Cela faisait maintenant quelques heures qu’Uriko était arrivé au royaume de Bliss. La première chose qu’il avait remarqué c’était touuuut ces marines qui traînaient ici et là. L’ambiance qui y régnait n’était pas vraiment des plus agréables… Même en sachant que les marines c’est des « gentils », ceux-ci donnent parfois cette impression de… lourdeur, sentir une pression constante… C’est jamais agréable de devoir toujours faire attention à ce qu’on dit ou ce qu’on fait. Comme si les parents nous surveillaient en permanence. Bref, ce genre de sensation.
Mais ce n’était pas le pire, car la présence des marines ici était problématique pour le petit garçon. Il n y avait RIEN à trouver ou capturer ici ! Même lui sait qu’avec cette justice tout partout, bah les méchants ils viennent pas ici ! En clair : Uriko il a pas de travail à cause d’eux ! D’abord !
Certes, il peut profiter de cette occasion pour pouvoir se reposer, se promener et comme à son habitude s’acheter des bonbons et autres pâtisseries… Seul problème à l’horizon… Les bonbons ici sont VACHEMENT CHEEEER ! Uriko adore les sucreries mais faut pas pousser non plus ! Pour le prix d’un seul de ces bonbons, il peut s’en acheter trois à Shimotsuki ! Et puis il est même pas sûr que ces bonbons les valent ! Mais… Mais pourtant il est de son devoir de goûter tous les bonbons de ce monde, c’est même dans sa liste des rêves à réaliser et classé dans le top 10 en plus ! Et on revient au point de départ : Pas de méchant à attraper égal pas d’argent, et sans argent, pas de bonbons… Grr… Il devait trouver un moyen de contourner ce problème sans pour autant gaspiller toutes ses économies.
Uriko errait dans les rues, tête pensante et tapotant du pied illustrant sa réflexion, à la recherche d’un moyen de se faire de l’argent dans cette ville… Il pourrait mendier mais ce serait pas juste à l’égard des autres clochards… Il pourrait bien vendre ses peluches pour…
« NAN ! JAMAIS ! »
Le chasseur de prime s’écria tout seul dans ses pensées, attirant le regard curieux de certains passants… Pas comme si cela dérangeait le garçon, il était beaucoup trop concentré pour se préoccuper d’autres choses. Et finalement, dame chance lui prêta main forte une nouvelle fois. Il lui avait seulement suffit de lever la tête pour voir qu’à l’intersection d’une rue se trouvait un homme vaaachement louche. Pour sûr qu’il était bizarre, son bizarr-o-mètre lui indiquait un 9 sur 10 à l’échelle de la bizarrerie… Cet homme devait cacher quelque chose, un méchant ? Dans cette ville infesté de marines ? Dans ce cas, il était pas très futé pour espérer passer inaperçue…
Certes pour les habitants, il pouvait paraître comme un simple passant du décor… Mais pour un chasseur de primes aussi expérimenté et parano qu’Uriko, il était aisé de repérer les personnes louches. Poussé par son imagination et son instinct d’enfant, le jeunot se dirigea en courant vers le monsieur très bizarre. Regardant au préalable qu’il n y ait pas de marines aux alentours, ce serait bête qu’ils lui piquent sa « proie ». Le garçonnet finit alors par interrompre l’étranger en lui coupant la route.
« Stoooop monsieur louche ! Euh…. Moi c’est Uriko, j’ai 13 ans et chuis un chasseur de primes ! J’ai même des papiers ! Regarde ! Regarde ! T’as vu, j’les ai eu après avoir attrapé trois méchants pas beaux ! Hé hé c’était trooop bien ! Eh ? Ne change pas de sujet d’abord ! Donc euh… M’sieur louche, va falloir que tu me suives comme ça je pourrais te livrer aux marines et gagner de l’argent et je pourrais m’acheter plein de bonbons ! »
Hmm… Il s’embrouille là… Trop d’informations à la fois dans sa tête… Et il n’a même pas de mobiles valables pour l’arrêter… A-t-on le droit d’arrêter quelqu’un juste parce qu’il est suspect ? Hmm… Mais pourtant, à Shimotsuki, quand y a quelqu’un de suspicieux, les marines possèdent à des fouilles… Toute manière il accepterait forcément s’il n’a rien à cacher ! Ha ha ! Coincé ! Même si m’sieur louche a pas de primes sur sa tête comme les pirates, les marines devraient lui donner un petit quelque chose pour son dévouement… Oui, la gentillesse et le courage c’est toujours récompensé, d’abord.
