>> Sosuke Kuran
Pseudonyme :
Age: 17 ans
Sexe : Homme
Race : homme
Rang :
Métier : Voleur
Groupe : Révolutionnaire
Déjà un équipage :
But : Fuir l’ennui d’une vie de noble, devenir pirate et riche, abolir définitivement l'esclavage (c'est déjà un but plus concret je trouve)
Fruit du démon ou Aptitude pour la suite : Pas encore d'idées
Équipements : Un pistolet et des cigarettes
Codes du règlement (2) :
Parrain :
Ce compte est-il un DC ? : Non
Si oui, quel @ l'a autorisé ? :
>> Physique
L’air plutôt pensif, un jeune homme se promenait dans une rue peu fréquentable sans pour autant en paraître préoccupé. Des cheveux noirs corbeau partant dans tous les sens, une cigarette à la bouche … Son pas était silencieux, agile. On distinguait une posture haute, un air supérieur et hautain, qui lui-même se répétait dans l’arrogance de ses mystérieux yeux verts. Son iris était teinté d’une infinité de nuances allant du vert brillant à un vert brun en passant par le turquoise mais ce regard n’exprime que l’ennui, un abîme sans fond. Sa taille était banale et sa peau claire mais légèrement bronzée comme si il avait été exposé au soleil pendant des journées entières. Il porte une chemise blanche dont les manches sont retroussées, un jean foncé et des baskets noires. Aune de ses ceintures, son pistolet est ajusté dans une sorte de fourreau personnalisé incrusté d’un seul et unique joyau, une émeraude aussi verte que ses yeux et aux mêmes nuances. Il porte une montre à son poignet. Elle est de couleur argentée et le cadran est doré. Elle a l’air précieuse mais le cadran d’or est lui couvert d’entailles. Il tenait dans une main un papier. Il passa sa main dans ses cheveux pour la retirer presque aussitôt. Le jeune homme répéta plusieurs fois ce même geste au fur et à mesure qu’il avança dans la ruelle. Il s’enfonça dans la pénombre sans se retourner et disparu dans un noir profond.
>> Psychologie
Sosuke est très réfléchi. Lors d’un combat, il pèse le pour et le contre de chaque action et n’agit jamais sans réfléchir ce qui est plutôt une qualité pratique pour son métier de voleur. Il est calculateur et aime préparer des plans. Lorsqu’il est sous pression, un duel par exemple, il réfléchit à une vitesse impressionnante pour essayer de trouver le talon d’Achille de ses adversaires tout en exploitant le potentiel de ses alliés et de son environnement. Il est rêveur et pense souvent à beaucoup de choses en même temps car il déteste gaspiller le temps. Il ne se laisse pas aller à ses émotions, comme s’énerver sur quelqu’un ayant fait échouer un de ses plans ou pleurer de sa misère, trouvant cela dégradant. Il ment très bien et est sournois ce qui l’aide souvent à se sortir de situations embarrassantes. Son attirance pour l’argent est elle tout à fait irrationnelle. Etant donné qu’il à vécu son enfance en tant que noble, il a du mal à gérer sa monnaie et la dépense vite ce qui l’oblige à effectuer d’autres larcins plus tôt qu’il ne l’aurait du. Il ne parle pas pour ne rien dire et oublie même parfois de prévenir ses équipiers de ses plans ou de ce qu’il aurait éventuellement remarqué. Il aime se battre et n’hésite pas à provoquer des personnes qu’il trouve intéressantes ou dont la victoire lui apporterait quelque chose qu’il désire. Il souffre d'un traumatisme d'enfance expliqué dans sa biographie qui le pousse à libérer tous les esclaves qu'il voit même si il ne le veut pas. Il lui serait impossible de tirer sur un de ces esclaves. Il déteste les couteaux, trouvant cette arme vile et sournoise (son frère à tué son esclave avec cette arme). Il n’a éprouvé que deux fois une amitié sincère mais rêve d’aller dans un équipage pirate et de naviguer avec eux sur les mers.
