée naturelle des choses. Autrement, c’est la déroute infernale. D’ailleurs, qui s’amuserait donc à l’étudier ? D’un haussement d’épaules, il en rirait, et laisserait libre cours à la personne, en lui dévoilant ses habitudes des plus évidentes aux plus tordues ; comme mater les avis de recherches des plus belles pirates de cette planète, ou même lire des livres érotiques dans ses toilettes . Lui ne se considère pas comme une énigme, d’où sa croyance de sa mentalité équivalente à celle de n'importe quel individu lambda. Pour faire une petite conclusion, il est facile à vivre, vraiment. Mais gare… Une mentalité cernable ne veut pas forcement dire exploitable. C’est de là que vous serez peut être confronté à une imprévisibilité… qui peut faire très mal pour finir. Dès lors, il vous sourira sournoisement, tapera là où ça fait mal, et reprendra comme par enchantement, sa mine hébété de chaque jour, comme si de rien était. Ce n’était qu’un global de sa personnalité, pas si compliqué que ça. S’il y’a un homme qui a connu certaines difficultés -Pas bien méchantes, soit dit en passant- dans cette vie si éphémère, c’est bien Alheïri. C’est sans doute ce qui lui a ouvert les yeux sur la beauté des rares choses de ce monde perverti. Il y’a tant à faire dans cette vie là, que ne pas en profiter serait d’une bêtise sans précédents. Le sexe, l’alcool, l’amitié, l’amour… Tellement gai et positif n’est ce pas ? C’est ce qui rythme pourtant sa vie quotidienne, qui se trouve être rarement ennuyeuse, monotone. Le boulot, d’accord, mais les plaisirs également. D’ailleurs, il n’hésitera pas à laisser son travail s’il le juge mineur, pour aller s’taper des bouteilles de rhum avec ses fidèles compagnons, et frères d’armes. Un côté fêtard qu’il ne réprimera pour rien au monde, et ce, même devant ses supérieurs, quels qu’ils soient. L’amusement, c’est une façon pour lui d’exister. Elle ne prend pas le dessus sur sa lucidité, mais elle fait partie intégrante de son comportement. En parlant de boulot… Plus paresseux que lui tu meurs, ou tu mourras. Il n’aime pas creuser sa tête trop longtemps, et préfèrera sombrer dans une activité plus rentable comme le sommeil, dans une quelconque encoignure du Q.G de la marine, ou d’son navire. Il adore aussi la sieste en pleine forêt. Les espaces verts sont tellement agréables pour sa personne… Un fait normal vu qu’il était ancien campagnard. Les efforts sans rentabilités, ce n’est pas vraiment sa tasse de thé. Pour lui, le besoin de raisons pour une quelconque centralisation est primordiale. Dites lui ce qu’il peut gagner, et il se tirera rapidos de sa carapace oisive, sauf cas de ses responsabilités en tant que bon marin. Autrement, Salem se révélera aussi mou qu’un simple légume proche de la pourriture. Encore faut-il que vous soyez assez convaincant. Ah ! J’oubliais une chose. Ne le tirez jamais de son sommeil sans raisons. Il n’est pas bien méchant, mais se vengera à sa manière. Directement ? Bien sur que non. Il attendra le moment opportun, c'est-à-dire, celui où vous vous attendrez le moins pour vous rendre la monnaie de votre pièce. Surtout s’il s’agit d’un de ses subordonnés. La tâche la plus récurrente, est d’aller récurer ses toilettes, qui sont d’une puanteur inégalable, surtout quand il a fini de faire caca, quelques temps avant. Oui oui, vous pourrez le dire haut et fort. Il est méchant, il est sadique, et c’est bien normal. Vous l’aurez mérité. Son sommeil, il est d’or… Vous avez parlé aussi de sa bienfaisance ? Evidemment qu’il peut l’être. C’est tout de même un adulte avec un minimum de sociabilité, et de responsabilités. Mais bien que non excentrique, il se mettra à penser que c’est vous qui pouvez plutôt le servir. Lui se contentera d’effectuer de tous petits services qui peuvent se faire sur la minute, pendant qu’il vous demandera à vous d’en faire des montagnes. Votre sacrifice, et votre loyauté (Si on peut dire ça comme ça) lui donnera envie de vous rendre la pareille à un certain moment. C’est de la que vous