Dernière édition par Césare Di Auditore le Dim 13 Fév 2011 - 15:41, édité 7 fois
Page 1 sur 2 • 1, 2
Ave, Césare. [Terminée]
Suivi de la fiche :
Descriptions : 100 %
- Physique :100 %
Mentale : 100 %
Historique :100 %
- Chapitre 1 : Ok
Chapitre 2 : Ok
Chapitre 3 : Ok
Chapitre 4 :Ok
Correction : 100 % (normalement).
Dernière édition par Césare Di Auditore le Sam 12 Fév 2011 - 13:37, édité 4 fois
Merci ! Surtout pour le kit =)
La relecture est prévu quand j'aurais terminé ^^.
Sinon, comme je l'ai signalé au staff présent sur la box ce matin, je serais absent de mardi prochain au suivant, car j'ai des portes ouvertes, donc je sais pas si cela est dérangeant, mais j'essayerais d'avancer le plus possible avant mardi ><.
Et de rien pour le suivi x).
La relecture est prévu quand j'aurais terminé ^^.
Sinon, comme je l'ai signalé au staff présent sur la box ce matin, je serais absent de mardi prochain au suivant, car j'ai des portes ouvertes, donc je sais pas si cela est dérangeant, mais j'essayerais d'avancer le plus possible avant mardi ><.
Et de rien pour le suivi x).
Bon pour moi, je ne vais pas rentrer dans les détails mais en gros, j'ai remarqué quelques fautes d'orthographes par-ci par-là, mais pas des flagrantes qui empêchent la lecture, ça reste très sympa, et j'aime beaucoup ton vocabulaire et tes tournures de phrases ! Ce n'est pas lourd à lire, en étant quand même consistant. Pour moi, un petit 790 dorikis me semble très bon. Au départ j'avais pensé à 800, mais les quelques fautes qui auraient pu être évitées ton fait perdre cela, peut-être n'aimes-tu pas te relire, et c'est comme moi, mais on s'en fout. :d
Donc voilà, pour moi 790 dorikis, révolutionnaire. Pas encore de FDD ni de Haki donc, plus tard sûrement. Et sinon, il te faut encore trois voix !
Donc voilà, pour moi 790 dorikis, révolutionnaire. Pas encore de FDD ni de Haki donc, plus tard sûrement. Et sinon, il te faut encore trois voix !
Le haki, c'est dans une certaine île sur Grand Line Sinon, je suis totalement d'accord avec les propos de Ryuuku. Puis je rajouter un truc @ Ryu: T'a pas oublié un truc ? Lui donner son test rp...
Test Rp:
Test Rp:
Les marines semblent s'être rassembler pour une réunion dans une école bien protégé. allez donc détruire celui-ci, de toutes les façons possibles, tâchez de ne faire aucun mort, les dégâts ne doivent être que matériel, c’est la tristesse qu’il faut éveiller dans le cœur des marines et non pas la vengeance. Viva la révolution. Info's supplémentaires: Vous avez avec vous une mitraillette, 3 Bâtons de dynamites et un colt en plus de vos armes habituels. Bonne chance.
C'est parce qu'il a dit terminé, mais je savais bien qu'il me manquait quelque chose, désolé pour ma gourde, même si ce que j'ai donné comme dorikis me semble bien déjà à part si plus tard tu veux te relire, ce qui pourrait te faire gagner les 10 dorikis manquant ; )
Rofl, j'ai dépassé la limite x_x. Bon et bien voilà mon test ! Quand à la relecture, je suis pas à 10 dokiris près, et ma flemme est immense après le test, donc on va laisser comme ça o/.
Bonne lecture =3.
>> Test RP
Bonne lecture =3.
