>> Ohi Ezam
 | Pseudonyme : Soïdana no Ohi. Age: 16 ans. Sexe : Homme. Race : Humain. Rang : Pirate. Métier : médecin Groupe : Pirate Déjà un équipage : Shinoryu!!! But : Mettre au point et développer une nouvelle technique médicinale. Fruit du démon ou Aptitude pour la suite : Fruit du Serpent, modèle cobra royale. Équipements : Une sacoche médicale, contenant: trois scalpels de tailles différentes, quelques anti-douleurs, drogues, pansements, fil à coudre. Codes du règlement (2) : Parrain : Mizukawa Sutero Ce compte est-il un DC ? : Non Si oui, quel @ l'a autorisé ? : ... |
>> Physique Etait-il simplement possible de mettre un doigt sur Ohi en sachant qu'il était si différent de tout le monde? Comment pouvait-on le qualifier? Il y avait énormement d'adjectif possible pour qualifier la personne qu'il était, mais aucun n'était réellement plausible. Il n'était maintenant plus qu'une forme, de chair, d'os et de sang. Il n'était plus qu'une entité. Un démon. Un cauchemard caché sous une apparence angélique. Ses cheveux, tel une longue crinière, d'un noir aussi intense qu'une nuit des plus sombre, lui donnait un air mystérieux. Chaque centimètre de cheveux donnait à Ohi l'apparence d'un ange déchu, d'un monstre parmis les homme, tandis que par la même occasion, ils laissaient paraître sur son visage une sorte d'air efféminé qui lui convenait à la perfection. Son visage, lui, aussi fin que celui d'une déesse parmis les amazones, n'avait rien de réellement masculin. Il était un homme dont la silhouette aurait pu laisser paraître celle d'une femme pour les esprits les plus torturés par le doute. Sur ce visage fin se dressait deux grands yeux d'une rare symétrie, et d'un rouge vif, dissimulant toute haine ou sentiment négatif présent dans le coeur du jeune homme. Ses yeux n'étaient autre que le reflet de sa personnalité, quelque chose de rare et incompréhensible. Un nez, ni trop fin, ni trop épai, placé parfaitement au centre de ce visage androgyne, marquait un point d'or sur la perfection qu'Ohi adorait tant: une fin arrête osseuse qui laissait place à un cartilage fin et étrangement droit, qui, finalement, laissait place à deux petites narines discrêtes. Quand à sa bouche, s'en était de même, de fines lèvres sans réelles couleurs, dissimulant une dentition qu'Ohi avait appris à cacher, ou à utiliser avec parcimonie, car en effet, la dentition d'Ohi n'était encore une fois qu'un atout de plus dans sa poche pour son désir de manipulation. Enfin bref, que dire de plus sur ce visage mis à part le résumer? Un front lisse et léger, masqué par une magnifique crinière noire, continuant sur de fines joues et un menton discret et légèrement pointu. Le corp d'ohi, lui, contrairement à son visage, était plus masculin. Le jeune médecin mesurait environ 1m80, peut-être un peu moins, il n'avait jamais réellement pris la peine de se mesurer, mais il connaissait son poid à l'exactitude, soixantes kilos et trois cents soixantes sept gramme. Etait-il fou? Non!! Il ne voulait juste pas prendre un gramme, sinon, c'était le drame. Comment pourrait-il manipuler les gens et les contrôler à sa guise s'il n'était lui même pas capable de se controler lui même? Son coup était fin, ainsi que ses épaules d'ailleurs, il n'était pas très large et ses trapèzes étaient quasiment inexistant. Il en était de même de ses pectoraux à vrai dire. La seule chose relativement musclé sur le corps du jeune homme, c'était ses abdominaux. Bah quoi? Chacun est comme il est. Encore une fois, de belles contradictions sur ce corps, puisque tout n'était pas musclé de la même façon.. problème de proportionnalité apparente. Ses bras, quand à eux, s'accordaient à merveille sur le reste de son corps, de longs bras fins, qu'il n'hésitait pas à montrer au grand public, et des jambes toutes aussi fines, laissant dévoiler à la populasse la souplesse du jeune médecin. Quand à la façon de s'habiller d'Ohi, c'était encore et toujours une histoire de contradictions et de goûts spéciaux. Car en effet, le jeune homme ne faisait pas dans la