Cette aventure commença par un petit robot, grand comme deux ballons de football qui se promenaient en quête d'idée innovante. Il ne cherchait pas d'inventions ou d'armes de destruction massive, mais une petite quête avec de l'action et des rencontres. C'est ce qui se produit :
C'était aux alentours du 3 novembre en soirée, la ville était calme et était enveloppée dans un voile de ténèbres. Tout le monde avait peur de sortir de leur petit chez soi, trop horrifier de tombée sur un bandit ou un malfrat. Les villageois connaissaient les risques... Mais pas les aventuriers. Riuki, communément appelé ZX 12 par le créateur, se promenait gaiement dans le noir absolu pour tomber nez à nez sur un escadron de la marine. Personne ne fit attention à moi, car, étant trop petit, je pouvais aisément passer entre leurs jambes, mais le chef de l'escadron, un peu trop zélé par rapport aux autres qui somnolaient déjà me vit passer. Ma carapace blanche ne m'aidait pas, mais je pris l'air le plus aimable du monde.
Bien le bonjour mon bon monsieur! Comment allez-vous en cette belle nuit froide?
Le général me regarda avec un air des plus grincheux qui soient :
Hey toi le tas de ferraille! Fais bien attention à ce que tu peux dire parce que je n’ai pas peur des technologies dans ton genre!
Il a probablement dû mal entendre, car il ne voulait pas être sympathique. C'est alors qu'un homme, vêtu de manière voyante, soit un gilet vert fluorescent, une paire de pantalons de la même couleur avec son sous-vêtement par-dessus ces pantalons. Il poussa un hurlement de toutes ces forces demandant de me relâcher et de me laisser partir sans faire de mal à personne.
*Non, mais quel idiot lui!*
La marine ne fit aucune illusion avant qu'il utilise les grands moyens. Il se donna un élan pour fracasser le nez d'un soldat pour se faire neutraliser deux secondes plus tard par le reste de la troupe. Je leur envoyai la main pour continuer mon périple quand le chef me voyant partir me retint par l'épaule. Mon bras droit se détacha, pas totalement réparé de la dernière excursion dans une école. Tout le monde se bidonnait à l'exception du jeune hippie essayant de prendre ma défense. Il s'est écrié larme à l'oeil : pourquoi faites-vous cela à un être sans défense?
Je pris une grande inspiration pour ne pas tuer le jeune garçon qui m'humiliait devant tout les hommes. Je repris mon bras à une vitesse prodigieuse et me plaça pour le réparer. L'escadron entier et le jeune pacifiste me regardaient voir avec une touche d'intrigue. Je n'eus aucun problème à le replacer, ce n'était qu'une pièce mal attachée. Je fixai le tout et regarda le groupe. Il me regardait à leur tour pour laisser l'occasion au hippie de décamper comme une poule en criant :
Paix dans le monde! Paix dans le monde! Paix dans le monde...
Trois hommes partirent ensemble pour le rattraper puis les autres profitèrent de l'excitation pour m'encercler. Je ne réussis pas à comprendre ce qui m'arriva, mais je réussis toutefois aisément à me débarrasser des hommes. Je sortir mon lanceur prêt à tirer et ils reculèrent. Je partis en direction sud de la ville lorsque j'apercevais un homme de taille moyenne. Je fis une brève analyse pour remarquer plusieurs traits : il lui manquait un oeil, plus précisément l'oeil gauche, un chien se promène près de lui, un léger sourire sur la bouche et la lune, maintenant pleine l'illuminait de mille feux. Je regardai autour de moi pour m'apercevoir que la marine n'était plus là.
*Je les retrouverais...*
C'était aux alentours du 3 novembre en soirée, la ville était calme et était enveloppée dans un voile de ténèbres. Tout le monde avait peur de sortir de leur petit chez soi, trop horrifier de tombée sur un bandit ou un malfrat. Les villageois connaissaient les risques... Mais pas les aventuriers. Riuki, communément appelé ZX 12 par le créateur, se promenait gaiement dans le noir absolu pour tomber nez à nez sur un escadron de la marine. Personne ne fit attention à moi, car, étant trop petit, je pouvais aisément passer entre leurs jambes, mais le chef de l'escadron, un peu trop zélé par rapport aux autres qui somnolaient déjà me vit passer. Ma carapace blanche ne m'aidait pas, mais je pris l'air le plus aimable du monde.
Bien le bonjour mon bon monsieur! Comment allez-vous en cette belle nuit froide?
Le général me regarda avec un air des plus grincheux qui soient :
Hey toi le tas de ferraille! Fais bien attention à ce que tu peux dire parce que je n’ai pas peur des technologies dans ton genre!
Il a probablement dû mal entendre, car il ne voulait pas être sympathique. C'est alors qu'un homme, vêtu de manière voyante, soit un gilet vert fluorescent, une paire de pantalons de la même couleur avec son sous-vêtement par-dessus ces pantalons. Il poussa un hurlement de toutes ces forces demandant de me relâcher et de me laisser partir sans faire de mal à personne.
*Non, mais quel idiot lui!*
La marine ne fit aucune illusion avant qu'il utilise les grands moyens. Il se donna un élan pour fracasser le nez d'un soldat pour se faire neutraliser deux secondes plus tard par le reste de la troupe. Je leur envoyai la main pour continuer mon périple quand le chef me voyant partir me retint par l'épaule. Mon bras droit se détacha, pas totalement réparé de la dernière excursion dans une école. Tout le monde se bidonnait à l'exception du jeune hippie essayant de prendre ma défense. Il s'est écrié larme à l'oeil : pourquoi faites-vous cela à un être sans défense?
Je pris une grande inspiration pour ne pas tuer le jeune garçon qui m'humiliait devant tout les hommes. Je repris mon bras à une vitesse prodigieuse et me plaça pour le réparer. L'escadron entier et le jeune pacifiste me regardaient voir avec une touche d'intrigue. Je n'eus aucun problème à le replacer, ce n'était qu'une pièce mal attachée. Je fixai le tout et regarda le groupe. Il me regardait à leur tour pour laisser l'occasion au hippie de décamper comme une poule en criant :
Paix dans le monde! Paix dans le monde! Paix dans le monde...
Trois hommes partirent ensemble pour le rattraper puis les autres profitèrent de l'excitation pour m'encercler. Je ne réussis pas à comprendre ce qui m'arriva, mais je réussis toutefois aisément à me débarrasser des hommes. Je sortir mon lanceur prêt à tirer et ils reculèrent. Je partis en direction sud de la ville lorsque j'apercevais un homme de taille moyenne. Je fis une brève analyse pour remarquer plusieurs traits : il lui manquait un oeil, plus précisément l'oeil gauche, un chien se promène près de lui, un léger sourire sur la bouche et la lune, maintenant pleine l'illuminait de mille feux. Je regardai autour de moi pour m'apercevoir que la marine n'était plus là.
*Je les retrouverais...*