>> Loktar Grissac
Pseudonyme : Ankoü Age: 29 Ans Sexe : Homme Race : Humain Métier : Écrivain Groupe : Civil Déjà un équipage : Non But : Ecrire le prochain best seller mondial Fruit du démon : J'ai déjà une idée précise de celui que je souhaite... Équipements : Un petit cahier épais et le nécessaire d'écriture qui ne le quitte jamais. Une canne droite avec une lame à l'intérieur. Des vêtements sur mesure fait en tissus onéreux. Codes du règlement (2) : - Parrain : Don Corleone Ce compte est-il un DC ? : non foutre-bleu ! |
>> Physique A première vue, on sait tout de suite qu'Ankou a de l'argent. Si c'était inscrit sur son front, ça n'en serait pas moins évident. Il faut le voir car à part dans une soirée mondaine, vous ne risquez pas de croiser un Dandy pareil ailleurs. Le chapeau de bonne manufacture toujours perché sur sa tête lui confère une prestance digne d'un noble. Ses cheveux laissés volontairement à l'abandon lui donnent un faux air de personne qui tente de se faire passer pour quelqu'un de débraillé mais qui n'y arrive pas. Sa fine moustache est impeccablement entretenue pour lui donner un petit air supérieur mais pas trop. Le costume sur mesure qu'il porte en permanence est une insulte à la pauvreté, il est fait main et chaque ourlet, bourrelet, faux plis, épingles, boutonnières, mouchoir est placé minutieusement. On dit que l'habit ne fait pas le moine, par contre pour l'homme d'affaire assurément. Ses chaussures sont tout aussi joli que son habit, faites de cuir, il les fait briquer trois fois par jour. Il passe beaucoup de temps à se préparer avant de sortir, il prend soin de ses affaires et ne néglige jamais le petit personnel qui est au soin de ses vêtements. Outre sa tenue exubérante et raffinée l'homme se distingue par sa taille légèrement plus grande que la moyenne. Ce n'est pas un coton tige, il a même un peu de ventre en trop et en impose donc par sa masse corporelle. Il n'a rien d'obèse, il est juste bâti comme une armoire à glace. Il faut dire qu'il mange plus qu'il ne faut quand il est à table. Malgré sa taille il est souvent droit comme un I et se tient en appuis sur une canne en ébène qui recèle une lame de Gentleman. Sa démarche est nonchalante et il a la vilaine manie de siffler des airs populaires en marchant. Sa voix est assez aiguë sans être pour autant efféminée (Se référer à Jack White si vous voulez l'entendre). Pour rester au niveau de son visage; On pourrait trouver qu'il tire un peu la tronche tout le temps mais c'est une fausse impression. Sa tête est assez émincé et mise à part deux dents en moins au fond de la bouche, il est tout à fait normal. >> Psychologie Lorsque l'on commence à discuter avec Ankou on se rend rapidement compte que c'est un moulin à parole, une vraie pipelette. D'ailleurs, le sujet de la conversation va très rapidement tourner autour d'un seul et même point, lui. Il est assez inconscient des autres quand il commence à discuter de sa personne. Il ne se voue pas un culte mais a de grosses tendances narcissiques, égoïstes et orgueilleuses. Mais n'ayez crainte, il vous traitera avec le plus grand respect, c'est un gentleman bien éduqué qui fait grand cas des convenances. Il n'est pas vraiment méprisant, juste impertinent. Il faut dire que son objectif le hante, c'est son obsession la plus chère, tel Gollum et son anneau. D'un caractère assez calme il arrive à montrer un flegme presque britannique et il en faut beaucoup pour l'énerver. Il se montre généralement joyeux de vivre et c'est le cas, il croque à pleine dent la vie de rêve qu'il a. Car il sait qu'il est un privilégié et entend bien en profiter un maximum. Il se montre généralement raffiné et flatteur envers la gent féminine. Les problèmes du monde actuels ne le concernent pas vraiment, il sait qu'au contraire ça fait marcher les affaires. Il n'éprouve pas vraiment de remords ni de pitié envers les pauvres et ne voit chez les pirates et révolutionnaires que des héros potentiels pour son roman. La marine est la poule aux oeufs d'or et ce n'est pas son genre de cracher dans la soupe alors il la respecte. Plus vous connaîtrez le personnage plus vous apprendrez à vous en méfier, il est assez retord quand il veut quelque chose. Il n'est pas foncièrement malhonnête mais peut utiliser la ruse, la manipulation et le mensonge tant que ça sert ses intérêts. Mais mise à part ça, il reste un bon gars qui peut aider une mamie à traverser la rue, à condition qu'elle lui achète un livre après.. faut pas déconner non plus. >> Autobiographie