dentelle. Très bling-bling, il aimait porté des bijoux de toute sortes, mais surtout de qualité! Or, or blanc, argent, diamants et minerais de toutes sortes et de tout prix, qui, bien heureusement, n'ont jamais été acheté. Ohi est peut-être fils de noble, mais il n'est pas pour autant riche, tout ses bijoux ne sont que le résultat de vol, pillage, ou encore raquet et autres vices en tout genre. Afin d'accompagner ses bijoux, Ohi aimait porter de drôles de hauts: manches courtes, et ne recouvrant que la partie supérieurs de son torse. Sachant qu'il n'était musclé qu'au niveau de ses abdos*, il n'allait tout de même pas les cachers? Et, pour terminé avec les contradictions qu'il aime tant, le médecin prodige portait des pantalons larges. Pour ce qui est des chaussures, Ohi n'était à l'aise qu'à pieds-nus. >> Psychologie Il ne devait pas exister en ce bas-monde quelqu'un de plus réflechit qu'Ohi. Sachant pertinement que chacune de ses actions aura une conséquence, il pèse toujours le pour et le contre avant d'agir, évitant ainsi de se retrouver face à l'inconnu, à l'imprévu. Car il faut l'avouer, pour quelqu'un qui aime tant contrôler les autres, il aurait été difficile pour lui d'accepter se retrouver dans une situation qu'il n'aurait pas calculé au préalable. Il aime avoir pleins-pouvoir sur tout ce qui l'entoure, ses amis, son avenir, ses décisions, celles des autres, et sur le droit de vie ou de mort des gens qui croiseront sa route. Mais malgrès son apparence innocente et angélique, Ohi reste quelqu'un d'extremement sadique. Il n'a pas toujours été comme ça, certes, mais maintenant, les seuls choses qu'il aime voir et entendre, sont les résonnements et le craquements des os qu'il broit, l'écho des supplices de ses victimes, et leur agonie lorsqu'ils supplient de les achevers rapidement. Chose qu'il ne fait jamais, il préfère largement les faires souffrir, aussi bien physiquement que mentalement. Pour lui, un seul mot d'ordre: "Au grand maux les grands remèdes." ( à noté que ceci peu aussi bien être un point de vue médical ) Etant conscient de sa beauté, et de son apparence fragile. Ohi l'utilise sans scrupule pour manipuler les gens qu'il l'entour. C'est un pourri, un vrai, et il n'a aucun remord quand au fait d'utiliser les gens qui l'entourent, qu'il les apprécie ou non, afin de toujours parvenir à ses fins. La manipulation? C'était son domaine de prédilection après l'art de la médecine. Aucun sentiments n'étaient sincère, ou plûtot, aucun ne l'étaient plus. Plus maintenant. En allant du long discours au simple sourire, chaque regards qu'Ohi posait sur le monde n'était qu'un pas de plus vers ses rêves, ses cauchemards, et son éternel égoisme. Comme toute personne, le jeune homme aime certaines choses, tandis qu'il en déteste beaucoup. Il aimait sa propre personne, et le fait qu'on l'aime, et pour lui, c'était tout ce qui importait. Sinon, il détestait qu'on touche à ce qu'il considérait comme "sien". Tel un bébé qui refuse de prêter ses jouets, il était quelqu'un d'extremement jaloux, avec la facheuse tendance de vouloir apporter sa marque à tout ce qui l'entoure, même si cela devait passer par le biais d'une mutilation, bénine ou non. Le caractère d'Ohi, était, en gros, très difficile à cerner, car malgré tout ses défauts, le jeune homme avait tout de même réussi à s'attacher à un petit blondinet, montrant de l'affection pour lui. Il était sa chose, certes, et Ohi avait beaucoup de mal à montrer ses qualités et son affection pour le petit blond, mais son affection était réel. Comme quoi, dans ce bas monde, même les plus cruels ont des coeurs. >> Biographie Il était une fois, un jeune homme répondant au nom d'Ohi Ezam. Ce jeune homme, fils de personne, n'avait aucun souvenirs de ses parents. Tout ce qu'il savait, c'est qu'il avait été abandonné à la naissance, et qu'il s'était retrouvé dans une famille de noble, sur une petite île de North Blue.Tout au long de son éducation, Ohi avait appris à haïr les autres, les gens qui n'était pas "digne" d'être comme lui, un noble. Il