Azraël
Pseudonyme : à venir en rp Age: 20ans Sexe : Homme Race : homme Rang : Métier : bucheron de ton coeur Groupe : Pirate dès la validation svp ! Déjà un équipage : Shinoryu Kaizoku [intégration est prévue] But : devenir le meilleur sabreur du monde en relançant le style à un sabre Fruit du démon ou Aptitude pour la suite : Équipements : Eien no kinzoku / un sabre banale Codes du règlement (2) : Parrain : Mizukawa Sutero tu le voie tu le voie plus Ce compte est-il un DC ? : non Si oui, quel @ l'a autorisé ? : |
_ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _________ Physique Cent-quatre-vingt-trois centimètres, eh oui, Az retient probablement d'un géant pour ce qui en ai de sa grandeur, peut-être un vieux parent éloigner ou simplement un coup de chance hormonal. Chance ou malheur, ça dépend du point de vue. Le jeune homme détient aussi contre son gré, l'appétit légendaire qui précède souvent cette race de barbare. On n'imagine pas souvent un grand gaillard se nourrir d'une salade je vous l'accorde, mais de son côté c'est encore pire que ce qu'on s'imagine habituellement. Avec cet énergumène on tourne autour des sept repas par jour collation non incluse. Eh oui, l'épéiste remercie d'ailleurs son dieu préféré (clémence et hasard) d'avoir créé des buffets ouverts dans presque chaque grande ville ! Si vous vous attendez à un gros ours en peluche et coeur d'or, comme la plupart des gens qui sont habitués au stéréotype du grand garçon au coeur tendre et bien détromper vous, notre ami si présent est un vrai malade mental... Frapper, couper, détruire et rire sont les quelques maux, qui peut importe la situation ne le laisseront jamais tomber, plutôt macabre non... Oui, mais pas pour lui. Même s'il n'est âgé, que d'une vingtaine d'années, son visage est toujours crispé par des expressions inhumaines, voire démoniaques, qui comme conséquence, le vieilli un peu avant son temps, elle lui rajoutant l'air d'avoir un peu plus que son âge, mais les gens n'imaginent pas un vieillard non plus. Son corps en revanche est tout aussi bombé que son physique le lui permet, des muscles complètement déments démontrent que s'il avait été plus gras, la possibilité de faire du culturisme ou des concours de maillot de bain n'aurait pas été une option, mais plutôt une obligation. En revanche, ce corps maigrichon apporte plus, une sensation de froid dans le dos, ses muscles très longs donnent l'air d'être près à éclater sous la pression et le découpage créé par ses muscles nous apporte souvent des réflexions célèbres tel que : C'est possible un corps comme ça ? Non, mais je veux dire, c'est inhumain ? Il a mangé quoi, du fer toute son enfance ? Mmm, qu'il est séduisant ! Pardon, je me laisse emporter... Ses vêtements sont constamment déchiquetés, voir réduit en morceaux. Un grand nombre de personnes, pensent qu'il n'a pas d'argent pour s'en acheter de nouveau ou qu'il est tout simplement un clochard, la vraie raison c'est qu'il s'en fout! Il porte tout ce qu'il peut trouver et qui est encore descend quand il le trouve sur le corps encore trop souvent en convulsion d'un adversaire, mais quand on pense qu'il n'a jamais réussi à trouver un vêtement de sa taille en magasin il vaut mieux le laisser faire. Il porte aussi de grands tissus un peu partout, recouvrant son corps à la manière de bandage, pourquoi, penserez-vous? C'est bien stupide, mais bon. Il se recouvre souvent telle une momie au cas ou il se ferait blesser, une fois la blessure faite, il serait déjà enrobé de pansements! Voyons, pour qui le prenez-vous? Un idiot? Nan, c'est tout réfléchi d'avance ! Les seules choses qui ne sont pas comprises comme un vêtement pour lui sont les bandages autour de sa bouche, le bandeau frontal qu'il place chaque matin sur son crâne et son ensemble d'escrime qu'il garde généralement sous ses trouvailles. D'abord, le bandage de sa bouche, une bande blanche de tissu assez soyeux qu'il porte pour cacher sa petite déformation, à