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Mei Akira

>> Mei Akira


Mei Akira Meiaki10

Pseudonyme : La Couturière
Age: 19 ans
Sexe :
Race : Humaine
Rang :

Métier : Couturière et accessoirement cuisinière.
Groupe : Pirate.
Déjà un équipage : Pas pour l'instant en tout cas. :3
But : Devenir la meilleur couturière au monde et par la même occasion découvrir tous les textiles qui existent.

Fruit du démon ou Aptitude pour la suite : Peut-être le fruit du l'Oursin...
Équipements : Elle possède une armada d'aiguilles (très pointues ♥) qu'elle garde dans une sacoche accrocher à la taille.

Codes du règlement (2) :

Parrain : //

Ce compte est-il un DC ? : Nop.
Si oui, quel @ l'a autorisé ? : ...

(Je vous conseil de lire la bio' avant le reste.)

>> Physique

    Physiquement parlant, Mei n’a hérité d’aucun de ses deux parents, mais plutôt de sa grand-mère maternelle selon les dires de sa génitrice. Ses cheveux lisses, parfois légèrement ondulés et toujours en bataille, sont noir de jais. Elle possède une frange qu’elle néglige totalement. Sa tignasse lui arrive un peu en dessous des omoplates (ou au-dessus, selon les envies et les humeurs de la jeune femme). Elle a testé tous les styles de coiffures imaginables : un jour tressé, l’autre attaché en queue de cheval, en macaron ou encore en couettes. Mais ce qui lui convient décidément le mieux, c’est détaché, au naturel. Et vous savez pourquoi ? Quand Mei est stressée, en train de réfléchir ou que quelque chose ne va pas, elle enroule toujours son index autour d’une mèche

    Ses deux prunelles sont bleues azures, ce qui fait un joli contraste avec ses cheveux. Les traits de sa petit minois se sont un peu durcis depuis qu’elle est arrivée à Las Camp et ça fait pas mal de temps qu’elle n’a pas sourit ou rigoler. Son visage reste assez inexpressif sauf lors de ses colères où elle se met à gueuler comme une marchande de poisson.

    Un de ses « souvenirs » d’enfance restera cette brûlure sur son avant-bras droit. Depuis quelques années, Mei n’est plus dégoûtée en voyant sa peau abîmée à cet endroit, mais ce ne fut pas toujours ainsi. Dès lors qu’elle arriva sur cette île maudite (comme elle se plait à l’appeler ainsi), ses cicatrices se sont multipliées et la plus importante qu’elle compte à ce jour se situe dans son dos : elle part du bas du cou jusqu’au milieu du dos. Tout ça en une ligne droite et impeccable. Cette balafre avait été tracée par un bretteur plutôt énervé après que la jeunette lui ait crié dessus… Mais ça c’est une autre histoire.

    La jeune femme n’est pas battis comme la plupart des habitants de Las Camp : elle est plutôt maigrelette, pas très musclée et assez grande (1m76). C’est assez handicapant quand elle veut essayer de rester discrète dans les rues glauques de la ville. Du coup, elle a adopté une marche rapide : la tête baissée et les mains dans les poches. Mais à force d’être voûtée comme ça, elle va avoir une scoliose, c’est moi qui vous le dit !

>> Psychologie

    Mei restera sans doute traumatisée à vie par les incidents qui lui sont arrivées dans sa jeunesse et, même si elle a changé durant son année de vie à Las Camp, elle aura toujours une peur bleue du feu et des souterrains, en autre. D’ailleurs, si un jour elle devait manger un fruit du démon et qu’il s’avérerait qu’elle tombe sur le fruit pyromane ou le fruit de la taupe, elle se suiciderait très probablement. C’est peu vous dire…

    D’ailleurs, à cause de sa mésaventure avec ce Hide, elle se méfie de presque tout le monde dorénavant, et surtout des jeunes pirates. Les seules personnes à qui elle porte une grande affection sont les vieilles dames âgées qui pourraient ressembler à sa mère. Mei accorde une grande importance à l’apparence physique des gens ; si quelqu’un ne lui inspire pas confiance de par sa tête, sa carrure ou ses fringues, elle l’évitera coûte que coûte. Ca marche comme ça chez elle.