>> Biographie
Sosuke vivait dans une riche famille bourgeoise habitant une petite ville du royaume de Luvneel. Il avait un grand frère, Jin, brun aux yeux verts qui le prenait de haut, se considérant comme unique héritier de la famille Kuran. Chaque fois que le regard de Jin se posait sur lui, il devenait méprisant. Ses parents eux se désintéressaient totalement de leurs enfants et consacraient leur temps à gérer leur argent et à l’utiliser pour acheter des esclaves, des meubles ou autres. Bref, ce n'était pas une famille idéale... Loin de là...
Lorsque Sosuke faisait quelque chose ne plaisant pas à son frère, celui-ci le frappait sachant pertinemment que ses parents ne le puniraient guère. Les trace de coups de fouets dans le dos de Sosuke ne se refermaient jamais, remplacée par d'autres. Et même s'il savait qu'il allait se faire battre pour cela, il s'opposa à son frère, refusant parfois de lui obéïr.
Son enfance se résolu donc à trois mots : obéir, souffrir et rêver. Rêver car il ne pouvait cesser de songer à une vie de pirate ou d'aventurier, loin de sa famille qu’il détestait tant. Il se voyait naviguant sur les flots bleus de North Blue, livrant des combats à d'autres pirates. Etre un capitaine pirate... Décidément l'idée lui plaisait toujours autant.
Un jour, un nouvel esclave arriva. Sosuke, qui était agé de 15 ans, en le voyant eu un choc. L'esclave était à peine plus âgé que lui. D'habitude, c'était des hommes et des femmes d'âge mur plus aptes à travailler longtemps. Ce que l'esclave avait de différent des autres, en plus de son âge, était son regard. Les personnes qui jusque là travaillaient chez lui n'avaient aucune envie de rester en vie et faisaient leur travail le regard vide. Les yeux du nouvel esclave, eux, exprimaient un désir de liberté, une volonté sans faille. C'est peu être ce même rêve de délivrance qui les a rapproché et leur à permit de lier une amitié solide pendant qu'ils vécurent une année entière le même enfer, un battu par son frère, l’autre par ses maîtres.
Pour sceller leur amitié, l’esclave du nom de Daisuke lui offrit un pistolet et lui apprit en cachette à l’utiliser. Au début, Sosuke n'était pas tellement enthousiasmé par ce genre d'armes mais il persévéra jusqu'à ce qu'il puisse toucher sa cible avec précision. En retour, Sosuke lui offrit une émeraude, vert brillant, d’une valeur inestimable qu’il avait dérobée à ses parents. Ils comprirent alors que c'était peu être leur chance de sortir tous les deux de cet enfer et passèrent leur journées à guetter le bon moment tout en préparant leur invasion. Sosuke volait des vivres et Daisuke des manteaux. Ils se promirent qu'une fois libre, ils formeraient un équipage, deviendraient célèbres et amasseraient la plus grande fortune du tout le globe.
Mais un jour, alors qu'il marchait en réfléchissant aux détails du plan, Sosuke bouscula sans le vouloir son frère. Ce dernier, très susceptible, vit rouge. Ils sortit de sa poche un couteau de cuisine et lui entailla l’épaule violemment. Sosuke poussa un cri de douleur et de rage. La moquette blanche se teinta de rouge. L’épaule de l’enfant était maintenant couverte d’une balafre sanglante. Son frère se préparait à lui porter un second coup quand Daisuke s’interposa.
"Tu seras puni pour ça, clama Jin, un esclave doit obéir à ses maîtres!
-Je ne vous ai jamais considéré comme mes maîtres, c'est à Sosuke que j'obéit désormais.
-Tu ne pourra pas regretter tes paroles, voici ce que l'on fait aux esclaves qui se comportent comme toi."
Jin tua l’esclave sans lui laisser le temps de se défendre et se rapprocha de Sosuke.
"Tu vois à quoi à mené ta petite rébellion? Il n'aurait pas du s'interposer. Je regrette même de l'avoir tué, cela t'aurais fais souffrir que je le torture?
-Monstre, tu l'as tué!