vraie dire, ses dents sont depuis sa naissance d'un piquant incroyable, tranchante comme des rasoirs et triangulaire comme des euh, triangles ! Par chance la honte qu'il porte à sa dentition n'est pas la seule raison qui le force à ne jamais dévoiler sa cavité buccale. La deuxième et dernière raison est sa volonté de relancer le style Ittoryu, de se fait il masque sa bouche pour tenir tête aux reconnues Roronoa Zoro, toutes les légendes de cet être incroyablement puissant et premier à avoir amené le style à trois sabres jusqu'aux limites de l'impossible font rêver les jeunes escrimeurs en devenir, mais lui tien fermement l'idée que le talent ne dépend pas du nombre d'armes que l'on détient. Ce bandage détiens donc la palme en terme d'étrangeté le concernant, mais comme vous pouvez le remarquer, il laisse descendre les retailles jusque dans son cou, afin de cacher une tentative de suicide, alors qu'il croyait sa vie terminée, il avait tenté de se pendre, mauvaise idée! D'autant plus que maintenant, en dessous de son menton on peut voir les marques permanentes, laisser par la corde... l'option bandeau était donc indispensable. L'idée lui était venue alors qu'il s'était entaillé l'avant-bras avec sa propre lame, une question de ne pas être digne de son art ou un truc semblable... Bref, il se croit maintenant maudit à devenir le meilleur, s'il ne peut pas lui-même mettre fin à sa vie, qui le pourra ? Le bandeau frontal, détiens quant à lui une histoire beaucoup moins longue où complexe, mais reste tout aussi folle, car il pense que le fait d'avoir un bout de métal sur sa tête empêchera à ses futurs adversaires de lire ses mouvements dans ses yeux, il faut avouer qu'il gagna le premier combat après l'avoir mis, dans une région désertique, soleil levé, reflet dans les yeux adverses... Oui les victoires ne sont pas toutes bonnes à raconter. Mais le destin tomba une fois de plus sur cet idiot... L'ensemble d'escrime est vraisemblablement l'objet le plus utile, mis à part son arme et ses chaussettes. Il lui sert à la fois de manteau et de fourreau à tout type de sabre, en plus d'avoir un renfort de métal sur chaque côté de ses hanches pour parer les coups mortels vers le bas. Pour finir cette magnifique description physique, car on ne peut pas finir sur de petites anecdotes amusantes comme ça! Il reste le seul et l'unique bien de Az, un vieux bout de métal presque rouiller. Quelle utilité me direz-vous ou arête de parler on s'en fout? Encore une fois, c'est bien simple et il vaut mieux le savoir si vous comptez le rencontrer! C'est son arme! Un joli sabre indestructible, indestructible est ici représenté par le miracle qui tourne autour de la lame, après tan d'année de combat plus désespérer les uns que les autres, ce bout de métal tout cassé, égrainer ou même fendu est encore droit, près à tenir le coup pour un éventuel dernier combat et semble toujours digne d'être utilisé. Mieux vaut encore croire en elle, car ça fait bientôt une dizaine d'années qu'elle attend fermement son dernier combat. Compte tenu de son obstination à vouloir rester en vie, Az l'aura placé en haute estime en lui donnant le poste tant convoiter de meilleure amie et de petite copine. Elle se nomme Eien no kinzoku, mais il l'appelle ma chérie ou bébé. Nom original ou pas, au moins elle fait le bonheur d'un homme en plus d'être la meilleure confidente du monde. Psychologie Az est une fois pour toutes, un Malade mental et il le démontrera très facilement, dans n'importe quelle situation de la vie courante. Que ce soit pour l'amour étrange qu'il porte à son amoureuse de métal, le fait qu'il lui parlant sans arrêt, qu'il lui donne des bains savonneux en appliquant des massages avec sa langue contre son corps froid, ou bien encore en se cachant lorsqu'il y a des oiseaux qui volent tranquillement dans le ciel, son comportement est vraiment, disons étrange. Les oiseaux sont beaucoup plus qu'une peur pour lui, ils sont une phobie démoniaque! Il