n'avait jamais chercher à retrouver ses parents non plus, il savait qu'il n'avait pas été désirer, et que le seul amour qu'il avait reçu tout au long de sa vie, avait été les remarques incessantes et les réflexions sans scrupules de ses parents adoptifs.Mais malgrès le fait qu'il ait été toujours jugés par sa "famille", celle-ci avait toujours voulue le meilleur pour lui.Ils lui avaient payé ses études dans la plus prestigieuse école de médecine des environs, sur l'île voisine. Ohi, passionné par cette matière, et voulant faire sa vie et ses rêves de la médecine, passa son temps, la tête dans les bouquins, travaillant d'arrache pied afin d'être le premier de la classe chaque année.Très bien vu par ses professeurs, il était d'ailleurs un élève modèle. Assidu, motivé, volontaire et appliqué, Ohi avait tout pour réussir. Il allait à l'école avec le sourire, rentrer l'idée pleine de nouvelle formule qu'il était désireux de travailler. Chaque journée se ressemblait, et le jeune restait sans cesse préoccuper par le fait de réussir ses études et devenir le plus grand médecins de tous les océans. Les années passèrent et Ohi avait quasiment terminé ses études. Il s'était fait un ami, un petit blondinet, un autre fils de noble, qui avait débuter les études de médecine. Ce petit homme, le cadet d'Ohi de quatre ans, était lui aussi très désireux de devenir un grand médecin. Le jeune homme n'avait jamais été aussi heureux de pouvoir partager son savoir avec un autre enfant, surtout que ce dernier était lui aussi un noble, donc qu'il pourrait venir quand il voudrait chez les Ezam afin de profiter, lui aussi, de la grand bibliothèque à thème médical que les parents d'Ohi venait de faire construire pour leur "fils bien aimé" A force de temps, les deux jeunes prodige étaient devenue plus vieux. Ohi était maintenant agé de 16ans, et Oniji, le jeune blondinet, en avait lui 12. Ils étaient tout deux diplômés de leurs écôles, et venait de recevoir comme cadeau de félicitation un bateau de la part de leurs parents respectifs. Les deux jeunes, plus joyeux que jamais, préparèrent leur départ, à la conquête de leurs rêves, et finirent par prendre la mère, avec l'accord de leurs familles.Le voyage débuta calmement pour les deux jeunes médecins, mais le compte de fée vira vite au cauchemars le jour ou ils rencontrèrent un bateau pirate sur leur route.Les souvenirs de la rencontre était flou pour Ohi, ils avaient été abordés, puis assommés, ligotés, et traînés de force jusqu'au capitaine, qui devait décider de leur sort. Le capitaine du bateau était un vieil homme hideux, dont la barbe d'un blanc immaculé touchait le sol plusieurs maîtres après les pieds du pirate. Son regard haineux s'était porté sur les deux médecins, puis il se mit a parler tout en mastiquant sa pipe, mais Ohi ne compris pas un mot des paroles du capitaine puisqu'il était encore sonné par le coup de gourdin qu'il venait de recevoir à l'arrière du crâne. Suite à ça, il perdit connaissance, et lorsqu'il ré-ouvrit les yeux, il vit son ami Oniji, les pieds et mains ligotées, sur le pont en bois, étant obligé de sauter à l'eau, sous peine d'être ballonné par une meute de pirate déjantés et sans pitié. Ohi voulait crier, il voulait le faire de toutes ses forces, en espérant attirer l'attention des brutes afin de pouvoir sauver son amis, mais aucun ne sortait, il était terroriser. Chaque seconde qui passait était une seconde dangereuse, une seconde ou son ami pouvait mourir à chaque instant, une seconde ou la torture mentale devenait de plus en plus forte. Le temps semblait s'être arrêter, et la vision d'Ohi semblait se flouée, il perdait connaissance, et Oniji commença à sauter... *noir* A son réveil, le jeune médecin était seul, allongé sur le sable, en plein milieu de débris de bateau. Il ne savait pas ce qui s'était passer suite à la mise à mort de son ami, mais il le devinait. Il avait été laisser pour mort, certainement jeter à l'eau, tandis que son bateau avait été détruit. Il avait beau se creuser la tête, aucun souvenir ne