Las camp. Une île aux deux visage. Le côté obscure dirigée par les gangs. Le côté lumineux dirigée par la marine. Mais ce n’est pas toujours évident de séparer ces deux mondes différents. Un restaurant du côté marine mais proche des terres obscures est fréquemment sollicité par des gangs. C’est une zone calme où ils peuvent se détendre un peu. Enfin calme… Les seuls lieux vraiment calmes ce sont les zones fréquentées par le terrible Mogaba.
Une belle soirée en perspective. Le restaurant est plein à craquer. Il y a une soixantaine d’individu. Les chefs cuisinier commencent à prendre du retard. Des gros mangeurs sont de sortie. L’ambiance est conviviale. Quelques visages sinistres sont ici mais il semble bien se tenir. Ils sont six et possèdent de gros sacs. C’est surement leur butin du jour. Ils viennent fêter ça. Aucun marine à l’horizon pour leur causer de problème ou créer des tensions. Pas mal de civils sont ici ainsi qu’un individu avec des bandages aux bras.
Cela fait quelque temps qu’Ivan n’était pas retournée à Las camp. Lui qui promit d’en faire une ile lumineuse et juste. Il s’apprête à vivre une péripétie dont beaucoup rêveraient de s’en passé.
Une dizaine de gros bras armée jusqu’aux dents arrivent. Des individus qui risquent de créer pas mal de problèmes. L’un commence à courir après des filles. Puis leur chef, un homme d’une quarantaine d’année avec le visage marqué par de nombreux coups. Il est petit de taille, à peu près un mètre soixante. Il ouvre la bouche et une voix grave qui fait trembler le restaurant sort de ce petit corps.
-Eh eh eh. Mais c’est pas les petites voleuses du cartier Est avec de gros sacs là-bas. Ils sont venu nous remplir les poches en cette période de crise qu’elles sont mignonnes. Descendez-les.
De l’agitation est créée, les civils s’enfuit le plus vite possible. Le pauvre restaurant qui allait faire un bon chiffre n’aura pas un sou.
Une belle soirée en perspective. Le restaurant est plein à craquer. Il y a une soixantaine d’individu. Les chefs cuisinier commencent à prendre du retard. Des gros mangeurs sont de sortie. L’ambiance est conviviale. Quelques visages sinistres sont ici mais il semble bien se tenir. Ils sont six et possèdent de gros sacs. C’est surement leur butin du jour. Ils viennent fêter ça. Aucun marine à l’horizon pour leur causer de problème ou créer des tensions. Pas mal de civils sont ici ainsi qu’un individu avec des bandages aux bras.
Cela fait quelque temps qu’Ivan n’était pas retournée à Las camp. Lui qui promit d’en faire une ile lumineuse et juste. Il s’apprête à vivre une péripétie dont beaucoup rêveraient de s’en passé.
Une dizaine de gros bras armée jusqu’aux dents arrivent. Des individus qui risquent de créer pas mal de problèmes. L’un commence à courir après des filles. Puis leur chef, un homme d’une quarantaine d’année avec le visage marqué par de nombreux coups. Il est petit de taille, à peu près un mètre soixante. Il ouvre la bouche et une voix grave qui fait trembler le restaurant sort de ce petit corps.
-Eh eh eh. Mais c’est pas les petites voleuses du cartier Est avec de gros sacs là-bas. Ils sont venu nous remplir les poches en cette période de crise qu’elles sont mignonnes. Descendez-les.
De l’agitation est créée, les civils s’enfuit le plus vite possible. Le pauvre restaurant qui allait faire un bon chiffre n’aura pas un sou.
Dernière édition par Ivan De Cimitiero le Sam 8 Déc 2012 - 21:15, édité 2 fois