FB 1621 début Mai
Ivan De Cimitiero accompagné de Devil Yatsu arrivent sur cette île. Las camp. Comment de simple civil font pour vivre dans un tel endroit. Il n’y a rien pour aider les familles hors des trois quartiers. Les trois quartiers qui se situent autour de la caserne protéger pas la marine. Les gangs font la loi. C’est bien un lieu qui mérite une action de l’ange du jugement.
Ivan ne connaît pas grand-chose des iles. Son père le laissait toujours au port pour effectuer des transactions sans danger. Yatsu lui résume donc la situation de l’ile.
-Commencer un recrutement dans cette ile c’est plutôt délicat. Si on s’aventure dans les ruelles on risque de se faire agresser. Le mieux c’est de partir dans les zones protéger par la marine.
Yatsu pousse son compagnon et avance en direction du QG de la marine. Des coups de feu proviennent des quartiers sombres suivis du cri d’une femme et pour finir un long silence. L’handicapé serre son poing comme s’il veut agir. Son visage est caché, donc on ne voie pas les sentiments qu’il peut dégager. Le blond lui dit que c’est comme ça tous les jours. Les deux hommes frustrés savent qu’ils ne peuvent rien faire pour le moment et continue leur route.
Sur leur droite de nombreux bateaux. La plupart marchant. Les marchandises sont des esclaves, des drogues, des objets volés. Rien de bien légal dans tout ça. A gauche des quartiers avec des maisons dans tous les sens. Ils sont si serrés que les ruelles sont sombres.
Une personne les intercepte. Il est plutôt grand, le dos courbé et assez maigre.
-J’te reconnais toi là. Le blond. On t’avait pas dit de plus remettre les pieds ici ‘foiré.
Il s’approche pour frapper Devil qui sort directement deux armes à feu. Pour ceux qui ne connaissent pas Yatsu c’est une personne assez effrayante. Il est armé jusqu’aux chaussettes avec un sourire démoniaque qui pâlirait plus d’un.
L’inconnu lève les bras. Recul doucement, se retourne et s’enfuit à grande vitesse.
C’est vrai qu’il y a quelques mois c’est ici que le blond a rencontré le père d’Ivan. Il était confronté à des petites frappes.
Suite à ce léger incident un homme assez gros pousse une petite fille aux cheveux rouges. La pauvre petite, elle est exténuée. Ces bras et ces jambes sont écorchés. Un collier au coup… Mais comment peut-on prendre une si petite fille comme esclave ? Ivan actionne sa chaise et roule en direction de l’homme. Une foi à sa hauteur il l’interpelle.
-Eh ! On ne traite pas les enfants de la sorte.
L’homme se retourne, baisse la tête et voie une personne assise, couvert d’un tissu. D’une voix grave il répond
-Tu veut l’acheter c’est ça ? Ça fera 500 000B si ta pas assez fout le camp.
L’ange maudit son faible corps. S’il avait les capacités physiques il n’aurait pas hésité à étaler ce monstre inhumain. La seule chose qu’il lui reste c’est sa langue. Il doit trouver une solution sans utiliser la force.
-Je veux que tu la relâches. Prends-moi à sa place.
L’homme surpris, qui pensait avoir à faire un bourgeois sur son transport se met à rire. Yatsu tout aussi surprit demande à Ivan de bien réfléchir à ce qu’il fait. Ce n’est pas en se fessant prendre maintenant que les choses risquées de s’arranger. Mais notre pauvre Ivan qui ne connaît que la bonté n’a pas trouvé d’autre solution. Malgré qu’il ait essayé à plusieurs reprises de supprimer ces sentiments son cœur reste bon et le fait agir en conséquence.
Le gros est d’accord et demande à l’ange de se lever et de le rejoindre. Ceci est bien évidemment impossible donc un silence apparaît. Le vendeur d’esclaves s’approche, lui retire le tissu pour voir la marchandise. Il tombe sur un visage à moitié ravagé par le feu. Des yeux gris avec regard vide comme s’il avait abandonné l’idée de vivre. Deux petites ailes blanches. L’individu est heureux et pense avoir fait une bonne affaire. Ce n’est pas tous les jours qu’on croise un ange. Il le saisit par le bras, le lève avec une force impressionnante et donne les clefs du collier de la fille au blond. Une fois qu’il lâche Ivan, celui-ci tombe. Ses habits blancs se trouve recouvert de boue. Allongé sur le ventre il lève la tête et voie la petite fille en pleure.
