Un bateau avec les pêcheurs, deux marines, quelques civils et un ange débarque. La raison de cette venue : trouver le médecin qui fait des miracles. Ce n’est qu’une petite pierre dans la pyramide que souhaite bâtir Ivan. Mais chaque étape est nécessaire pour atteindre le sommet. Cette petite pierre était dure à trouver. Il fallut quelque temps avant que les services de renseignements de l’union révolutionnaire la découvrent. Maintenant il ne reste plus qu’à la ramasser, en espérant que ça soit aussi facile à dire qu’à faire.
Les voyageurs sont directement remarqués par la population de l’ile de la veine. Le groupe à la recherche du toubib est composé des deux marines, du capitaine du bateau et de l’handicapé. Sur la grande rue ils avancent et interpellent le premier passant. Un cowboy d’une trentaine d’années. Il ne semble pas commode mais il ne faut jamais se fier aux apparences.
-Salut l’ami. Nous cherchons un médecin qui serait capable de miracle.
L’individu regarde l’handicapée. Avec une main il tient son chapeau, avec l’autre sa ceinture puis il crache par terre.
-Une fois y'avait tellement de vent qu’une poule a pondue cinq fois le même œuf.
Une phrase qui semble dénuée de sens. C’est une réplique assez étrange.
-Que voulez-vous entendre par là?
-Ben tu peux parler autant de fois que tu veux je te répondrais toujours la même chose.
Il est vraiment parti loin. Qui aurait pu comprendre un tel charabia.
-Les gens ne t’en voudrons pas si tu mens, du moins tant que t’es sincère.
Encore une phrase qui pose problème à nos voyageurs. Ivan ouvre la bouche pour répondre mais le cowboy lui coupe la parole.
-Ça veut dire que même si tu veux te prendre pour je ne sais pas qui en te fessant pousser sur ta chaise, les gens diront rien tant que tu seras quoi leur répondre. Allé adieux.
Il part en crachant de nouveau par terre. Les mains dans les poches avec une démarche de jeune voyou. C’est une rencontre assez étrange… Il faut espérer que la prochaine personne serra plus coopérative. Le deuxième individu intercepté et un jeune garçon d’une quinzaine d’années. La discussion fut brève. Il répondit qu’il ne parle pas aux inconnus et continua sa route. La meilleure chose à faire c’est de se rendre au saloon. C’est le genre d’endroit où les informations circulent.
Le lieu est rempli. On y trouve des hommes soûlent en pleine journée, des joueurs de cartes, de fléchettes, un pianiste qui met l’ambiance et des hommes qui sont là juste pour passer le temps avec leurs amis. Une personne au comptoir avec un grand vers de bière dans la main se permet de faire une remarque.
-A mais qui voilà. Notre seigneurie qui se promène sur sa machine. Vous n'êtes pas trop fatigué ça va? D'un ton ironique.
Les autres se mettent à rire comme une bande d'abrutis. Provocation gratuite qui ne semble pas anodine. Il sort son arme et vise les jambes de l'ange.
-Si tu veux pas te lever on va te faire danser ! Aller danse. Il tire une balle juste à coté du pied.
-Frapper un homme qui a perdu l'usage de ces jambes te semble amusant. Un silence apparaît. Le train de ta bêtise roule sur les rails de mon indifférence. Quelqu'un aurait l'amabilité de me dire ou se trouve le médecin qui a la faculté de faire des miracles.
Le cowboy est victime de moquerie suite à cette réplique. Un certain mal à l'aise se dégage de lui. Il braille, se retourne et se met à boire. Le barman répond à la question en lui indiquant qu'il doit être chez lui et que sa demeure c'est deux maison à droite en sortant d'ici.
L'handicapée remercie chaleureusement l'informateur et part.
Une fois arrivé, il frappe à la porte.
Les voyageurs sont directement remarqués par la population de l’ile de la veine. Le groupe à la recherche du toubib est composé des deux marines, du capitaine du bateau et de l’handicapé. Sur la grande rue ils avancent et interpellent le premier passant. Un cowboy d’une trentaine d’années. Il ne semble pas commode mais il ne faut jamais se fier aux apparences.
-Salut l’ami. Nous cherchons un médecin qui serait capable de miracle.
L’individu regarde l’handicapée. Avec une main il tient son chapeau, avec l’autre sa ceinture puis il crache par terre.
-Une fois y'avait tellement de vent qu’une poule a pondue cinq fois le même œuf.
Une phrase qui semble dénuée de sens. C’est une réplique assez étrange.
-Que voulez-vous entendre par là?
-Ben tu peux parler autant de fois que tu veux je te répondrais toujours la même chose.
Il est vraiment parti loin. Qui aurait pu comprendre un tel charabia.
-Les gens ne t’en voudrons pas si tu mens, du moins tant que t’es sincère.
Encore une phrase qui pose problème à nos voyageurs. Ivan ouvre la bouche pour répondre mais le cowboy lui coupe la parole.
-Ça veut dire que même si tu veux te prendre pour je ne sais pas qui en te fessant pousser sur ta chaise, les gens diront rien tant que tu seras quoi leur répondre. Allé adieux.
Il part en crachant de nouveau par terre. Les mains dans les poches avec une démarche de jeune voyou. C’est une rencontre assez étrange… Il faut espérer que la prochaine personne serra plus coopérative. Le deuxième individu intercepté et un jeune garçon d’une quinzaine d’années. La discussion fut brève. Il répondit qu’il ne parle pas aux inconnus et continua sa route. La meilleure chose à faire c’est de se rendre au saloon. C’est le genre d’endroit où les informations circulent.
Le lieu est rempli. On y trouve des hommes soûlent en pleine journée, des joueurs de cartes, de fléchettes, un pianiste qui met l’ambiance et des hommes qui sont là juste pour passer le temps avec leurs amis. Une personne au comptoir avec un grand vers de bière dans la main se permet de faire une remarque.
-A mais qui voilà. Notre seigneurie qui se promène sur sa machine. Vous n'êtes pas trop fatigué ça va? D'un ton ironique.
Les autres se mettent à rire comme une bande d'abrutis. Provocation gratuite qui ne semble pas anodine. Il sort son arme et vise les jambes de l'ange.
-Si tu veux pas te lever on va te faire danser ! Aller danse. Il tire une balle juste à coté du pied.
-Frapper un homme qui a perdu l'usage de ces jambes te semble amusant. Un silence apparaît. Le train de ta bêtise roule sur les rails de mon indifférence. Quelqu'un aurait l'amabilité de me dire ou se trouve le médecin qui a la faculté de faire des miracles.
Le cowboy est victime de moquerie suite à cette réplique. Un certain mal à l'aise se dégage de lui. Il braille, se retourne et se met à boire. Le barman répond à la question en lui indiquant qu'il doit être chez lui et que sa demeure c'est deux maison à droite en sortant d'ici.
L'handicapée remercie chaleureusement l'informateur et part.
Une fois arrivé, il frappe à la porte.