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Lee Tchi passe par là

Me voilà sur l’ile du karaté. Je suis content que ma demande de mutation fût acceptée. Quelle ville ha ha ha. Encore une nouvelle sorte d’infrastructure que je découvre. C’est bien lumineux. Tout le monde semble costaud. Il paraît que la marine n’a pas trop à travailler ici vue que tout le monde sait se défendre. Il y a des dojos des combattants. C’est le lieu parfait pour progresser. Je vais me plaire ici.

Bon je commence à avoir une petite fringale le problème c’est que je n’ai pas tellement d’argent et que je ne suis pas encore passé à la base. Je vais demander la direction d’un resto à ces deux gaillards.
Les deux hommes bien musclés, fessant 1m95 pour l’un 1m86 pour l’autre. Le grand blanc aux yeux bleus à de longs cheveux dorés, lisse. Le plus petit, Matte aux yeux verts a un visage marqué d'une cicatrice au menton, une coupe afro digne des plus grands boxeurs, et semble décontractée. Ils viennent de sortir d’un lieu nommé le poing du dragon blanc. Une salle de boxe qui a pour but de transmettre la passion de la boxe et de former des jeunes pour remporter des tournois.

-Salut les gars ! Vous ne savez pas où je peux trouver un endroit pour manger ? Parce que ça fait quelque temps que je tourne et je n'ai rien trouvé. Avec un grand sourire aux lèvres.

L’homme aux yeux verts prend la parole, d’une voix douce et apaisante.
-Salut voyageur. Ben.. Il n’y en a qu’un ici. Tu vois les palmiers là-bas. Ben c’est juste derrière au niveau de la plage c’est le resto La table du vaux rien. Tu ferais mieux de te dépêcher la nuit tombe et ce n’est pas très fréquentable le soir. Puis se remet à parler à son collègue. Ta vue le mec un monstre il lui a mis une droite il l'a allongé direct.

-Merci, je vous souhaite de passer une bonne soirée. Part

- C’est surement un gars qu’est venue juste pour un tournoi. De rien. Et aussi … Il s’arrête de parler et ce retourne. VOYAGEUR ! Obayda se retourne. Si t’es venu sur cette île c’est que t’es surement un guerrier cherchant le combat.

-A vrai dire je suis venue ici pour apprendre quelques techniques pour progresser.

-Ça te dirait de venir faire de la boxe. Tu verras l’ambiance est parfaite pour progresser.

-Boxe… hum. Se gratte la barbichette. J’avais lu un livre sur la boxe. Un art qui ne se sert que de ces poings. Je ne pense pas qu’on peut devenir un grand guerrier avec la boxe. Niveau haut du corps s’est intéressant mais pour quelqu’un qui se battrait à une différente hauteur base ou haute se changerait la donne. Je ne pense pas qu’un boxeur puisse me mettre en difficulté. Dit-il d’un ton arrogant avec un sourire.

L’homme blond s’énerve, se met devant Obayda et le regarde avec un regard de tueur. Il lui dit d’un ton agressif.

-Ben affronte-moi vue que t'es bien plus grand que moi tu verras ce que l'on peut faire avec seulement ces poings.

Trop facile. A provoqué sans passé pour un méchant. Bon plus qu’une petite provocation histoire de le mettre en rogne pour qu’il y aille à fond. Ce gratte la barbiche
-Je ne sais pas trop, je vais perdre mon temps je …

Le boxeur aux yeux bleus semble avoir le sang chaud et déclenche un direct au niveau du ventre de notre marin, qui esquive en reculant d'un léger saut.

-Bon fait moi honneur et vas-y à fond. Toujours le sourire.

-C’est ce que je contais faire !

Le boxeur avance tout en étant baissé, saute et déclenche un uppercut.
Obayda se penche en arrière pour, esquive et donne un simple coup de pied au niveau des jambes de l’adversaire qui, déséquilibré tombe sur la hanche.