criera des injures à ces monstres volants, ou leur lancera tout un tas d'objets en espérant les faire disparaître de la surface de la Terre. Il lui arrive parfois de se cacher dans l'ombre sans raison apparente pour en fait, diminuer les chances de se faire repérer par l'un de ces animaux volants. Fou? Mais oui et depuis longtemps! À aussi n'essayez pas de le faire voler, c'est le même résultat avec un peu plus de vomissure. Tout ce qui monte retombe et retombe toujours trop vite, c'est sa devise. Az est aussi amateur pour ne pas dire, passionné de sensations fortes, se jeter dans la mer quand il aperçoit des requins, pour les « observer de plus près » ou simplement essayer de réaliser des cascades complètement disons-le impossible ou surhumaine, Azraël est votre homme. Il lui arrive aussi de se lancer des défis complètement stupides du genre : j'arriverais en haut de cet arbre avant toi! Dit comme ça, tout va bien, mais lancer un défi à une pierre n'a rien de noble croyez-moi. Il lui arrive aussi de commencer à courir sans raison pour attraper une pièce de monnaie qui traine. L'argent. Il l'adore et le déteste à la fois, heureux d'en avoir il est le genre à le perdre, le parier sur le cheval handicapé, le dépenser en nourriture alors qu'il n'a pas faim ou même le faire disparaître dans un casino, Az est un gros joueur compulsif qui doit absolument rester loin des machines à sous et se pour le bien des croupiers qui ne veulent surement pas rivaliser avec son bébé. Dans de telles situations il le maudira, l'argent pas le croupier et se sans vraiment réaliser qu'il est bien sûr la cause numéro un de cette perte, en fait il n'a jamais d'argent sur lui et par malheureux ne lui en donner pas, sous aucun prétexte! Il pourrait tout aussi bien s'amuser à le bruler sans raison! On n'aurait jamais dû lui dire qu'un billet sur cent brulait d'une couleur différente... C'est généralement lors d'un de ses incroyables défis qu'il engage un combat, peu importe les moyens pour lui, tout est permis, il n'aime s'amuser qu'avec des victimes de choix ou des gens qui peut importe les moyens feront tout pour perdre avec classe devant lui. Un léger côté psychopathe refait surface lorsqu'il perd un combat ou qu'il se sent désavantager, il aime le sang, son sang, mais il adore encore plus celui des autres! Il sera toujours le premier arrivé pour un combat ou un affrontement, si l'occasion de se battre en groupe se présente il attaquera simplement tout ce qui bouge, l'agressivité est donc un défaut comme une qualité chez lui. Le rôle de tête folle, bourrin, kamikaze et j'en passe sont sous son nom dans le dictionnaire. Il reste le coter le plus drôle chez se bouffon, les « hallucinations » qu'il est toujours le seul à voir, des dragons, ogres ou même des charmants lapins en plaine copulation, il peut s'imaginer de tout, plutôt agaçant en général, surtout la nuit quand il n'y a pas un bruit et qu'il crie à en cracher ses poumons « au feu! au feu ! On évacue vite! » Le pire dans ses hallucinations c'est qu'elle ne sont pas toujours présente, parfois des mois s'écoule entre deux d'entre elles. Une chose est certaine à respecter dans ce cas-là, il ne faut pas lui dire qu'il se trompe où il vous recommandera à ça tendre petite amie. Imagination ou folie, tout lui va à ravir. - Az pourquoi à tu coupé cet arbre ? - Il ne m’inspirait pas confiance. - Pourquoi ? - Son air songeur, je suppose… Biographie Az était depuis un moment sur la piste d’un imbécile qui lui volait ses primes, un garçon ignoble et fraichement sorti des jupons de sa mère. Le crétin n’avait qu’une seule chose qui dérangeait le chasseur, la façon qu’il utilisait pour entrer dans le métier. Le genre de méthode qui ne débute qu’avec seulement un coup d’avance, toujours ce mauvais coup d’avance… Il allait bientôt se rendre compte que ce monde n’était pas pour tous. Comment arrivait-il à faire de telle prouesse de toute façon? Ça, seul un dieu aurait pu le savoir