Rien de tel qu'un vieux récit pompeux sur son enfance pour faire saliver le lecteur assidu qui recherche la moindre bribe d'information lui permettant d'entretenir une relation passionnelle voir fusionnelle avec son héros. Je vais donc me prêter au jeu et accomplir mon devoir de grand écrivain, bien sur je pourrais confier cette tâche que je considère ingrate à quelqu'un mais j'ai trop le souci du détail (et surtout trouvé personne..) pour déléguer une telle partie de ma vie. Mais trêve de bavardage futile, commençons si vous le voulez bien directement avec mes parents. Deux roturiers que le destin a unis très jeune. Mon paternel, fils de forgeron, arrière petit fils de forgeron, a hérité de la boutique de son père et à épouser la fille de la commerçante d'en face; Ma mère (cette sainte femme). Une vie monotone et basique voir ennuyeuse jusqu'à deux évènements. La première est la venue de votre humble serviteur, moi, Loktar Grissac. Je peux vous l'avouer maintenant, j'ai sauvé ce couple d'une vie morose et calme. Dès le plus jeune âge j'ai développé la faculté de rendre infernale la vie de mes parents par des actions stupides ou téméraires. Mais loué soient mes parents qui n'ont eu qu'amour envers moi, un amour proportionnel à mes bêtises si je puis dire. Le deuxième évènement fut le contrat que décrocha mon père et sa forge pour fournir en canons l'arsenal de la Marine. La qualité de son travail n'était plus à prouver et la Marine, soucieuse de la qualité de son armement embaucha mon père et lui offrit la possibilité de centupler son chiffre d'affaire. Ce petit évènement fit de moi un infatigable garnement pourri gâté. Je n'ai jamais manqué de rien, ni de nourriture, ni d'argent, ni d'amour. Le nouveau statut social de mes parents leur permit de m'offrir une éducation scolaire que peu de gens peuvent se permettre. Soucieux de me donner les meilleurs atouts pour attaquer le monde à pleines dents, ma mère supervisa ma scolarité et mes activités extra scolaires, tels que la musique, la danse, l'escrime, la boxe et le théâtre. Mon père lui, plus terre à terre m'inculqua son métier de A à Z avec ferveur et espoir qu'une fois en âge, je poursuive son oeuvre. Malheureusement pour eux, à l'âge ingrat je décidais de prendre un peu de recul par rapport à l'ambition de mes parents et doucement je m'écartais du droit chemin. Les activités extra scolaire qui ne trouvaient plus grâces à mes yeux furent stoppées et j'envisageais pour la première fois de faire autre chose que de reprendre l'usine de mon père. La filière artistique m'intriguait et accaparait toute mon attention. Je passais mes soirées dans des cercles ou club avec d'autres fils et filles de bonnes familles à chercher une aspiration. Nous débâtions de tout, nous étions les rois du monde et nous vivions complètement en dehors de la réalité. Quand l'âge adulte me frappa, mon père me proposa une première fois de prendre sa suite mais je m'y opposais avec force, prétextant un manque de confiance en moi, une terreur de ruiner l'histoire de sa vie en quelques années. Compréhensif et tendre avec moi, mon géniteur accepta le refus. J'avais un peu honte de le manipuler ainsi mais je ne souhaitais pas me faire couper les vivres par la trésorière en chef qu'était ma mère. Elle était dure et intransigeante avec moi, elle me demandait des comptes rendu de mes semaines et ces dernières années elle brida mes rétributions financières. Elle n'était pas dupe comme mon père et je devais me montrer créatif et flexible afin de ne pas trop éveiller le dragon qui veillait en elle. C'est aussi à cette époque que ma vocation vit le jour, devenir écrivain mondialement connu. Oui.. juste écrivain n'est pas très reluisant, alors qu'écrivain mondialement connu, tout de suite, c'est