-Tu vois. Pour atteindre mon visage faut que tu sautes, j’ai tout le temps de voir venir le coup et de contre-attaqué. Je m’excuse de la provocation de tout à l’heure c’était juste pour que tu ailles à fond. Je pense pouvoir me faire une sacrée réputation ici !

-Pas mal. C’est encore un novice, suffi d’avoir un minimum d’entrainement pour le vaincre. Je te propose un combat. Si tu gagnes je te paierai le resto, si tu perds tu viendras t’entrainer ici et défendre nos couleurs pour quelques tournois, ça te va.

-Yééééé sa j’aime ! Ne te retiens pas ! Fait moi honneur ! On va voir ce que vaut celui-ci.

Le combat commence. L’homme en garde s’approche. Le sous-lieutenant qui décide d’ouvrir les hostilités donne coup de poing droit. L’homme passe sous le bras et donne au coup de poing au niveau du ventre. Le marin ce tiens le ventre, le coup fût rapide et assez brutal.

-Allé prend moi pas à la légère si ta lue des livres-tu devrait connaître notre point fort !
Le combat continue, le marin lance un coup de pied bas qui est contré du tibia.

-Aie c’est du béton que ta là ! Son regard perçant analyse chaque posture de l’adversaire.

-Tu connais la boxe thaïe. Lance un puissant low kick, Obayda saute et donne un coup de pied au niveau du visage, l’adversaire esquive en se baisent et lance un deuxième low kick avant que l’autre n’atterrisse. Déséquilibré il tombe sur la hanche. Se relève, son sourire disparait, tape sur ces vêtement pour enlever la poussière et prend un air sérieux.

-Je t’es sous-estimé… Reprenons. Les deux combattants avancent pour déclencher un coup ….


Dernière édition par Obayda le Dim 18 Nov 2012 - 22:20, édité 4 fois
    Dans la peau de Lee Tchi

    La journée se déroule normalement. Lee Tchi viens de prendre sa commande de cigare auprès du Docteur Crank. Il marche doucement, les mains dans le dos, le cigare aux lèvres, la tête baissé, le dos courbé. Il entend un bruit, expire la fumée, se tourne doucement. Deux hommes d’une vingtaine qui s’entrainait. Lee enlève le cigare de sa bouche.

    -Pardons Lee on ne vous avait pas vu. Ils courbent la tête et partent.

    Encore des bambins qui cherchent à devenir plus fort… Pourquoi ? Surement pour des choses futiles. Aucun intérêt.
    Remet son cigare à la bouche et repars. Touche son chapeau pour voir s’il est bien mis, et continu sa route. La nuit commence à tomber. Il tire un bon coup, lève la tête et expire. La nuit tombe, il admire pendant quelques instants les étoiles, les nuages. Il enlève son cigare, lâche un soupir. Commence à pleurer, baisse la tête, lâche son cigare, les mains sur le visage. Son chapeau tombe. Des souvenirs douleur refont surface. Après quelques minutes il reprend ces esprits. Sèche ces larmes. Ramasse son chapeau. Frappe dessus pour enlever la poussière et le met sur sa tête. Il sort un nouveau cigare l’allume et se remet à marcher.

    Il arrive au niveau du poing du dragon blanc. Un homme à terre et les deux autres qui s’apprêtent à lancer un combat. Le vieil homme marche vers eux. Leur combat a commencé. Il arrive à leur niveau. L’homme aux longues jambes se relève et les deux lances une attaque.
    Avant qu’ils ne s’atteignent Lee pousse avec sa jambe de derrière pour s'avancer attrape les deux poings, les tire vers lui et frappe de la paume de la main chaque visage. Les deux hommes sont déstabilisés et son a deux doigts de tombé. Le fumeur au niveau du boxeur met son corps de manière à ce que le jeune soie dans son axe. Plaque un bras sur le corps pour bloquer les bras, passe une jambe derrière et sa deuxième main au niveau du dos. Il effectue une poussé avec le bras de devenant vers l'épaule opposée appui sur un point au niveau du dos et soulève la jambe proche de lui. L’adversaire tombe à terre et subit une série de coups de poing à une grande vitesse. Il n’est plus en état de combattre.
    Obayda demande pourquoi a-t-il fait cela ?
    L’ancien se tourne vers lui. Enlève son cigare, expire.