-Mershii monsieuuuuuur.
C’est sans doute la plus belle chose qu’il a entendue depuis longtemps.
-Hep hep hep. Il peut pas marché? C’est quoi c’te blague? Tu vaux même pas un tiers de son prix.
L’homme reprend la clef et se dirige vers le bateau. Yatsu fixe attentivement Ivan pour voir s’il doit intervenir ou non. Le pauvre handicapé au sol lève son bras droit le poing fermé. Lève son index au ciel et le dirige vers le commerçant. C’était le signal. Le blond peut enfin intervenir ce qu’il le ravit et son sourire démoniaque apparaît. Il sort deux armes et interpelle le gros.
-Bon maintenant on change les règles. Je te propose un nouvel échange, ta vie contre la vie de cette fille.
Il se retourne et se met à rire. Tandis que la petite n’arrêtait pas de pleurer. Il la pousse à nouveau et elle tombe. Trois individus justes derrière Yatsu le visent. Une situation bien compliquée. C’est les complices de cet infâme individu. Il oblige le blond à jeter ces armes. Il s’approche de lui pour lui mettre un collier et en faire un esclave.
Un groupe d’individus arrive. C’est le grand qui avait fui un peu plus tôt. Il a ramené des renforts apparemment. Un homme en tête du groupe, plutôt petit de taille avec une cigarette. Sa troupe s’arrête et lui continue d’avance jusqu’au niveau des trois hommes armés.
-Vous êtes nouveau ici… Je vais vous apprendre deux trois règles. Première règle : si je vous voie encore avec une arme à feu sorti vous aurez affaire à moi. Deuxième règle : Si on vous trouve dans des trafics d’esclaves vous aurez affaire à moi. Troisième règle : On touche pas aux enfants.
Le gros porte la fille avec un bras et monte sur le navire en courant. Les trois autres ne bouge pas et vise le leadeur.
-Maintenant donnait moi la fille.
-T’es fou toi on l’a acheté ! Recul t’a cru qu’on avait peur d’un minus comme toi.
Le fumeur fonce sur celui à gauche et lui donne un coup de poing au niveau du ventre. Son poing s’enfonce son adversaire n’a pas eu le temps de réagir. On a l’impression qu’il va cracher ces boyaux. Les deux autres surprirent par la vitesse n’ont pas le temps d’agir avant la deuxième attaque. Un coup de poing au visage qui étale son adversaire au sol. Il ne reste plus qu’un qui recule tout en tremblant.
-Mais c’est quoi ce monstre ??
Sa main tremblante, il attrape son arme à deux mains pour bien viser mais c’est déjà trop tard. Il reçoit un coup de pied dans la hanche qui lui coupe la respiration. Les trois sont à terre.
Le bateau lève l’ancre et commence à partir.
Le combattant se précipite, saute sur le petit navire. Après quelques instants il revient avec la fille sans collier.
Le blond remet son compagnon sur sa chaise. Le groupe s’approche et encercle les deux hommes. Le chef vient en face d’eux en tenant la fille par la main.
-J’ai vu ce que vous avez fait. J’en déduis donc que toi le calciné, t’es le boss. Je suis Kérizawa. Là sa m’embête un peu de te voir avec un trafiquant d’armes.
Ivan prend la parole et dévoile ses plans. Il semble à l’aise avec ces individus dangereux. Avec une voix douce tous ces jeunes gens l’écoute attentivement. Lorsqu’il finit ils se mettent à applaudir. Une réaction incomprise par Yatsu mais l’ange semblé avoir comment ces individus pensent. Kérizawa reprend les paroles avec un sourire aux lèvres.
-C’est le genre de discourt qu’on rêvait d’entendre depuis longtemps. Mais comme tu la dis tu n’es qu’au début de ton organisation et pour le moment tu peux pas faire grand-chose avec un seul homme à ta charge. Honnêtement sa serrait un plaisir d’être avec toi mais là on a pas mal de boulot ici. Le jour où les habitants de cette île vivront en paix je te rejoindrais sans problème. En attendant je te confie cette fillette. Elle peut pas rester avec nous c’est trop dangereux.
Voici donc les premiers alliés de l’ange du jugement. Des braves gars assez violents. Mais l’essentiel c’est que leur violence est ciblée. Ivan leur promet à tous qu’il leur amènera la paix, mais ce jour n’est pas encore arrivait, il faudra qu’ils s’arment de patience.
