Rappel du premier message :
Inu Town ... À ce qui parait, le capitaine a fait de sacré grabuge ici par le passé ! Mieux vaut ne pas crier sur le toit que je suis un pirate de son équipage ... Faisons profil bas jusqu'à ce que Tamashii Maria soit réparé, au minimum ! Cela dit ... Je ne suis pas contre laisser une marque de mon passage ! Mais ce n'était pour le moment, pas d'actualité.
La première ville que je visitais se nommait Chom. C'était une ville assez classe et calme, les gens s'y promenaient calmement, faisant leur shopping ou prenant un bain de soleil. Les enfants jouissaient de l'innocence pure et de l'inconscience, sans penser au futur. Bref, cette ville était calme et paisible. Pour moi aussi d'ailleurs ! Les mains dans les poches, le dos légèrement courbé, j'avançais lentement parmi les gens au regardant les enseignes afin de détecter une boutique pouvant m'aider dans mes désirs.
Par chance, le soleil brillait aujourd'hui, rendant les sourire des gens encore plus agréables et chauffant ma tête de manière à ce que je puisse sentir chacun des rayons envoyés par cette énorme boule de feu. Le ciel était d'un bleu écarlate régulier. Aucun nuage ne venait gâcher cette vue qui allait de par l'atmosphère. Je gardais la tête levée avec le sourire jusqu'à ce que je bouscule, involontairement un vieil homme.
-Oups, excusez-moi !
Celui-ci me fit un sourire et continua son chemin. Cette si petite marque de compréhension et de bonheur ne fit qu'augmenter mon appréciation d'un moment de paix après la mini-guerre qui s'était passé dans cette ville avec Nakimura et son équipage.
Cela dit, quelque chose avait faillit me gâcher ce moment de pur plaisir. En effet, une garnison de marine passa par là. Ne désirant pas me hâter vers une ruelle, trop suspect, je décidais de secouer et baisser légèrement ma tête, cachant ainsi mon visage par mes cheveux, ce qui me permit de passer inaperçu. Je relevais donc ma boite crânienne, passais ma main dans mes cheveux afin de les remettre en place et continuais mon paisible chemin dans cette douce ville.
Après avoir fait le tour de la ville et ne pas avoir trouvé de forge à proprement parler, je décidais de retourner sur mes pas, quand je vis une personne, avec une pioche de cassée dans les mains, se diriger vers une bijouterie et y entra. Ne savant pas exactement ce qu'il allait y faire, je décidais de m'asseoir non-loin et d'attendre que l'homme ressorte de la boutique.
Lorsqu'il en ressorti, un quart d'heure plus tard, il avait dans ses mains la même pioche, mais réparée cette fois ! Comment savais-je que c'était bien la même ? Car le manche ressemblait à un gourdin, autrement dit, le manche n'était pas d'origine à la pioche, il avait été fait manuellement. Je me secouais tout en douceur afin de faire partir les pigeons avec lesquels je m'étais occupé durant ces 15 minutes et avança vers cette bijouterie. J'entrais et je déposais mon sabre cassé sur le comptoir.
-Bonjour, je viens pour faire réparer mon sabre. Comme vous le voyez, il a été brisé à cinq centimètres du manche. J'ai eu de la chance, il n'a été brisé qu'en deux morceaux. Vous pouvez y faire quelque chose ? S'il faut un certain matériau, je suis prêt à aller le chercher, pour vous ! Je tiens vraiment à le faire réparer !
Inu Town ... À ce qui parait, le capitaine a fait de sacré grabuge ici par le passé ! Mieux vaut ne pas crier sur le toit que je suis un pirate de son équipage ... Faisons profil bas jusqu'à ce que Tamashii Maria soit réparé, au minimum ! Cela dit ... Je ne suis pas contre laisser une marque de mon passage ! Mais ce n'était pour le moment, pas d'actualité.
La première ville que je visitais se nommait Chom. C'était une ville assez classe et calme, les gens s'y promenaient calmement, faisant leur shopping ou prenant un bain de soleil. Les enfants jouissaient de l'innocence pure et de l'inconscience, sans penser au futur. Bref, cette ville était calme et paisible. Pour moi aussi d'ailleurs ! Les mains dans les poches, le dos légèrement courbé, j'avançais lentement parmi les gens au regardant les enseignes afin de détecter une boutique pouvant m'aider dans mes désirs.
Par chance, le soleil brillait aujourd'hui, rendant les sourire des gens encore plus agréables et chauffant ma tête de manière à ce que je puisse sentir chacun des rayons envoyés par cette énorme boule de feu. Le ciel était d'un bleu écarlate régulier. Aucun nuage ne venait gâcher cette vue qui allait de par l'atmosphère. Je gardais la tête levée avec le sourire jusqu'à ce que je bouscule, involontairement un vieil homme.
-Oups, excusez-moi !
Celui-ci me fit un sourire et continua son chemin. Cette si petite marque de compréhension et de bonheur ne fit qu'augmenter mon appréciation d'un moment de paix après la mini-guerre qui s'était passé dans cette ville avec Nakimura et son équipage.
Cela dit, quelque chose avait faillit me gâcher ce moment de pur plaisir. En effet, une garnison de marine passa par là. Ne désirant pas me hâter vers une ruelle, trop suspect, je décidais de secouer et baisser légèrement ma tête, cachant ainsi mon visage par mes cheveux, ce qui me permit de passer inaperçu. Je relevais donc ma boite crânienne, passais ma main dans mes cheveux afin de les remettre en place et continuais mon paisible chemin dans cette douce ville.
Après avoir fait le tour de la ville et ne pas avoir trouvé de forge à proprement parler, je décidais de retourner sur mes pas, quand je vis une personne, avec une pioche de cassée dans les mains, se diriger vers une bijouterie et y entra. Ne savant pas exactement ce qu'il allait y faire, je décidais de m'asseoir non-loin et d'attendre que l'homme ressorte de la boutique.
Lorsqu'il en ressorti, un quart d'heure plus tard, il avait dans ses mains la même pioche, mais réparée cette fois ! Comment savais-je que c'était bien la même ? Car le manche ressemblait à un gourdin, autrement dit, le manche n'était pas d'origine à la pioche, il avait été fait manuellement. Je me secouais tout en douceur afin de faire partir les pigeons avec lesquels je m'étais occupé durant ces 15 minutes et avança vers cette bijouterie. J'entrais et je déposais mon sabre cassé sur le comptoir.
-Bonjour, je viens pour faire réparer mon sabre. Comme vous le voyez, il a été brisé à cinq centimètres du manche. J'ai eu de la chance, il n'a été brisé qu'en deux morceaux. Vous pouvez y faire quelque chose ? S'il faut un certain matériau, je suis prêt à aller le chercher, pour vous ! Je tiens vraiment à le faire réparer !