et l'expliquer au déganté, mais ce qui faisait le talent d'Az était bien plus que le simple fait de savoir utiliser une arme ou de pouvoir résoudre un casse-tête, ce qu'il avait de plus s'était la surprise. Jamais personne n'avait réussi à envisager le moindre de ces gestes jusqu'à ce type-là. Un homme pas trop grand pas trop gros, qui pour arme utilisait une petite agence de mercenaire, rien de bien important encore, mais le fait qu'ils ne choisissent nul autre que lui le mettait dans une posture bien malhabile. Comment ferait-il pour faire vivre son bébé ? Lui qui venait de lui promettre une belle soirée massage avec de la cire d'abeille de première qualité... Non s'en était assez, se jeune blanc bec arrêterais de voler ses primes à Azraël l lame de géant. C'était comme ça que la marine avait choisi de le nommer, personnellement, il aurait de loin préféré le prince Az, mais il ne pouvait pas choisir. C’est donc par un soir paisible où la douce brise du vent vient à peine chatouiller le bout de notre nez que la fatigue eut raison du nomade, le forçant à trouver refuge dans l’auberge la plus proche. Il s’installait lentement sur le petit tabouret de bois, celui juste en face du bar et des bouteilles à moitié vides ou à moitié pleines, voyer le comme vous le voulez. C’est là, dans ce bar vide où on pourrait entendre des mouches volées, si seulement il y en avait en cette période de l’année, qu’il débutait une conversation anormale avec le serveur malhabile, barman médiocre et/ou petit binoclard faible de service. « Bonjour mon cher monsieur » avait-il commencé par prononcer, puis ensuite après avoir apporté ce que l'épéiste commanda, un jus de fuit frais, il eut le culot de lui parler du beau temps, il avait peur ça se voyait à son visage parsemé de pustule et alors qu'il commençait à ennuyer le voyageur, il piqua enfin sa curiosité, rallongent par la même occasion sa vie de quelques instants de plus. Az dû se sentir assez simple d'esprit et lui répondit simplement tout en commençant par : - Apporte-moi la bouteille dans ce cas, paye aussi ma facture et prend toi de quoi ne pas baver partout, je ne la raconte qu'une fois et en vitesse. Le jeune dit oui à toutes les requêtes, comme s'il accordait son dernier repas à un condamner. Sur un ton neutre, mais d'une voie glaciale, Az débutait donc le triste récit d'une autre vie misérable, encore une fois trop tâcher de sang, encore une fois trop merveilleuse. - Le tout avait débuté par une mère absente, toxicomane et probablement prostituer, le père lui s'était tiré à la seule nouvelle que sa conquête annuelle fut enceinte, un lâche comme beaucoup d'autres, tu vois, un minable qui ne se ferait même pas manger par des rats, un pirate. Tu connais des pirates ? Le jeune fit oui de la tête et d'un air plus intéresser qu'il y avait trente secondes s'était mis à réellement écouter ce que lui dictait son nouveau camarade. Azraël se racla la gorge et ne fit pas attention à sa voix qui teintait en parlant de son triste passé. Puis il continua. - De mon propre chef, je quittais ma mère sous prétexte qu'elle dormait depuis trop longtemps, huit jours sans signes de vie, soit elle avait encore trop abusé de l'alcool ou mon imagination d'enfant ne me laissait pas entrapercevoir d'autres possibilités. Je la quittais, je quittais tout, les quelques faux amis qui étaient proches de moi tout en me détestant et les quelques autres personnes avec qui j'avais simulé un semblant d'affection. Ma vie ne débutait pas plus qu'elle ne débute aujourd'hui petit barman, mais pour la première fois, j'éprouvais ce sentiment si réjouissant, celui de la liberté qu'on appel. - Je croyais bon pour moi de pouvoir me coucher quand j'en avais envie et de ne manger que des friandises tout en parlant aux quelques créatures démoniaques qui apparaissait quand la fatigue venait me chercher, pour la première fois j'avais fait un choix et pour la première fois j'éprouvais un remord. Le tout suivi