>> Harume Hatsu
Pseudonyme : Le Sage Age: 35 ans Sexe : Expérience raté / Ancien Homme Race : Homme Rang : A vous de voir Métier : Archéologue Groupe : Pirate Déjà un équipage : The Golden Wolves ( Futur ) But : Savoir tout Fruit du démon ou Aptitude pour la suite : Fruit de la Clairvoyance Équipements : La connaissance du corps humain Codes du règlement (2) : Parrain : Alwyn S. Calypso Ce compte est-il un DC ? : non Si oui, quel @ l'a autorisé ? : Pas besoin |
[center]>> Physique
Le son de la pluie, le rythme progressif de pas, une ombre s'avance lentement, le visage rivé vers le sol. Son regard noyé dans l'encre de la vie, il passe devant moi sans rien dire. Les mains dans les poches, ce long manteau beige, l'homme ne m'a pas adressé une simple parole ou un simple sourire. C'est comme si son visage avait été effacé par la gomme de dieu. Seul des taches noires bougent sur son visage. Inexpressif, Indifférent sont des adjectif qui vont très bien avec ce visage. Tendant ma main pour quémander quelques sous, l'homme ne m'avait même regarder. Un bruit aigu, la pièce tournoyant dans les airs, elle atterrissaient dans le creux de ma main. Comme si la pièce survenait de nul part. Un fantôme errant dans les rues de la célèbre ville Tokei: La ville où il y a la plus belle horloge dans le North Blue. Le temps s'était arrêté. Me laissant le plaisir d'adresser un sourire à cette homme, il portait un chapeau Stetson de couleur beige. Ces marques noires mobiles remplaçaient les traits de son visage. Elle représentait le visage de cette inconnu mystérieux. Elle remplaçait le regard de ce fantôme. Un simple pantalon, sa marche lente et sérieuse, le son de ces chaussures allaient plutôt bien avec le rythme de la pluie. Cette mélodie se mariait bien avec celle de ces chaussures. Des chaussures classiques pour continuer dans ce style sombre et classique. C'était la première fois que je voyais cette personne, le fantôme de Tokei. Davy - Clochard de la ville de Tokei
Un beau jeune homme. Je tenais fermement la photo d'Hatsu dans mes mains. Depuis cet évènement, Le Harume n'avait plus le même visage. Je ne pouvais plus le regarder. Son joli visage, son regard sérieux, sa barbe naissante, je ne peux pas oublier ces détails. Son visage restera toujours dans ma conscience, je ne pourrais pas me tromper sur la couleur de ces cheveux ou de ces pupilles. Sa chevelure noiraude, mal coiffé, l'homme ne s'occupait pas de ces cheveux. Cela l'arrange maintenant vu qu'il n'a plus de cheveux. Malgré ça, ce manque de pilosité sur son caillou le désespère, son charme lui venait de ces cheveux courts. Son regard d'adolescent, ce regard, je le garde dans mon coeur. Le gouvernement scientifique l'avait dérobé pour une de ces expériences ratées. Et voilà qu'Hatsu revient sans expressions, sans émotion. Une personne indifférent. Ces pupilles sombres augmentait son charme à l'époque. Maintenant c'est des taches d'encres sur son visage. Ces différences ne me laissent pas le choix. Je ne pouvais pas vivre avec cet homme, ce manque de personnalité gâchait son tout. Son Handicap rongeait ma chair et mes os. Cet tristesse s'aggravait de jour en jour. Je me révoltais contre le gouvernement. Cet être sans visage n'était pas Harume Hatsu. Harume Ayuna - Femme déchue du Sage
Hatsu excelle dans l'art du combat. Ces connaissances du corps humain font de lui un adversaire dangereux. Aucune arme est présente dans son accoutrement. Son corps a été forgé pour résister aux coups de ces adversaires. Son corps athlétique, l'homme s'est entrainé pour obtenir une endurance et une force dépassant celle d'un humain lambda. Une taille normale, Hatsu mesure un mètre quatre vingt cinq. Une taille suffisante pour les arts de combat, l'homme a un très bon centre de gravité. Un très bon équilibre, une certaine finesse de ces coups, Le Harume a tout appris de moi. C'est moi son maître qu'il l'a entraîné pour devenir ce qu'il l'est maintenant. Sa corpulence musclée, aucune once de graisse parcoure son corps. Un maître du corps à corps. Raitei - Sensei du Harume