revenait. Peut-être que le choc post-traumatique était la cause de son trou de mémoire. En attendant, Ohi était condamné à errer, à se retrouver; condamné à maitrîser toute cette haine qui montait petit à petit en lui, à se fixer un but, et surtout, à retrouver la mémoire. >> Test RP Chapitre 1: Une rencontre malsaine. La vie depuis cet "incident" n'était rose. Ohi était passé du status de noble à celui de "crève-la-faim". Condamné à errer sans endroit ou aller, avec pour seul baguage sa malette médicale, le jeune homme avançait sans but, sur une île qui lui était inconnue. Sur quel océan était-il? Etait-il toujours à North blue? Longeant la plage, il ne cessait de scruter l'horizon, espérant pouvoir apercevoir le bateau de ces maudits pirates, ou encore même le corps de son ami, flottant à la surface des eaux salés. Malheureusement, rien de tout ça ne se produisit, Ohi était seul, et la faim commençait à l'emporter sur lui. C'est à force d'effort et de longue marche, ayant été contrait de traverser une forêt et de longues plaines, que le jeune survivant arriva dans un village. Paisible à première vue, ce hameaux d'apparence modestement pauvre ne semblait pas abriter ne serait-ce qu'un commerce, mais le médecin prit le risque de s'aventurer parmis les habitations, errant dans les rue à la recherche d'un quelconque aliment qu'il pourrait se mettre sous la dent. En traversant les rues, Ohi dû affronter le regards des paysans. Il se sentait plus bouseux que les bouseux eux-même. Ses vêtements, maintenant sec, n'étaient plus que des lambeaux de tissus qui pendaient le long de son corps. Il se sentait crasseux, les cheveux encore remplis de sel marin. Par chance, Ohi trouva une échoppe, une sorte de taverne miteuse dont une odeur alléchante de nourriture fraichement cuite attirait Ohi à entrer. Il savait qu'il n'avait pas d'argent pour se payer un tel festin, mais le simple fait de pouvoir poser ses yeux sur cette nourriture lui donnait un semblant de courage. Soudain, une main se posa sur son épaule sale. Se retournant lentement, il découvrit un petit homme, gras, esquissant un sourir si faux que les yeux d'Ohi aurait pu en saigner. - Tu as faim, jeune homme, n'est-ce pas? Si tu veux ce steak, je peux te le payer, mais tu le mangera avec moi. -Mmmhh... Merci.. Monsieur.. Volontier. Pas très bavard et assez surpris par cette offre, Ohi ne refusa pas, la faim étant trop forte pour faire des manières, il préféra laisser de côté toute politesse. L'homme, ayant lui aussi commandé un steak, fit signe au jeune homme de le suivre, sur une table, au fond de l'auberge, ou plusieurs hommes habillé de manière relativement chic étaient déjà assis, les bras croisé. L'homme fit signe à Ohi de s'assoir face à lui, chose que le jeune médecin fit sans attendre. L'homme commençant à déguster son steack qui paraissait si appétissant, invita Ohi à faire de même, puis, lorsque ce dernier entamma la première bouché, l'homme prit la parole. - Il semblerait que je t'ai, entre autre, sauvé la vie en t'offrant cette nourriture. J'aurais donc besoin de tes services en échange. Ohi avala lentement, puis s'adressa à son interlocuteur, d'un air étonné. - Mes services? Quels types de services? - J'ai besoin de toi pour aller récuperer une somme d'argent qu'un habitant de ce village me doit. Il habite la grande maison, en haut de la colline, mais attention lorsque tu t'y rend. Tu peux aussi refuser l'offre, mais ceci à tes risques et périls. Ohi n'avait pas envie de devoir se frotter à cette bande de dégénérés en costume noir. Il n'avait donc aucune autre alternative. - Laissez moi une heure et je reviendrais ici avec l'argent. - Parfait mon brave. Parfait! Chapitre 2: Une mission qui tourne mal. Ohi avait pris la route vers la fameuse Maison situé en haut de la plus haute colline du village. Cette habitation surplombait l'île et sa structure montrait le rythme de vie propice que ses habitants devait avoir. Une fois face à la maison, le médecin se retrouva face a une grande grille qui lui empêchait d'aller plus loin. Il