plus chic. Malheureusement mes premiers essais furent une catastrophe et je recevais en général plus de fou rire que d'éloges sur mon travail. Je fréquentais, toujours grâce à la générosité de mes parents les cercles de la haute société dans les bars et clubs de tout le royaume. C'est d'ailleurs dans un de ces endroits que j'ai décroché mon premier poste d'écrivain. J'étais fier et arrogant, complètement dans mon rôle, je rédigeais pour la presse locale sous le pseudonyme d'Ankoü afin de ne pas éveiller les soupçons de mes parents. Le directeur du journal, un bon ami à mes parents que je voyais régulièrement autour d'un verre de scotch m'avait embauché pour remplacer un départ à la retraite. J'avais mon propre bureau, j'étais mon propre chef et je dirigeais la rubrique des fait divers. Certes, il y avait mieux mais jamais je n'aurai craché sur une main tendue. C'est que je pensais avoir fait un geste pour le directeur, je pensais lui avoir rendu un service en acceptant son offre. Il se voilait la face, c'est sur, mais moi aussi. De cette période j'en garde le souvenir de mes journées à jongler entre l'usine de mon père et sa paperasserie, le journal, les clubs et les filles. Je vous parlerai des femmes dans un autre chapitre, revenons à moi si vous le voulez bien. Rapidement j'abandonnais le métier de journaliste (Car on m'avait remercié..) pour me consacrer à l'écriture. Je ne devais plus accepter d'autres emplois et je devais rassembler toutes mes forces afin de percer dans le métier. Mes absences à répétition à l'usine familiale se firent sentir aussi. Mon père s’inquiétait de me voir partir et ma mère tentait de me retenir en abaissant mon salaire à chaque jour d'absence. J'ai cherché en plus de mes propres récits à devenir le nègre de quelques hommes ici et là. Ils ont les idées ou l'histoire mais pas la plume pour la mettre en page. C'est là que j'intervenais, usant de mon savoir faire pour coucher sur papier les idées floues de ces messieurs. Bien entendu j'étais rémunéré et j'ai même refusé quelques torchons. Je ne voulais pas ternir mon génie en acceptant de rédiger les histoires grotesques d'un certain Dracula. Un homme buvant du sang, en voilà une idée farfelue.. J'ai eu d'autres propositions un peu étranges dans ce style mais j'ai toujours eu le courage de refuser. Ce qu'il me manquait était l'inspiration, une accroche forte, un sujet vendeur qui me permettrait de grimper vite en renommé et pouvoir ainsi me libérer des chaînes de l'héritage familial pour le moins encombrant. Avec le temps la patience et la bienveillance de mon père changèrent et j'étais de plus en plus incité à prendre sa succession sous peine de me voir mettre à la rue sans un sous. J'étais terrorisé, d'un côté je n'arrivais pas à trouver un sujet qui susciterai l'engouement mondial et de l'autre mes géniteurs devenaient mes créanciers. Je me voyais déjà devoir renoncer à la vie d'artiste pour faire de la paperasse et diriger une usine de trois cents personnes jusqu'à ce que la mort vienne me chercher un petit matin. Il fallait ruser encore une fois, une dernière fois, c'était ma seule échappatoire à la vie morne qui me tendait les bras. C'est en me baladant sur une plage que l'idée me vint, j'assistais ce jour là, depuis le rivage à l'abordage d'un navire marchand sortant du port par un navire de pirate sorti d'on ne sait où. Je venais de résoudre mes deux problèmes, l'inspiration venait de me submerger. J'en aurai presque pleuré mais par pudeur et fierté je gardais ça en moi. Les pirates, en voilà un sujet palpitant que les enfants et parents s'arracheraient pour lire. Ecrire une histoire de pirate, une légende pirate qui survivrait à ma mort. Voilà ce qu'il me fallait et pour ça, je devais les étudier, vivre parmi eux afin de pouvoir rendre fidèlement leurs comportements sur papiers. Mais pour ça, j'allais devoir une dernière fois marchander avec mes parents. Le soir même au souper, j'annonçais à mon père que j'acceptais enfin de reprendre son usine mais à une condition. Il sauta de joie et embrassa ma mère comme jamais. Il accepta sans même savoir quelle était ma condition, il avait