Ignis Spark

>> Physique
Comment démarrer la description d’un ange autre que par leurs ailes caractéristiques ? Dans notre cas, décrire les ailes d’Ignis sera chose aisément faite étant donné qu’il ne les a plus ; coupées presque dès sa naissance. Néanmoins, on peut retrouver les traces de ses dernières lorsqu’il enlève son t-shirt pour révéler le sinistre tatouage qui les remplacent. En effet, diviser sur ces omoplates ; a l’emplacement des ses ailes, se trouvent des lettres d’encre qui lisent « ENGEL ». C’est un tatouage qu’il a prit pour habitude de cacher, ne serait-ce que par le simple fait de ne jamais tourner le dos a une personne ou, dans un cas plus extrême, de ce recouvrir le dos de bandage dissimulant le dit tatouage. Cependant, Ignis vie très bien le fait d’avoir d’autre type de modification corporelle « conventionnelle » tel que ses nombreux piercings : principalement présent sur ses oreilles, mais aussi sur l’arcade sourcilière. Ceci dit, Ignis cache quelques modifications corporelles bien moins conventionnelles au niveau de ses hanches. Comme chez la plupart des épéistes, les trois sabres d’Ignis repose sur ses hanches, non par défaut mais par nécessitée. L’étui de chacun de ces sabres est en fait relié aux côtes d’Ignis par des chaines d’aciers qui s’enroulent dans un mécanisme présent à la place d’un de ses reins. Ce mécanisme a ressort lui permet de tirer et rétracter la chaine sans difficultés et donc d’utiliser les sabres présent sur sa taille… Si ce n’est pour le fait que ces sabres sont scellés dans leur étui par un système de cadenas toujours non résolus par Ignis.

Toutefois, mis a part ces quelques modifications, Ignis est un homme tout comme les autres. Certes un homme jeune, mais un homme tout de même. Son visage trahit directement son âge, non pas part un aspect poupin, mais par la finesse de ses traits… Ça et le manque de ride. D’ailleurs, son visage en lui même est remplit d’éléments « fins » et discret ; comme son nez par exemple, ou ses sourcils a peine visible qui lui donne une apparence triste et indifférente. Seuls ses yeux semblables à des pièces d’or, délimités par du crayon noir, ressortent de son visage. Néanmoins, la couleur inhabituelle de ses yeux passe inaperçu parmi la crinière de cheveux blond qui orne sa tête ; un réel gâchis selon certain. Tout de même, on peut remarquer que l’ensemble forme un personnage aux allures maussade, indiffèrent au reste du monde ; une personnalité assez négative en apparence qui est facilement retrouvable dans ses habits.

En effet, les gouts vestimentaire de notre ange ne sont pas très gai. Principalement noir, les habits d’Ignis se résument a un t-shirt caché sous une veste a capuche ; sans oublier le jean noir qui vient compléter le tout. Néanmoins, cela arrive qu’Ignis fasse des folies et ce mette à porter du gris, certaines personnes témoignent même l’avoir vue en blanc, ce qui reste a confirmer. Ces multiples couches d’habits permettent a Ignis de dissimuler un corps sportif qu’il n’utilise que très rarement pour le combat. Fruit d’un entrainement contre son gré, Ignis n’est pas fier de sa carrure de combattant et les nombreux problèmes qu’elle engendre. Heureusement pour lui, même sans épée, Ignis sait se débrouiller au corps a corps et possède la masse musculaire nécessaire pour un tel effort physique.

>> Psychologie

Malgré ses apparences de jeune déprimé, Ignis est au contraire un homme enthousiaste qui embrasse la vie au jour le jour. Il s’intéresse a tout et de ce fait : s’émerveille quotidiennement sur des objets qui peuvent nous paraître mondain. En particulier depuis sa chute au mer Blues, Ignis ne cesse d’en apprendre sur le monde de la surface ; notamment la langue. En effet, en tombant dans les Blues, Ignis ne pouvait pas communiquer avec les autres ; le dialecte des nuages étant bien différant de celui de la terre ferme. Ainsi, il pouvait s’émerveiller sur un simple papillon, tout en essayant de prononcer les lettres qui le formait.