Un beau jeune homme. Je tenais fermement la photo d'Hatsu dans mes mains. Depuis cet évènement, Le Harume n'avait plus le même visage. Je ne pouvais plus le regarder. Son joli visage, son regard sérieux, sa barbe naissante, je ne peux pas oublier ces détails. Son visage restera toujours dans ma conscience, je ne pourrais pas me tromper sur la couleur de ces cheveux ou de ces pupilles. Sa chevelure noiraude, mal coiffé, l'homme ne s'occupait pas de ces cheveux. Cela l'arrange maintenant vu qu'il n'a plus de cheveux. Malgré ça, ce manque de pilosité sur son caillou le désespère, son charme lui venait de ces cheveux courts. Son regard d'adolescent, ce regard, je le garde dans mon coeur. Le gouvernement scientifique l'avait dérobé pour une de ces expériences ratées. Et voilà qu'Hatsu revient sans expressions, sans émotion. Une personne indifférent. Ces pupilles sombres augmentait son charme à l'époque. Maintenant c'est des taches d'encres sur son visage. Ces différences ne me laissent pas le choix. Je ne pouvais pas vivre avec cet homme, ce manque de personnalité gâchait son tout. Son Handicap rongeait ma chair et mes os. Cet tristesse s'aggravait de jour en jour. Je me révoltais contre le gouvernement. Cet être sans visage n'était pas Harume Hatsu. Harume Ayuna - Femme déchue du Sage
Hatsu excelle dans l'art du combat. Ces connaissances du corps humain font de lui un adversaire dangereux. Aucune arme est présente dans son accoutrement. Son corps a été forgé pour résister aux coups de ces adversaires. Son corps athlétique, l'homme s'est entrainé pour obtenir une endurance et une force dépassant celle d'un humain lambda. Une taille normale, Hatsu mesure un mètre quatre vingt cinq. Une taille suffisante pour les arts de combat, l'homme a un très bon centre de gravité. Un très bon équilibre, une certaine finesse de ces coups, Le Harume a tout appris de moi. C'est moi son maître qu'il l'a entraîné pour devenir ce qu'il l'est maintenant. Sa corpulence musclée, aucune once de graisse parcoure son corps. Un maître du corps à corps. Raitei - Sensei du Harume
>> Psychologie
Harume Hatsu, un homme mystérieux errant dans les rues de son île, l'homme a un savoir inimaginable. Sa parole vaut celle de trente homme sur cette île. L'homme n'a jamais fait une erreur sur ce qu'il disait. Son allure emblématique, le cerveau de cet homme est développé comme celle d'un cyborg. Lorsqu'il avait à peine 25 ans, Hatsu a été enlevé par une organisation secrète du gouvernement de la partie scientifique. Depuis cette évènement, notre jeune Harume agit bizarrement, son intelligence est foudroyante, sa connaissance des fruits du démon est incroyable. C'est un médium, un sage, la seule information qu'il doit avoir c'est le nom du détenteur du fruit du démon. Au début, je pensais que ce n'était que de la magie mais non chaque parole qu'il osait échapper était celle d'un sage. Plutôt bouche-bée de ces compétences intellectuelles, je savais dès maintenant pourquoi notre génie voulait devenir archéologue et apprendre les ponéglyphes. Quelques personnes avaient la possibilité de contrôler la langue de dieu. Il voulait découvrir les armes antiques tel Poséidon, Pluton et la dernière inconnu à ce jour. Il m'expliqua pendant de long moments, je ne comprenais rien à ce qu'il disait. Beaucoup trop dépassé pour un simple gérant d'une taverne, je comprenais la moitié des mots mais on ressentait l'envie et la connaissance qu'il dégageait. Sa chaleur humaine dégage une certaine lueur de philosophie. Devenir Archéologue était une très bonne idée pour Harume Hatsu, Le sage de North Blue. Nakagawa Akio - Barman de Tokei