pourrez le considérer comme une épaule sur laquelle vous pouvez vous reposer, et un homme à presque tout faire. Et quand Salem est véritablement prêt à aider, sa fougue d’un jour estompe complètement son côté flemmard. Homme de parole, il fera tout pour vous satisfaire. Enfin… dit comme ça, on pense à autre chose… mais il jauge une situation avant de donner son accord. Vous le voyez foncer dans une affaire tête baissée ? Evidemment que non. Obligé donc de vous aider, dans une disposition qu’il trouvera délicate, il essayera de faire du mieux qu’il peut sans pour autant donner de garanti… Même dans le pire des cas, vous aurez un minimum de résultats plus ou moins satisfaisants. Parce que vous l’aurez mérité, sa reconnaissance. Un manque de tact ? Les choses dites de manières assez crues ? C’est pas vraiment son trip. Par contre, la manière douce, et presque sournoise, il l’adoptera sans problèmes, histoire de calmer les nerfs les plus enflammées. Quoi de mieux qu’une mise en garde effectuée avec la plus grande délicatesse… D’ailleurs, il trouve ça assez tripant d’effrayer avec quelques mots, et n’hésiteras pas à prendre un ton assez silencieux en plus de son accent plus ou moins sinistre pour énoncer ses pensées, ce qui est en forte contradiction avec son côté… Fêtard, pitre ! S’amuser… Quoi de mieux dans cette vie… ? Véritable comédien, il peut pleurer devant une tierce personne pour qu’elle lui rende service. Il peut aussi s’amuser à sautiller derrière de très belles filles qu’il a accosté dans une rue, comme faire exprès de se jouer au maladroit demeuré. Et ce même, en pleine affaire importante. Des changements d’ambiances ? Il y’en a beaucoup. Il peut passer du rire aux pleurs, du blanc au noir, et vice versa. Il a l’art de s’égosiller, et de se plaindre comme un enfant. D’ailleurs, ces exemples montrent comment il peut être grossier, rien que pour le plaisir d’embêter son entourage. S’il ne veut pas vous écouter, sans avoir la foi de vous repousser, et ce même gentiment, il commencera à se curer le nez, sans une once de gêne. En le prenant pour un vrai « porc » vous vous en irez, sans vraiment demander votre reste. Il pourra aussi, roter, ce qu’il arrive facilement à faire en tout temps, où même lâcher un pet qui s’avèrera assez mortel pour l’un de sens les plus fragiles que vous avez, à savoir, votre odorat. Et puis il aime bien ça, s’gratter les fesses devant tout le monde, avec un sourire gracieusement ridicule. Son image ? Mais il s’en fiche carrément, quand bien même il est grand homme au sein de la prestigieuse marine. Qu’est ce qu’il en a à foutre, qu’on le prenne pour un pauvre imbécile ? D’ailleurs, les médisances prouveront bien que certaines personnes lui accordent une certaine importance. Jalousie cachée ? Va savoir… Il faut de tout pour faire ce beau monde, n’est ce pas… ? Mouais, mais n’empêche qu’il peut être sérieux, et bon conseiller quand il veut hein ! Que croyez-vous ? Qu’il est vraiment un clown de service ? Tout ceci que façade. Alheïri peut être soudainement d’un flegme impassible, si bien que sa mine sinistre peut effrayer son entourage. Ne jamais le prendre pour bête. Il est bien plus sagace, qu’il en à l’air. Ce côté favorise aussi sa solitude, qui peut être assimilé, à un recul ou à un retrait. Généralement dans ce genre de cas, il est plus cloitré dans sa chambre d’hôtel, ou dans sa cabine, avec une petite flute folklorique, ou du matériel artistique. En effet, il lui arrive de dessiner, comme ça, pour passer le temps, hobbies qui lui permet généralement de trouver réponses à ses interrogations. D’ailleurs, ce beau comportement d’intello se répercute sur son côté lubrique. Oui, quand il est attiré par une fille, il ne la taquine pas comme il le fait à son habitude, mais fonce comme tout homme qui se respecte, avec tout le sérieux du monde. Il n’est pas le plus habile des dragueurs, mais fait tout pour avoir ce qui l’intéresse. La chair est faible a dit la bible, et lui ne fait toujours pas exception. D’ailleurs