enfin réussi à me persuader de reprendre son oeuvre, sa poule aux oeufs d'or. A l'annonce de la condition mes parents changèrent de visage et restèrent un peu dubitatif mais finirent par accepter. Je ne leur demandais qu'une année de voyage autour du monde afin de parfaire ma connaissance de celui ci avant de reprendre le contrôle de l'usine. Bien entendu, j'omis volontairement de leur parler du vrai but de cette année sabbatique. Ecrire un best seller mondial sur les pirates. Le compte à rebours était lancé, je savais que je jouais ma dernière carte et qu'une fois ce délai écoulé, je devrais accomplir le dur labeur de directeur d'usine à moins de réussir à vendre mon futur ouvrage sur toutes les mers du globe. Un an, pas un jour de plus. >> Test RP
* Ouvrant son carnet et d'une plume souple et délicate, Ankou coucha ces quelques mots avant d'aller en faire de même* Quelle soirée.. Tout avait pourtant si bien commencé, une invitation de dernière minute pour un gala de bienfaisance. J'ai du me préparer en toute hâte, je n'ai eu que deux heures pour choisir mon costume.. Mais passons ce détail, j'étais impeccable à mon arrivée, quelques demoiselles m'ont regardé avec insistance et délectation, je ne dis pas ça pour me vanter mais ça fait toujours plaisir à l'égo de se sentir admiré. En premier lieu je me suis dirigé vers la maîtresse de maison pour la saluer et la remercier de son invitation. Elle ne semblait pas vraiment ravie de me voir, elle attendait surement mon père, à qui l'invitation était destinée. Mais qu'importe, je la complimentais sur sa toilette qui était tout aussi remarquable que la mienne, à un détail près, sa coiffure mais par galanterie, j'omis volontairement ce détail. Une fois les civilités faites, je me dirigeais vers le banquet qui semblait des plus appétissants. Et il l'était, j'y restais près d'une bonne heure et demi à goutter et regoutter ces succulents petits fours et autres amuses gueules. J'en profitais aussi pour nouer des contacts entre deux bouchées avec les autres pics assiettes. Vu à la vitesse où descendait le buffet, je décidais d'être prévoyant et de faire quelques provisions dans mes poches, discrètement mais surement. Je ne voulais pas prendre le risque de mourir de faim avant ma mort naturelle. Les convives étaient tous charmants, nous avons eu de beaux échanges et progressivement je me laissais aller. Mon charme naturel et mon côté attirant prit le dessus sur le programme de la fête et bientôt une petite troupe de fidèle n'avaient d'yeux que pour moi. Il faut dire que mon charisme sortait du lot et mes mots sonnaient plus juste que le son d'un Stradivarius. Sentant l'assemblée captivée par mes récits, j'innovais, de façon à ne pas stagner sur un thème. J’espérais toucher un large public ainsi. Après quelques poèmes, fables et autres comptes, je me laissa aller à une blague. Le changement de registre en surpris plus d'un mais je glissai ça tranquillement, presque sournoisement de façon à ne pas brutaliser mes auditeurs. - D'habitude je ne me souviens jamais de mes rêves mais un soir un corbeau vint me parler. Il me parla et m'indiqua que la mort de mon oncle allait survenir d'ici peu ! Terrifié je réveillais mes parents qui me rassurèrent et me firent comprendre que ce n'était qu'un rêve. Mais au petit matin, on vint sonner à notre porte pour nous annoncer la mort de mon Oncle. - Choqué, je craignais de dormir à nouveau et de revoir ce corbeau de mauvais augure. Mais il ne revint plus. Mes nuits redevinrent paisibles et calmes comme avant... - Mais un soir (Ankou fait les gros yeux et le public gémit de peur) ! Le corbeau revint et annonça cette fois la mort de mon père. En pleure, je me dirigeais vers la chambre de mes parents et je leur racontais à nouveau l'histoire. Mon père, abasourdi passa sa journée à ne rien faire, à attendre que la mort vienne le chercher. Il déambula en ville, sous le choc de la nouvelle. Le soir, il revint à notre grande surprise à la maison, ne comprenant pas pourquoi il était encore en vie. Ma mère elle, pleurait à chaude larme. - Le lendemain matin, nous reçûmes la livraison des bouteilles de lait avec