-Je viens d'avoir une très bonne idée, si je te tuais je n'aurait qu'a dire que c'est cet esclave qui à commis le meurtre et que je l'ai punis. De toute façon, père et mère ne seront en rien affectés par ta mort."
Il donna un coup de pied dans le corps sans vie de Jin. C'est ce geste d'indifférence envers la vie qu'il venait de voler qui donna envie à Sosuke de riposter. Pour la première fois, il ne tergiversa pas, prit le pistolet de Daisuke et le dirigea sur son frère. Jin lui demanda comment il avait obtenu l’arme mais Sosuke ne répondit pas et tira une fois, touchant son frère en plein cœur. Ce dernier s’effondra au sol. Cet acte, même après avoir subis toutes ces torture de Jin, il ne se le pardonnerait jamais. Il n'était pas fait pour voler les vie d'autrui. Il se demanda combien de vies d'esclaves son frère avait-il volé pour ne plus paraître préoccupé par un meurtre. C'était un monstre que Sosuke avait tué et sa plus grande peur fut de devenir un jour comme lui. Sosuke récupéra l’émeraude qu’il avait offerte à Daisuke, la glissa dans sa poche puis fugua. Il n’avait pas eu le temps de récupérer de l’argent et du vivre de larcins et de misère.
Un jour, un voleur lui proposa de faire équipe pendant quelques temps. Sosuke n'était pas très enthousiasmé mais il ne déclina pas la proposition. Il commirent plusieurs vols ensemble et Sosuke commença à lui accorder sa confiance au nouveau. Au moment de se partager le butin qu'ils avaient amassés depuis le mois dernier, le bandit l'attaqua sortant sa lame pour le faire fuir. Il ordonna à Sosuke de lui donner tout le butin sous peine de l’exécuter. Le jeune homme refusa et esquiva le coup d'épée de son adversaire. Il sortit son pistolet et mit fin aux jours de son adversaire sans laisser le temps à ce dernier de regretter ses actes.
Depuis ce jours, toute les personnes du monde clandestin l'évitent ce qui ne lui déplaît guère. Il continua d’amasser de l'argent en vue du jour où il pourra acheter un bateau et prendre la mer pour réaliser son rêve de pirate.
>> Test RP
J’avais froid. Je n’avais pas eu le temps d’emporter un manteau et mon visage, ruisselant de larmes était glacé. La faim me tiraillait. J’avais toujours mangé à ma faim et cette journée de jeune lui était éprouvante. Ma gorge était sèche. La nuit allait tomber, la température baissait, mes chances de survivre me paraissaient infimes. C’était injuste, je ne pouvais pas mourir maintenant. J’attendais ce jour depuis si longtemps… Je m’interdis d’avoir des remord mais les souvenirs de Daisuke sans vie, saignant abondement ne cessaient de m’assaillir.
Je partis en quête d’une auberge pour y passer la nuit. Je cherchai pendant une bonne demi-heure et finis par en trouver une. Elle était petite et miteuse mais on pouvait voir à l’intérieur toute sorte de personnes, riant et bavardant au son d’une musique entraînante. Je me dirigeai vers une sorte de comptoir où une femme rondouillette aux cheveux roux emmêlés remplissait des verts de bière. Je lui demandai une chambre et elle se mit à m’annoncer le tarif :
« -5000 Berrys la chambre pour la nuit, 9500 les deux nuits et 30000 la semaine soit un jour offert. Que désirez-vous ? »
Je regardai dans ma poche le nombre de Berrys que j’avais toujours sur moi et constatai que je n’étais en possession que de 4500 Berrys. J’avais de quoi me payer un repas mais passer une nuit dans cette auberge n’était pas dans mes moyens. Je m’apprêtais à partir quand mon estomac me fit faire demi-tour. Il fallait au moins que je mange quelque chose.