Ivan De Cimitiero accompagné de Devil Yatsu arrivent sur cette île. Las camp. Comment de simple civil font pour vivre dans un tel endroit. Il n’y a rien pour aider les familles hors des trois quartiers. Les trois quartiers qui se situent autour de la caserne protéger pas la marine. Les gangs font la loi. C’est bien un lieu qui mérite une action de l’ange du jugement.
Ivan ne connaît pas grand-chose des iles. Son père le laissait toujours au port pour effectuer des transactions sans danger. Yatsu lui résume donc la situation de l’ile.
-Commencer un recrutement dans cette ile c’est plutôt délicat. Si on s’aventure dans les ruelles on risque de se faire agresser. Le mieux c’est de partir dans les zones protéger par la marine.
Yatsu pousse son compagnon et avance en direction du QG de la marine. Des coups de feu proviennent des quartiers sombres suivis du cri d’une femme et pour finir un long silence. L’handicapé serre son poing comme s’il veut agir. Son visage est caché, donc on ne voie pas les sentiments qu’il peut dégager. Le blond lui dit que c’est comme ça tous les jours. Les deux hommes frustrés savent qu’ils ne peuvent rien faire pour le moment et continue leur route.
Sur leur droite de nombreux bateaux. La plupart marchant. Les marchandises sont des esclaves, des drogues, des objets volés. Rien de bien légal dans tout ça. A gauche des quartiers avec des maisons dans tous les sens. Ils sont si serrés que les ruelles sont sombres.
Une personne les intercepte. Il est plutôt grand, le dos courbé et assez maigre.
-J’te reconnais toi là. Le blond. On t’avait pas dit de plus remettre les pieds ici ‘foiré.
Il s’approche pour frapper Devil qui sort directement deux armes à feu. Pour ceux qui ne connaissent pas Yatsu c’est une personne assez effrayante. Il est armé jusqu’aux chaussettes avec un sourire démoniaque qui pâlirait plus d’un.
- Spoiler:
L’inconnu lève les bras. Recul doucement, se retourne et s’enfuit à grande vitesse.
C’est vrai qu’il y a quelques mois c’est ici que le blond a rencontré le père d’Ivan. Il était confronté à des petites frappes.
Suite à ce léger incident un homme assez gros pousse une petite fille aux cheveux rouges. La pauvre petite, elle est exténuée. Ces bras et ces jambes sont écorchés. Un collier au coup… Mais comment peut-on prendre une si petite fille comme esclave ? Ivan actionne sa chaise et roule en direction de l’homme. Une foi à sa hauteur il l’interpelle.
-Eh ! On ne traite pas les enfants de la sorte.
L’homme se retourne, baisse la tête et voie une personne assise, couvert d’un tissu. D’une voix grave il répond
-Tu veut l’acheter c’est ça ? Ça fera 500 000B si ta pas assez fout le camp.
L’ange maudit son faible corps. S’il avait les capacités physiques il n’aurait pas hésité à étaler ce monstre inhumain. La seule chose qu’il lui reste c’est sa langue. Il doit trouver une solution sans utiliser la force.
-Je veux que tu la relâches. Prends-moi à sa place.
L’homme surpris, qui pensait avoir à faire un bourgeois sur son transport se met à rire. Yatsu tout aussi surprit demande à Ivan de bien réfléchir à ce qu’il fait. Ce n’est pas en se fessant prendre maintenant que les choses risquées de s’arranger. Mais notre pauvre Ivan qui ne connaît que la bonté n’a pas trouvé d’autre solution. Malgré qu’il ait essayé à plusieurs reprises de supprimer ces sentiments son cœur reste bon et le fait agir en conséquence.
Le gros est d’accord et demande à l’ange de se lever et de le rejoindre. Ceci est bien évidemment impossible donc un silence apparaît. Le vendeur d’esclaves s’approche, lui retire le tissu pour voir la marchandise. Il tombe sur un visage à moitié ravagé par le feu. Des yeux gris avec regard vide comme s’il avait abandonné l’idée de vivre. Deux petites ailes blanches. L’individu est heureux et pense avoir fait une bonne affaire. Ce n’est pas tous les jours qu’on croise un ange. Il le saisit par le bras, le lève avec une force impressionnante et donne les clefs du collier de la fille au blond. Une fois qu’il lâche Ivan, celui-ci tombe. Ses habits blancs se trouve recouvert de boue. Allongé sur le ventre il lève la tête et voie la petite fille en pleure.