Néanmoins, ne vous trompez pas, Ignis n’est pas un passionné des langues et ne rêvent pas de propager le dialecte des nuages à travers les Blues. Non, sa réelle passion ; c’est le climat. Observant les nuages de l’au-delà depuis sa plus tendre enfance ; Ignis eut une vue imprenable sur les tempêtes, les orages et les Cumulo Nimbus en tout genre… Ces évènements météorologiques aux couleurs étranges et mystique vue de haut. Cependant, cette passion ne se transforma en vocation que à son arrivé au Blues ; ou il peut observer le revers de la médaille. Les nuages, les tempêtes et les orages n’était plus les même vue d’en bas : leur apparition ne donnait pas le sourire au habitants ; on priait pour leur disparition ! Or, ayant compris depuis longtemps les propriétés et les mouvements des nuages ; la voie d‘Ignis fut toute tracée.

Cependant, la passion d’Ignis pour la météorologie et son utilisation dans les mer Blues est relativement nouvelle. Il faut se rappeler qu’il a passée le majeur parti de sa vie dans un « dojo » d’Ange épéiste. Il y fut inculquer l’art de l’épée, sans jamais vraiment y prendre gout et au fur a et mesure qu’il grandit, il vint même a détester l’épée qu’il devait porter sans cesse. Cette rage dissimulée ne cessait de grandir et fut notamment nourris par les cruels expériences qui eurent lieu sur son corps : le liant éternellement aux sabres. Il en vint même à haïr son propre père, le commanditeur de ses expériences. Toute fois, la haine s’est effacer bien rapidement suite à sa chute dans les Blues et au sacrifice des siens.

Il n’accepte toujours pas les sabres qu’il porte… Enfin, pas entièrement. Depuis l’opération qui l’a rattaché aux épées qu’il porte ; quelqu’un d’autre habite son corps. En effet, la souffrance intense de l’opération, mêlée au années de « bourrage de crane » on donnée naissance a un réel épéiste aptement nommer : Blade. Un double bien plus motiver à combattre que l’originale, mais sans pour autant être un psychopathe sanguinaire. Un guerrier calme qui n’a pas froid aux yeux et qui sait tirer profit des outils et des connaissances accumulées par Ignis dans le rayon combat.

>> Biographie
Naitre fils du maitre du dojo aurait du être un privilège pour Celestay. Il n’en était rien. Au contraire, rien n’était pire dans le cas de ce jeune garçon. Etre fils d’un épéiste renommé et ne pas aimer l’art du sabre ? C’était un réel cauchemar, autant pour le père que pour le fils. Celestay ne pouvait pas supporter d’être forcé à pratiquer un art dont il ne voulait rien connaître, et à son tour, Celestay Senior ne pouvait supporter d’avoir un fils désintéressé à ses propres cours. Pourtant, le père ne voulait que le meilleur pour son fils ; qu’il devienne un héros du sabre, une légende de la lame, une divinité de la pointe ! En tant que maitre de l’unique établissement qui entraine les anges a l’épée, il était de son devoir de former les prochains Engel : l’unité de défense spéciale de Skypea. Or, son fils devait être celui qui devait reprendre le flambeau…

L’homme, la barbe grisonnant comme témoins de son âge, contempla les cieux sur lequel il reposait. Il pouvait comprendre l’admiration que portait son fils pour la danse des nuages, mais de la a en renoncer un art ancestrale passée de père en fils depuis des siècles ?! C’était tout bonnement inimaginable ! Néanmoins, le jeune Celestay quant à lui s’imaginait bien qu’un autre élève de son père puisse prendre le flambeau à sa place ; lui permettant de se consacrer à ce qu’il aimait vraiment. Certes, cela n’en restait pas moins un rêve, mais lorsque l’on habite dans les nuages, les rêves et la réalités sont souvent confondus ; du moins, c’est ce que pensait Celestay. Toute fois, pour faire plaisir a son père, Celestay souffrit les entrainements comme tout les autres jeunes garçons de son âge destinées a devenir des Engels. D’ailleurs, il montrait souvent des prouesses au sabre, certainement héritées de son père. Ceci donnait de l’espoir a ce dernier : peut être que cet enfant allait pouvoir remarquer son talent et embrasser la voie de la lame…