    Son unique passion, découverte auprès de sa génitrice, est la couture. En dehors de son temps de travail, elle passe des heures à créer tout et n’importe quoi avec un simple bout de tissu (Je tiens à rappeler qu’elle bosse en tant que couturière hein, donc en gros, elle passe ses journées un fil et une aiguille à la main). D’ailleurs, sa seule motivation quand elle se lève est la possibilité de travailler. En dehors de ça, la jeune femme est une flemmarde professionnelle. Ca en étonne plus d’un d’ailleurs. Ne serait-ce pas l’inverse, logiquement ?

    Vivant à Las Camp, Mei doit tout les jours faire face à la violence ; et même si elle à bien finit pas s’habituer à voir des cadavres de temps en temps, elle n’aime pas spécialement se battre. Si elle le fait, c’est seulement si ça en vaut la peine. D’ailleurs la jeunette n’est pas vraiment douée pour ça… Pour continuer dans ses défauts, disons qu’elle perd très rapidement son calme et peut vite se mettre à gueuler (ce qui lui a valu, au passage, quelques cicatrices). Elle a aussi cette sale manie de jurer pratiquement tout le temps ou de proférer des insultes plus ou moins grossières. Trait de caractère qu’elle a hérité de son père, soit dit en passant…

    Par contre, son amour pour l’argent vient plus tôt de sa mère. Cette dernière cherchait toujours à faire la moindre petite économie à chaque occasion ou à gratter un peu d’argent auprès des clients. Elle avait élevé sa fille dans l’esprit qu’il fallait toujours prendre en soin et ne pas dépenser sans compter son oseille.

    Mei ayant vécu avec des parents plus que merveilleux, elle ne supporte pas la moindre insulte sur eux. Même une blague. Elle vous le ferait très vite regretter mais… à sa manière.

    Depuis toute petite, la jeune femme adore apprendre de nouvelles choses sur le monde qui l’entoure, et sa soif d’apprendre n’a jamais cesser d’évoluer au fond d’elle (même si à Las Camp, il n’y a pas grand-chose à découvrir).

    Son rêve le plus cher à ce jour serait sans doute de quitter cette maudite île, de partir à la découverte de l’humanité et de devenir la meilleure couturière au monde.


>> Biographie

    Mei naquit un soir d’automne, sur une petite île au nom inconnu quelque part dans West Blue. Son père était un simple employé minier qui travaillait pratiquement jour et nuit et sa mère, quant à elle, tenait une petite boutique où elle proposait ses services en tant que couturière. Ils étaient loin de mener une vie misérable, mais tout n’était pas rose pour eux non plus. La famille logeait dans un petit appartement au-dessus de la modeste échoppe. Mei y grandit assez paisiblement pendant que ses parents s’affairaient à ce qu’elle ne manque de rien, quitte à travailler encore plus.

    Lorsque Mei eut six ans, on décida de l’inscrire à l’unique et minuscule école que contenait le village, afin qu’elle reçoive une certaine éducation, ses parents voulant absolument qu’elle réussisse sa vie. Et c’est seulement deux ans plus tard, par un après-midi d’un jour tout à fait banal, que l’école prit feu pour une raison encore inconnue à ce jour. L’incendie ravagea tout l'édifice et tua une dizaine d’humains : huit enfants et deux adultes qui tentaient de sauver les gamins. Mei ne fit pas partie des victimes, mais garda des séquelles de l’accident ; brûlée au deuxième degré sur le bras droit, sa peau conservera une grande cicatrice, sa première. Psychologiquement parlant, la jeune fille s’en remit plutôt vite comparée à d’autre et malgré la mort de certains de ses camarades. Deux ans après, elle semblait avoir repris le cours de son existence et oublié cette partie de sa vie.

    Entre temps, l’école ne fut pas reconstruite à cause du manque cruel d’argent de la petite ville. La mère de Mei apprit ce qu’elle pouvait à sa fille et cette dernière présenta de grandes qualités d’intelligences. Malheureusement pour elle, sa génitrice n’ayant pas fait d’étude supérieures au primaire ; à 10 ans, la jeune fille n’avait plus grand-chose à apprendre – à part la couture. Bien vite, Mei rejoignit sa mère dans sa petite boutique et devint une employée à part entière. Le rêve de cette dernière de voir sa fille faire de grandes études partit en fumée dès cet instant.