>> Test RP
La pensée et les valeurs morales humaines sont comme des courants. Puissants, allant toujours en un sens, encadrés par un lit bien peu commode, puisqu'il s'agit de la société. On nous dicte nos pensées, on nous dicte notre façon de marcher, de respirer, de parler... La liberté ? Juste un idéal que l'on impose, une sorte de lumière au bout du tunnel, que l'on fait miroiter, comme l'on fait miroiter la carotte à un âne. Nous ne sommes donc pas plus que des bêtes de somme, des animaux en cage, une cage si grande et étendue que nous n'en apercevons même pas les barreaux ? C'est désolant, de contempler un monde dans lequel celui qui réfléchis n'a pas sa place, ou celui qui pense différemment, qui va à contre courant, n'est qu'une cible de plus à éliminer pour un gouvernement déjà bien couvert de sang innocent. Des familles entières en ont pâti, celle de Césare aussi, et il savait ne pas être seul. Le jeune homme mesurait aussi toute sa chance d'être encore en vie à l'heure actuelle. Survivre à la destruction des Auditore n'avait été possible que grâce à deux personnes, deux femmes. Sa mère, qui l'avait porté lui et son frère jusqu'à leurs naissances, et sa nourrice, ou sa seconde source maternel, une Amazone farouche qui leur avait offert tout son amour, tout son soutient, qui l'éduqua, dans un seul but, la vengeance, la vendetta.
Pour cela, il passerait outre les règles, les lois, et même les sentiments qui le dominait. Il était un monstre, voilà comment la plèbe devait le voir, voilà comment le gouvernement devait le craindre. Pour toujours et à jamais, l'Empereur devait rester dans les légendes, mais pas comme une brebis égarée, comme le loup venant menacer la bergerie, poussant son gardien à venir le chasser. Afin que ses compatriotes puissent enfin vaquer en paix, qu'ils puissent pâturer sans jamais avoir ce drôle de couperet au dessus de leur crâne, celui de l'abattoir. C'est assez coquasse non ? Que d'œuvrer dans le seul intérêt commun, mais tout en étant rejeté de la foule... Car ici bas, l'humain n'aime ni les serpents, ni les prédateurs. Et lui, plutôt que d'avoir la docilité pour maitresse, avait choisit la rébellion, l'ignominie. Car c'est ainsi qu'on le verrait, peint d'un masque de ténèbres et de massacre, d'un masque de bourreau saignant son si doux visage.
Je suis le serpent tentateur, l'ombre fugace qui vient mordre la main qui se tends. Prenez garde, je suis le croque mitaine, le monstre sous votre lit, la créature des comtes fait pour terroriser les enfants.
Césare n'était pas fait pour l'humanité. Le jeune homme n'acceptait pas sa condition. L'Empereur, le « Carnefice », comme l'appelait ceux qui avaient gouté à son tranchant, n'était pas homme du présent comme son frère. Il vivait dans le passé, le regret, le poison amère mais si doux de la nostalgie. Sa destinée n'avait qu'un seul objectif... Laisser sa marque dans les livres, non pas connaître la gloire de la bataille, ni profiter d'une famille aimante, simplement être un fantôme. Une ombre protectrice. Tout en laissant derrière lui une mise en garde, celle que si un jour, les valeurs et la liberté qu'il avait octroyé se verraient une nouvelle fois bafouées, il reviendrait.
Le souverain qu'il était n'apportait ni la solution, ni la réponse. A tout ceux qui pensaient que sa parole était évangile, que ses actes n'étaient là que pour délivrer une sorte de sentence, une sorte d'épilogue, à tout ceux là, le jeune homme ne répondait jamais rien. Perdre une si bonne main d'œuvre, un si bon terreau pour ses plans, aurait été du gâchis. Cependant, ils étaient dans le faux. Tout ce qu'il faisait, n'était que pour sa vendetta, sa vengeance personnel, et ils n'étaient que pion dans l'échiquier, qu'outils qu'il pouvait changer à sa guise. Mais pour le moment, lui aussi n'était qu'un fou du Roi... Il ne donnait aucun ordre, et ne faisait qu'en recevoir.
Césare sourit à la lecture du texte codé. Ainsi il ne devrait pas faire de victime ? Comme c'est embêtant, il allait encore une fois s'ennuyer à mourir... Enfin, le jeux n'en serait que plus ardu et complexe, car faire une hécatombe était si simple, en comparaison des manipulations qu'il allait devoir effectuer pour réussir. Craquant une allumette sortie d'une boite qui le quittait jamais, le jeune homme enflamma le bout de papier, pour que personne ne puisse découvrir ses intentions. Profitant de cette flamme fortuite, il alluma également sa cigarette, ainsi, un intervenant extérieur ne pourrait croire à un complot quelconque. Cultiver le goût du secret et de la manipulation laisse des traces, n'est-il pas ?