Les jours, les entrainements et les exercices s’enchainaient et se ressemblaient. Celestay Junior gardait la tête dans les nuages tandis que Celestay Senior avait les yeux rivés sur son fils. Malgré les progrès et les compétences qu’il démontrait aux entrainements, sont fils n’était décidemment pas intéressé par l’épée. Néanmoins, ça n’allait pas arrêter une tradition vielle de plusieurs centenaires ; son fils allait devoir souffrir la voie de la lame qui le veuille ou non ! Ainsi, a l’âge de 16 ans, Celestay Senior crut bon d’entreprendre une petite « expérience » afin de lier son fils éternellement aux sabres ; mais pas des sabres ordinaires : les épées sacrées du dojo. Ce devait être un honneur pour lui !

Le père de Celestay s’engouffra dans sa chambre, Dial en main, émanant un gaz lourd et chargée de sommeil qui allait permettre d’enlever toute souffrance a son fils ; après tout il était un père qui aimait son enfant… L’opération fut longue, les chirurgiens peu efficace et bien trop lent. Les effet du gaz auraient eux le temps de se dissiper 3 fois. L’opération fut alors un long cauchemar éveillé pour Celestay Junior. Sa vie s’échappant par le trou béant présent dans sa hanche, il lâcha un nombre incalculable de cris. Lorsque se fut au tour de sa gorge de perdre vie, les cris devinrent des râles provenant de son estomac. Enfin, les sons inaudibles, ce fut au tour de son corps de s’agiter brutalement à chaque incision, chaque placement d’une pièce métallique. Néanmoins, malgré son absence de protestation, de pleurs et de gémissement ; maintenant bien trop difficiles à effectuer, Celestay souffrait. Il en voulait à son père. Aucun mot ne pouvait sortir de sa bouche, aucun regard accusateur ne pouvait être posé sur son père, mais il le haïssait. Le travail fut bâclé, un échec des le départ. La plaie a peine lavée ou recousus, le père de Celestay avait compris son erreur ; mais refusait de l’admettre. L’opération avait été trop longue.

Cependant, Celestay survécus, de manière miraculeuse et pourtant, de manière si douloureuse. D’une façon ou d’une autre, il s’était pris d’un sommeil profond : épuisés ou peut être a cause de l’ingestion d’autant de Gaz Somnifère. Dans tout les cas, Celestay fut au repos. L’a aussi pour bien trop longtemps. Il se passa deux semaines avant qu’il ouvre les yeux pour la première fois et encore deux semaines avant qu’il ne prononce quoi que ce soit. Il avait tant grandit en l’espace d’un mois, son corps fixé sur le seul objectif de le reconstruire. Pourtant, la récupération fut lente et ennuyeuse. De nombreux mois passèrent avant qu’il puisse même pensée à se lever. Même se lever était un combat, un combat dont il ne sortait pas toujours vainqueur. Il avait beau s’appuyer sur des béquilles, parfois, ce n’était simplement pas assez. Ainsi, Celestay s’écrasa au sol de nombreuses fois, émettant un cri qui alerta l’établissement et raviva la culpabilité de son père. Son père s’en rongeait les ongles quotidiennement ; pestant sur l’incapacité des chirurgiens et sur sa propre folie. Il avait ruiné son fils… Comment ce considérer comme un père après ca !? De cette pensée naquit un comportement bien étrange : Celestay Senior se mit a distance de son fils. S’en était finis, il ne voulais plus le déranger par sa présence, ni l’énerver en lui rappelant qu’il avait été l’instigateur de l’opération. Cependant, Celestay Junior n’en fut que plut attristé.