    Le paternel de la jeunette mourût quelques semaines après son quinzième anniversaire, lors d’un coup de grisou à la mine, tuant beaucoup d’autres personnes sur son passage. Ses vieux souvenirs sur la mort ravivés, Mei se plongea dans un profond mutisme qui dura plus d’un an. Pendant ce laps de temps, elle ne cessa de travailler, évacuant comme elle le pouvait sa peine. Elle n’avait jamais été vraiment proche de son père mais sa mort l’affectait grandement, comme toute personne normale de ce monde. Sa mère, quant à elle, ne pouvait que serrer les dents pour ne pas plonger dans la dépression. Il n’y avait plus que son salaire pour faire vivre sa petite famille, il ne fallait pas qu’elle flanche : il n'était pas question que sa fille reprendre le flambeau à seulement 15 ans, surtout qu’elle n’était pas vraiment en état de se débrouiller seule.

    Mais c’est au coure de sa dix-huitième année que sa vie prit un autre tournant.

    Mei s’était petit à petit remise de la mort de son géniteur et travaillait toujours avec sa mère, qui se faisait de plus en plus vieillissante, dans sa petite boutique de couture. Elle était très appréciée des clients qui la complimentaient toujours pour son travail magnifique et minutieux. La couture était devenue en quelques sortes une passion. La boutique avait pris l’habitude d’accueillir une clientèle (pratiquement) exclusivement féminine. Alors, le jour où un homme (qui plus est jeune), qui ressemblait fortement à un pirate au vu de son attitude, pénétra dans l’échoppe, Mei fut assez étonnée. Il lui expliqua qu’il avait besoin qu’on recouse la voile de son bateau mais qu’il lui était impossible de l’amener ici etc. en bref il fallait donc faire le déplacement jusqu’à ledit navire. Cette journée là, sa mère était de repos. Il aurait fallu donc qu’elle se débrouille seule. Et sans demander l’avis de sa génitrice, car prise d’une soudaine envie de voir pour la première fois un navire pirate, elle accepta la proposition de l’homme. Et si seulement Dieu l’en avait gardé !

    Retour en Arrière, année 1623.

    Mei se rendit au port le jour même toute excitée, son matériel de couture dans un gros sac qu’elle portait sur son dos. Elle ne tarda pas à trouver le bateau de l’homme (qui s’était d’ailleurs présenté sous le nom de Hide), seul navire digne de ce nom parmi les vieilles embarcations des habitants de la petite ville. En montant à bord, elle découvrit la voile, déchirée sur toute sa longueur et posée sur le sol en bois. Elle était vraiment en piteux état. Le pirate l’accueilli et lui expliqua ce qu’il désirait, tout souriant puis il disparut dans la cabine de l’équipage. Il semblait être seul à bord. La jeunette se mit au travail tout de suite après. Les heures passèrent sans qu’elle ne lève la tête de son ouvrage, extrêmement concentrée. Ce n’est que lorsqu’elle ne vit plus grand-chose qu’elle stoppa son activité pour se lever et admirer le résultat : une bonne partit de la voile était recousue. Le lendemain, tout serait terminé si elle s’y prenait assez tôt.

    Mei étira ses membres engourdis et put enfin regarder les alentours.

    « Oh mon Dieu ! »

    Et c'était peu dire. Le navire ne se trouvait plus du tout au port tranquille de sa petite île mais en pleine mer ! Comment avait-elle fait pour ne pas se rendre compte que le bateau bougeait ? Et où était ce fichu pirate ? Sans plus attendre une seconde, elle se précipita à l’intérieur de la cabine et y découvrit…

    « Personne… »

    La jeunette fouilla désespérément tout le bateau mais il était bel et bien vide. Ce Hide l’avait entourloupée ! Il avait sûrement quitté le navire, après avoir levé l’ancre, afin qu’il parte à la dérive alors qu’elle était concentrée sur son œuvre. Mais une question demeurait dans sa tête : Pourquoi ? Quel était son intérêt à abandonner son bien ? Mei n’en avait aucune idée et laissa vite ces questions de côté pour se lamenter sur son sort. Elle regrettait maintenant sa naïveté et sa fichue curiosité. Elle aurait du parler à sa mère avant d'agir… Ah quelle belle erreur ! Elle qui n’était jamais monté sur une embarcation et qui savait encore moins naviguer sur la mer se retrouvait perdue au beau milieu de West Blue !