À part son intelligence et sa connaissance illimité, l'homme présente d'autres qualités mais aussi des défauts. Aucun humour, l'homme n'est vraiment pas un clown ou comique. Le rire chez lui est inexistant. Je ne l'ai jamais vu rire ou même un sourire. Bon c'est vrai qu'avec son masque avec ses marques d'encres, on ne peut vraiment pas ressentir ce qu'il émane. Même s'il a un verre en trop, l'homme ne pourra jamais esquisser un sourire ou même rire à flot. On pourrait même dire que cet homme est indifférent. L'absence de sentiment, L'absence de coeur est omniprésente lorsque l'on rencontre cette homme. Le manque de trait diminue la chaleur humaine qu'il dégage. Par conséquence, ce n'est pas à cause de l'absence de son visage que cette homme ne dégage pas de la chaleur humaine. Seule la parole permet de ressentir ce qu'il ressent. On ne peut que le comprendre grâce à un échange de flux sociale. C'est pourquoi Hatsu est une personne qui parle beaucoup pour combler ce manque d'humour et de chaleur humaine. Son flux de parole se résument beaucoup à des paroles intellectuelles et des "hum" expressifs. Ces paroles font bouger les marques noires sur son masque, on ne sait pourquoi. Des mouvements imprévisibles, ce côté-là n'est vraiment pas apprécié par la communauté. On le compare à une de ces expériences ratées du gouvernement. Un orphelin sans famille dont la tristesse a forgé un homme et non une créature. Osagawara Kametsu - Meilleur Ami de Hatsu
L'indifférence d'Hatsu permet à cet homme de cacher ses défauts. On ne peut ressentir ce qu'il émane. On ne peut pas savoir s'il a peur, s'il est en rogne ou s'il est pensif de vue. Le ton de sa voix remplace les traits de son visage. C'est bien pour cela que c'est une qualité. Ses mouvements sont imprévisible en combat, beaucoup de personnes savent prévoir les mouvements de son adversaire seulement avec les traits du visage. Et bien ces derniers ne pourront pas prévoir les mouvements d'Hatsu. En outre, l'homme ne pourra donc montrer ces défauts seulement avec sa parole. À part ça, Hatsu est une personne respectable et logique. Il n'a jamais désobéi à un autre ordre ou devoir. Il ne m'a jamais haussé la voix. Une personne de confiance, le Harume est capable de rapidement créer des liens de confiances. Cependant, Hatsu est un gros consommateur d'alcool. On le voit souvent un peu ivre, on le remarque rapidement avec ce hoquet omniprésent. Ces gloups répétitif, sa nonchalance, l'homme plonge sa tristesse orpheline dans l'alcool. Il use de ces moments de solitude avec l'alcool pour pouvoir réfléchir et penser ou même observer les merveilleux paysages. Un adorateur de la nature avec une bonne bouteille de rhum. Hisoka Kô - Bûcheron / Père adoptif d'Hatsu
À part son intelligence et sa connaissance illimité, l'homme présente d'autres qualités mais aussi des défauts. Aucun humour, l'homme n'est vraiment pas un clown ou comique. Le rire chez lui est inexistant. Je ne l'ai jamais vu rire ou même un sourire. Bon c'est vrai qu'avec son masque avec ses marques d'encres, on ne peut vraiment pas ressentir ce qu'il émane. Même s'il a un verre en trop, l'homme ne pourra jamais esquisser un sourire ou même rire à flot. On pourrait même dire que cet homme est indifférent. L'absence de sentiment, L'absence de coeur est omniprésente lorsque l'on rencontre cette homme. Le manque de trait diminue la chaleur humaine qu'il dégage. Par conséquence, ce n'est pas à cause de l'absence de son visage que cette homme ne dégage pas de la chaleur humaine. Seule la parole permet de ressentir ce qu'il ressent. On ne peut que le comprendre grâce à un échange de flux sociale. C'est pourquoi Hatsu est une personne qui parle beaucoup pour combler ce manque d'humour et de chaleur humaine. Son flux de parole se résument beaucoup à des paroles intellectuelles et des "hum" expressifs. Ces paroles font bouger les marques noires sur son masque, on ne sait pourquoi. Des mouvements imprévisibles, ce côté-là n'est vraiment pas apprécié par la communauté. On le compare à une de ces expériences ratées du gouvernement. Un orphelin sans famille dont la tristesse a forgé un homme et non une créature. Osagawara Kametsu - Meilleur Ami de Hatsu