Il aurait préféré entendre des excuses bidon plutôt que de souffrir l’absence de son père. Une année après le drame, il n’avait que rarement parler à son père. Il n’était même pas entièrement rétablis : il trainait encore la jambe dans les couloirs, il était toujours proie a des maux de têtes phénoménales. Rien n’allait dans la vie de Celestay. L’année de ses 18 ans n’amena rien de meilleur… Il avait beau s’être rétablis physiquement, les relations avec son père restait tout aussi rompus qu’avant. Son père l’évitait quand il venait au entrainements, au repas et même à sa propre fête d’anniversaire. Néanmoins, Celestay ne se sentait plus seul, pas depuis son apparition…À cette…Voie. Car il entendait bien des voies, enfin une voie. Elle parlait distinctement, mais personne ne l’entendait sauf lui. Comme un ami invisible, la voie le réveillait le matin, l’encourageait a l’entrainement et essayer de résoudre ses problèmes. Toute fois, c’était des actions que n’importe quel esprit pouvait imiter, ce qui rendait cette voie particulière ; c’est qu’elle parlait de son propre grès. Ce n’était pas une simple illusion de l’esprit. Nombreuses sont les fois ou elle a commencé à disputer les techniques d’épées apprises à l’entrainement. Celestay pensait même que l’épée était le domaine de prédilection de la voie. Elle pensait a tout : poids de la lame, angle, force utilisée, technique, placement du poignet, placement de l’adversaire…
Dans ses tristes temps, Blade (comme l’avait surnommée Celestay) était un de ses rares amis et soutiens, mais lorsqu’une tragédie frappa l’établissement : Blade ne fut d’aucun secours.

La nuit c’était installé depuis peu. Celestay, dormant a poing fermée, fut secouée violemment hors de son lit. L’odeur de souffre est de charbon emplis immédiatement ses narines : le dojo brulait. Des cris, certains de guerre et d’autres de peur, étaient clairement audible ; les gens souffraient. Le tintement de métal provenant de la cour vint clore le tout : on se battait… Celestay fut traîné par le bras à travers les couloirs, peinant à suivre son sauveur. Toujours engourdis par le sommeil, il évitait maladroitement les poutres enflammées qui s’abattait sur lui, courant juste assez vite pour ne pas se faire écraser par le couloir qui s’écroulait. En quelques minutes il fut arrivé à la cours, nouvellement devenus un champ de bataille. Des hommes en noirs, aux sabres allongés et curvilignes, se battait contre les fameux Engels ; les épéistes blanc du dojo. Dans le tas Celestay retrouvât un grand nombre de ses camarades…mort, égorgées et étriper par la douzaine. Son sauveur sauta dans la foule à son tort, sabre en main, tandis que Celestay contempla le massacre. Il fut tiré de sa contemplation par son père, aux allures paniquées et dont la voie résonnait contre le mur de pierre autour de lui. Incompréhensible, bruyante et forte, la voie de son père déclencha un des fameux mal de cranes de Celestay. Ce dernier tomba a genoux, seulement rattraper par la poigne d’acier de son père.

Le bruit le déroutait. Notre ange ne savait même plus si c’était un rêve ou une réalité. De plus, ne comprenant qu’a moitie les mises en gardes de son père, la situation n’en fut que plus confuse pour lui. Celestay Senior traina son fils loin de la bataille, affolé. Ses recrues, ses diplômées, ses Engels ! Presque tous mort et sans défense contre ses envahisseurs. Il avait décidemment tout raté, sa vie; une perte de temps. Il n’avait pas sut protéger son dojo, ni donner des leçons aux recrues et en plus, il avait ruinée la vie de son fils. Non…Ca au moins il pouvait encore réussir. Il savait ce qu’il fallait faire. Un de ses arrières grand parent l’avait fait aussi. Ainsi, usant des dernières forces qu’un père peut avoir, il souleva son fils et le porta jusqu'au « Gouffre ». Des hommes l’attendaient sabre en main ; son dernier message allait devoir être bref. Cependant, aussi bref fut-il, il ne fut pas entendu en entier par son fils :

Désolée … Père de pacotille…Aurait dut… Désolée. Ses sabres sacrées… Le vent, le feu le… Rappelle toi… Mouvements appris… La clef… La clef…Souvient toi !