Ouvrant la boite que contenait le colis fournit par la révolution, il la referma bien vite, et alla se réfugier dans un bâtisse non loin de là, que le jeune homme savait sûre. Inspectant avec plus de soins la malle, il en sortit la mitraillette, faisant jouer le mécanisme afin d'en déceler quelconques défauts, opération qu'il répéta avec le Colt. A l'instar d'un professionnel, il s'occupa aussi des bâtons de dynamite, tout en se disant que la Révolution devait être en crise économique, pour ne lui fournir qu'un aussi pauvre équipement, alors que sa mission consistait à la destruction d'un bâtiment... Enfin, il allait devoir ruser et se procurer les plans de la cible, car pour réussir, les explosifs devraient être placés dans les sous sols, au niveau des fondations, et positionnés à des endroits stratégiques, tels que les murs porteurs.
Tirant une nouvel bouffé sur la pire drogue que l'humanité avait inventé, cette toxine appelée cigarette, les rouages de son cerveau se mirent en place doucement, un par un, tandis qu'un plan assez grossier se dessina devant lui. Un peu comme un intervenant extérieur, son sens critique mit en relief les défauts et qualités de ce plan, et au final, il concentra celui-ci sur trois phases.
1)Faire diversion afin d'attirer les marines a l'extérieur. Cela induisait un complice, ou un dispositif particulier -qu'il ne possédait hélas pas.
2)Infiltrer l'école afin de disposer la dynamite dans les sous sol, et contribuer à la sortie de touts les marines.
3)S'échapper.
Toujours penser à la fuite, voilà un point important que son expérience lui avait dicter comme priorité. Se ménager une porte de sortie, c'était ce garantir un taux de survie au dessus des 10 %.
Quelques heures plus tard
Césare avait attaché les bâtons de dynamites à son ventre, grâce à un judicieux investissement en scotch. La mitraillette dans un étuis ayant pour utilité première le transport d'un trombone, il cacha celui-ci non loin de la bibliothèque dans laquelle il allait récupérer les plans de l'école. Le colt placé dans son holster, il rabattit sa veste afin que celui-ci soit invisible à l'œil nue. Se raclant la gorge, il tourna la poignée d'un air assurée, et se présenta au bibliothécaire.
« Bonjour, je suis étudiant en architecture, et j'ai un devoir un rendre sur les différents bâtiments publiques de cette ville, afin d'en faire une étude comparative... Auriez vous des plans par hasard, que je n'ai pas à courir dans toute la ville pour les trouver... ? »
Un sourire innocent, et un visage avenant, voilà les secrets d'un bon mensonge. L'homme s'occupant des rayons de la bibliothèque ne daigna même pas lever la tête de son registre, lui indiquant d'un vague signe de la main la section l'intéressant.
« Section B, rayonnage 64. »
Sans se presser, L'empereur se dirigea vers l'endroit indiqué. Êtes vous déjà allé dans une bibliothèque ? Et bien, semblant toujours très ordonnée, celle-ci est en réalité un labyrinthe, un piège à intello', faite pour vous donner du fil à retordre. Au bout de vingt minute passé dans des positions toutes plus désagréable les unes que les autres, le révolutionnaire trouva l'objet de sa recherche passionnée. Le plan de l'école publique de l'île. Arrachant la page l'intéressant, il la plia en deux, et l'enfourna rapidement dans la poche intérieur de son veston. Une fois dehors, le jeune homme allait s'atteler à la tâche la plus difficile de son plan. Trouver un complice.
