Comme depuis quelques jours, Shoma n'avait rien à faire et ne pouvait lever l'ancre, car ses nakamas étaient occupés à leurs affaires et comme depuis quelques temps quand ceux-ci s'occupaient de truc de "fille", Shoma ne pouvait intervenir et râler n'allait pas lui servir à grand-chose, alors pour faire passer le temps le jeune capitaine des spectres jeta son corps dans une taverne. L'alcool n'était pas très cher au royaume de l'absurde pour le plus grand plaisir du capitaine qui aimait boire à ne plus savoir quoi faire dans ce genre de situation. Alors que la journée venait à peine de commencer, Shoma en était déjà à sa quatrième bouteille. Heureusement pour son foie, l'alcool qu'ingurgitait le capitaine n'était pas fort. Assis sur son siège, Shoma observait les allés et venus des personnes qui entraient et quittaient la taverne.
Alors qu'il commençait à s'endormir sur sa bouteille, Shoma pose ses yeux sur un petit groupe de pirate qui venaient d'entrer dans la taverne. Contrairement à lui, les pirates semblaient fraichement arrivé sur l'île. Comment le savait-il ? Tout simplement, car ils avaient des têtes joyeuses et plein d'entrain, ce qui montrait à quel point il ne connaissait pas la folie qui régnait sur l'île. S'il y avait une récompense à donner à cette île, alors il s'agirait de l'oscar de l'île la plus mortel. Ici impossible de passer plus d'une semaine sans perdre la tête et c'était d'ailleurs un miracle que Shoma qui était ici depuis plus d'une semaine n'avait décidé de prendre un pistolet et se tirer une balle dans le crâne. Plutôt que de laisser le marchand de sable l'avoir, le jeune capitaine décida d'écouter ce qui se passait au niveau de la table des pirates, car on le sait tous, des pirates ne savent pas se tenir quand ils commencent à boire.
Après cinq minutes à observer, Shoma commençait à s'endormir, alors pour ne pas sombrer dans le royaume des rêves, le jeune capitaine décida de quitter la taverne afin de voir s'il n'était pas possible de trouver quelque chose de plus attrayant plus loin. Au point où il en était, Shoma était prêt à aller nettoyer son navire si une personne lui disait qu'en passant la brosse entre les pics de sa tortue il trouverait des parasites mangeur d'homme. Hé oui, même un dangereux capitaine pirate pouvait avoir une vie assez banale. Alors qu'il allait quitter la taverne sans payer sa consommation, le tavernier appela le capitaine pirate et lui demanda de payer avant de partir, mais plutôt que de sortir son argent, Shoma pointa le groupe de pirate et affirma qu'ils allaient payer pour lui. Un pirate qui se respecte n'accepterait jamais de payer l'addition d'un autre pirate. C'était d'ailleurs pour cette raison que Shoma avait désignée la table des pirates. La bagarre, voilà ce qu'il voulait, mais plutôt que de prendre les armes, le capitaine leva la main et dit au tavernier qu'il acceptait de prendre sur sa consommation ce qu'avait bu Shoma.
*Pfff Même pas capable de refuser...
pffff quelle journée de merde*
Plutôt que de voir jusqu'où pouvait aller la générosité du capitaine pirate fraichement arrivé, Shoma préféra tourner le dos à la taverne et s'en alla. N'ayant rien à faire le jeune capitaine décida d'aller roupiller sur son navire le temps que ses hommes reviennent de leur activité, mais comme un signe du destin, Shoma tomba sur une scène assez rare. Alors qu'il allait passer dans une ruelle qui était un raccourci afin de rejoindre le port il tomba sur un groupe d'hommes qui s'en donnaient à coeur joie de détruire une boutique. Curieux, le jeune capitaine décida de prendre un peu de hauteur et d'attendre que la situation ce calme. Lui qui était en quête d'action venait de tomber sur une scène "d'action", mais plutôt que de jouer les héros et aller se battre, ce qui au passage lui ferait passer ses envies d'adrénalines, Shoma préféra attendre la fin du déchainement de colère des casseurs.
Une fois le magasin sens dessus dessous, un homme qui était jusqu'à présent rester en retrait entra dans à l'intérieur et n'en sorti que plusieurs minutes plus tard suivi du reste des hommes. La tension baissée, Shoma quitta son point de vue et décida à son tour d'entrer dans ce qui restait de la boutique. Le propriétaire du magasin de navigation se trouvait en piteux état et demande au pirate de bien vouloir quitter son magasin, car "fermer" d'après lui. L'homme faisait pitié à Shoma, mais plutôt que d'enfoncer le clou dans la plaie et se moquer de lui, le jeune capitaine lui montra sa bourse et attrapa un objet qui ressemblait à un instrument de navigation qui se trouvait derrière le comptoir. Tournant la tête en direction de l'objet souhaité par le pirate, le marchand lui dit qu'il n'était pas à vendre et que ce que contenait la bourse ne représentait sans doute même pas la moitié de son prix de vente.
" De quoi s'agit-il ?"
"Je vous ai dit que je suis fermé."
"Il n'y a plus de porte, comment pouvez-vous être fermé."
"Quittez mon magasin."
"Hé le vieux tu sais qui je suis."
"Oui, mais...."