de solitude et de désespoir. Que penses-tu que ressent un enfant alors que le premier choix de sa vie est un échec total? Un bref instant s'écoula, le barman semblait songeur, mais n'osa pas répondre, il était vraiment trop étrange cet enfoiré et en plus il donnait l'impression d'analyser chaque mot, son ou dire du chasseur de prime, peut-être que sa réputation l'avais déjà fait connaître de se jeune, surement. Certainement. - Eh bien non, ne réponds pas, c'est une chose trop horrible, mais j'ai été sauvé, par un ami ou tout simplement un homme assez bon pour se préoccuper des autres. Comme ma mère je ne me rappelle pas de son nom à lui non plus, un autre truc triste que tu peux ajouter dans la liste. Néanmoins, ce gars je lui dois la vie, alors que personne dans la salle ne crache sur son nom peut importe soit-il, il m'a gratuitement hébergé, laver et nourris. Je tiens à préciser que la baignoire était fournie, mais jamais les deux en même temps et efface moi se sourire veux tu ? Tu ne voudrais pas finir la langue coupée alors ne répond pas. - Bien qu'il n'aurait jamais dû, il m'a aussi offert un truc de plus, la volonté et pour ça je le tuerais s'il n'était pas déjà mort. Il m'a transmis la seule valeur capable de me maintenir en vie, celle qui résonne en permanence dans ta tête quand tu crois que tout est fini et qui t'empêche d'abandonner en plein combat. Il était un chasseur de primes, pas l'un des plus réputer, mais il avait une bonne pile de feuillets remplie à son actif. Son but n'était pas de percer dans le domaine, mais d'en vivre, à en arrêter ou carrément assassinant des gens rechercher par la loi. Je trouve que ce mode de vie est raisonnable et c'est pour ça qu'aujourd'hui je fais ce métier, un peu à sa place en quelque sorte. Je dis tout ça, mais je ne dis rien, il est mort et je devais avoir quoi, une dizaine d'années? J'étais tout jeune encore, mais sur son lit de mort j'ai juré reprendre le flambeau et sa chemise, il était presque comme un père pour moi ou du moins, il était ce qui s'en rapprochait le plus. J'ai suivi sa voie, durant un grand nombre d'années, au début comme lui pour combler un manque, je vivais de mon métier. Ensuite, j'ai étrangement commencé à développer une vraie nature pour ça, j'éliminais mes proies et les rendait mortes ou vives avec la satisfaction du devoir accompli, mais un jour l'un de ceux que j'avais attrapés, c'est échappé, et m'a fait cette cicatrice que tu vois là sur mon bras droit. J'aime mieux ne pas te dire ce que j'ai fait de lui, mais disons que j'ai touché sa prime une dernière fois pour la dernière fois. - D'une traite il finit la bouteille de jus de fruit puis s'enfonça deux doigts dans la bouche, vomie, quelle substance étrange et si puante. Pourquoi ? Le goût trop sucré venait de tourner, il n'avait plus envie de boire ce jus pour enfant. C'est donc avec un regard sombre qu'il interrompit les gestes du barman. Il re-déposa son torchon et tout en silence revint l'écouter, tous deux ne firent bientôt plus attention à la flaque opaque et puante. - Après cette histoire j'ai commencé à prendre goût au sang, ce n'est pas propre, mais chacun ses goûts, je n'en bois pas t'inquiètes pas je suis pas aussi fou que les vampires! Mais ça me procure en sentiment inexplicable et contrairement à mon vieux sauveur, j'ai eu l'envie de percer et de devenir meilleur, mais je ne me satisfaisais plus des minables dans ton genre, je voulais des plus gros cas, pour satisfaire mon appétit tu vois? Je suis donc parti à la pêche au gros, refusant quelques offres de partenariat venant des deux camps, il n'avait rien de satisfaisant, ils manquaient de testicule ces gars-là, j'aurais pu les diriger, mais c'était trop de travail et bébé aurais été jaloux. Il flatta le dos de son arme puis la sortie de son étui et commença à la caresser tel un musicien sur sa harpe, il la grattait parfois selon ses demandes inaudibles... tout en continuant. - Je cherche un gars qui