Et il n'en trouva pas, c'était gênant ! Mais pas non plus rédhibitoire. Car une idée venait de germer dans son esprit déluré. Une idée bien perverse et qui ne ferait aucun mort, simplement un blessé. De toute manière, il y en aurait au moins un, si le jeune homme vouait s'infiltrer, il aurait besoins d'un complice involontaire. S'asseyant à la terrasse d'un bistrot, le jeune serpent étendit sa toile, à la manière d'une araignée cette fois-ci, ses yeux analysant chaque passages, chaque habitudes, puis il trouva enfin ce qu'il cherchait. Un marine un peu trop nerveux.
Suivant sa proie de loin, se dissimulant parmi la foule, trainant comme un simple touriste par moment, il attendait, son attention concentrée exclusivement sur le soldat. Attendant qu'il tourne dans une rue vide, pour le surprendre. Et c'est ce que fit le représentant de l'ordre, tournant dans une rue moins bondée pour arriver plus rapidement à destination, il n'aurait pour souvenir que les dalles du sol. Plongeant sur sa cible comme un prédateur sur sa victime, Césare l'assomma d'une manière orthodoxe, car ce fut le choc sur le sol, aidée de son coude, qui termina le travail. Il valait mieux être astucieux à défaut d'être une brute ! Attachant solidement son aide du jour, il le monta sur le toit, le déshabilla, et sortit son arme de l'étui.
Son plan était simple. Le marine, en se réveillant, aurait un réflexe assez idiot, celui de plier le bras pour toucher la bosse faite par sa blessure. Ainsi, en rattachant celui-ci à la gâchette de la mitraillette, ce geste anodin déclencherait les hostilités. Un sourire malicieux se dessina sur son visage, et il rabattit le col de sa veste sur son cou, tout en ajustant du mieux qu'il pu l'uniforme un peu petit du soldat « Ryan ».
« Merci mon bichon, j'étais coincé sans toi ! Fais de beau rêve, et si tu es sage, tu auras une surprise à ton reveil... Héhéhéhéhé. »
Descendent par le même chemin qu'à son arrivé, Césare savait que son plan avait une énorme, béante, gigantesque faille. Le temps que resterait inconscient le fameux « Ryan », il devrait faire vite, mais bien. Pressant le pas, il se présenta à l'école, et passa le poste de sécurité assez facilement, avant de descendre vers les sous sol, vides, du bâtiment. Sur le chemin, alors qu'il allait pénétrer dans les fondations, une voix le fit sursauter quelques peu.
« Hep ! Le nouveau ! Tu fou quoi ici ?! »
Prenant une voix de brebis apeurée, il se retourna, bafouillant un peu avant de lâcher simplement.
« On m'a demandé de venir inspecter les sous sol... »
Effet instantané, le marine eut un rire tonitruant, avant de continuer son chemin, toujours aussi agare.
« Ah...Ces bizuts... »
Une dizaine de minutes plus tard.
Ayant terminé son travail, Césare remonta assez rapidement, essayant de trouver la salle de réunion. Il faut dire que sans cette condition, il ne réussirait jamais ! Alors plutôt que de ramer pendant des minutes entières, le jeune homme s'adressa à un garde, lui demandant gentiment ou il pourrait trouver le commandant, afin de connaître sa marque de café préférée. Et cela fonctionna.
Au même moment, sur un toit, un jeune homme récemment promu à son poste de garde, se réveilla. Il avait mal au crâne et l'esprit fortement embrumé. Que c'était-il passé ? Pourquoi était-il nu, là haut ? Et surtout, quelle était cette douleur au sommet de son crâne ? Passant la main dans ses cheveux, il sursauta en criant lorsque des bruits de coups de feu se firent entendre tout près de lui ! Reculant fortement vers le milieu du toit, il continua de tirer malgré lui, ne comprenant pas comment cela se pouvait-il, sur une île si tranquille !
Césare ne perdit pas un seul instant, lorsqu'il entendit les échos de la fusillade simulée de toutes pièces, il cria, mi-apeuré, mi-sûr de lui, tout près de la salle.
« AAH, On nous attaque ! »
Réaction tout à fait naturel, tout les gardes se mirent en branle vers l'extérieur du bâtiment, tandis que les « gradés », sortirent en trombe de la pièce, regardant le couloir avec méfiance, et n'apercevant qu'un jeune garçon un peu apeuré.