    La seule solution qui s’offrait à elle était de laisser dériver le bateau qui finirait bien par atterrir quelque part. En attendant, il fallait qu’elle trouve un bout à se mettre sous la dent et vite ; son ventre criait famine.

    End.

    Mei finit effectivement par arriver sur une île, et malheureusement pour elle, ce ne fut pas une des plus accueillantes qui soit. Même si elle avait vécu toute son enfance dans un seul et même endroit, elle avait entendu parler de Las Camp. Un concentré de canailles, de brutes épaisses, de voyous, de gangs (et j’en passe) avait élu domicile là-bas. Autant vous dire que la vie en ce lieu n’était ni plaisante, ni de tout repos.

    La jeunette arriva une semaine après que cet horrible pirate l’ait laissé sur son navire. Celui-ci échoua dans une petite crique isolée du reste de l’île. Mei décida de le laisser là et de revenir plus tard. Elle comptait bien trouver une aimable personne qui accepterait de la ramener sur son île natale. Pendant ces sept jours de dérives, elle n’avait cessé de penser à sa pauvre mère qui devait être morte d’inquiétude et ne voulait pas la laisser seule plus longtemps.

    Mais les espoirs de la jeune femme furent réduits à néant lorsqu’elle découvrit avec horreur où elle avait échoué. Après une journée entière à errer dans les rues sordides de la grande ville, les uniques personnes qui avaient accepté de la conduire où elle voulait affichaient toujours un sourire flippant tout en se frottait les mains. Elle s’était d’ailleurs fait entailler l’épaule par une quelqu’un qui n’était pas très content de la voir. A la tombé de le nuit elle avait donc décidé de retourner sur « son » bateau.

    Enfin… s’il y était toujours.

    En effet, la seule chose que Mei possédait désormais n’était plu dans la petite crique où elle l’avait laissé un peu plus tôt dans la journée. Il avait sans doute été volé par des brigands. Le cri perçant de rage de la jeunette fût tellement puissant, quand elle remarqua l’absence de sa seule perspective de fuite, qu’on l’entendit sûrement jusqu’à la ville qui était pourtant à un bon kilomètre de là.


    La jeune femme était donc bel et bien coincée sur cette île de malheur avec un avenir totalement incertain. La mort pouvait la guetter à chaque coin de rue, à chaque endroit mal famé où elle se trouverait.

    Et pourtant, elle réussit à vivre un an à Las Camp.

    Mais ce n’était pas sans conséquence. Mei avait du se débrouiller avec ses propres moyens et après deux mois d’errance, elle avait réussit à trouver un boulot à peu près stable en tant que couturière, comme avant. Enfin son boulot consistait plus à rafistoler les vieilles fringues, sacs à pommes de terres etc, plutôt qu’à créer de beaux habits, mais c’était déjà ça. La jeune femme avait également écopé de nouvelles cicatrices en plus de sa brûlure à l’avant-bras. Au niveau psychologique, son esprit était plus stable car côtoyant la mort presque tous les jours, elle avait su prendre sur elle et faire face à ses émotions.

    Elle avait réellement changé, ça c’était sure, mais ça soif de quitter Las Camp était quant à elle, de plus en plus grande et ne tarderait pas le moment où elle parviendrait enfin à partir.