L'indifférence d'Hatsu permet à cet homme de cacher ses défauts. On ne peut ressentir ce qu'il émane. On ne peut pas savoir s'il a peur, s'il est en rogne ou s'il est pensif de vue. Le ton de sa voix remplace les traits de son visage. C'est bien pour cela que c'est une qualité. Ses mouvements sont imprévisible en combat, beaucoup de personnes savent prévoir les mouvements de son adversaire seulement avec les traits du visage. Et bien ces derniers ne pourront pas prévoir les mouvements d'Hatsu. En outre, l'homme ne pourra donc montrer ces défauts seulement avec sa parole. À part ça, Hatsu est une personne respectable et logique. Il n'a jamais désobéi à un autre ordre ou devoir. Il ne m'a jamais haussé la voix. Une personne de confiance, le Harume est capable de rapidement créer des liens de confiances. Cependant, Hatsu est un gros consommateur d'alcool. On le voit souvent un peu ivre, on le remarque rapidement avec ce hoquet omniprésent. Ces gloups répétitif, sa nonchalance, l'homme plonge sa tristesse orpheline dans l'alcool. Il use de ces moments de solitude avec l'alcool pour pouvoir réfléchir et penser ou même observer les merveilleux paysages. Un adorateur de la nature avec une bonne bouteille de rhum. Hisoka Kô - Bûcheron / Père adoptif d'Hatsu
>> Biographie
« Verse moi le fond de la bouteille de Rhum ... Akio »
Ma vie est un long fleuve d'émotions forte. Ce flux rapide et destructeur qui représente ma vie. Le liquide marron se versant dans mon verre, il se remplit progressivement tel la tristesse que j'endurais depuis cette expérience. Je ne pouvais plus reculer. Je devais continuer ce chemin désastreux. J'avais gagné la connaissance et la force mais j'avais perdu l'amour et l'émotions. Caressant ce bois rugueux, je déversais le liquide dans ma gorge. Essuyant mes babines avec ma main, mon regard s'ancrait lentement dans celui de mon collègue. Akio était la seule personne qui connaissait ma vie et qui n'avait pas été supprimé par le gouvernement. Je suis ce civil qu'on recherche pour avoir vécu une vie beaucoup trop normale. On a tué ma famille, mes enfants, mes amis. Je n'avais rien fait, je n'étais qu'un simple enseignant d'histoire dans l'école locale de Tokei. On m'avait choisi pour participer à cette expérience, on m'avait emmené de force. Une haine rongeait ma conscience, je voulais redonner tout ces cadeaux empoissonnés à cette fausse justice. Je finissais mon verre, le posant brutalement sur le comptoir. La porte s'ouvrait, je m'avançais dehors sans crainte. Le visage levé vers le ciel, je ne pouvais que me ranger dans la criminalité.
Simple enseignant à Tokei, je me baladais lentement dans les rues de ma ville natale. Arborant cet sourire, je tenais en main une valise où se trouvait toutes mes recherches et mes cours. Depuis que j'avais pris la fonction d'enseignant en histoire, je commençais à m’intéresser à cette langue antique et ces armes. Rien d'illégale, c'est ce que je croyais. Je me sentais espionner, des gens étranges commençaient à apparaître dans la ville de Tokei. Ma vie commençait lentement à se dégrader. Le stress, la dépression, je me sentais observer, je ne pouvais plus dormir. Le sommeil n'était plus vraiment une état que je ressentais. Ces cernes obscures sous mes yeux, je me contentais d'avancer dans mes recherches. Usant des livres d'histoires de la bibliothèque, je voulais apprendre cette langue pour pouvoir révolutionner le monde. Cette langue ne pouvait être apprises que par un maigre groupe dans ce monde d'eau. Dû à mes connaissances et mon savoir, j'avais un certain avantage à apprendre cet ancien code. Plus j'avançais dans ces recherches, plus je prenais de risque à éclaircir les inconnus. Je m'aventurais dans les endroits mal fréquentés pour accéder à des informations récentes. Mais voilà, il était temps qu'on arrête mes recherches. Ce jour-là, je m'en rappelle. Ce coup si rapide dans ma colonne vertébrale, mon cri qui s'échappait, je tombais sur le sol sans savoir qui m'avait attaqué. Je savais maintenant que ces recherches n'étaient pas une bonne chose pour le monde et que j'étais en danger.