« Que ce passe-t-il mon garçon ? »
Simulant un bégaiement incontrôlable, L'Empereur répondit simplement, mais avec une certaine « difficulté ».
« Il y a des... échanges de coup...coup de feu...dehors, on nous attaque ! »
Le Capitaine lui répondit qu'il n'avait pas à s'en faire, que leur troupes étaient capable de s'en occuper, et qu'il devrait leur donner un coup de main. Pari gagné ! Ils ne se mouilleraient pas, n'iraient pas au combat ! Cela l'aurait arrangé, mais bon, c'était une conditions que le jeune homme avait prit en compte. Courant en direction des coups de feu, il bifurqua à droite, avant de sprinter une nouvelle fois, sa ruse ne fonctionnerait que très peu de temps... Et le couloir était long ! Une minute plus tard, de l'autre côté du couloir qu'il venait de quitter, il sortit son colt et avança d'un air décidé, tout en tirant des coups de feu...
Tout ce que virent les hauts gradés, ce fut un jeune garçon, toujours le même, qui tirait dans le vide, tout en criant...
« ils sont entrés ! Nous sommes infiltré ! Vite, sortez d'ici ! »
Le bon sens et le pragmatisme, qualités qui leurs avaient valu d'être promus, leur dicta de s'enfuir, ce qu'ils firent. Césare recula, feignant de les couvrir. Cependant, lorsqu'ils eurent quittés le couloir, celui-ci sortit le dispositif qui activerait à distance les mèches de la dynamite disposée un étage plus bas...
Un sourire espiègle, avant de lâcher.
« Et Viva la Revolucìon ! Stronzi !»
Cercando di soffocare rivoluzioni pacifico,
fa inevitabilmente la rivoluzioneviolenta.
Pour cela, il passerait outre les règles, les lois, et même les sentiments qui le dominait. Il était un monstre, voilà comment la plèbe devait le voir, voilà comment le gouvernement devait le craindre. Pour toujours et à jamais, l'Empereur devait rester dans les légendes, mais pas comme une brebis égarée, comme le loup venant menacer la bergerie, poussant son gardien à venir le chasser. Afin que ses compatriotes puissent enfin vaquer en paix, qu'ils puissent pâturer sans jamais avoir ce drôle de couperet au dessus de leur crâne, celui de l'abattoir. C'est assez coquasse non ? Que d'œuvrer dans le seul intérêt commun, mais tout en étant rejeté de la foule... Car ici bas, l'humain n'aime ni les serpents, ni les prédateurs. Et lui, plutôt que d'avoir la docilité pour maitresse, avait choisit la rébellion, l'ignominie. Car c'est ainsi qu'on le verrait, peint d'un masque de ténèbres et de massacre, d'un masque de bourreau saignant son si doux visage.
Je suis le serpent tentateur, l'ombre fugace qui vient mordre la main qui se tends. Prenez garde, je suis le croque mitaine, le monstre sous votre lit, la créature des comtes fait pour terroriser les enfants.
Césare n'était pas fait pour l'humanité. Le jeune homme n'acceptait pas sa condition. L'Empereur, le « Carnefice », comme l'appelait ceux qui avaient gouté à son tranchant, n'était pas homme du présent comme son frère. Il vivait dans le passé, le regret, le poison amère mais si doux de la nostalgie. Sa destinée n'avait qu'un seul objectif... Laisser sa marque dans les livres, non pas connaître la gloire de la bataille, ni profiter d'une famille aimante, simplement être un fantôme. Une ombre protectrice. Tout en laissant derrière lui une mise en garde, celle que si un jour, les valeurs et la liberté qu'il avait octroyé se verraient une nouvelle fois bafouées, il reviendrait.
Le souverain qu'il était n'apportait ni la solution, ni la réponse. A tout ceux qui pensaient que sa parole était évangile, que ses actes n'étaient là que pour délivrer une sorte de sentence, une sorte d'épilogue, à tout ceux là, le jeune homme ne répondait jamais rien. Perdre une si bonne main d'œuvre, un si bon terreau pour ses plans, aurait été du gâchis. Cependant, ils étaient dans le faux. Tout ce qu'il faisait, n'était que pour sa vendetta, sa vengeance personnel, et ils n'étaient que pion dans l'échiquier, qu'outils qu'il pouvait changer à sa guise. Mais pour le moment, lui aussi n'était qu'un fou du Roi... Il ne donnait aucun ordre, et ne faisait qu'en recevoir.