-Mershii monsieuuuuuur.
C’est sans doute la plus belle chose qu’il a entendue depuis longtemps.
-Hep hep hep. Il peut pas marché? C’est quoi c’te blague? Tu vaux même pas un tiers de son prix.
L’homme reprend la clef et se dirige vers le bateau. Yatsu fixe attentivement Ivan pour voir s’il doit intervenir ou non. Le pauvre handicapé au sol lève son bras droit le poing fermé. Lève son index au ciel et le dirige vers le commerçant. C’était le signal. Le blond peut enfin intervenir ce qu’il le ravit et son sourire démoniaque apparaît. Il sort deux armes et interpelle le gros.
-Bon maintenant on change les règles. Je te propose un nouvel échange, ta vie contre la vie de cette fille.
Il se retourne et se met à rire. Tandis que la petite n’arrêtait pas de pleurer. Il la pousse à nouveau et elle tombe. Trois individus justes derrière Yatsu le visent. Une situation bien compliquée. C’est les complices de cet infâme individu. Il oblige le blond à jeter ces armes. Il s’approche de lui pour lui mettre un collier et en faire un esclave.
Un groupe d’individus arrive. C’est le grand qui avait fui un peu plus tôt. Il a ramené des renforts apparemment. Un homme en tête du groupe, plutôt petit de taille avec une cigarette. Sa troupe s’arrête et lui continue d’avance jusqu’au niveau des trois hommes armés.
-Vous êtes nouveau ici… Je vais vous apprendre deux trois règles. Première règle : si je vous voie encore avec une arme à feu sorti vous aurez affaire à moi. Deuxième règle : Si on vous trouve dans des trafics d’esclaves vous aurez affaire à moi. Troisième règle : On touche pas aux enfants.
Le gros porte la fille avec un bras et monte sur le navire en courant. Les trois autres ne bouge pas et vise le leadeur.
-Maintenant donnait moi la fille.
-T’es fou toi on l’a acheté ! Recul t’a cru qu’on avait peur d’un minus comme toi.
Le fumeur fonce sur celui à gauche et lui donne un coup de poing au niveau du ventre. Son poing s’enfonce son adversaire n’a pas eu le temps de réagir. On a l’impression qu’il va cracher ces boyaux. Les deux autres surprirent par la vitesse n’ont pas le temps d’agir avant la deuxième attaque. Un coup de poing au visage qui étale son adversaire au sol. Il ne reste plus qu’un qui recule tout en tremblant.
-Mais c’est quoi ce monstre ??
Sa main tremblante, il attrape son arme à deux mains pour bien viser mais c’est déjà trop tard. Il reçoit un coup de pied dans la hanche qui lui coupe la respiration. Les trois sont à terre.
Le bateau lève l’ancre et commence à partir.
Le combattant se précipite, saute sur le petit navire. Après quelques instants il revient avec la fille sans collier.
Le blond remet son compagnon sur sa chaise. Le groupe s’approche et encercle les deux hommes. Le chef vient en face d’eux en tenant la fille par la main.
-J’ai vu ce que vous avez fait. J’en déduis donc que toi le calciné, t’es le boss. Je suis Kérizawa. Là sa m’embête un peu de te voir avec un trafiquant d’armes.
Ivan prend la parole et dévoile ses plans. Il semble à l’aise avec ces individus dangereux. Avec une voix douce tous ces jeunes gens l’écoute attentivement. Lorsqu’il finit ils se mettent à applaudir. Une réaction incomprise par Yatsu mais l’ange semblé avoir comment ces individus pensent. Kérizawa reprend les paroles avec un sourire aux lèvres.
-C’est le genre de discourt qu’on rêvait d’entendre depuis longtemps. Mais comme tu la dis tu n’es qu’au début de ton organisation et pour le moment tu peux pas faire grand-chose avec un seul homme à ta charge. Honnêtement sa serrait un plaisir d’être avec toi mais là on a pas mal de boulot ici. Le jour où les habitants de cette île vivront en paix je te rejoindrais sans problème. En attendant je te confie cette fillette. Elle peut pas rester avec nous c’est trop dangereux.
Voici donc les premiers alliés de l’ange du jugement. Des braves gars assez violents. Mais l’essentiel c’est que leur violence est ciblée. Ivan leur promet à tous qu’il leur amènera la paix, mais ce jour n’est pas encore arrivait, il faudra qu’ils s’arment de patience.