>> Test RP

    Mei, comme à son habitude, avait attendu que le soleil se soit levé pour partir à son boulot (question de sécurité). Elle avait mangé un bout de pain avec de la confiture, s’était habillée normalement et avait pris tout ce qui lui était nécessaire pour la journée. En bref, une journée banale en apparence. Et pourtant, vers le début d’après-midi, alors qu’elle s’affairait à repriser un vieux pantalon, un homme dont elle n’attendait absolument pas la venue pénétra dans la petite boutique miteuse. Elle le connaissait de nom, Ernesto Benett. Enfin tout le monde en avait entendu parler au moins une fois si l’on vit à Las Camp. Ce mec, il est fort conseillé de ne pas le fréquenter (sauf si vous voulez vous aussi être entraîner dans un sale cercle vicieux, évidemment). On dit de lui qu’il est impliqué dans pas mal de magouilles et de meurtres au sein de la cité et il était le type de personne que Mei essayait d’éviter le plus possible depuis son arrivée ici.

    « C’est bien toi Mei ? demanda-t-il en s’approchant de la jeune femme.
    Ou… Oui. bégaya cette dernière.
    Y’a une vieille qu’a débarqué au port c’matin, qui cherche quelqu’un qui s’appelle comme toi et qui te ressemble étrangement d’après sa description. Tu vois de qui je parle je suppose ? »

    La brune resta interdite. Comment pouvait-il savoir autant de choses sur elle alors qu’elle ne parlait pratiquement à personne ? Qui lui avait dit tout ça ? Les questions s’embrouillaient dans la tête de Mei, elle ne savait plus quoi penser jusqu’à ce que les dernières paroles de l’homme firent « tilt » dans son esprit. Se pourrait-il que ce soit sa mère qui est fait tout le voyage afin de la retrouver ? La perspective de la revoir lui donna une soudaine assurance.

    « Où est-elle ? demanda-t-elle brusquement sur un ton qui se voulait calme et direct malgré les trémolos que l’ont pouvait y déceler.
    Doucement jeune donzelle, ricana Ernesto. Tu es ici depuis assez longtemps pour savoir que tout se paye à Las Camp, mh ? »

    Mei soupira. Oh que oui elle le savait, mais elle avait dépensé ses dernières économies la semaine passé pour acheter un tissu, qu’elle trouvait particulièrement magnifique, à un marchand un peu douteux qui le lui avait sans doute fait payé le triple de ce qu’il valait réellement. Il lui restait tout juste de quoi subvenir à ses besoins vitaux avant sa prochaine paye et elle savait pertinemment que ce que demanderait Ernesto en échange de l’information serait bien au dessus de ses moyens. Ce dernier commençait d’ailleurs à s’impatienter et tapait de plus en plus vite du pied sur le sol. Son raclement de gorge indiqua à la brune qu’il ne lui restait que peu de temps pour décider avant qu’il ne parte.

    « Très bien. Quel est ton prix ? »

    L’audace que Mei avait eu en le tutoyant le fit sourire, dévoilant des dents jaunes et noires (sans doute pourries) à la jeune femme qui ravala un haut le cœur à cette vue et baissa le regard. Ce n’est qu’à ce moment qu’elle remarqua un grand poignard bien aiguisé un revolver attaché à sa ceinture. Elle fit une légère grimace.

    « 400 000. »

    Si la brune avait été en train de boire, soit elle lui aurait tout recraché à la gueule soit elle se serait étouffée. Il devait sans doute savoir qu’elle n’était même pas payée 300 000 berry toutes les quatre/cinq semaines et qu’il lui était impossible de réunir autant d’argent tout en sachant qu’on était en fin de mois. L’atmosphère était devenue assez tendue et sa réponse devait arriver, et vite. Une petite idée lui vint à l’esprit.

    « On pourrait peut-être s’arranger… autrement ? son ton aguicheur laissait supposer quelque chose de pas très catholique.
    Me prends pas pour un imbécile ! T’en as peut-être eu comme ça mais pas moi ! C’est 400 000 ou rien c’est toi qui choisis, t’as 2 minutes. »