Message de la Révolution a écrit:Les marines semblent s'être rassembler pour une réunion dans une école bien protégé. allez donc détruire celui-ci, de toutes les façons possibles, tâchez de ne faire aucun mort, les dégâts ne doivent être que matériel, c’est la tristesse qu’il faut éveiller dans le cœur des marines et non pas la vengeance. Viva la révolution. Info's supplémentaires: Vous avez avec vous une mitraillette, 3 Bâtons de dynamites et un colt en plus de vos armes habituels. Bonne chance.
Césare sourit à la lecture du texte codé. Ainsi il ne devrait pas faire de victime ? Comme c'est embêtant, il allait encore une fois s'ennuyer à mourir... Enfin, le jeux n'en serait que plus ardu et complexe, car faire une hécatombe était si simple, en comparaison des manipulations qu'il allait devoir effectuer pour réussir. Craquant une allumette sortie d'une boite qui le quittait jamais, le jeune homme enflamma le bout de papier, pour que personne ne puisse découvrir ses intentions. Profitant de cette flamme fortuite, il alluma également sa cigarette, ainsi, un intervenant extérieur ne pourrait croire à un complot quelconque. Cultiver le goût du secret et de la manipulation laisse des traces, n'est-il pas ?
Ouvrant la boite que contenait le colis fournit par la révolution, il la referma bien vite, et alla se réfugier dans un bâtisse non loin de là, que le jeune homme savait sûre. Inspectant avec plus de soins la malle, il en sortit la mitraillette, faisant jouer le mécanisme afin d'en déceler quelconques défauts, opération qu'il répéta avec le Colt. A l'instar d'un professionnel, il s'occupa aussi des bâtons de dynamite, tout en se disant que la Révolution devait être en crise économique, pour ne lui fournir qu'un aussi pauvre équipement, alors que sa mission consistait à la destruction d'un bâtiment... Enfin, il allait devoir ruser et se procurer les plans de la cible, car pour réussir, les explosifs devraient être placés dans les sous sols, au niveau des fondations, et positionnés à des endroits stratégiques, tels que les murs porteurs.
Tirant une nouvel bouffé sur la pire drogue que l'humanité avait inventé, cette toxine appelée cigarette, les rouages de son cerveau se mirent en place doucement, un par un, tandis qu'un plan assez grossier se dessina devant lui. Un peu comme un intervenant extérieur, son sens critique mit en relief les défauts et qualités de ce plan, et au final, il concentra celui-ci sur trois phases.
1)Faire diversion afin d'attirer les marines a l'extérieur. Cela induisait un complice, ou un dispositif particulier -qu'il ne possédait hélas pas.
2)Infiltrer l'école afin de disposer la dynamite dans les sous sol, et contribuer à la sortie de touts les marines.
3)S'échapper.
Toujours penser à la fuite, voilà un point important que son expérience lui avait dicter comme priorité. Se ménager une porte de sortie, c'était ce garantir un taux de survie au dessus des 10 %.
Quelques heures plus tard
Césare avait attaché les bâtons de dynamites à son ventre, grâce à un judicieux investissement en scotch. La mitraillette dans un étuis ayant pour utilité première le transport d'un trombone, il cacha celui-ci non loin de la bibliothèque dans laquelle il allait récupérer les plans de l'école. Le colt placé dans son holster, il rabattit sa veste afin que celui-ci soit invisible à l'œil nue. Se raclant la gorge, il tourna la poignée d'un air assurée, et se présenta au bibliothécaire.
« Bonjour, je suis étudiant en architecture, et j'ai un devoir un rendre sur les différents bâtiments publiques de cette ville, afin d'en faire une étude comparative... Auriez vous des plans par hasard, que je n'ai pas à courir dans toute la ville pour les trouver... ? »
Un sourire innocent, et un visage avenant, voilà les secrets d'un bon mensonge. L'homme s'occupant des rayons de la bibliothèque ne daigna même pas lever la tête de son registre, lui indiquant d'un vague signe de la main la section l'intéressant.