"Il n'y a pas de mais. Tu la fermes et tu m'écoutes. "
Voyant dans cette situation un moyen de s'amuser, Shoma demanda où plutôt força le marchand de lui raconter son histoire. N'ayant rien à gagner à mentir, l'homme raconta au pirate que l'homme qui venait de détruire son magasin était une personne très influente dans cette partie de la ville et que de nombreux commerçants lui donnaient une partie de l'argent en échange de sa protection. L'homme savait qu'il s'agissait de racket, mais devant la violence dont faisait preuve ses agresseurs et devant l'inactivité de la marine il n'avait d'autre choix que de payer, mais depuis peu les affaires ne tournaient pas aussi bien qu'il le souhaitait voilà pourquoi il n'avait pas réussi à payer son agresseur.
Alors qu'il commençait à s'endormir sur sa bouteille, Shoma pose ses yeux sur un petit groupe de pirate qui venaient d'entrer dans la taverne. Contrairement à lui, les pirates semblaient fraichement arrivé sur l'île. Comment le savait-il ? Tout simplement, car ils avaient des têtes joyeuses et plein d'entrain, ce qui montrait à quel point il ne connaissait pas la folie qui régnait sur l'île. S'il y avait une récompense à donner à cette île, alors il s'agirait de l'oscar de l'île la plus mortel. Ici impossible de passer plus d'une semaine sans perdre la tête et c'était d'ailleurs un miracle que Shoma qui était ici depuis plus d'une semaine n'avait décidé de prendre un pistolet et se tirer une balle dans le crâne. Plutôt que de laisser le marchand de sable l'avoir, le jeune capitaine décida d'écouter ce qui se passait au niveau de la table des pirates, car on le sait tous, des pirates ne savent pas se tenir quand ils commencent à boire.
Après cinq minutes à observer, Shoma commençait à s'endormir, alors pour ne pas sombrer dans le royaume des rêves, le jeune capitaine décida de quitter la taverne afin de voir s'il n'était pas possible de trouver quelque chose de plus attrayant plus loin. Au point où il en était, Shoma était prêt à aller nettoyer son navire si une personne lui disait qu'en passant la brosse entre les pics de sa tortue il trouverait des parasites mangeur d'homme. Hé oui, même un dangereux capitaine pirate pouvait avoir une vie assez banale. Alors qu'il allait quitter la taverne sans payer sa consommation, le tavernier appela le capitaine pirate et lui demanda de payer avant de partir, mais plutôt que de sortir son argent, Shoma pointa le groupe de pirate et affirma qu'ils allaient payer pour lui. Un pirate qui se respecte n'accepterait jamais de payer l'addition d'un autre pirate. C'était d'ailleurs pour cette raison que Shoma avait désignée la table des pirates. La bagarre, voilà ce qu'il voulait, mais plutôt que de prendre les armes, le capitaine leva la main et dit au tavernier qu'il acceptait de prendre sur sa consommation ce qu'avait bu Shoma.
*Pfff Même pas capable de refuser...
pffff quelle journée de merde*
Plutôt que de voir jusqu'où pouvait aller la générosité du capitaine pirate fraichement arrivé, Shoma préféra tourner le dos à la taverne et s'en alla. N'ayant rien à faire le jeune capitaine décida d'aller roupiller sur son navire le temps que ses hommes reviennent de leur activité, mais comme un signe du destin, Shoma tomba sur une scène assez rare. Alors qu'il allait passer dans une ruelle qui était un raccourci afin de rejoindre le port il tomba sur un groupe d'hommes qui s'en donnaient à coeur joie de détruire une boutique. Curieux, le jeune capitaine décida de prendre un peu de hauteur et d'attendre que la situation ce calme. Lui qui était en quête d'action venait de tomber sur une scène "d'action", mais plutôt que de jouer les héros et aller se battre, ce qui au passage lui ferait passer ses envies d'adrénalines, Shoma préféra attendre la fin du déchainement de colère des casseurs.
Une fois le magasin sens dessus dessous, un homme qui était jusqu'à présent rester en retrait entra dans à l'intérieur et n'en sorti que plusieurs minutes plus tard suivi du reste des hommes. La tension baissée, Shoma quitta son point de vue et décida à son tour d'entrer dans ce qui restait de la boutique. Le propriétaire du magasin de navigation se trouvait en piteux état et demande au pirate de bien vouloir quitter son magasin, car "fermer" d'après lui. L'homme faisait pitié à Shoma, mais plutôt que d'enfoncer le clou dans la plaie et se moquer de lui, le jeune capitaine lui montra sa bourse et attrapa un objet qui ressemblait à un instrument de navigation qui se trouvait derrière le comptoir. Tournant la tête en direction de l'objet souhaité par le pirate, le marchand lui dit qu'il n'était pas à vendre et que ce que contenait la bourse ne représentait sans doute même pas la moitié de son prix de vente.
" De quoi s'agit-il ?"
"Je vous ai dit que je suis fermé."
"Il n'y a plus de porte, comment pouvez-vous être fermé."
"Quittez mon magasin."
"Hé le vieux tu sais qui je suis."
"Oui, mais...."
"Il n'y a pas de mais. Tu la fermes et tu m'écoutes. "
Voyant dans cette situation un moyen de s'amuser, Shoma demanda où plutôt força le marchand de lui raconter son histoire. N'ayant rien à gagner à mentir, l'homme raconta au pirate que l'homme qui venait de détruire son magasin était une personne très influente dans cette partie de la ville et que de nombreux commerçants lui donnaient une partie de l'argent en échange de sa protection. L'homme savait qu'il s'agissait de racket, mais devant la violence dont faisait preuve ses agresseurs et devant l'inactivité de la marine il n'avait d'autre choix que de payer, mais depuis peu les affaires ne tournaient pas aussi bien qu'il le souhaitait voilà pourquoi il n'avait pas réussi à payer son agresseur.