une chose à l’art de l’envouter chez une fille, qu’elle soit jeune, ou mûre: La grosse poitrine bien ferme. Voir deux grosses masses de chairs, fascine Salem plus que tout. Un décolleté bien plongeant le trouble assez. D’ailleurs, ce pourrait être l’une des choses qui causeront un jour sa perte… Se battre contre une pirate dangereuse et siliconée ? C’comme avoir déjà signé son arrêt de mort. Boire… Salem adore ça. A un point où il frôle vraiment l’alcoolisme, lui qui n’est pourtant pas pirate. Il aime surtout le rhum, et il peut se taper au moins quatre litres de ce breuvage, tel un vieux russe avec sa vodka. Mis à part les plaisirs charnels, c’est en quelque sorte, sa drogue, son péché mignon. Vivre sans alcool ? Impossible. Il pourrait certainement s’y ruiner. Il boit à toutes occasions. Sorties, travail, repos etc… Si vous lui offrez une bouteille de qualité, vous pourrez être sur que vous êtes d’ors et déjà son ami, et c’est avec bon cœur qu’il vous remerciera, sourire disgracieux aux lèvres. Gros paradoxe, avec son côté nonchalant, Salem peut s’avérer accrocheur. C’est juste un côté sympathique qui l’amène à accepter de petits défis physiques, ou entrainements. Questions de funs. Etant adepte d’arts martiaux, en tout bon marin, il aura toujours l’honneur de se frotter à quiconque saura l’approcher, et lui demander. Dans ce genre d’occasions, il n’est jamais vraiment sérieux. Mais tout le contraire advient, quand il se retrouve devant un quelconque ennemi du gouvernement mondial. Il n’est pas partisan de cette justice absolu qui prône l’éradication pure et simples des pirates, mais se verra obliger de se battre, soit pour honorer les serments sur lesquels il avait juré avant sa première promotion notable, soit pour sa propre survie et celle de ses chers compagnons. La marine… C’est son tout… son foyer… sa famille. ♥ BIOGRAPHIE Marineford… Le Quartier Général de la célébrissime marine. Dans le monde entier, et même au delà des océans les plus reculés, qui est ce qui n’en avait jamais entendu parler ? Malgré les ères changeantes, elle restait toujours cette forteresse qui faisait, et sans exceptions, la fierté même de tous les marins affectés partout ailleurs. Fouler le sol de cette citadelle, relevait d’un très grand honneur. Malgré les intempéries immenses, notamment l’une des plus grandes guerres qui y fit ravage, -où sonnèrent ces grands noms comme ceux de l’ancien amiral Ao Kiji, ou encore celui du pirate au chapeau de paille-, et dont elle gardait toujours les légères séquelles qui n’étaient autres que les radicaux changements de structures architecturales, Marineford restait complètement débout, et fière d’elle-même. Les reconstructions s’étaient certes effectuées rapidement, mais depuis lors, et lorsqu’on s’enquérait d’anciennes photos présentant l’ancien Q.G, l’on pouvait déceler les quelques modifications monumentales parmi lesquelles, la disparition de thèmes folkloriques propres au gouvernement mondial. L’Urbanisme était de plus en plus moderne, propre au style du Dr Vegapunk, et les maisons on ne peut plus résistantes. Seul le bâtiment qui dominait l’ile, à savoir la tour où logeait l’amirauté, avait gardée toute sa somptuosité, et son élégance. Le bon vivre, et le respect des mœurs militaires étaient à l’ordre du jour dans ce coin de Grand Line. En gros, la vie y était paisible. Monotone, mais paisible. Et il n’y avait vraiment rien d’étonnant à cela. Les nouvelles générations qui voulaient éviter les bains de sangs d’antan, s’attelaient à reformer leurs effectifs, de manière à ce que les rangs ne soient point déstructurés. L’organisation nautique était encore plus élevée. Et la chasse aux pirates encore plus ardus. De nouveaux rookies allaient forcement faire apparitions, et la tranquillité de ces temps n’allait malheureusement pas perdurer éternellement. L’anticipation était de mise. Et on ne chipotait plus au niveau du gouvernement mondial. C’est dans lors d’une journée moyennement chaude, que Salem naquit dans une famille