Comment expliquer cette chose ... C'était la deuxième fois que mon corps avait été mis à rude épreuve sous l'impact de sentiments forts ! Je ne pouvais m'expliquer ce phénomène plus qu'inexplicable. Il semblerait qu'il y ait un rapport entre mes sentiments et mes cellules. Cela dit, où se fait cette jonction, comment une chose immatérielle peut-elle être en relation avec une chose matérielle ? C'était insensé ! La première fois, la douleur m'avait fait me transformer en un démon de flamme déchainé, et là, la colère m'avait transformé en un monstre géant couvert de muscle !
Seul éveillé cette nuit, j'étais sorti du dortoir afin d'aller m'allonger sur la proue, bras sous la tête et tête vers les étoiles. Cette histoire me chiffonnait et m'empêchais de dormir. Je ne voyais aucun moyen de m'expliquer cela et le seul moyen d'avoir une piste était de faire renaitre une telle colère, mais pour cela, il me fallait quelqu'un, quelqu'un après qui m'énerver, quelqu'un qui me mettrai tellement en colère que je pourrais rééditer cet ... Exploit, si on peut l'appeler ainsi ! Cela dit, un seul homme pourrait m'énerver ainsi ! Un homme qui avait déjà vécu l'une de mes transformations ... Et j'allais d'ailleurs utiliser cela ! Il m'avait proposé de prendre ma revanche ? Et bien je vais la prendre ! Je connais cet homme et il acceptera surement de relever mon défi. Il me suffira juste d'abandonner et de le laisser partir une fois que je serais prêt à me transformer ! Il acceptera sa victoire et partira sans demander son reste ... Galowyr !
J'avais trouvé la solution à mon problème, je pus m'endormir tranquillement ... Mais sur la proue ! La nuit était belle et la brise n'était ni trop fraiche, ni trop chaude, juste la température qu'il fallait ! Il me berça jusqu'à ce que je tombe dans les bras de Morphée.
Les premières lueurs du soleil vinrent à me taper dans la rétine, le matin. J'étais toujours sur ma proue, mais dans une position légèrement différente ! Ma tête pendait dans le vide ma jambe et mon bras l'accompagnait. J'ouvris les yeux et essuya le filet de bave qui commençait à couler vers mon oeil. Je relevais la tête me frotta les yeux et décida d'aller faire un petit plongeon. Le vent ne soufflait pas beaucoup et par conséquent, le bateau n'allait pas extraordinairement vite, voire même était à l'arrêt. Et puis après tout, cela faisait un moment que je n'avais touché l'eau et donc, l'odeur allait avec ! Je m'approchai donc de la rambarde, déposai délicatement mes sabres, enlevai mes habits pour finalement finir en caleçon avant de piquer une tête dans l'eau fraiche de la mer.
Après avoir pataugé pendant 10 minutes et avoir fait à peu près cinq fois le tour du bateau à la nage, je remontai à bord pour me faire sécher au soleil et au mistral de l'aube. Je n'étais pas tout à fait sec lorsqu'Aoï annonça la terre depuis la vigie : c'était le moment ! C'est donc encore en caleçon que j'allai dans la cuisine à l'encontre du cuisto, mais contrairement à ce que je pensais, il n'y était pas, je fouinai donc tout le navire avant de le trouver à l'arrière du navire.
-Eh, Galo' ! Y'a la terre dans pas longtemps et tu te souviens ? J'avais une défaite à te faire payer ! Je veux prendre ma revanche sur cette île !
Seul éveillé cette nuit, j'étais sorti du dortoir afin d'aller m'allonger sur la proue, bras sous la tête et tête vers les étoiles. Cette histoire me chiffonnait et m'empêchais de dormir. Je ne voyais aucun moyen de m'expliquer cela et le seul moyen d'avoir une piste était de faire renaitre une telle colère, mais pour cela, il me fallait quelqu'un, quelqu'un après qui m'énerver, quelqu'un qui me mettrai tellement en colère que je pourrais rééditer cet ... Exploit, si on peut l'appeler ainsi ! Cela dit, un seul homme pourrait m'énerver ainsi ! Un homme qui avait déjà vécu l'une de mes transformations ... Et j'allais d'ailleurs utiliser cela ! Il m'avait proposé de prendre ma revanche ? Et bien je vais la prendre ! Je connais cet homme et il acceptera surement de relever mon défi. Il me suffira juste d'abandonner et de le laisser partir une fois que je serais prêt à me transformer ! Il acceptera sa victoire et partira sans demander son reste ... Galowyr !
J'avais trouvé la solution à mon problème, je pus m'endormir tranquillement ... Mais sur la proue ! La nuit était belle et la brise n'était ni trop fraiche, ni trop chaude, juste la température qu'il fallait ! Il me berça jusqu'à ce que je tombe dans les bras de Morphée.
Les premières lueurs du soleil vinrent à me taper dans la rétine, le matin. J'étais toujours sur ma proue, mais dans une position légèrement différente ! Ma tête pendait dans le vide ma jambe et mon bras l'accompagnait. J'ouvris les yeux et essuya le filet de bave qui commençait à couler vers mon oeil. Je relevais la tête me frotta les yeux et décida d'aller faire un petit plongeon. Le vent ne soufflait pas beaucoup et par conséquent, le bateau n'allait pas extraordinairement vite, voire même était à l'arrêt. Et puis après tout, cela faisait un moment que je n'avais touché l'eau et donc, l'odeur allait avec ! Je m'approchai donc de la rambarde, déposai délicatement mes sabres, enlevai mes habits pour finalement finir en caleçon avant de piquer une tête dans l'eau fraiche de la mer.
Après avoir pataugé pendant 10 minutes et avoir fait à peu près cinq fois le tour du bateau à la nage, je remontai à bord pour me faire sécher au soleil et au mistral de l'aube. Je n'étais pas tout à fait sec lorsqu'Aoï annonça la terre depuis la vigie : c'était le moment ! C'est donc encore en caleçon que j'allai dans la cuisine à l'encontre du cuisto, mais contrairement à ce que je pensais, il n'y était pas, je fouinai donc tout le navire avant de le trouver à l'arrière du navire.
-Eh, Galo' ! Y'a la terre dans pas longtemps et tu te souviens ? J'avais une défaite à te faire payer ! Je veux prendre ma revanche sur cette île !
Dernière édition par Zarechi Ozuka le Ven 17 Mai 2013 - 19:03, édité 1 fois