Mes yeux s'ouvraient lentement. La froideur de la pièce venait de me réveiller. Je ne pouvais plus bouger. On m'avait accroché à cette table d'opération. Aucune personne ne se trouvait autour de celle-ci. La peur germait en moi, je bougeais frénétiquement. Ma brutalité était au summum. La rougeur de mon visage, je forçais les menottes pour pouvoir m'échapper de cette merde. En un instant, je me calmais, je bougeais lentement mon regard vers cette douleur, une aiguille s'enfonçait lentement dans ma peau. Actionnant le mécanisme, le liquide jaunâtre se trouvait dans mon sang, dans mon corps. Je ne savais pas ce que c'était. Mes bras et mes jambes paralysées, un homme vêtue d'une blouse blanche et d'un masque de même couleur, je ne pouvais qu'apercevoir la lueur de ces yeux. Ces paroles floues, je ne comprenais rien à ce qu'il me disait. Mon visage se posa lentement sur la table métallique. L'homme blanc brandissait lentement un scalpel. Je n'allais pas sortir vivant de cette opération. C'était les dernières minutes de ma vie. Au revoir ma tendre femme.
Cet état de somnolence, un manteau obscur recouvrait ma vue. On m'avait bandé le visage. Toujours attaché, je ne pouvais pas bouger. Il y avait beaucoup plus de personnes. J'entendais le bruit de leurs pas, de leur parole. Je comprenais à peine ce qu'il se chuchotait. L’expérience X-99, tel était mon nouveau nom. Les prémices de la souffrance venaient de commencer pour moi. Je n'étais qu'un vulgaire cobaye. Je ressentais des douleurs au niveau du visage. On m'avait charcuté. Je le sentais. Je n'avais pas les mêmes réactions qu'avant. Mes sens étaient troublés. Je ne bougeais pas. Je commençais à reprendre mes sens. J'entendais parfaitement les paroles de ces savants fous.
« Le cobaye est-il prêt à recevoir une deuxième opération ? Nous allons lui greffer le regard d'encre, le savoir des ponéglyphes. C'est la seule personne à pouvoir recevoir ce pouvoir, sa connaissance et son intelligence sont supérieur à celle d'un humain normal. On l'utilisera pour déchiffrer cette langue antique. Saura t-il capable d'assimiler cette puissance antique ? »
« Son pouls s'est stabilisé, nous pouvons commencer la greffe ! »
« Laissez moi partir ... »
Tel était mes dernières paroles. Ce ton si faible, une dose de plus et je retombais dans les bras de Morphée.
Des explosions répétitifs, je me réveillais dans mon lit. Les cri de douleur, je posais ma main sur mon visage. Un masque avait été entreposé sur mon visage. L’adrénaline montait. Mes jambes tremblaient, je ne sais pas quoi faire. Ma vue était normal, j'arrivais à prononcer de simples mots mais je ne ressens plus ces traits expressif. Vêtu d'une robe blanche, je sortais de mon lit. Enfilant mes pantoufles, je m'aventurais dans les couloirs de ce laboratoire. Personne s'y trouvait. Des corps de personnes jonchaient dans leurs propres sang. Je ne pouvais pas resté ici. Je commençais à courir, cherchant une sortie. C'est à ce moment-là que je me calme, je ne cherche plus à m'échapper. Je tournais les talons en direction des bureaux. Il fallait que je trouve mon dossier. Je voulais savoir ce que l'on m'avait fait. Mes doigts caressaient rapidement les dossiers jusqu'à atteindre le mien.
Le dossier en poche, c'était les seules preuves que j'avais sur moi. Je courais rapidement dans les couloirs. Les corps se multipliaient. Comme ci quelqu'un venait de tuer tout ces médecins. Aucune personne en vie. Ouvrant cette porte, les lueurs du soleil m'éblouissaient les yeux. Je ne savais pas où j'étais. Les quelques bateaux, je m'y connaissais un peu en navigation. J'explorais ce bateau, cherchant une carte et une boussole. C'est ce que j'avais trouvé. Dépliant la carte, je me trouvais sur une île inconnu à quelques kilomètres de mon île natale. J'avais pris la route. La mer était calme. J'avançais lentement en direction de chez moi.
Je me retrouvais au chaud. Arrivé en bateau sur Tokei, je m'étais évanoui sous la chaleur ardente du soleil. Mon vielle ami, Akio, le barman, m'avait recueillis et m'avait expliqué toutes l'histoires en détail. Ma famille et mes amis avaient été retrouvé mort. J'étais le seul survivant, on avait créer un monstre. La haine s'émanait de mes paroles. Je jurais de venger ma femme. Je ne pouvais pas laisser ça.