trois heures de retard, le livreur, un nouveau, s'excusa et expliqua que l'habituel était mort d'une crise cardiaque hier matin. - C'est ainsi que je découvris mon vrai père ! L'assemblée ricana longuement avant de se disperser, laissant seul notre bon Ankou. J'étais dépité, j'avais du aller trop loin dans la plaisanterie. J'allais partir, vexé et triste d'avoir gâché un tel auditoire quand je compris que le problème ne venait pas de moi mais de mon concurrent le plus redoutable ! Le médiocre André Marcotti ! Avec son nom de mangeur de pattes ! Ce rustre de la plume venait d'arriver et avait décidé de me chaparder mes ouailles. Il accaparait toute l'attention à lui seul. Les deux plus jolies demoiselles de la fête vinrent sans pudeur se placer sous ses épaules de coquelet dégarni. Comme si il pouvait les protéger avec des bras aussi fins que des cure dents. Il fallait que je respire, que je me reprenne, ce n'était pas très glorieux de se laisser aller de la sorte. Je devais rester impassible, de marbre devant ce qui bientôt ne serait qu'un confrère parmi tant d'autres. Tu bluffes Marcotti ! (Fallait que je la place, obligé xD) Tu n'es rien de plus qu'un écrivain qui a vendu plusieurs millions de livres ! Grmbl.. Même après coup très cher lecteur, je m'emporte contre lui sur ce carnet... c'est ridicule.. je suis ridicule Reprenons normalement le fil du récit je vous prie. J'étais désormais relayé au statut d'invité lambda, à errer dans ces couloirs à la recherche d'une paire d'oreille pour entendre mes histoires farfelues. André Marcotti lui, faisait étalage de sa gloire près de la fontaine à champagne, je vous jure.. quel culot.. Bien sur j'avais lu son dernier ouvrage, il était excellent, même moi je dois le reconnaître, c'est agaçant mais c'est ainsi. Néanmoins, en tant qu'écrivain je voyais des choses que le lecteur ne pouvait percevoir. L'intrigue, le fil, la trame, le scénario.. Tout était dans ma tête et il fallait que je lui torpille sa soirée. C'était plus fort que moi, alors je me suis dirigé paisiblement vers son groupe. Il était noyé sous les questions, surtout celle venant des femmes à propos de son protagonistes. Un jeune blond, chevalier, qui combat un homme en armure noire sur une planète artificielle. La référence aux étoiles était omniprésente dans son livre. Je trouvais d'ailleurs un peu pédant le titre "la guerre des étoiles". Une opportunité de quitter cette mascarade la tête haute et de mettre un coup à mon ennemi se présenta sous la forme d'une belle demoiselle rousse qui sauta les étapes et demanda comment aller se finir l'histoire pour le héros. Bien entendu André Marcotti n'allait pas dévoiler la suite, il allait faire de la langue de bois, miroiter les convives et les laisser dans le plus grand désarois. C'est là que j'intervins, je pris la parole avant qu'il ne puisse la ramener et je clamais haut et fort. A la fin, il meurt.. Puis sans m'en retourner, je quittais cette pièce devenue trop petite pour moi et je regagnais mon domicile pour y noter ces quelques mots, trop content d'avoir ruiner la fin la plus épique qu'il aurait pu choisir devant quelques convives. En faisant mourir son protagoniste, il allait entrer au panthéon des écrivains et il recevrait un nombre incalculable de prix pour avoir oser une telle fin. Je venais de lui éviter cette si cruelle décision que tout auteur de renom médite un jour; Tuer son protagoniste, Succès ou Scandale ? Bref, une bonne soirée finalement... |
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Informations IRL
- Prénom : Appelle moi Suzanne si ça te fait plaisir. (Bip Up à ceux qui trouveront la référence)
Age : 25 Ans
Aime : La littérature, la musique, le cinéma, la nature et les bas résilles.
N'aime pas : Les toilettes payantes, les toilettes publiques, la viande et les crottes de nez trop salés.
Personnage préféré de One Piece : J'aime le nouveau Zorro
Caractère : Instable, Ouvert d'Esprit, Breton, Cheveux ébouriffés, Attachant, Répugnant, le mec parfait quoi..
Fais du RP depuis : Près de 10 ans je pense..
Disponibilité : 4 - 5 Jours par semaine
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