de la noble marine, qui résidait justement au quartier général. Le premier de la famille. A sa naissance, il faisait vraiment la fierté de ce couple qui eût tant souffert pour l’avoir. Sa mère, répondant au nom de Marine Fenyang, était une instructrice pour les différents descendants des marines qui siégeaient à MarineFord. De teinte peu brune, elle était assez grande de taille, et avait des proportions hors normes, comme sa poitrine généreuse, et la taille exagérée de son bassin, qui pouvaient faire fondre n’importe quelle autorité sur l’île. D’ailleurs, certaines femmes la jalousaient, tant sa beauté, mais ce n’était après qu’une sorte de rivalité amicale, chose dont elle n’en avait cure malgré tout. Par contre, si elle n’était point facile à aborder, c’est bien parce qu’elle avait un côté de feu, paradoxalement opposé à son comportement tendre qu’elle avait, lorsqu’elle dispensait des cours aux enfants. Présidente de l’association des femmes d’officiers, elle avait l’art de la psychologie, et de la pédagogie, et savait y faire avec toutes les catégories de personnes. Aguichante à ses heures, calmer les hommes en ruts n’était qu’un exercice comme les autres pour Marie. Il ne s’agissait pourtant ni plus ni moins, d’une ancienne marine, qui avait décidé de laisser les armes et de s’affirmer en tant que femme, au profil de son tendre époux. Quand à ce dernier, il se nommait Fenyang Keegan, et était âgé d’une quarantaine d’années. Lui, c’était la montagne de muscles qu’on ne pouvait s’empêcher de fuir, tant son ton était bourru. Ce gars là, il était effrayant. Pas tellement beau, mais pas vraiment laid non plus. Sa taille approchait les deux-cent quatre-vingt mètres, et son visage était marqué par quelques cicatrices qui attestaient même de son expérience en combat maritime. Il était simplement colonel. Colonel qui se voulait pourtant très laxiste et transigeant, contrairement à ce que l’on pouvait croire, rien qu’à se focaliser sur sa carrure. C’était le gars qu’on voulait avoir dans nos relations, lorsque tout allait mal. Amateur de bonnes blagues autour d’un tonneau de rhum, et quelques peu grossier à l’occasion, c’était même à se demander quelques fois comment il avait réussi à charmer la belle Marie, qui elle semblait l’aimer à en mourir jusqu’à ne pas se retenir de glousser lorsqu’elle se promenait avec lui, main dans la main. Une famille exemplaire me direz-vous… C’était, et c’est toujours bien le cas. Entre ces deux personnalités charismatiques, l’enfance de Salem ne put être qu’harmonieuse. Faut dire qu’il n’avait rien n’à envier à personne. De plus, le privilège dont il bénéficiait vu le statut de ses parents le rendirent un tant soit peu espiègle, dès l’âge de six ans seulement. Capricieux aux abords, il ne pouvait supporter un seul instant qu’autre homme à part son père, puisse toucher sa génitrice, même pour la saluer, en auquel cas, il attaquait les jambes du dudit malheureux par les dents. De plus, son côté petit-saligaud-bandit-de-mes-deux l’incitait à faire tout un tas de bêtises, comme effectuer un pet devant un officier quelconque, ou dédicacer son majeur à homme qui eut l’audace de lui faire une remarque désagréable, que ce soit de la manière douce, ou non. A cet âge là même, il s’avérait être un leadeur pour tous les enfants de sa génération, avec qui ils aimaient trainer ici et là, à la recherche de conneries à perpétrer, gros sourires aux lèvres. Bien sur, ils finissaient toujours par atteindre leurs objectifs, au grand dam de leurs parents. C’est sans compter la bonne fessée que Salem recevait de la part de sa mère, toujours rouge de colère, sous les rires hilarants de son père, et qui en pleurait presque, lorsque son fils effectuait la moue. Pour finir, tout revenait à la normale. Le repas familial était alors tout le temps festif, et le petit bout de chou repensait à ses aventures à fignoler pour le lendemain, en compagnie de ses frères de balourdises. Cette période d’insouciance dura au moins jusqu’à ce qu’il