    Sur ce, il sortit de la boutique, se posta devant la porte et sortir un cigare qu’il alluma. Les passants le dévisagèrent quelques secondes avant de baisser les yeux et d’accélérer le pas, devinant sans doute quel genre d’homme il était. Mei se doutait que son très court jeu de séduction ne marcherait pas sur quelqu’un comme Ernesto, mais elle avait tout de même espérer : qui ne tente rien n’a rien comme on dit. Et après mure réflexion, la grande brune se remémora tout ce qu’elle avait entendu sur lui. On ne lui avait jamais dit que c’était un homme de confiance et qu’il disait tout le temps la vérité (en même temps, ce n’était pas vraiment le genre). Mais quelque chose dans ses propos la troublait tout de même, sans savoir vraiment ce que c’était. Mei fixa la vieille horloge accrochée au dessus de la porte d’entré, les deux minutes étaient bientôt écoulée, il fallait qu’elle se dép…

    « Alors, tu t’es décidée ? »

    Ernesto était réapparut brusquement dans la boutique et avait écrasé son cigare sur le cendrier posé près de l’entrer.

    « Ouais et je refuse ta proposition quitte à rester ici toute ma vie s’il le faut. lui rétorqua-t-elle presque agressive.
    Tss… C’est dommage, pour une fois que je pouvais rendre service à quelqu’un. Mais bon tant pis, tu le regretteras plus tard. Au plaisir de te revoir, jeune demoiselle… »

    Puis il disparut sans un mot de plus. Mei posa sa tête entre ses mains, toute chamboulée. Peut-être avait-elle fait une erreur en refusant sa proposition ? Elle secoua la tête. Non ce n’était sans doute qu’un tissu de mensonges qui avait pour seul but de se faire de l’argent. Et puis de toute façon, la brunette n’avait pas assez d’oseille à lui fournir.

    Non il ne fallait pas qu’elle regrette.


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Informations IRL

    Prénom : ...

    Age : 13 ans

    Aime : Les chats. Ce smiley : :3

    N'aime pas : Les chiens. Ce smiley : :@

    Personnage préféré de One Piece : SMOKER. ♥

    Caractère : (définissez vous en quelques mots) Heuu... Drôle ? Enfin j'essaye de l'être en tout cas. :3

    Fais du RP depuis : Bientôt 3 ans, mais j'ai jamais fais sur du One Piece. :3

    Disponibilité : (en jours par semaine, c'est bien sur, approximatif) Le week-end pour RP. Les autres jours je passe juste en coup de vents en général.

    Comment avez vous connu le forum ? Je l'avais déjà croisé à plusieurs reprises cette année et j'ai finalement décidé de m'inscrire.


Dernière édition par Mei Akira le Mar 4 Déc 2012 - 13:21, édité 5 fois
    Salut Mei, bienvenue sur Requiem. J'espère que tu t'y plairas.

    Si t'as des questions, hésite pas. On est là pour ça.

    Up quand tu penses avoir fini pour recevoir ton test rp.

    Bon courage !
    • https://www.onepiece-requiem.net/t2303-fiche-du-vieux-pludbus
    • https://www.onepiece-requiem.net/t2255-toujours-pas-six-pieds-sous-terretermine-meme
      Merci bien. (:
      Bon et bien du coup, je up pour vous annoncer que j'ai finis les descriptions et la bio et que j'attends mon test RP avec impatience. (a)
      Pwet

      V'là ton test rp :

      Las Camp. La vie continue avec ton boulot de couturière. Un jour, un type vient te voir. Tu le connais de nom ; il est pas bien fréquentable et nage dans pas mal de magouilles. Il prétend qu'une femme a débarqué au port pour une journée et qu'elle cherche une jeune fille qui te ressemble et qui répond au nom de Mei. Etrange coïncidence, non ? Qui pourrait être cette personne ? Alors que tu cherches à savoir où trouver cette femme. L'homme te rit au nez. Tout se vend à Las Camp, même les informations. Et son prix est plus elevé que ce que tu as en ce moment. Que vas tu donc faire ?


      Si ça pose soucis, tu peux en redemander un autre. Bon courage !
      • https://www.onepiece-requiem.net/t2303-fiche-du-vieux-pludbus
      • https://www.onepiece-requiem.net/t2255-toujours-pas-six-pieds-sous-terretermine-meme
        Hey hey !
        J'annonce que j'ai terminé mon test et que ma présentation est donc finie. :3
        Salut Mei, la bienvenue sur le forum, je ne crois pas te l'avoir encore souhaitée.