« Section B, rayonnage 64. »
Sans se presser, L'empereur se dirigea vers l'endroit indiqué. Êtes vous déjà allé dans une bibliothèque ? Et bien, semblant toujours très ordonnée, celle-ci est en réalité un labyrinthe, un piège à intello', faite pour vous donner du fil à retordre. Au bout de vingt minute passé dans des positions toutes plus désagréable les unes que les autres, le révolutionnaire trouva l'objet de sa recherche passionnée. Le plan de l'école publique de l'île. Arrachant la page l'intéressant, il la plia en deux, et l'enfourna rapidement dans la poche intérieur de son veston. Une fois dehors, le jeune homme allait s'atteler à la tâche la plus difficile de son plan. Trouver un complice.
Et il n'en trouva pas, c'était gênant ! Mais pas non plus rédhibitoire. Car une idée venait de germer dans son esprit déluré. Une idée bien perverse et qui ne ferait aucun mort, simplement un blessé. De toute manière, il y en aurait au moins un, si le jeune homme vouait s'infiltrer, il aurait besoins d'un complice involontaire. S'asseyant à la terrasse d'un bistrot, le jeune serpent étendit sa toile, à la manière d'une araignée cette fois-ci, ses yeux analysant chaque passages, chaque habitudes, puis il trouva enfin ce qu'il cherchait. Un marine un peu trop nerveux.
Suivant sa proie de loin, se dissimulant parmi la foule, trainant comme un simple touriste par moment, il attendait, son attention concentrée exclusivement sur le soldat. Attendant qu'il tourne dans une rue vide, pour le surprendre. Et c'est ce que fit le représentant de l'ordre, tournant dans une rue moins bondée pour arriver plus rapidement à destination, il n'aurait pour souvenir que les dalles du sol. Plongeant sur sa cible comme un prédateur sur sa victime, Césare l'assomma d'une manière orthodoxe, car ce fut le choc sur le sol, aidée de son coude, qui termina le travail. Il valait mieux être astucieux à défaut d'être une brute ! Attachant solidement son aide du jour, il le monta sur le toit, le déshabilla, et sortit son arme de l'étui.
Son plan était simple. Le marine, en se réveillant, aurait un réflexe assez idiot, celui de plier le bras pour toucher la bosse faite par sa blessure. Ainsi, en rattachant celui-ci à la gâchette de la mitraillette, ce geste anodin déclencherait les hostilités. Un sourire malicieux se dessina sur son visage, et il rabattit le col de sa veste sur son cou, tout en ajustant du mieux qu'il pu l'uniforme un peu petit du soldat « Ryan ».
« Merci mon bichon, j'étais coincé sans toi ! Fais de beau rêve, et si tu es sage, tu auras une surprise à ton reveil... Héhéhéhéhé. »
Descendent par le même chemin qu'à son arrivé, Césare savait que son plan avait une énorme, béante, gigantesque faille. Le temps que resterait inconscient le fameux « Ryan », il devrait faire vite, mais bien. Pressant le pas, il se présenta à l'école, et passa le poste de sécurité assez facilement, avant de descendre vers les sous sol, vides, du bâtiment. Sur le chemin, alors qu'il allait pénétrer dans les fondations, une voix le fit sursauter quelques peu.
« Hep ! Le nouveau ! Tu fou quoi ici ?! »
Prenant une voix de brebis apeurée, il se retourna, bafouillant un peu avant de lâcher simplement.
« On m'a demandé de venir inspecter les sous sol... »
Effet instantané, le marine eut un rire tonitruant, avant de continuer son chemin, toujours aussi agare.
« Ah...Ces bizuts... »
Une dizaine de minutes plus tard.
Ayant terminé son travail, Césare remonta assez rapidement, essayant de trouver la salle de réunion. Il faut dire que sans cette condition, il ne réussirait jamais ! Alors plutôt que de ramer pendant des minutes entières, le jeune homme s'adressa à un garde, lui demandant gentiment ou il pourrait trouver le commandant, afin de connaître sa marque de café préférée. Et cela fonctionna.