atteigne ses quinze ans, chose où enfin, les évènements devenaient intéressants. ~¤'°'0’°'¤~ Il ne s’agit, ni du réveil d’un super héros comme on pourrait le croire, ou ni d’un combat titanesque l’opposant à un monstre marin d’une cinquante de mètres, comme on les voyait dans la zone de calm belt ; mais bien du récit d’un personnage banal qui saurait peut être changé l’histoire du monde à travers les futurs péripéties qui l’attendaient… ~¤'°'0’°'¤~ Un beau jour donc, alors qu’il flânait comme d’habitude dans une ruelle des sous quartiers de Marineford, où les martellements de pas indiquaient l’entrainement intensif de certaines nouveaux marins, Salem sentit une bonne odeur lui titiller les narines, ainsi que les papilles gustatives. Goinfre qu’il était, il se mit à sourire malicieusement, et se laissa guider par les arômes de cette senteur nouvelle qui garantissait de ce repas à priori copieux. Débouchant sur une zone interdite aux familles des officiers qui avaient tout de même un large espace où s’épanouir, Salem déglutit une première fois, en se rappelant de l’avertissement sévère de sa mère concernant ces lieux, mais finit par hausser ses épaules, et sourire. Il était fils d’un haut gradé hein, et tant qui ne tombait pas sur des hommes hiérarchiquement supérieur à son père, ça risquait pas de chauffer. Le coin était trop bien délabré pour que vadrouillent des personnages de cette trempe. En faisant des mouvements de bassins façon Okama, il s’auto-encourageait, et finit par se lancer. La haute clôture parsemée de barbelées de fers, n’étaient rien devant sa détermination à visiter les lieux, et à goutter le plat ; si bien qu’au final, il réussit à la passer en ayant pour blessure qu’une seule égratignure à la cuisse gauche, du fait de sa déconcentration à l’entente d’une voix lointaine. Juste une petite frayeur, rien de plus ! Alors qu’il croyait être tiré d’affaires, Salem vit un gros chien noir le fixer, l’air mauvais, à seulement quelques mètres de lui. Il fit lui un gros sourire bête, gratta sa nuque l’air gêné, et leva sa main pour faire un signe fluet comme ça, comme pour lui faire un coucou en élevant faiblement la voix. « Bon chien-chien… » Apparemment, le gros molosse baveux n’était pas d’humeur, et rien qu’un seul de ses aboiements fit fuir le petit Salem, qui le distança en deux temps trois mouvements. Il finit par entrer dans un couloir et referma sèchement la porte derrière lui, le cœur battant à la chamade, et le corps crispé sur la porte en métal, réalisant à peine ce qui venait de se passer. Mais rapidement, l’odeur de ladite nourriture devenue extrêmement forte, le fit oublier sa petite mésaventure. C’est à ce moment là qu’il se calma, et s’avança précautionneusement. Heureusement, pas un chat ! Les couloirs étaient vides, et le petit jeunot put enfin atteindre une très grande salle fatidique. Un gigantesque réfectoire. Effectivement, il s’agissait en fait de la cuisine générale de Marineford, là où se concoctait les menus des marins, et il avait du passer par le sentier arrière. Mine de rien, il devait donc se trouver dans la grande tour, mais ça, il s’en fichait éperdument, voulant plutôt satisfaire sa curiosité gastronomique. Pendant qu’il s’approchait du but pour une cuisine bizarrement trop calme et trop vide, l’héritier des Fenyang eut à subir un croche patte venant de derrière. Il n’avait rien vu. Lors de sa chute, sa tempe gauche heurta lourdement le sol, et son arcade sourcilière commençait à débiter du sang à grands jets. Alors qu’il voulait commencer à gueuler de douleurs, il sentit un violent coup passer pas très loin de son oreille. Se démenant comme il pouvait, Salem réussit à faire une roulade avant, et à s’agencer à quelques mètres devant son agresseur. Lorsqu’il redressa son visage, il perçut un gigantesque homme, plus grand même que son père, qui le regardait méchamment, casseroles en mains, narines fulminantes. Sans demander son reste, le jeune se releva, et commença à fuir la salle tel qu’il avait fuit les