me surpasserait ou m'égalerait pour faire route sinon pas la peine de même envisager, cette personne doit me foutre une volée dans l'un de mes défis, sinon je ne la suivrais jamais. C'est comme ça que je travaille moi! Tu peux m'appeler Prince Azraël. Ça fait environ une autre dizaine d'années que je travaille comme ça et crois-moi ou pas, je me suis fait avoir pour la première fois, il y a environ une semaine, un gars à commencer à me voler mes proies pour la première fois, je me suis senti dépasser par les événements. Je n'ai pas encore tout compris sur lui et sa manière d'agir et je n'envisageais même pas de le voir se pointer un jour. Je suis présentement en train de le pister, peu importe le temps qu'il faut, je vais l'avoir, je sais qu'il m'aime bien parce que je suis prévisible, je t'avoue que je crie parfois en chantant que telle ou telle personne se trouve à telle place et ainsi de suite.... T'en penses quoi tu ne devais pas t'attendre à ça hein le barman? Et il lui répondit avec un air rempli de malaise. « Non pas du tout, je vous aurais imaginé plus pirate que chasseur de prime. » Je me rappelle encore de sa façon hésitante de me répondre où de me parler au fur et à mesure que je lui dévoilais ma vie et mes secrets. Je m'étais levé aussi doucement que je m'étais assis et lui avait montré mon arme, ma douce amoureuse, il avait pu constater de ses yeux à quel point elle était magnifique. Un vrai bijou-celle-là, je m'avançais en lui parlant d'elle et en mimant de la façon avec laquelle j'embrochais mes victimes, il riait nerveusement. Puis vif comme l'éclair, je lui enfonçais ma douce lame dans les entrailles, en lui disant que j'avais bien dit que je le retrouverais et qu'il allait cesser de me voler mes emplois. Il essaya bien de me blesser avec l'un des couteaux qu'il gardait dans ses mains, mais trop tard pour lui, je pouvais maintenant passer au prochain, mais avant, je lui chuchotais à l'oreille « J'étais ici, mais pour toi, je me suis permis une folie, pour la dernière fois j'ai raconté mon histoire, elle est courte je te l'accorde, mais il n'y à rien de plus à dire à mon sujet, je suis aussi flou que ta vision. » Az sortit ensuite du bar, ce type était bien le cerveau, mais jamais il n'aurait fait le poids, peut-être aurait-il dû se salir les mains au lieu de simplement dicter des ordres à des brigands de bas étage. La vie de Az n'était pas compliquée, les meurtres et tout ce sang avaient souillé son esprit, son dur passé le hantait et nul ne pouvait lui en vouloir. Il est ce qu'on appel le rat qui à force de se faire rejeter devient plus gros, infiltre les tunnels et viens vous dévorer vivant. Test RP - Une histoire à trois sous Une petite semaine s’était écoulée depuis l’incident avec son ancien rival et depuis, Az s’était enfermé dans un bar du coin dénommé ‘’ le lutin bleu ‘’. Un endroit chaleureux et agréable à vivre, remplie constamment de gens puants et débordant de liquide inflammable, par chance l’épéiste qui s’était réservé une banquette au fond n’était pas à tendance pyromane, du moins pas aujourd’hui ni les quelques jours passés. Rosie, la serveuse qui avait pris l’habitude de le tolérer ou simplement de lui apporter des vers toujours différents agrémenter de paille multicolore et d’ombrelle insignifiante s’était assise près de lui ce jour-là, encore. D’instinct il lui répondit sans même la regarder : - Relève-toi, je n’ai pas encore changé d’Avis, je suis fidèle en amour. - Mon chou, ça te ferait du bien, aller vient te changer les idées… Le ténébreux dépressif soupira au travers de ses bandelettes, chaque jour c’était la même histoire, elle tournait autour du plus grand mec du bâtiment, lui servait un vers ou deux et lui offraient ses jambes. Az la trouvait drôle au début, mais depuis que ce mi-géant ne revenait plus, il payait le prix pour s’être moqué. La femme continuait de parler, mais lui ne l’écoutait pas, il réfléchissait à autre chose. Ce fut seulement quand