    -Tu es nouveau ici … La violence n’engendre que davantage de violence…

    -Je me bats pour défendre mes principes ! Pour les défendre j’ai besoin de m’entrainer ! Pour répandre la paix il faut que je devienne plus fort. C’est pour cela que je suis entré dans la marine !

    -Humour ? Vouloir la paix par la force. Tu combattras ceux qui selon toi sont mauvais… Mais qu’es que la paix ? Si tu l’obtiens par la force … Enfin réfléchie, explore le monde ensuite tu comprendras que ta paix n’est qu’une utopie… Sur ce sayonara.
    L’homme remet son cigare, avance. Le sous-lieutenant et à genoux. Mets sa main tendue sur le torse. Le soldat pousse le bras qui revient aussitôt grâce à un relâchement tandis que le bras du marin continu sa course légèrement. One inch Punch. Obayda Propulsé vers l’arrière le vieil homme saisi le bras tire ver lui et effectue un coup de poing et pied en même temps. Voir image
    Spoiler:
    Puis enchaine une série de coups de poing à grande vitesse. Deuxième adversaire tombe et n’est plus en état...


    -La violence c’est mal … Si vous ne vous arrêtez pas vous augmenter vos chances de mourir. Pff ces gamins…

    Il repart comme si rien ne c’était passé. Une marche lente, le dos courbé les mains derrière le dos, cigare à la bouche. Il remet son chapeau en place.
      Les deux hommes à terre se mettent assis. Le marin ne comprend pas ce qui s’est passé. Il demande aux deux autres qui est cette personne. La personne encore valide lui répondit.

      -Cet homme c’est Lee Tchi. Il n’a pas eu une vie très joyeuse. Ici tout le monde connaît son histoire. Plus jeune vers l'âge de 37 il perdit toute sa famille lors d'un naufrage causé par un combat entre pirate et marine. Il avait réussi à réunir toute sa famille pour un weekend en bateau. Un coup de canon pirate avait détruit leur gouvernail. La marine leur ordonna de virer de bord ce qui fût impossible. Ils ont donc ouvert le feu, tandis que leurs adversaires fessaient de même. En plein milieu de ce combat ils ne pouvaient rien faire. Ils sautèrent à la mer. Personne n’était venu les repêcher. Seul rescapé il se demandait où était la justice. Il entreprit un voyage pour répandre sa justice. Il vit le mal partout. Peu importe ces efforts. Les personnes sauvées, les personnes tuées, il était tout pareil, sans cœur. Tous égoïstes. Vers l'âge de quarantaine il revint sur son île natale. Il enseigna son art et sa philosophie à quelques personnes qui ont mal tourné. Depuis ce jour il décida de ne plus jamais enseigner. Il erre dans la ville. C’est un combattant inégalé en termes de technique. Tout le monde a un grand respect pour cet homme. Il a anéanti plusieurs groupes de pirates qui venaient saccager la ville. On dit qu’il se bat juste pour défendre les civils et que lorsqu’un marin, un pirate ou un révolutionnaire s’affronte il ne s’en mêle pas.

      L’homme à la coupe afro ne semble pas avoir de séquelles.

      -Tss. Il m’a juste mi une série de coups de poing dans les bras et au niveau du corps. je ne vais pas pouvoir m’entrainer pendant deux trois jours. Excuse-moi d’avoir engagé un combat dans la rue. On aurait dû entrer dans la salle car il ne rentre jamais dans les bâtiments destinés au combat. Techniquement il est très fort. Puis il a un certain âge donc pas beaucoup de monde cherche à le frapper.

      Obayda a subi le même sort que son adversaire. Agacé par l'histoire et ce qui vient de se passer il dit.

      -J'suis un être humain comme tout l 'monde. Je m'arrête aux choses sensibles. J'veux voir d'la joie au lieu de la haine et de la peine dans les yeux des gens. J'ai de la peine quand je regarde les infos, et vois c'qui s'passe dans notre monde.

