Depuis 4 jours une épidémie c'est répandu au QG de la marine de south blue. Une vingtaine de marins sont convalescent. Ils ont une forte fièvre qui ne fait qu’empirer avec le temps. Pour le moment aucun mort n'est à déplorer mais il semblerait que ce n'est qu'une question de temps. Les médecins sont formel, il faut au plus vite leur administrer un traitement à base de Sureau.
Arrivé à Torino, nos braves marins font face à quelques guerriers. Tout le monde sait que ces habitants n’aiment pas trop les étrangers. Ils ont comme seul habit des feuilles de bananiers au niveau du bassin attaché avec une ficelle pour cacher leur parti génital. Ceux-ci dispose d’une lance qui semble tout à fait banal. Un peu plus loin on aperçoit des taudis comme demeure. Le parfait portrait de sauvage avec des méthodes rudimentaires. Le sous-Lieutenant heureux de découvrir ces individus les salut gentiment et leur explique la raison de cette venue sur cette île. Après quelques minutes de bavardage, il réussit à obtenir l’autorisation de parcourir l’île a la recherche de cette plante. C’était du jamais vue pour ces guerrier de voir un marine leur demander une tel autorisation. Ces sauvages leur indiquent l’endroit où se trouvent cette plante et leur conseil de ne pas approcher les œufs géants qui sont nombreux ces temps-ci.
Quelques temps après nos marins arrivent au pied du grand arbre.
-Bon sa devrait être par ici. On se sépare en quatre groupes. Trois qui longe l’arbre à gauche, trois à droite trois qui cherche a un centaine de mètre de l’arbre et moi avec le dernier nous cherchons dans ces environs. On se retrouve ici dans 30minute.
Après une dizaine de minute le groupe du sous-lieutenant trouve cette plante en nombre. Les deux hommes commencent à remplir leur sac. Un grand piaf approche.
-Ouaaaaa il est impressionnant ce piaf. Viens te cache on continuera de remplir nos sac une fois le piaf partie.
Obayda tout excité admire l’oiseau.
-Regarde-moi ça ! HA HA HA Ces ailes géantes de différentes couleurs. Tu penses qu’il fait combien de mètre d’envergure ? Ce long coup. Imagine toi qu’on arrive à apprivoiser ces oiseau sa serrait trop cool de monter dessus. Les voyages seraient plus courts. A regarde il va se poser pas très loin j’espère que …
-HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA
Obayda se met à courir en direction du cri qui provient surement de l’un de ces hommes. Arriver sur les lieux, deux de ces hommes par terre. Le piaf tente de saisir le troisième marin avec son bec. Le marin pas assez rapide ce fait attrapé. Le sous-lieutenant fonce en direction de l’animal.
-Laaaache le! «La charge du taureau !»
Arriver avec beaucoup d’élan, il saute sur la tête du piaf avec les deux genoux en avant, l’impact étourdi la bête pendant 2 sec qui lâcha le marin. Avec tout ce vacarme les 6 autres marins arrive sur les lieux et mette en joue le volatile en attendant l’ordre. L’animal jacasse.
-Prenait vos trois compagnon et replié vous. Il ne fait que défendre l’œuf qui a dû tomber de l’arbre. Je vais tenter de l’occuper pendant ce temps. L’ami mes hommes ne voulait pas de mal à ton petit. Nous cherchions simplement cette plante.
*Me voilà bien parti. Si je combats je ne sais pas si je gagnerai. De plus il est probable que d'autre s’amènent avec le bruit qu’il vient de faire. Je devrais partir à l’ opposer de mes hommes pour qu’ils ….*
Un deuxième piaf arrive. Celui si semble plus robuste que le 1er. Il est légèrement plus grand et possède une cicatrice au niveau de son long coup.
*J’espère que j’aurais une prime de risque, surtout pour une cueillette. Jsuis mal baret. Seul solution la fuite. Avec la végétation plus dense a 50m de moi je pourrais les semait essaiment. * Prend une grande inspiration *C’est parti !*
Il plie ces jambes pour faire un départ rapide. C’est parti il cour le plus vite possible. Les piafs le suivent. Le grand piaf plus rapide met un coup de bec qui envoi à terre notre homme. Une blessure qui commence du haut de l'épaule pour finir au dos, 15cm plus bas. Une profondeur de 2cm et une largeur de 4cm. Désormais blesser à l’épaule droit sa serra encore plus dure de fuir. Un genou à terre. Il se prépare à repartir.
* Je dois attendre une autre attaque et partir pile à ce moment pour gagner une ou deux seconde.* L’oiseau lance une 2eme attaque qu’Obayda esquive et ce met à courir. Il n’est plus qu’à une vingtaine de mettre des arbres, mais c’était sans compter sur le 2eme qui tente de l’attraper avec sa patte. L’homme saute mais sa jambe gauche ce fait entailler au niveau du mollet. Ce n’est pas très profond mais suffisamment pour l’empêcher d’avoir une course correct.