chiens. Entre ce gars reconnu dans toute la marine, qui s’était reconvertit en cuisinier acariâtre aux dernières nouvelles -émises hasardement par son père qu’il avait écouté derrière une porte-, et le chien dehors qui devrait s’impatienter, bah, il préférait le cabot enragé. Une course poursuite se constituât, l’ancien officier derrière lui, lui vociférant de s’arrêter sur le champ. Sortant du même couloir qu’il avait emprunté en croyant à l’eldorado, le dogue qu’il eut par chance évité, fonça sur son ventre, et le tamponna, histoire de le renverser à terre, ce qu’il réussit fort bien. Alors qu’il grognait en s’avançant vers Salem, ce dernier pleurait à chaudes larmes. Le géant parvint finalement dehors, et commença à se délecter de la scène qui s’offrait à lui. Il ne restait plus que quelques mètres, plus quelques secondes. Dans un dernier grognement, l’animal bondit une énième fois sur l’adolescent. Mais soudainement, Salem écarquilla ses yeux, et vit un vieillard qui sauta à l’encontre et à la même hauteur que le chien. Armé d’un bâton, il ne fit que quelques gestes fluets et précis, avant de dégommer le molosse noir en deux temps trois mouvements ; celui-ci prenant la poudre d’escampette par la suite, après s’être salement fait amoché sa gueule déjà laide. Le géant, seul, commença à convulser. Il poussa un gros cri, et finit lui aussi par fuir comme le chien, en lâchant ses grosses casseroles dans un tintement aigu. Et Salem comprit pourquoi, lorsqu’il regarda la chemise du patriarche… Son sauveur n’était autre qu’un Vice-amiral du temps de son adolescence. Homme même qui l’aida à rentrer chez lui en affichant multiples sourires. Une fois sur place, ce dernier raconta toutes les péripéties depuis son arrivée à ses parents. Lui-même heureusement, avait été attiré par l’odeur irrésistible du met. La mère de Salem en pleurs, soignait tant bien que mal son bout, pendant que celui-ci, toujours abasourdi, regardait le vieux sans comprendre. Ses gestes avaient été d’une telle grâce qu’il ne faisait que s’en remémorer, sans même prendre en compte les gros seins de sa mère qui l’étouffait dans un câlin. Après quelques heures d’explications, et lorsqu’il voulut prendre congé de la famille Fenyang, Salem s’y interposa avec témérité devant la porte d’entrée de leur maison, et finit par s’agenouiller, front au sol, pour implorer l’apprentissage à l’art, -qui s’apparentait un peu à celui du sabre- sous la mine déconfite du vice-amiral. Le vieillard sourit, posa une paume sur sa chevelure, et prononça son approbation. Cependant, il eût une clause, que Salem accepta sans trop réfléchir, ne voyant même pas son futur autrement : Entrer dans les rangs de la marine. L’entraînement du vice-amiral était complètement dur. Il n’y avait pas une once de répit. Parallèlement, Salem effectuait ses services en tant que simple soldat, après avoir refusé quelques pistons qui s’offraient à lui. L’honneur et l’effort, étaient de mises. Pendant au moins trois bonnes années, il se donna à fond. Et ces efforts portèrent heureusement leurs fruits. Il étudiait aussi la navigation avec sa mère, elle-même qui avait été grande navigatrice de son temps, et qui lui avait inculqué tout son savoir. Son premier grade lui fut attribué 6 mois après sa majorité, devant son père, et son mentor qui ne pouvaient cacher leurs contentements, du fait de leurs larmes de joies. Etre sergent-chef n’était pas donné à tout le monde, et de sa promotion, il en sortait le premier. De même que pour sa force brute, et son évolution en maniement d’armes blanches, qui s’accentuait par une maitrise assez bonne. Ses équipements de prédilections n’étaient autres que le bâton de bois comme son maitre, et les lames. Sous l’aile bienveillante du vice-amiral en personne, il progressa très rapidement, jusqu’à devenir un excellentissime marin. Les missions s’enchaînaient, au vu de la grande ascendance de la piraterie. Salem n’était pas le meilleur des officiers, mais il se démenait. Il y avait des hauts et des