      Les deux autres compatis avec la réaction du voyageur.

      -Bon on changer de sujet un peu, je t’invite au resto. Normalement tu devrais pouvoir marcher.


      Les trois hommes se mettent en route dans l’obscure clarté de cette douce nuit. Un léger vent siffle. La température commence à chuter. La ville est calme. Les rues son vide. Le vent fait claquer les volets.
      Arrivée sur la plage, la mer est agitée. Le bruit des vagues est agréable. Le sable froid. En tendant l’oreille on peut entendre une certaine animation au restaurant. Ils entrent et voient une dizaine de personnes fessant la fête. Vidant les bouteilles, chantant, s’amusant. Dans tout ce tumulte on pouvait apercevoir Lee dans un coin du comptoir, seul. L’homme avait bue quelques verres de bière.

      Obayda se dirige vers lui. S’assoie à côté.


      -Nous n’avons pas pu avoir une discussion digne de ce nom ! L’homme tourne sa tête doucement regardé brièvement le jeune homme, ce retourne, prend son vers et bois un coup.
      J'y peux rien si la vérité vous effraie. Mais j'suis ni aveugle ni sourd ni muet. Se taire c'est parfois cautionner la violence et le non-droit. Je ne serais pas complice du silence.
      Sur ces belles paroles le vieil homme ne semblé avoir aucune réaction.

      -Petit… Ma vie est mon seul enseignement… Tu ne peux comprendre certaines choses tant que tu ne les as pas vécu.

      Le sous-lieutenant ce force à parler avec douceur par respect pour l'ancien.
      -Mes ancêtres sont morts pour la liberté ! Mon objectif c’est de répandre la paix. Le combat me permettra de sauver les gens à sauver, d’arrêter les criminels. Mais pour cela j’ai besoin d’enseignement. Pourriez-vous me faire cet honneur ?

      -Tout ce que tu ferras pour me faire changer d’avis sera dérisoire, mais il est essentiel que tu le fasses… Sur ce sayonara …

      Pour la première fois de sa jeune vie d'adulte Obayda se trouve dans une impasse. Il avait toujours réussit à rendre le sourire aux gens. Mais cette fois si, il semblerait qu'il ait à se confronter à une dûr réalité.
        Le vieil homme finit son verre. Payent et se dirige vers la sortie. Une personne ivre tombe sur le dos juste devant lui. Il s’arrête, le regarde quelques instants, puis l’enjambe. L’homme à terre semble être offensé, il essaie de ce relevé en s’appuyant sur une table, une bouteille à la main. Il se met un brayé, en zozotant.

        -Hé ! *hic* Foiré ! Tu Crois ti où là ! On z'en fou pas ! Tu me regardes quand zte parle ! Il pose sa main sur l’épaule. Son interlocuteur ne se retourne pas, il continue d’avancer. Y m’ignore ! Papi ! Tu vas me le payer ! Il lève son bras avec la bouteille pour ensuite lui casser sur la tête. Le mouvement et lancé. L’ancien se tourne avec les talons fixés au sol, à quatre-vingt-dix degrés. Le bras gauche qui saisit l’épaule gauche se trouve croisé. Le bras droit qui vient frapper la tête de l’homme est dévié d’un coup sec au niveau du coude avec la main gauche. Puis il place sa main allongée sur le torse et effectue un One inch punch bien plus puissant que le précédent. L’adversaire se retrouve projeté trois mètres plus loin. Les compagnons de l’homme brandissent leur lame malgré qu'il ait tous quelques verres de bière dans leur métabolisme. Trois hommes arrivent pour attaquer dans trois directions différentes. Lee baisse la tête les mains derrière le dos et ce mais a marché en direction de la sortie, comme s’il savait que ces attaques ne pourront l’atteindre. Le boxeur blond sonna un homme en lui mettant un crochet au niveau du menton. L’autre boxeur ne pouvant se servir de ces bras mis un coup de tibia au niveau du ventre qui propulsa en arrière son adversaire. Pour le troisième ce fût Obayda qui s’en chargea avec un kick en 360 degrés au niveau de la hanche qui coupa la respiration de l’adversaire.
        Le serveur Kapry et la serveuse Unohana entre en scène et après avoir mis un dérouillé aux autres personnes ils les jetèrent tous ces ivrognes dehors en n’oubliant pas de prendre l’argent qu’ils leur devaient.