Je commandai un petit repas pour 300 Berrys et une carafe d’eau. Je ne pouvais me permettre de gaspiller mon argent pour de la bière ou de l’alcool. Je m’assis à une table en attendant d’être servis. On m’apporta tout d’abord la carafe remplie d’eau fraîche ainsi qu’un vert. Je me rendis compte à quel point j’avais soif lorsque je vidai la carafe avant même que l’on m’apporte mon plat. Je redemandai de l’eau et attendit un bon quart d’heure qu’une serveuse me l’apporte avec une assiette remplie d’un étrange ragoût. Des morceaux de carottes et de navets étaient recouverts d’une sauce et accompagnés d’une viande bouillie. Si je n’étais pas affamé, je pense que je n’aurais pas mangé ceci mais étant donné les circonstances, ce ragoût me paraissait réellement délicieux. Une fois mon repas fini, j’allai voir la vieille dame et lui donnai les 300 Berrys que je lui devais. Elle me demanda si elle devait me préparer une chambre. Je déclinai sa proposition lui expliquant que je n’avais pas les moyens. Je m’apprêtais à partir quand un homme qui devait avoir la trentaine m’attrapa par le bras et m’entraina vers un coin de l’auberge :
« J’ai cru comprendre que tu a besoin de Berrys ? T’en veux, me demanda-t-il ?
-Oui, ai-je répondu »
Je ne savais pas encore que ces personnes attendaient toujours quelque chose de toi. Je me méfiais juste un peu, comme avec tous les inconnus. Il m’expliqua ses conditions :
« Je suis prêt à te donner 4500 Berrys et t’offrir le gîte chez moi cette nuit si tu me rend un petit service.
- Lequel, demandai-je ?
-Viens ! »
Il m’entraina à l’extérieur de l’auberge et me parla doucement comme si il ne voulait pas se faire écouter :
« Ce soir, le maire va à une réception organisée par un baron d’une ville voisine, seul ses esclave seront dans sa villa. Je compte sur toi pour détourner leur attention. Tu devras par contre sortir tout seul, ce n’est pas moi qui viendrai te chercher. Les 4500 Berrys que je vais te donner seront ta part du butin. Viens, nous allons attendre son départ près de chez lui. »
Je le suivis, cette idée de cambriolage ne me plaisait guère mais ce qu’il me proposait en échange était trop tentant. Nous nous aventurâmes dans plusieurs ruelles que je ne connaissais pas et en quelques minutes, nous étions arrivés. Il avait l’air de connaître la ville comme sa poche. Nous arrivâmes devant une magnifique villa qui ressemblait un peu à mon ancienne demeure. Nous attendîmes quelque minutes mais il avait raison, un vieil homme s’avança vers une limousine. Il y entra et celle-ci partit laissant le manoir vide ou presque.
L’homme que j’accompagnais s’avança vers une fenêtre, regarda attentivement autours de lui puis la brisa. Je sursautai, je ne m’attendais pas du tout à cela. Je croyais qu’il allait la détacher de ses gonds ou utiliser un autre stratagème silencieux. Le bandit l’invita à entrer puis alluma une lampe. Je vis une dizaine d’esclave, enchaînés à des menottes. Les voir me rappela Daisuke. Il n’avait plus l’air vivant, ils avaient la démarche de zombie. Certains avaient le visage de Daisuke. Je me demandai ce qu’il voulait dire par attirer leur attention. Je ne pouvais leur tirer dessus… C’était au-dessus de mes forces. J’ai fais quelques pas mais ils n’ont pas bougé. Ils avaient l’air d’attendre quelque chose. Soudain je compris, ils voulaient sûrement que je les libère. Je me mis à réfléchir. Il est vrai que je ne pouvais pas me permettre de les laisser ici. Surtout que lorsque le maire apprendrait le vol, il les battrait pour les punir. Je m’aventurai à la recherche de clef ou d’un outil pour les libérer tout en priant pour que le maire ne l’ait pas gardé sur lui. En m’aventurant à sa recherche, je trouvai quelques pièces et quelques pierres précieuses que je pris. Je n’ai jamais pu résister à l’argent. Je fouillais tiroir sur tiroir tout en ayant conscience que le temps m’était compté. Je revins finalement avec les clefs et perdit encore quelques minutes à défaire les menottes. Nous partîmes finalement les esclaves et moi puis je leur donnai les pierres précieuses pour qu’ils puissent survivre quelque temps sans avoir à se préoccuper de comment gagner de l’argent. Dehors je vis que le voleur s’apprêtait à partir. Je le rattrapai en courant et c’est là que je me suis rendu compte que j’étais épuisé. Je vis qu’il était étonné de me voir. Il s’exclama :
« Tu es en retard, j’ai presque cru que tu t’étais fait surprendre où quoi que ce soit d’autre, s’exclama-t-il.