bas, mais le fortin en avait suffisamment appris dans sa jeunesse, pour savoir que le cours de la vie était tel quel. Ses performances l’emmenaient à capturer de plus en plus de recherchés minimes, en plus de se faire un nom au sein de ses rangs. Les hauts échelons de la Marine ? Il voulait les gravir à l’aide de ses différentes compétences, histoire de prôner non pas une justice implacable –la violence appelle la violence-, mais l’harmonie dans le monde… Un idéalisme qu’il tenait de son ancien mentor malheureusement décédé. Un valeureux homme ! Un nouvel horizon, un nouveau cap… Des ères qui sentaient l’aventure… A ses 31 ans, on lui affecta la charge d’inspecter la prison de Logue Town. Une tâche qu’il voulait effectuer avec plaisir. Et c’est lors d’une journée assez chaude, alors que Salem s’apprêtait à embarquer pour East Blue que son père, maintenant retraité, l’interpella. Il venait lui annoncer son nouveau grade. Celui de… Les dés étaient jetés. Sa vraie vie commençait maintenant. TEST RP Cela faisait bien une semaine qu’il le traquait. Cela faisait bientôt une heure qu’il avait foulé l’île où le criminel avait accosté. Assis dans une commissure d’un bar moisi, où même le bois du parquet craquait malencontreusement, Alheïri contemplait l’affiche d’une mise à prix, sur la tête d’un bonhomme quasiment laid, et presque difforme par le peu qu’on voyait de son cou. Il soupira. Non seulement il était laid, mais qui plus est, fort au vu de sa prime faramineuse. Ses yeux se reportèrent ensuite sur le dos d’un gros bonhomme qui venait d’entrer dans la taverne en silence, sans avoir eut à s’occuper des gens qui étaient parsemés ici et là dans la salle. Celui-ci, d’une voix forte et presqu’agonisante, implora la clémence du barman pour avoir un peu d’eau à boire. La débandade générale. Le tas de forbans que contenait l’endroit, était plié sous des éclats de rires mirobolants. La scène virait vraiment du pathétique. Et pourtant, il n’y avait pas de quoi rire. A croire que certains pirates ne connaissaient décemment pas le sens de l’éthique. Le pathétique leur revenait parfaitement. Le barman apparemment clément, lui offrit prestement ce qu’il désirait, l’air un tantinet attendri, pendant que les autres hommes lui criaient joyeusement d’en faire de même pour eux, avec une bonne quantité de saké. Bouleversé par ce qui se passait, le vieil homme commença à beugler sur certaines personnes, probablement indécentes. L’erreur à ne pas commettre. Tandis que l’autre malabar tenait le gros tonneau comme s’il s’agissait d’une simple chope de bière, la vidant à grandes gorgées ; certains pirates, l’air menaçant, s’approchaient du comptoir en braquant leurs armes à feu sur le pauvre vieillard. Paniqué, celui-ci se crispa sur le mur derrière lui, en levant les mains en l’air, et en balbutiant imperceptiblement des excuses. La situation un brin morne, se voulait maintenant dramatique. Alors que le protagoniste se leva de sa chaise en tirant de son dos, un long bâton de bois, l’autre client s’apparentant à un demi-géant, remercia le patron du bistro d’une voix forte, et… Extermina les types ensuite. Juste en quelques minutes. L’air pataud et ahuri, Salem le regardait le faire, comme s’il n’y croyait pas, jusqu’à ce qu’il reconnaisse le type qui se battait, en écarquillant horriblement les yeux comme tétanisé par une appréhension soudaine. Il s’agissait bel et bien du criminel qu’il recherchait depuis… Pas croyable. Ses indics’ étaient vraiment fondés. Une aubaine paradoxale. Mais, il n’aurait jamais cru que ce mec pouvait être aussi balèze. Ce n’était pas de bol, vraiment pas. Le comble de la chose, c’est qu’il tenait vraiment bien son titre de sanguinaire. Puisqu’après son massacre sur les pirates, et lorsqu’il vit leurs sangs gicler à profusion, il s’en prit aussi au pauvre barman. Salem lui cria soudainement d’arrêter, mais rien à faire. Ce dernier prit son courage à deux mains, et attaqua son dos, d’un seul bond prodigieux, mais peine perdue. C’était un