Au même moment, sur un toit, un jeune homme récemment promu à son poste de garde, se réveilla. Il avait mal au crâne et l'esprit fortement embrumé. Que c'était-il passé ? Pourquoi était-il nu, là haut ? Et surtout, quelle était cette douleur au sommet de son crâne ? Passant la main dans ses cheveux, il sursauta en criant lorsque des bruits de coups de feu se firent entendre tout près de lui ! Reculant fortement vers le milieu du toit, il continua de tirer malgré lui, ne comprenant pas comment cela se pouvait-il, sur une île si tranquille !
Césare ne perdit pas un seul instant, lorsqu'il entendit les échos de la fusillade simulée de toutes pièces, il cria, mi-apeuré, mi-sûr de lui, tout près de la salle.
« AAH, On nous attaque ! »
Réaction tout à fait naturel, tout les gardes se mirent en branle vers l'extérieur du bâtiment, tandis que les « gradés », sortirent en trombe de la pièce, regardant le couloir avec méfiance, et n'apercevant qu'un jeune garçon un peu apeuré.
« Que ce passe-t-il mon garçon ? »
Simulant un bégaiement incontrôlable, L'Empereur répondit simplement, mais avec une certaine « difficulté ».
« Il y a des... échanges de coup...coup de feu...dehors, on nous attaque ! »
Le Capitaine lui répondit qu'il n'avait pas à s'en faire, que leur troupes étaient capable de s'en occuper, et qu'il devrait leur donner un coup de main. Pari gagné ! Ils ne se mouilleraient pas, n'iraient pas au combat ! Cela l'aurait arrangé, mais bon, c'était une conditions que le jeune homme avait prit en compte. Courant en direction des coups de feu, il bifurqua à droite, avant de sprinter une nouvelle fois, sa ruse ne fonctionnerait que très peu de temps... Et le couloir était long ! Une minute plus tard, de l'autre côté du couloir qu'il venait de quitter, il sortit son colt et avança d'un air décidé, tout en tirant des coups de feu...
Tout ce que virent les hauts gradés, ce fut un jeune garçon, toujours le même, qui tirait dans le vide, tout en criant...
« ils sont entrés ! Nous sommes infiltré ! Vite, sortez d'ici ! »
Le bon sens et le pragmatisme, qualités qui leurs avaient valu d'être promus, leur dicta de s'enfuir, ce qu'ils firent. Césare recula, feignant de les couvrir. Cependant, lorsqu'ils eurent quittés le couloir, celui-ci sortit le dispositif qui activerait à distance les mèches de la dynamite disposée un étage plus bas...
Un sourire espiègle, avant de lâcher.
« Et Viva la Revolucìon ! Stronzi !»
Cercando di soffocare rivoluzioni pacifico,
fa inevitabilmente la rivoluzioneviolenta.
Y a rien à dire viva la révolution ! Excellent rp fait, agréable à lire.
ça se lit que tu fais du rp depuis longtemps ^^
Pour moi ça sera sans aucun doute 1000 Dorikis, Exécuteur de la révolution. A mes yeux, le premier à mériter ce titre. Maintenant voyons ce qu'en pensent mes collègues.
Edit: J'ai pas vu le message de Ryu. Il a montré qu'il a un bon style. J'ai apprécié, pas trop de fautes. Peut être que je m'emporte ? Bon si personne ne vise les 1000. Je serais ok pour les 795 quand même.
Bon rp parmi nous
ça se lit que tu fais du rp depuis longtemps ^^
Pour moi ça sera sans aucun doute 1000 Dorikis, Exécuteur de la révolution. A mes yeux, le premier à mériter ce titre. Maintenant voyons ce qu'en pensent mes collègues.
Edit: J'ai pas vu le message de Ryu. Il a montré qu'il a un bon style. J'ai apprécié, pas trop de fautes. Peut être que je m'emporte ? Bon si personne ne vise les 1000. Je serais ok pour les 795 quand même.
Bon rp parmi nous