Ma vie est un long fleuve d'émotions forte. Ce flux rapide et destructeur qui représente ma vie. Le liquide marron se versant dans mon verre, il se remplit progressivement tel la tristesse que j'endurais depuis cette expérience. Je ne pouvais plus reculer. Je devais continuer ce chemin désastreux. J'avais gagné la connaissance et la force mais j'avais perdu l'amour et l'émotions. Caressant ce bois rugueux, je déversais le liquide dans ma gorge. Essuyant mes babines avec ma main, mon regard s'ancrait lentement dans celui de mon collègue. Akio était la seule personne qui connaissait ma vie et qui n'avait pas été supprimé par le gouvernement. Je suis ce civil qu'on recherche pour avoir vécu une vie beaucoup trop normale. On a tué ma famille, mes enfants, mes amis. Je n'avais rien fait, je n'étais qu'un simple enseignant d'histoire dans l'école locale de Tokei. On m'avait choisi pour participer à cette expérience, on m'avait emmené de force. Une haine rongeait ma conscience, je voulais redonner tout ces cadeaux empoissonnés à cette fausse justice. Je finissais mon verre, le posant brutalement sur le comptoir. La porte s'ouvrait, je m'avançais dehors sans crainte. Le visage levé vers le ciel, je ne pouvais que me ranger dans la criminalité.
Simple enseignant à Tokei, je me baladais lentement dans les rues de ma ville natale. Arborant cet sourire, je tenais en main une valise où se trouvait toutes mes recherches et mes cours. Depuis que j'avais pris la fonction d'enseignant en histoire, je commençais à m’intéresser à cette langue antique et ces armes. Rien d'illégale, c'est ce que je croyais. Je me sentais espionner, des gens étranges commençaient à apparaître dans la ville de Tokei. Ma vie commençait lentement à se dégrader. Le stress, la dépression, je me sentais observer, je ne pouvais plus dormir. Le sommeil n'était plus vraiment une état que je ressentais. Ces cernes obscures sous mes yeux, je me contentais d'avancer dans mes recherches. Usant des livres d'histoires de la bibliothèque, je voulais apprendre cette langue pour pouvoir révolutionner le monde. Cette langue ne pouvait être apprises que par un maigre groupe dans ce monde d'eau. Dû à mes connaissances et mon savoir, j'avais un certain avantage à apprendre cet ancien code. Plus j'avançais dans ces recherches, plus je prenais de risque à éclaircir les inconnus. Je m'aventurais dans les endroits mal fréquentés pour accéder à des informations récentes. Mais voilà, il était temps qu'on arrête mes recherches. Ce jour-là, je m'en rappelle. Ce coup si rapide dans ma colonne vertébrale, mon cri qui s'échappait, je tombais sur le sol sans savoir qui m'avait attaqué. Je savais maintenant que ces recherches n'étaient pas une bonne chose pour le monde et que j'étais en danger.
Mes yeux s'ouvraient lentement. La froideur de la pièce venait de me réveiller. Je ne pouvais plus bouger. On m'avait accroché à cette table d'opération. Aucune personne ne se trouvait autour de celle-ci. La peur germait en moi, je bougeais frénétiquement. Ma brutalité était au summum. La rougeur de mon visage, je forçais les menottes pour pouvoir m'échapper de cette merde. En un instant, je me calmais, je bougeais lentement mon regard vers cette douleur, une aiguille s'enfonçait lentement dans ma peau. Actionnant le mécanisme, le liquide jaunâtre se trouvait dans mon sang, dans mon corps. Je ne savais pas ce que c'était. Mes bras et mes jambes paralysées, un homme vêtue d'une blouse blanche et d'un masque de même couleur, je ne pouvais qu'apercevoir la lueur de ces yeux. Ces paroles floues, je ne comprenais rien à ce qu'il me disait. Mon visage se posa lentement sur la table métallique. L'homme blanc brandissait lentement un scalpel. Je n'allais pas sortir vivant de cette opération. C'était les dernières minutes de ma vie. Au revoir ma tendre femme.