-C’est juste que j’ai libéré les esclaves, ça m’a prit plus de temps que prévu, répondis-je en toute franchise
-Quoi !!! Tu as pris beaucoup de risques. Certains d’entre eux sont fous, ils auraient pu s’attaquer à toi ! »
Je ne pouvais lui expliquer le sentiment que j’avais ressenti. Il ne savait pas ce que représentaient les esclaves pour moi. Daisuke… Pendant que nous marchions vers l’auberge, il me parlait de tout et de rien mais je ne répondais à ses questions que par des monosyllabes, mon esprit était ailleurs. Je m’interroger de l’avenir de ces personnes dont la vie était désormais accompagnée d’un traumatisme d’une expérience d’esclave plus ou moins courte. Une fois arrivé, il tint sa promesse et m’invita à finir ma nuit chez lui, dans la chambre de sa femme qui « était partie chez une amie » m’avait-il dit. Je me glissai dans les draps et passai une nuit agitée par des cauchemars sanglants. A mon réveil, je vis sur la table de chevet 4500 Berrys accompagnés d’une pierre précieuse et d’un mot :
« Je te remercie pour ta collaboration, cette pierre est pour toi ainsi que ta part du butin. Si tu as un jour besoin à nouveau d’argent tu peux venir me trouver ici. »
La lettre était signée Hans. Au dos du papier, il y avait une carte de la ville avec un point rouge indiquant surement cette maison. Je pris les Berrys et m’en allai en emportant le mot et en pliant les draps. J’allai me payer un petit déjeuner à 150 Berrys à l’auberge que j’avais retrouvé grâce à la carte. Le soir, je retournai voir Hans et ils commirent à nouveau un cambriolage. Leur petit jeu dura des mois, nous volions les riches et libérions leurs esclaves.
J’appris des techniques de vol et réussi à épargner environ 70 000 Berrys, et des pierres précieuse que je pouvais échanger contre environ 30 000 Berrys, mais j’étais encore loin du million nécessaire pour m’acheter un bateau et des vivres.
Un jour, Hans me révéla qu’il avait autrefois été un esclave et que quelqu’un comme lui l’avait libéré. Il était malheureusement mort d’une maladie grave et Hans lui avait promit de libérer le plus d’esclave possible. Je lui dis mon rêve de devenir pirate et nous convînmes qu’il était temps de se séparer, lui pour essayer de créer ou de rejoindre un mouvement pour l’abolition de l’esclavage et moi pour devenir pirate. Au moment de se dire adieu, il me donna un petit sachet :
« Il contient environ 50 000 Berrys, je te les laisse, tu en auras besoin. »
Je continuai ma vie de voleur en essayant de grossir mon épargne qui ne montait finalement pas si vite car je ne pouvais emporter que moins de butin seul, réaliser moins de vols et je n’avais pas d’aide financière. Mais je me rendis compte que la vie de noble ne me manquait plus et que je ne regrettais plus mes actes à part bien sur la mort de Daisuke. Je me rendis compte que la présence d’Hans me manquait mais j’étais plus décidé que jamais à réalisé mon rêve.
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Informations IRL
Prénom : Alexandre
Age : 13 ans
Aime : Les Mangas
N'aime pas : Le sport
Personnage préféré de One Piece : Robin et Ace
Caractère : Sympa (et modeste XD)
Fais du RP depuis : C'est ma première fois
Disponibilité : Très variable (Entre 1 et 7 pendant les vacances)
Comment avez vous connu le forum ? Je cherchais la liste des 12 grandes lames et j'ai trouvé ce site.
Dernière édition par Sosuke Kuran le Lun 7 Jan 2013 - 20:28, édité 6 fois