Le moment d’après, Celestay volait, plongeant dans les nuages… Ce fut la dernière image de son père qui lui tira des larmes ; car depuis sa vue en contre-plongée ; il peut observer un père : main tendus vers son fils, larmes coulantes… Le corps remplis de sabres ; murmurant un dernier « Désolée ». Ce fut la dernière chose que vit Celestay des Nuages. Un sommeil soudain l’emporta, surplus d’oxygène. Lorsqu’il se réveilla : il était Ignis Spark, Des Blues.
>> Test RP

Le sifflement aigus du vent, le rire guttural des vagues, le clapotis sonore produit dès son entrée dans la mer ; ça avait été les dernières visions de Celestay. Soudainement, un nouvel être émergea des vagues, battant des mains et des pieds pour restez désespérément a l’air libre. A peine né et l’homme se battait déjà pour survivre, mais la mer, déchainée, se moquait bien de se petit être fragile et l’avala tout cru. C’est à ce moment précis que Celestay se réveilla, trempée de sueur, dans un lit qui n’était pas le sien… Est-ce que ca avait été réellement un cauchemar ? Ou simplement une vision du passé ? Celestay soupira, s’étalant a nouveau sur le dos, observant le plafond : était-il réellement tombé du ciel ? L’ange ferma les yeux et tenta de se remémorer la scène. L’air était lourd de l’odeur du charbon, sec et chaud, on avait eu l’impression d’être dans un four, mais le plus surprenant était les tintements métalliques qu’il aurait jurer avoir entendus pour de vrais. Intrigués par ses sensations qui semblait bien réel, il rouvrit les yeux et tomba nez a nez avec une épaisse touffe de cheveux rouge sang. La touffe poussa un cri :

Eh bien tu es finalement réveillé ?!

La cascade de cheveux bascula en arrière et Celestay sursauta, craignant pour sa vie. Quel était cette créature a cheveux qui parlait une langue démoniaque ?! Immédiatement, il se retourna pour faire face a la « créature » qui n’était en fait nul autre qu’une jeune femme au cheveux rouge bouclés assez désordonnés. L’ange poussa un soupir de soulagement, entendus par la jeune femme qui se rapprocha de son hôte. Elle était jeune, ca n’en faisait pas l’ombre d’un doute ; mais il était clairement visible qu’elle travaillait déjà. Les manches de sa jolie robe a carreau rouge et blanc retroussées, Celestay observa une quantité pharamineuse de farine sur elle, en particulier au niveau des mains. Intrigués, il saisit les mains de la jeune femme, dont les joues devinrent aussi rouge que ses cheveux, et compara la farine qu’il avait vue utilisé au-dessus des nuages a celle d’ici. Concentrer dans son analyse, il n’avait même pas remarquer l’angle particulièrement courbée que prenait la jeune fille qui l’embrassa par surprise et le fit tomber a la renverse dans le lit. Étonnés, Celestay resta quelque secondes les yeux écarquillées avant de comprendre que… Au final… Il n’était pas si mal tomber. Il sourit discrètement et s’apprêta à rendre son baiser a la jolie rousse lorsque la poignée de la porte pivota, laissant entrer un géant qui devait bien faire 2 mètres de haut. L’ange en resta bouche bée, il n’avait jamais vue quelqu’un d’aussi grand ; déjà qu’en atteignant le mètre 80 il avait briser des records au Dojo, mais alors là…


Le colosse posa les yeux sur la scène et vociféra dans sa barbe tacheter de farine :

Que fait tu avec ma fille ?!