elle s’approchât encore d’une fesse qu’il l’interpella de nouveau, décourager et trop irriter pour la tolérer plus longtemps. - J’ai une idée, ferme ton clapet, prend mon argent et joue aux dards pour moi, si tu gagnes je te donne une minute pour vendre ton produit. Dit-il en placent ses deux derniers billets sur la table. - OK, merci bébé. Quelle inconsciente, seule sa chérie l’appelait ainsi, mais au moins elle avait lever se cul d’or artificiel et partait en direction du jeu accrocher, ironiquement au mur opposer. Ça laissa le temps aux grands gars de retourner dans ses pensées. Un air songeur et complètement perdu était de nouveau perceptible dans se regard vide, de loin on pourrait penser à un homme atteins d’une crise cardiaque qui bêtement serais mort le coude sur la table, main retenant sa tête, mais non, de près on voyait une fois de temps en temps ses yeux se fermer pour péniblement se rouvrir. Un nouveau type entra dans le bar et de blanc vêtu cette fois, oh merde, un représentant de l’oiseau… Az ce calla au fond de son antre, mais ne fit qu’attirer un peu plus l’attention du gringalet. - Eh, monsieur ! Monsieur ! C'est pas vous qu'on recherche dans l'enquête sur la mort du type... Eh, monsieur ! Mais revenez, je veux juste vous causer ! Revenez ? Ce n’est pas comme si se lever après tant de temps pour aller à la toilette était maintenant considéré comme un délit grave, du moins pas à sa connaissance. Le blanc soldat s’avança d’une traite coupant l’herbe sous le pied de la folle aux dards, de se point de vue là, il venait de gagner un point le marin. - Oh pardon mademoiselle, je souhaite m’entretenir avec cet homme si vous le permettez. Un vrai Shakespeare, ses paroles massacraient les intentions de la jeune femme comme l’aurais fait ça belle et grosse lame. Dommage. Dans la vie on ne peut pas tout avoir… - Bonjour, Richard, je suis Richard ! je peux m’assoir ? - À une condition Riche. - Richard, quelle condition ? - Retourne ta casquette de l’autre côté mon p’tit Rachi. - Richard, mais d’accord. Ricardo s’exécuta, puis s’assit sur un petit banc de bois juste en face du grand gaillard. Un petit moment passa avant que l’un d’eux ne veuille bien donner signe de vie è l’autre. D’un côté, le pourquoi sur son chapeau et de l’autre, gloire à dieu, l’insigne de l’oiseau n’était plus visible. - Je suis certain que c’est bien vous ! Azraël le chasseur de prime, ex-chasseur. Pardon. - Mais non Rishi, tu te trompes. - Richard, mais je suis certain que c’est vous. Attendez un instant, je crois, avoir votre photo sur moi. - Pas la peine Ricci, tien. Az tendit un bout de papier griffonner qu’il tenait non loin, c’était bien son portrait, mais quel idiot quand même. - Je l’ai reçue en même temps que le nouveau carnet habituel, sauf que Righi, aux lieux du carnet avec les nouvelles primes, vous m’avez envoyé une mauvaise photo de moi avec ce chiffre ridicule. - C’est richard, mais j’avais donc raison ! c’est bien vous. - Je te dis que tu te trompes Riche. Un malaise plana sur place, d’un côté le grand type enfilait une paille colorée sous son bandage buccal avant de siroter son jus de fruit, de l’autre le gamin aux lunettes qui analysait les deux visages, pas de doute possible c’était bien le même homme. - Pardon, c’est Richard ! Mais, je suis certain que c’est vous, je n’ai encore jamais vu cette épée auparavant et je comte bien en avoir une d’exception, alors imaginez mon savoir, je suis certain, vous êtes Azraël le boucher. - Mmm, désolé rachi, je ne suis pas un boucher non. - Richard. - Rachi. - Richard. - Ric. - Richard ! - Ranchi ! - Richard, bref avec mon poste de sous officier et les droits qui me son conféré, je vous demande Azraël de me suivre, vous pouvez garder le silence ou bien payer votre dette envers la société maintenant. Az s’affaissa sur la table comme un chiffon, il pleurait à chaude larme tout en murmurant des petits morceaux de phrases inaudibles. Le marine vint s’assoir plus