Cet état de somnolence, un manteau obscur recouvrait ma vue. On m'avait bandé le visage. Toujours attaché, je ne pouvais pas bouger. Il y avait beaucoup plus de personnes. J'entendais le bruit de leurs pas, de leur parole. Je comprenais à peine ce qu'il se chuchotait. L’expérience X-99, tel était mon nouveau nom. Les prémices de la souffrance venaient de commencer pour moi. Je n'étais qu'un vulgaire cobaye. Je ressentais des douleurs au niveau du visage. On m'avait charcuté. Je le sentais. Je n'avais pas les mêmes réactions qu'avant. Mes sens étaient troublés. Je ne bougeais pas. Je commençais à reprendre mes sens. J'entendais parfaitement les paroles de ces savants fous.
« Le cobaye est-il prêt à recevoir une deuxième opération ? Nous allons lui greffer le regard d'encre, le savoir des ponéglyphes. C'est la seule personne à pouvoir recevoir ce pouvoir, sa connaissance et son intelligence sont supérieur à celle d'un humain normal. On l'utilisera pour déchiffrer cette langue antique. Saura t-il capable d'assimiler cette puissance antique ? »
« Son pouls s'est stabilisé, nous pouvons commencer la greffe ! »
« Laissez moi partir ... »
Tel était mes dernières paroles. Ce ton si faible, une dose de plus et je retombais dans les bras de Morphée.
Des explosions répétitifs, je me réveillais dans mon lit. Les cri de douleur, je posais ma main sur mon visage. Un masque avait été entreposé sur mon visage. L’adrénaline montait. Mes jambes tremblaient, je ne sais pas quoi faire. Ma vue était normal, j'arrivais à prononcer de simples mots mais je ne ressens plus ces traits expressif. Vêtu d'une robe blanche, je sortais de mon lit. Enfilant mes pantoufles, je m'aventurais dans les couloirs de ce laboratoire. Personne s'y trouvait. Des corps de personnes jonchaient dans leurs propres sang. Je ne pouvais pas resté ici. Je commençais à courir, cherchant une sortie. C'est à ce moment-là que je me calme, je ne cherche plus à m'échapper. Je tournais les talons en direction des bureaux. Il fallait que je trouve mon dossier. Je voulais savoir ce que l'on m'avait fait. Mes doigts caressaient rapidement les dossiers jusqu'à atteindre le mien.
Ancien Nom Prénom: Harume Hatsu
Ancien poste: Enseignant d'Histoire
Ancienne résidence: Tokei, La ville du temps
Nom du Cobaye: X-99
Dons: Connaissance illimité et grande intelligence
Opérations exécutées: Greffe du regard d'encre / Pouvoir ponéglyphes encore inexistant - à développer
Produits injectées: Cocktail paralysant ( 2X dose )
Raijin Kenzô - Scientifique
Le dossier en poche, c'était les seules preuves que j'avais sur moi. Je courais rapidement dans les couloirs. Les corps se multipliaient. Comme ci quelqu'un venait de tuer tout ces médecins. Aucune personne en vie. Ouvrant cette porte, les lueurs du soleil m'éblouissaient les yeux. Je ne savais pas où j'étais. Les quelques bateaux, je m'y connaissais un peu en navigation. J'explorais ce bateau, cherchant une carte et une boussole. C'est ce que j'avais trouvé. Dépliant la carte, je me trouvais sur une île inconnu à quelques kilomètres de mon île natale. J'avais pris la route. La mer était calme. J'avançais lentement en direction de chez moi.
Je me retrouvais au chaud. Arrivé en bateau sur Tokei, je m'étais évanoui sous la chaleur ardente du soleil. Mon vielle ami, Akio, le barman, m'avait recueillis et m'avait expliqué toutes l'histoires en détail. Ma famille et mes amis avaient été retrouvé mort. J'étais le seul survivant, on avait créer un monstre. La haine s'émanait de mes paroles. Je jurais de venger ma femme. Je ne pouvais pas laisser ça.
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Informations IRL
- Prénom : Mike
Age : 19 ans
Aime : les cornichons
N'aime pas : la salade
Personnage préféré de One Piece : Don Crocodile
Caractère :
Fais du RP depuis : 7 ans
Disponibilité : Tout le temps
Comment avez vous connu le forum ? Par le biais d'amis
Dernière édition par Harume Hatsu le Sam 3 Nov 2012 - 21:01, édité 32 fois