logia, et comme il était de notoriété publique, les logias ne subissaient aucunes attaques physiques… Son bâton traversa donc toute sa poitrine, sans avoir pu vraiment le toucher. Son corps s’était dissocié, et il finissait tranquillement ce qu’il avait commencé en ignorant les supplications du marin derrière lui. Le vieil homme perdit finalement la vie, en étant étranglé. Et lorsque celui-ci jeta le cadavre du barman un peu plus loin, il asséna un coup de pied fugace à Alheïri, associé à son pouvoir, ce qui fit valser l’officier très loin, malgré le fait qu’il avait traversé le mur en bois du bistro. Sa chute fut lourde, et son vol finit contre le tronc d’un arbre. Il tituba, et tomba face contre terre, la poitrine en proie d’une douleur atroce, et l’arcade sourcilière ensanglanté. Sa jambe gauche était presque pétée. Ouaip, ce criminel, il était balèze. Et il réussit tout cela, en un seul coup de pattes. La situation virait maintenant au cauchemar pour l’officier. La cape sombre qu’il avait portée, s’était envolée lors de sa chute, offrant le loisir à qui voulait, de reluquer son uniforme de marin. Le dangereux bandit reconstitua son corps tout juste devant l’épave agonisante et ensanglantée de sa nouvelle victime, qui n’en serait qu’une de plus dans sa vie chaotique. Il reluqua la veste d’Alheïri, commença à rire sadiquement, et flanqua un autre coup sur la tête du grand brun qui mordait déjà la poussière. Ensuite, le logia souleva l’héritier des Fenyang des deux mains qu’il agença sur son cou, de sorte à l’étrangler à son tour, tout comme il l’avait déjà fait avec le pauvre vieux. Salem geignait de douleur. Malgré qu’il soit grand de plus de deux mètres, son martyr l’était encore plus. Et ce dernier, en riant, ne put que faire un éloge à sa proie… - Félicitations, salopard de marine ! C’moi que tu suivais nan ? Bah tu vois… Tu m’as là maintenant ! Mais puisque t’as réussi à survivre à mon coup précédent, j’vais te faire l’honneur de t’étrangler, hahahaha… Etait-ce fini de son parcours ? De sa vie ? De ses rêves ? Salem voyait là, sa vie défiler, comme s’il s’agissait de ses derniers instants à vivre, puis tout d’un coup, il commença à sourire, arrêta de gémir, et prononça d’une voix assez calme, mais enrouée… - Ouaip, t’l’as dit. J’tai eu là… Roulement de tambour, retournement de situations. D’un geste dextre et précis, et d’un ultime effort vu son corps bousillé, Salem sortit des menottes en kairoseki de sa poche droite, et de part sa maitrise aux armes blanches, les enfila d’un coup sec aux poignes du logia. Horrifié par l’objet, le pirate se mit à crier de peur, puis lâcha le corps de sa prise. L’erreur. D’un bond fatidique une fois à terre malgré sa jambe qui le faisait souffrir, Salem s’élança en hauteur vers son adversaire, et lui flanqua son talon droit au le visage, si bien que le coup s’imprima grossièrement sur la joue enfoncée du pirate. Celui-ci se mangea un bon tronc, d’un arbre qui s’affaissa derrière lui, et le marin tomba à terre, essoufflé par ce qui venait de se passer, et parce qu’il avait frôlé la mort… Le pirate était K.O. La mission resolue… Cela faisait quelques jours maintenant. L’officier Alheïri Fenyang avait réussi à emprisonner le criminel, et toute la marine ne parlait que de lui ces temps-ci. Le transfert du forban à Impel Down était imminent. L’avenir promettait… |
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Informations IRL
- Prénom: Yannick.
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Aime: Beaucoup de choses. ♥
N'aime pas: Beaucoup de choses. ~
Personnage préféré de One Piece: Deux en tête. Luffy pour sa bêtise, Ao kiji pour sa nonchalance. (:
Caractère: Passif, paresseux, calme, un brin con, bon conseiller.
Fais du RP depuis: Un an et quelques mois.
Disponibilité: Pour l'instant 7/7, mais étant en terminale, ça va paraître instable dans les périodes d'exam's.
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Dernière édition par Alheïri S. Fenyang le Sam 29 Jan 2011, 13:02, édité 6 fois