près de lui et passa un bras autour de ses gigantesques épaules. - Ne t’en fait pas, je ne te mettrais pas de menotte, je suis gentil, si tu veux on peut même régler ça ici, tu as de l’argent ? - Tu es bien gentils Riccio, mais c’est pas sa qui me rend triste… - Richard, mais alors c’est quoi ? - Bah ça saute aux yeux Ric, tu ne vois pas ? - Richard, mais non désolé. - Regarde sur le papier, non seulement ils ont fait une faute à mon nom, mais en plus ils ont oublié huit zéros. L’officier recula doucement, s’il disait vrai il ne ferait pas le poids du tout contre lui, mais d’un autre côté, comment les informateurs de la marine pouvaient se tromper là-dessus ? Huit zéros, franchement non il devait se payer sa tête. - Je suis désolé, tu dois faire erreur, la marine ne se trompe jamais. - Alors tu insinues que je ne vaux que trois sous Righi ! - C’est RICHARD, mais ça dépend, à tu tuer cet homme ? - C’est une question piège ? - Non… - Alors oui. - QUOI ? - Quoi, quoi ? - Tu avoues comme ça ? Aussi bêtement ? - C’était donc un piège ? - Non. - Alors oui c’était moi. - QUOI ? - Je l’ai tué ? Avec cette épée en plus. L’officier n’en revenait pas, les évènements le dépassaient et il allait devenir fou s’il ne faisait rien, comment un homme aussi pauvre d’esprit avait réussi à tuer un chasseur de primes grandissant … Richard repris son souffle et d’un ton solennel tout en bombant le torse, prononça quelques mots : - Pour le meurtre volontaire de Macro du belgicisme, vous êtes tenue de me suivre jusqu’en cellule, votre prime augmente au niveau de meurtre et vous êtes dorénavant considéré comme un homme dangereux. - Dit Rico, je peux te poser une question ? - C’est richard, mais euh oui ? - Rouge ou gris ? - Quoi ? - Rouge ou gris ? - Désolé, je croyais avoir mal compris, je prends rouge. - Tu es sur ? Il y a gris aussi. - Je peux changer ? - Oui. - Gris. - Bon choix. Azraël se leva et ramassa son fendoir géant, le traina au sol un moment avant de l’accoter sur son épaule. En arrière, l’officier cherchait è comprendre se qu’il venait de choisir gris… mais pourquoi gris. C’est donc sur un pas lent, mais décider qu’Azraël sortit de cet enfer de bar, il urina d’abord en pleine place publique directement dans l’abreuvoir a chevaux et ce même avec un enfant non loin, puis repris sa marche vers le soleil couchant. À l’intérieur du Bar, l’officier compris qu’il venait de se faire rouler, couru jusqu’à la porte et se fit agripper le bras par une demoiselle aux derniers moments. - Attendez, ne partez pas. - Qui êtes-vous ? - La serveuse, mais je viens pour votre amis, la règle de la maison stipule que si un joueur ne peut jouer, le personnel peut le faire à sa place, mais ne peut rien empocher, donc voilà les cinquante mille Berrys, gagné aux dards. - Cinquante mille ?! - Oui, il a parié à dix contre un et gagner. L’officier n’en revenait pas, cet idiot ne devait pas en être un finalement, mais même s’il venait de le perdre dans la nature, cette grosse somme d’argent conviendrait à payer ça dette envers la société. Se ne serais donc pas aujourd’hui que le monde connaitrait son nom, mais bien au prochain délie, et son nom figurerais dans la liste des pirates sans l’ombre d’un doute. Un peu plus loin, Az se demandait s’il devait tourner à gauche ou à droite, mais choisit enfin la droite, ainsi il avançait vers de nouveaux horizons, ainsi pouvait commencer une nouvelle aventure. Un peu moins loin, dans un bar miteux dénommé ‘’ le lutin bleu ‘’ un homme s’assoyait à la banquette du fond et mit la main sur deux choses, la première, un chewing-gum rouge, le deuxième, un papier de gomme grise. Quel idiot non, mais, il aurait au moins pu ramasser ses déchets. |
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- Prénom : A
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N'aime pas : les enfoirés
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Dernière édition par Azraël le Mer 19 Déc 2012 - 4:54, édité 13 fois