        Premier commentaire, donc, et premier commentaire positif. Tu écris bien.

        Tu as du vocabulaire, tu fais peu de fautes (des é-er, notamment), et tu as bien je pense cerné un personnage qui s'il est simple a un potentiel certain. Là où je serai plus réservé, et une des deux seules choses sur laquelle je le serai en fait, c'est le test RP où tu nous laisses quand même pas mal sur notre faim (de même que pour la bio où tu ne nous dis pas qui est Hide et pourquoi il agit comme il agit). Pourquoi laisser les choses en plan ? Tu avais encore de la longueur à faire avant de nous ennuyer. Et là il y a cette sensation d'inachevé qui fait un peu tache, c'est vraiment dommage. Alors on se demande pourquoi... Manque d'idée ? Non-volonté de prendre le risque de rencontrer ta mère que tu as prévu de rencontrer plus tard ? La deuxième est respectable mais tu aurais eu tout le loisir de feinter. Tu aurais pu tenter de suivre Benett discrètement, au moins... Et te faire rouler dans la farine comme tu le craignais. Ce genre de trucs... Meh.

        Pour ça et pour ça seulement mais aussi, en fait, pour les quelques fautes, je m'arrête à 750. Bonne attente des collègues et bon jeu par la suite. Tchuss.


        Mei Akira 661875SignTahar
        • https://www.onepiece-requiem.net/t2280-
        • https://www.onepiece-requiem.net/t2249-
          Merci de ton avis. ^^
          Bah ouais en faite, je pense que j'aurais du attendre un peu avant de commencer le test et réfléchir plus à des idées (j'avais pas vraiment pensé au fait qu'elle puisse le suivre par exemple). Pour la bio' j'ai pensé, mais un peu trop tard, à rajouter un petit détail au bateau qui aurait pu expliquer pourquoi. x') Mais bon tant pis. ^^
          Yop Mei, second avis pour toi, accroches toi, ça risque d'aller vite parce que j'ai faim et qu'une pizza m'attend quelque part:

          Donc, j'vais pas reprendre ce qu'a dit Tahar. J'suis d'accord avec lui sur les points négatifs et j'vais donc te sortir deux-trois trucs positifs. Pourquoi ? Parce que j'suis cool comme mec.

          Donc, première chose, la narration de ton test RP. J'aime beaucoup. Tu utilises un narrateur qui est à la fois omnipotent et diégétique. Compris ? Non ? J'veux dire que la personne qui raconte l'histoire sait ce qu'il se passe autours du personnage et dans le personnage (omnipotent), mais qu'il doit également faire avec les évènnements qui se déroulent (diégétique). Ce qui peut se voir dans des phrases comme "il fallait qu’elle se dép…" Ne pas laisser le temps au narrateur de terminer sa phrase, c'est plutôt cool. Faut pas en abuser, comme pour toutes les bonnes choses, mais c'est cool.
          Sinon, t'as un perso qui est bien construit. J'aime bien l'aspect enfant jetée dans un monde de brute même si, comme l'a dit Tahar, on comprend pas vraiment pourquoi.

          Bref, j'ai faim, je cloture, pour moi, c'est 750 dorikis aussi.

          Bonne,

          Walt'
            Nyop Mei, j’enchaîne sur Walt pour ton dernière avis.

            Et enfaîte, ce que je voulais dire, Tahar l'a déjà dis. Je suis aussi restée sur ma faim... Plus pour le test que la bio, car même si Mei ne sais pas précisément où est sa mère, il y a des chances qu'elle soit sur la même île qu'elle, donc possibilité de la trouver au port, par exemple.. Mais simplement, la chercher par tes propres moyens aurait été pas mal je pense.

            Bon sinon, oui, y'a quelques fautes, quelques mots qui manquent aussi ou des structures de phrases qui font penser que tu ne t'es pas relue, ou relue trop vite.

            Bref, j'suis sur du 750 Dorikis aussi, à toi l'aventure !

            Bon jeu !


            Mei Akira 1425067977-izya-sflagopr Mei Akira Zps1 Mei Akira 1lmh
            • https://www.onepiece-requiem.net/t3825-
            • https://www.onepiece-requiem.net/t3683-