Mais ce n’était pas le pire, car la présence des marines ici était problématique pour le petit garçon. Il n y avait RIEN à trouver ou capturer ici ! Même lui sait qu’avec cette justice tout partout, bah les méchants ils viennent pas ici ! En clair : Uriko il a pas de travail à cause d’eux ! D’abord !
Certes, il peut profiter de cette occasion pour pouvoir se reposer, se promener et comme à son habitude s’acheter des bonbons et autres pâtisseries… Seul problème à l’horizon… Les bonbons ici sont VACHEMENT CHEEEER ! Uriko adore les sucreries mais faut pas pousser non plus ! Pour le prix d’un seul de ces bonbons, il peut s’en acheter trois à Shimotsuki ! Et puis il est même pas sûr que ces bonbons les valent ! Mais… Mais pourtant il est de son devoir de goûter tous les bonbons de ce monde, c’est même dans sa liste des rêves à réaliser et classé dans le top 10 en plus ! Et on revient au point de départ : Pas de méchant à attraper égal pas d’argent, et sans argent, pas de bonbons… Grr… Il devait trouver un moyen de contourner ce problème sans pour autant gaspiller toutes ses économies.
Uriko errait dans les rues, tête pensante et tapotant du pied illustrant sa réflexion, à la recherche d’un moyen de se faire de l’argent dans cette ville… Il pourrait mendier mais ce serait pas juste à l’égard des autres clochards… Il pourrait bien vendre ses peluches pour…
« NAN ! JAMAIS ! »
Le chasseur de prime s’écria tout seul dans ses pensées, attirant le regard curieux de certains passants… Pas comme si cela dérangeait le garçon, il était beaucoup trop concentré pour se préoccuper d’autres choses. Et finalement, dame chance lui prêta main forte une nouvelle fois. Il lui avait seulement suffit de lever la tête pour voir qu’à l’intersection d’une rue se trouvait un homme vaaachement louche. Pour sûr qu’il était bizarre, son bizarr-o-mètre lui indiquait un 9 sur 10 à l’échelle de la bizarrerie… Cet homme devait cacher quelque chose, un méchant ? Dans cette ville infesté de marines ? Dans ce cas, il était pas très futé pour espérer passer inaperçue…
Certes pour les habitants, il pouvait paraître comme un simple passant du décor… Mais pour un chasseur de primes aussi expérimenté et parano qu’Uriko, il était aisé de repérer les personnes louches. Poussé par son imagination et son instinct d’enfant, le jeunot se dirigea en courant vers le monsieur très bizarre. Regardant au préalable qu’il n y ait pas de marines aux alentours, ce serait bête qu’ils lui piquent sa « proie ». Le garçonnet finit alors par interrompre l’étranger en lui coupant la route.
« Stoooop monsieur louche ! Euh…. Moi c’est Uriko, j’ai 13 ans et chuis un chasseur de primes ! J’ai même des papiers ! Regarde ! Regarde ! T’as vu, j’les ai eu après avoir attrapé trois méchants pas beaux ! Hé hé c’était trooop bien ! Eh ? Ne change pas de sujet d’abord ! Donc euh… M’sieur louche, va falloir que tu me suives comme ça je pourrais te livrer aux marines et gagner de l’argent et je pourrais m’acheter plein de bonbons ! »
Hmm… Il s’embrouille là… Trop d’informations à la fois dans sa tête… Et il n’a même pas de mobiles valables pour l’arrêter… A-t-on le droit d’arrêter quelqu’un juste parce qu’il est suspect ? Hmm… Mais pourtant, à Shimotsuki, quand y a quelqu’un de suspicieux, les marines possèdent à des fouilles… Toute manière il accepterait forcément s’il n’a rien à cacher ! Ha ha ! Coincé ! Même si m’sieur louche a pas de primes sur sa tête comme les pirates, les marines devraient lui donner un petit quelque chose pour son dévouement… Oui, la gentillesse et le courage c’est toujours récompensé, d’abord.