        Lee imperturbable sort. Allume un cigare et se met en route vers la ville. Les deux boxeurs s’installent dans le restaurant et passent leur commande. Le marin sort et suit discrètement l’ancien. Celui-ci prend un chemin entre les palmiers. Le vent souffle de plus en plus fort, le sable s’envole. Il s’adosse contre un palmier et se met à pleurer puis s’accroupit. Le sous-lieutenant surprit d’entendre cela, il décide de se montrer.

        -Vous allez bien? Se met en face de l’homme et s’assoie en tailleur. Une certaine mal être s’empare de lui. Voir un ancien pleurer lui fait mal au cœur. Lee sèche ces larmes mais ne répond pas et ne le regarde pas.
        Vous m’avez dit tout ce que je pourrais faire serra dérisoire. Mais mon objectif n’est pas de vous avoir comme maître. Je veux répandre la paix. Finalement le vieil homme se met à le regard, et voie une certaine étincelle dans le regard du jeune. Une détermination qu’il n’avait pas vue depuis très longtemps.

        Vous n’êtes pas le seul qui a souffert. D'autres avant vous, d’autre après vous souffriront peut-être même plus. Cela me rappelle une histoire sur l’île des hommes poissons. Une reine du nom d'Otohime était la bonté incarnée. Elle a donné sa vie pour supprimer le cycle de la haine. Maigres la dure réalité. La haine des hommes poisson envers les humains. Cependant elle ne cessa de leur tendre la main. Jusqu’à un jour où elle fût tuée par un homme-poisson ! Ces dernières paroles furent à ces enfants ne pas chercher à me venger. Un jour les hommes poisson pourront vivre sous la lumière du soleil.

        Lee écoute l’histoire attentivement sans laisser paraître le moindre sentiment.
        Sa fille encore une enfant connaissait le coupable et pourtant elle n’a pas cherché la vengeance. En héritant de la volonté de leur mère ils continuèrent à prêcher la bonne parole. Grâce au courage d’une jeune fille, aujourd’hui des hommes poisson font partie de la marine.
        Votre peine atteint les habitants, qui vous respects. Si tout le monde baisser les bras comme vous, l’île des hommes poissons serait anéantie, les habitants vivraient tous dans une terreur.

        Toucher par cette histoire et la force mentale d’une fillette qui lui rappela sa propre fille. L’homme commençait à se poser des nouvelles questions: Ai-je réellement fait les bons choix ?

        Je suis rentrée dans la marine car elle représente la justice et répand la paix. Je sais que beaucoup de marin profite de leur situation pour répandre des injustices mais je serais là pour changer sa. Même si vous ne voulez pas m’apprendre votre art marial je trouverais d’autre professeur. Si je dois répandre cette paix seule je le ferais !

        L’homme se relève en s’appuyant sur le palmier suivi par le jeune.
        -Quel est ton nom petit ?

        Il répondit avec fierté et un grand sourire.
        -Obayda Badr !

        -Mon cher Obayda. Ton parfum est agréable, tu parles avec une douceur et un certain respect. J’ai quelques affaires à régler et je dois réfléchir à certaines choses. Je te remercie l’ami. À une prochaine j’espère voir t’es exploit au journal. Un sourire radieux apparut de son visage. Il n’avait pas souri depuis de nombreuses années. Si cela annonce une renaissance de cet homme nous pouvons lui souhaiter bon anniversaire.

        L’homme part la tête haute les mains derrière le dos. Quant à notre jeune marin il souhaita une bonne soirée à son interlocuteur et partie rejoindre les boxeurs au restaurant.