C’est quoi c’goût à gerber ? D’la gerbe ; la mienne, même. Mais, quand est-ce que ? Hum, Elza, Kickboy et ses potes. Je m’remets tous ces baltringues. Si je percute proprement, je suis enfermé dans un d’leur cachot improvisé. On voit que c’est le mobilier d’une chambre de gosse. Ou alors un mec qui n’a pas mangé sa soupe. Par contre, les barreaux épais comme ma queue, ça fait ‘achement moins enfantin. Y a comme un projet hostile pour ma face. J’sens qu’il va y avoir d’la danse. Même que j’suis dans l’ultime position de distribution de baffes.
Bordel, j’fais l’malin, mais si ça s’trouve, c’est en train de chauffer pour mon cul. Personne ne sait qui j’suis. D’ailleurs, c’est tant mieux. J’n’ai probablement pas une masse de potes dans l’secteur. Ça nique les poignets leurs chaînes. Ça s’sent que c’est du solide. En plus, y en a trois fois trop. Le contact de bandage sur mon corps me dit que j’ai été soigné. Y a deux types qui soignent leurs prisonniers : ceux qui ont des questions et les cons. Les deux n’étant pas incompatibles.
J’essaye quand même de m’dégager, le cliquetis de la chaîne est suivi de pas lourds. Des bottes avec des éperons, surement. Il prend son temps le salaud. Il soigne son arrivée qu’il conclut avec quelques pas de claquettes.
« Qu’est-ce que tu en penses, Julius Ledger ? »
Il connaît mon blaze ? Ma licence, probablement. Ça veut aussi dire que mon nom va alerter tous les trouducs à qui j’ai pété les genoux dans l’périmètre. Génial, c’est un pur cadeau. J’sens que j’vais passer un agréable séjour chez le Club Dead.
« Bravo mon gars, tu viens chez moi que j’te rende ta mère ? »
Automatiquement, il me met un pain. Un bien senti. D’ceux qui t’font vibrer l’cerveau. Il rigole déjà plus l’mec. J’essaye de ram’ner mes globuleux en face des trous pendant qu’il se retrousse les manches.
« Fais le malin, mais je te garantis que tu vas parler. »
Nouvelle tartine dans la tronche. Il y va franco, il ne pose pas d’questions. Il me travaille au corps pour m’faire craquer. J’encaisse en espérant ne pas crever dans c’trou à rat. Pour l’instant, je peux t’nir. Je sais qu’il va faire grimper la température. Comme je sais comment c’est censé s’finir, j’ai quand même la pétoche. Dernière mandale dans l’crâne et c’est l’noir total.
Bordel, j’fais l’malin, mais si ça s’trouve, c’est en train de chauffer pour mon cul. Personne ne sait qui j’suis. D’ailleurs, c’est tant mieux. J’n’ai probablement pas une masse de potes dans l’secteur. Ça nique les poignets leurs chaînes. Ça s’sent que c’est du solide. En plus, y en a trois fois trop. Le contact de bandage sur mon corps me dit que j’ai été soigné. Y a deux types qui soignent leurs prisonniers : ceux qui ont des questions et les cons. Les deux n’étant pas incompatibles.
J’essaye quand même de m’dégager, le cliquetis de la chaîne est suivi de pas lourds. Des bottes avec des éperons, surement. Il prend son temps le salaud. Il soigne son arrivée qu’il conclut avec quelques pas de claquettes.
« Qu’est-ce que tu en penses, Julius Ledger ? »
Il connaît mon blaze ? Ma licence, probablement. Ça veut aussi dire que mon nom va alerter tous les trouducs à qui j’ai pété les genoux dans l’périmètre. Génial, c’est un pur cadeau. J’sens que j’vais passer un agréable séjour chez le Club Dead.
« Bravo mon gars, tu viens chez moi que j’te rende ta mère ? »
Automatiquement, il me met un pain. Un bien senti. D’ceux qui t’font vibrer l’cerveau. Il rigole déjà plus l’mec. J’essaye de ram’ner mes globuleux en face des trous pendant qu’il se retrousse les manches.
« Fais le malin, mais je te garantis que tu vas parler. »
Nouvelle tartine dans la tronche. Il y va franco, il ne pose pas d’questions. Il me travaille au corps pour m’faire craquer. J’encaisse en espérant ne pas crever dans c’trou à rat. Pour l’instant, je peux t’nir. Je sais qu’il va faire grimper la température. Comme je sais comment c’est censé s’finir, j’ai quand même la pétoche. Dernière mandale dans l’crâne et c’est l’noir total.