*Ces piafs semblent intelligents pour avoir combiné une telle attaque. Le plus robuste se place entre moi est la forêt. Je suis trop faible pour m’en sortir. Au moins j’ai sauvé mes hommes c’est l’essentiel.*
- Spoiler:
Arrivé à Torino, nos braves marins font face à quelques guerriers. Tout le monde sait que ces habitants n’aiment pas trop les étrangers. Ils ont comme seul habit des feuilles de bananiers au niveau du bassin attaché avec une ficelle pour cacher leur parti génital. Ceux-ci dispose d’une lance qui semble tout à fait banal. Un peu plus loin on aperçoit des taudis comme demeure. Le parfait portrait de sauvage avec des méthodes rudimentaires. Le sous-Lieutenant heureux de découvrir ces individus les salut gentiment et leur explique la raison de cette venue sur cette île. Après quelques minutes de bavardage, il réussit à obtenir l’autorisation de parcourir l’île a la recherche de cette plante. C’était du jamais vue pour ces guerrier de voir un marine leur demander une tel autorisation. Ces sauvages leur indiquent l’endroit où se trouvent cette plante et leur conseil de ne pas approcher les œufs géants qui sont nombreux ces temps-ci.
Quelques temps après nos marins arrivent au pied du grand arbre.
-Bon sa devrait être par ici. On se sépare en quatre groupes. Trois qui longe l’arbre à gauche, trois à droite trois qui cherche a un centaine de mètre de l’arbre et moi avec le dernier nous cherchons dans ces environs. On se retrouve ici dans 30minute.
Après une dizaine de minute le groupe du sous-lieutenant trouve cette plante en nombre. Les deux hommes commencent à remplir leur sac. Un grand piaf approche.
-Ouaaaaa il est impressionnant ce piaf. Viens te cache on continuera de remplir nos sac une fois le piaf partie.
Obayda tout excité admire l’oiseau.
-Regarde-moi ça ! HA HA HA Ces ailes géantes de différentes couleurs. Tu penses qu’il fait combien de mètre d’envergure ? Ce long coup. Imagine toi qu’on arrive à apprivoiser ces oiseau sa serrait trop cool de monter dessus. Les voyages seraient plus courts. A regarde il va se poser pas très loin j’espère que …
-HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA
Obayda se met à courir en direction du cri qui provient surement de l’un de ces hommes. Arriver sur les lieux, deux de ces hommes par terre. Le piaf tente de saisir le troisième marin avec son bec. Le marin pas assez rapide ce fait attrapé. Le sous-lieutenant fonce en direction de l’animal.
-Laaaache le! «La charge du taureau !»
Arriver avec beaucoup d’élan, il saute sur la tête du piaf avec les deux genoux en avant, l’impact étourdi la bête pendant 2 sec qui lâcha le marin. Avec tout ce vacarme les 6 autres marins arrive sur les lieux et mette en joue le volatile en attendant l’ordre. L’animal jacasse.
-Prenait vos trois compagnon et replié vous. Il ne fait que défendre l’œuf qui a dû tomber de l’arbre. Je vais tenter de l’occuper pendant ce temps. L’ami mes hommes ne voulait pas de mal à ton petit. Nous cherchions simplement cette plante.
*Me voilà bien parti. Si je combats je ne sais pas si je gagnerai. De plus il est probable que d'autre s’amènent avec le bruit qu’il vient de faire. Je devrais partir à l’ opposer de mes hommes pour qu’ils ….*
Un deuxième piaf arrive. Celui si semble plus robuste que le 1er. Il est légèrement plus grand et possède une cicatrice au niveau de son long coup.
*J’espère que j’aurais une prime de risque, surtout pour une cueillette. Jsuis mal baret. Seul solution la fuite. Avec la végétation plus dense a 50m de moi je pourrais les semait essaiment. * Prend une grande inspiration *C’est parti !*
Il plie ces jambes pour faire un départ rapide. C’est parti il cour le plus vite possible. Les piafs le suivent. Le grand piaf plus rapide met un coup de bec qui envoi à terre notre homme. Une blessure qui commence du haut de l'épaule pour finir au dos, 15cm plus bas. Une profondeur de 2cm et une largeur de 4cm. Désormais blesser à l’épaule droit sa serra encore plus dure de fuir. Un genou à terre. Il se prépare à repartir.
* Je dois attendre une autre attaque et partir pile à ce moment pour gagner une ou deux seconde.* L’oiseau lance une 2eme attaque qu’Obayda esquive et ce met à courir. Il n’est plus qu’à une vingtaine de mettre des arbres, mais c’était sans compter sur le 2eme qui tente de l’attraper avec sa patte. L’homme saute mais sa jambe gauche ce fait entailler au niveau du mollet. Ce n’est pas très profond mais suffisamment pour l’empêcher d’avoir une course correct.
*Ces piafs semblent intelligents pour avoir combiné une telle attaque. Le plus robuste se place entre moi est la forêt. Je suis trop faible pour m’en sortir. Au moins j’ai sauvé mes hommes c’est l’essentiel.*
Dernière édition par Obayda le Lun 12 Nov 2012, 17:44, édité 1 fois