L’ange n’eut pas besoin de comprendre ce qu’il disait pour savoir que les intentions de l’homme qui se ruait vers lui n’étaient pas forcement bonne. Il agrippa la jeune femme, la retourna et la plaqua contre le lit, décrochant un baiser rapide pendant qu’il en était encore temps, puis bondit hors du lit à la stupeur générale… Le mastoc se trouvant à l’entrée, Celestay n’eut d’autre choix que de sauter par la fenêtre, priant à toutes les divinités du ciel pour que la chute ne soit pas aussi conséquente que celle qui l’avait amenée ici. Fort heureusement pour lui, la chambre dans laquelle il c’était retrouvé n’était « que » au deuxième étage, la chute qui en résulta fut donc bien plus courte et bien moins dangereuse. Néanmoins, sauter du deuxième étage n’était pas bon pour la santé et Celestay fut quelque peut déboussolée en tombant sur une matière rugueuse, marron et collante. Perplexe, il observa la matière sur laquelle il se trouvait, puis, entendant les hurlements de ce qui devait être le père de la fille, il tourna la tête vers la fenêtre.

Il a violé ma fille ! Il a violé ma fille !

La jeune femme qui avait rejoint son père à la fenêtre, les joues toujours aussi empourprées, fit un petit geste de la main en lui souriant. Cependant, l’ange savait très bien qu’il ne pouvait répondre à l’appel de la charmante rouquine ; du moins, pas sans passez un salle quart d’heure avec son père. Ainsi, il se retourna, faisant face a une petite foule de gens arrêter qui l’observait ; certains horrifiés et d’autre au bord du fou rire. Il fallut quelques secondes a Celestay pour comprendre pourquoi…Il était torse nu ; son tatouage tout le monde avait vue son tatouage ! Désespéré, il fit marche arrière, se coulant le mur de la maison qu’il venait de fuir au dos malgré les protestations du père. Il gesticula dans tous les sens, bougeant ses mains pour cachés le peu de tatouages qui dépassait sur ses cotes. C’est alors qu’il remarqua l’hilarité grandissante des passants… Il n’était pas que torse nu… Il était entièrement nu !

Les habitants de cette contré, au sol peu chaleureux, éclatèrent de rire en voyant l’ange qui avait finalement compris ce qu’il devait cacher. Celestay ne tentait même plus de couvrir son dos, juste de trouver par ou fuir. Toute fois, comme si ce n’était pas assez difficile avec une populace entière ricanant, le père de la jeune fille débarqua dans la place, sonnant la petite clochette d’une porte d’entrée a une maison qui semblait faite de pâtisseries par milliers. Un boulanger, il était tombé chez un boulanger ! Il se rappelait de la seule fois ou il partis avec son père pour la capitale ; sa première entrée et sa seule entrée dans une ville… Ca ressemblait beaucoup a aujourd’hui… Sauf qu’il avait été habillé autrefois. Le menaçant de toute sa stature, le colosse interrompit toutes les réflexions de Celestay : il fallait partir d’ici…Et vite ! Qui plus est, un autre colosse le poursuivait… A croire qu’il était tombé dans un pays de géant.

T’inquiète pas Durand, on vas l’attraper : parole de forgeron !

J’ai alerté la marine, elle arrive !

Des géants qui parlaient du charabia, traversée une ville aux nuages marron et moches ; en plus la traversée nue poursuivis par ces mêmes géants ! Elle promettait la journée ! Mais alors que Celestay pensait avoir tout vu, des hommes (de taille normale cette fois) se précipitèrent à sa rencontre, bâton en main. L’ange s’exclama :

Ah finalement des gens en uniformes ! Aidez-moi s’il vous plait je suis complètement perdus : je suis dans quel empire du ciel ? (traduit directement du « Grand Anglyens De L’empire du Nord » langue parler par Celestay)

J’ai l’impression qu’on a affaire a un autre nudiste dégénérer ; préparer les filets…

Messieurs l’Officier ! Cet homme a violez ma fille ! Arrêtez-le !

Nudiste ET violeur ? Eh bien, il vas en avoir des choses intéressantes à nous raconter au poste… Allez tirez lui dessus avec des fausses balles, sa devrait le calmer !

C’est ainsi que notre cher ange fit la découverte de « l’arme a feu », en essayant désespérément de fuir a une troupe de marines ; un forgeron et a un boulanger.

Mais ils sont tarés dans cette ville !