aperçut un écriteau sur cette grille: " N'aller pas plus loin sous risque de mort atroce." Ohi soupira, il n'avait plus peur de la mort désormais. Il escalada la grille, sans trop de difficulté, puis posa les deux pieds sur le sol, étant maintenant dans la propriété. Lors de son ascension vers la maison, il avanca le long d'une allée fleurit, avant d'entendre des bruits de pas, et deux voix masculine se dirigeant vers lui. Directement, il se précipita dans un buisson, la discrétion était le mettre mot pour sa mission, d'autant plus qu'il ne savait pas à quoi s'attendre. Après tout, ses tous ces hommes en costume n'allait pas récupérer l'argent eux-même, c'est qu'il y avait une raison. Les deux hommes passèrent face à Ohi, ils étaient tous deux armés de fusils, et eux aussi était habillé d'un costume chic noir. Apparement la mafia était en reigne sur cette île, et Ohi savait maintenant qu'on ne lui avait pas tout dit sur sa "mission". Une fois les deux hommes perdus de vue, le jeune homme continua son ascension vers la maison, jusqu'à être maintenant devant la porte principale. Ohi ouvra délicatement la porte, en regardant bien à gauche et à droite si personne n'était à proximitée. Le grincement de la porte le fit sursauter, mais il entra tout de même, se cachant directement derrière un grand pendule en bronze une fois à l'intérieur. Personne aux horizons. Ne sachant pas ou chercher, Ohi se décida d'aller directement aux étages afin de trouver tout les objets de valeurs qu'il pourrait rapporter a la taverne. Il ne lui restait d'ailleurs que quarantes minutes pour remplir sa mission. Une fois aux étages, Ohi entra dans une pièce ou était entreposé tout un tas de couverts en or, de bijoux de valeurs, et de pièces d'or répartient dans des coffres en bois. Ohi remplit rapidement un sac avec tout ce qui lui passait sous la main, puis, au moment de sortir de la pièce, il se rendit compte que celle-ci était maintenant fermé à clé, et une voix résonna derrière lui. Se retournant, il découvrit un homme d'environ trente ans, un tricorne ornant sa tête, une cimetère à la main, la pointant sur Ohi. - Alors comme ça les Valpionne envoient un simple enfant pour me piller? N'as-tu pas vu l'écriteau sur la grille d'entrée? Ohi ne répondit pas, il ne pouvait d'ailleurs pas se battre ici, encore aurait-il fallu qu'il sache se battre... une seule option: la fuite! La cimetère de l'adversaire fenda l'air horizontalement, juste assez lentement pour qu'Ohi puisse l'équiver, prennant avec lui le sac plein et sa malette, se jetta au travers de la seule fenêtre de la pièce pour fuir cet ennemi qui était sans aucun doute plus fort que lui. Ohi attérit dans un arbre, qu'il s'empressa de descendre branche par branche, tandis que l'homme armé, probablement un pirate, se mit à crier et exiger des renforts. - Intrusion! Attrapez le! Je veux sa tête! Dans la foulée, Ohi entendit autour de lui des bruits de pas, les renforts était déjà en route. Et malheureusement pour Ohi, ils n'étaient pas seul, puisqu'il semblait aussi entendre des aboiements. Le jeune médecin, prit au dépourvu, se mit à courir de toute ses forces. Jusqu'à arriver à la porte d'entrée. Ou les deux hommes armés de fusils qu'il avait déjà croisé l'attendaient, pointant leurs fusils respectifs sur lui. - Pose ce sac au sol, et vide ta malette! Ohi posa le sac, puis ouvrit la malette, commençant a manipuler ses outils, tandis que les deux hommes lui ordonnèrent de ne plus rien toucher. Les renforts étaient arrivés, mais repartirent aussitôt en voyant que le médecin avait déjà été attrapé, et qu'il allait être tuer sûrement dans la foulée. Les deux hommes armés, quand à eux, prirent le sac, le posèrent un peu plus loin, et commencère a fouiller la malette médicale. Manipulant les scalpels avec précautions, ils ne se posèrent aucune question lorsqu'ils virent Ohi sourire bêtement. Il avait déjà tout calculer, il partirait vivant d'ici, ce n'était plus qu'une question de seconde. Un des deux hommes comprit le stratagème du jeune médecin lorsqu'il