Le combat, enfin plutôt le massacre est fini, les marines ont été ligotés, baillonés, dépouillés et envoyé dans la prison qui se trouvait dans la cale... Quelle ironie du sort, des marines prisonniers dans la prison d'un navire de la Marine. Non vous saisissez pas ? Tant pis moi ça m'éclate. De notre coté le (ou la?) transsexuel(le) bodybuildé(e), la naine break-danseuse et Ishii sont partis en ville, ce qu'ils sont allés faire ? Je sais pas, mais je me fais pas de soucis. Le robot aussi est partit,même topo que pour les trois autres. Lucio dort encore, tout comme le tapir.... ils ont le sommeil lourd ceux la, ils ont pas ouvert les yeux depuis que je suis sur le bateau... Iwa essaie de réparer le bateau, mais il l'esquinte plus qu'il ne le répare, Shishou quant à lui essaie d'expliquer ce qu'il faut faire à Iwa, sans succès. Je crois que l'aut' tâche est dans sa cabine, j'ose pas imaginer ce qu'il y fait... Quant à moi j'essaie de m'occuper l'esprit, je lis un livre que m'a donné, enfin plutôt prêté, le poulpe atrophié. « L’arête de la guerre » que ça s'appelle, c'est écrit par un certain Fugu Shima. C'est plutôt pas mal et puis y'a rien d'autre à faire... En plus y'a presque plus de rhum, heureusement que j'ai coffré une bouteille de rhum épicé.
Au bout d'un moment j'entends comme un bruit de pas, petit à petit ça se rapproche,je baisse donc le livre et je vois le tapir en face de moi... il me regarde de son visage innocent avant de me lancer un petit « Gnuh »... Il est trop mignon, on dirait une ptite peluche de 300 kilos... Fin bref, je me mets à lui gratter le ventre d'une main, j'utilise l'autre pour remonter mon livre et je me replonge dans ma lecture. A peine ai-je finis une phrase que j'entends de nouveau un « Gnuh » mais celui ci était plus agressif. Il doit vouloir aller se balader... Sortir se balader en ville ? Trop risqué, à moins que j'arrive à convaincre quelqu'un pour venir avec moi. Bon maintenant faut que je choisisses quelqu'un pour venir avec moi... Iwa ? Trop stupide, j'ai pas la volonté de sortir deux animaux. Shishou ? Inutile, me faut une personne intimidante pour éviter les embrouilles. Lucio ? Il dort. Monster ? Je sais pas pourquoi mais j'ai aucune confiance en lui... Bon reste que l'aut' tâche, j'aurais préféré Ishii mais il est pas là. A défaut de merle on mange des pigeons. Quoi c'est pas ça ? On s'en fout vous avez compris le message, non ?
Je vais donc jusqu'à sa chambre....
« Hey arrête de te toucher et viens sortir le tapir avec moi »
Pas de reponse...
« Si tu viens, je te montrerais la plus belle poitrine de Callelongue.... »
A peine ai-je prononcé le mot poitrine que la porte s'est entrouverte, me laissant « admirer » la tête de Blake
Au bout d'un moment j'entends comme un bruit de pas, petit à petit ça se rapproche,je baisse donc le livre et je vois le tapir en face de moi... il me regarde de son visage innocent avant de me lancer un petit « Gnuh »... Il est trop mignon, on dirait une ptite peluche de 300 kilos... Fin bref, je me mets à lui gratter le ventre d'une main, j'utilise l'autre pour remonter mon livre et je me replonge dans ma lecture. A peine ai-je finis une phrase que j'entends de nouveau un « Gnuh » mais celui ci était plus agressif. Il doit vouloir aller se balader... Sortir se balader en ville ? Trop risqué, à moins que j'arrive à convaincre quelqu'un pour venir avec moi. Bon maintenant faut que je choisisses quelqu'un pour venir avec moi... Iwa ? Trop stupide, j'ai pas la volonté de sortir deux animaux. Shishou ? Inutile, me faut une personne intimidante pour éviter les embrouilles. Lucio ? Il dort. Monster ? Je sais pas pourquoi mais j'ai aucune confiance en lui... Bon reste que l'aut' tâche, j'aurais préféré Ishii mais il est pas là. A défaut de merle on mange des pigeons. Quoi c'est pas ça ? On s'en fout vous avez compris le message, non ?
Je vais donc jusqu'à sa chambre....
« Hey arrête de te toucher et viens sortir le tapir avec moi »
Pas de reponse...
« Si tu viens, je te montrerais la plus belle poitrine de Callelongue.... »
A peine ai-je prononcé le mot poitrine que la porte s'est entrouverte, me laissant « admirer » la tête de Blake