vit une bouteille en verre à moitié vide, ou la seule étiquette représentait une tête de mort. Couleur du liquide? Vert! C'était en réalité un poison mortel, inventé par Ohi. Il avait lu la formule dans un livre. Fleur des bois, venin d'araignée et venin de serpent. Ce poison mortel faisait effet en moins de trente secondes, au simple contact de la peau. Les deux hommes tombèrent. Mort. Ohi, quand à lui, enfila une paire de gants médicale, jetta ses scalpels dans le jardin, ferma sa valise. Puis repris le sac remplit d'or afin de se rendre à la taverne, pour terminer sa mission. Chapitre 3: Retour au bercail. Une fois de retour à la taverne, en avance de cinq minutes, Ohi, sans un mot, posa violement le sac sur la table de son "employeur" qui semblait à la fois réjouit et surpris de la réussite du jeune médecin. Se mettant à rire bruyemment, il ouvrit le sac et y découvrit tout un tas d'objet de valeur. D'un claquement de doigts, il fit appel à un de ses hommes, qui, à l'aide d'une petite loupe, examina le tout, avant de chuchotter des paroles inodibles pour Ohi, à l'oreille de la personne qui semblait être son boss. Ce dernier s'adressa à Ohi. - Et bien mon enfant! Tu m'a rapporter quasiment le double de ce que j'attendais. Tu es très efficace comme garçon. Mais dis moi, n'y avait-il personne? Ohi fronça les sourcils, comme prit d'une envie de meurtre, mais en regardant plus attentivement autour de lui, il constata que le nombre de sbire avait considérablement augmenter en une petite heure. - A vrai dire, si. Mais la mission est une réussite. Vous m'avez nourris, et je vous ai rendu le service que vous m'aviez demandé, affaire réglée non? - Pas tout à fait. J'ai encore une toute petite chose à faire. L'homme tendit une liasse de billet à Ohi. Ce dernier la prit sans faire d'histoire. - Tu as été plus qu'efficace. Je pensais te tuer à l'origine, mais je vais te laisser la vie sauve. Qui sait, peut-être aurais-je encore besoin de tes services. Ohi se contenta de leur esquisser un sourire, leur précisant qu'il voulait leur payer une tournée générale pour les remerciers de lui laisser la vie sauve. Ohi partit au comptoire, commençant a chuchotter au propriétaire. -Je peux vous débarasser de cette vermine si vous jouer le jeu. Ne posez aucune question. Suite à ça vous serez riche. Contentez vous de prendre ce que je vous donne, et vider le dans un fût de bière que vous leur apporterez. Le médecin pris dans sa sacoche la même fiole de poison qu'il avait utiliser moins d'une heure auparavant, et la donna discrêtement au propriétaire, cachée dans la bourse d'or que le mafieux venait de lui donner. Il précisa au propriétaire qu'il ne devait en aucun cas, entré en contact direct avec ce poison. Le propriétaire du bar s'executa, et revint moins de cinq minutes plus tard avec un fût de bière remplit, qu'il adressa aux hommes en noir en leur précisa que ceci venait de ma part, et qu'ils pouvaient se servir sans hésiter. Chose qu'ils firent sans se poser de question. Chacun un verre à la main, ils portèrent un toast à leur nouvelles richesse. Tic Tac Tic Tac... trente seconde! Ils s'écroulèrent un par un . Convulsant, puis, immobile. Mort. Ohi se dirigea lentemant vers yeux, récupera le sac d'or qu'il leur avait préalablement donner, et en fit don au propriétaire du bar, gardant quelques bijoux et demandant de nouveaux vêtements au propriétaire. Une lueur démoniaque brillait dans ses yeux, il n'avait jamais autant été heureux... Heureux de tuer. |
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Informations IRL
- Prénom : Alexandre ( Alex je préfère )
Age : 21 ans
Aime : Les jeux-vidéos, les mangas, les filles ♥_♥
N'aime pas : Les légumes ><
Personnage préféré de One Piece : Shanks le roux
Caractère : Sociable & immature =D
Fais du RP depuis : quelques années maintenant
Disponibilité : Tout les soirs.
Comment avez vous connu le forum ? Par Mizukawa et car je suis l'ancien second des Shinoryu ( Yosuke Tôda )
Dernière édition par Ohi Ezam le Mar 18 Déc 2012 - 16:27, édité 8 fois
